pmat 276 Posted March 18, 2007 Partager Posted March 18, 2007 bosnjour a tous c'est pas moi qui le dis c'est pour information Ou je dis apprenons a magnié la plume çà paye Car les notres montents dans les montagnes et les leurs , quelle notorieté ils leur ecrivent meme c'est cela democratié S'oposé au bien etre des autre c'es beau et qu'elle savoir faire votre avis! La religion n’est pas un service public, par Henri Pena-Ruiz mardi 6 mars 2007. Monsieur le Ministre, la religion n’est pas un service public. Voici cinq questions devenues cruciales qui vous permettront, je l’espère, d’en convenir. Les humanistes athées doivent-ils jouir des mêmes droits que les croyants ? Dans votre livre La République et les religions (Cerf, 2004) vous accordez un privilège à l’option religieuse. Selon vous, en dehors de celle-ci, il ne serait pas possible de donner à la conduite de l’existence les repères de sens dont elle a besoin. A vous lire, Sartre l’athée et Camus l’agnostique devaient donc être perdus devant les problèmes de la vie... Et Bertrand Russell, qui écrivit Pourquoi je ne suis pas chrétien (Pauvert, 1962), devait se trouver démuni devant les questions éthiques. Ne pensez-vous pas que celui qui ne croit pas au ciel puisse être blessé par votre préférence, aujourd’hui transposée en une politique discriminatoire ? Quelle égalité s’agit-il de promouvoir ? Vous dites vouloir l’égalité des religions entre elles, et pour cela vous envisagez de construire sur fonds publics des lieux de culte, notamment pour permettre aux citoyens de confession musulmane de compenser leur déficit en la matière par rapport aux catholiques, qui jouissent d’un usufruit gratuit des églises construites avant 1905. Vous ne demandez pas le même financement pour des maisons de la libre-pensée ou des temples maçonniques. Etes-vous donc partisan de la discrimination entre les citoyens selon les options spirituelles dans lesquelles ils se reconnaissent ? L’égalité républicaine se réduirait-elle pour vous à l’égalité des divers croyants, à l’exclusion des humanistes athées ou agnostiques ? Parler, en l’occurrence, de "toilettage" de la loi de séparation de 1905 est un euphémisme trompeur. Rétablir le financement public des cultes, c’est raturer un des deux articles de cette loi, inscrits sous la rubrique Principes : "La République ne reconnaît, ne salarie, ni ne subventionne aucun culte". Avouez que renoncer à un principe sur deux, c’est plus que toiletter la loi. C’est l’abolir. Depuis le 1er janvier 1906, toute construction d’un nouveau lieu de culte est à la charge des seuls fidèles, quelle que soit la religion en jeu. Telle est la règle, et les entorses trop fréquentes qui la bafouent ne sauraient pas plus faire jurisprudence que le fait de griller les feux rouges n’appelle leur abolition. Quelle priorité pour les pouvoirs publics ? Le rapport Machelon, qui a votre sympathie, utilise le concept de liberté de religion, pour permettre le glissement du "libre exercice des cultes", garanti par le premier article de la loi, à la nécessité supposée de financer les cultes. Joli jeu de mots et vrai tour de passe-passe, qui risque de tromper. En République, seul l’intérêt général, commun à tous, portant sur les biens et besoins de portée universelle, mérite financement public. Or, la religion n’est pas un service public, comme l’instruction, la culture ou la santé. Elle n’engage en effet que les fidèles, c’est-à-dire une partie des citoyens seulement. La puissance publique, dont les fonds résultent des impôts payés par des athées autant que par des croyants, n’a donc pas à financer les cultes, pas plus qu’elle n’aurait à financer la diffusion de l’athéisme. En convenez-vous ? L’Etat, jugé trop pauvre pour assurer les finalités sociales des services publics qui concernent tous les citoyens, serait donc assez riche pour financer l’option religieuse, qui pourtant n’en concerne que certains. Révoltant paradoxe : briser la laïcité en même temps que les services publics. Et faire passer cette régression par le supplément d’âme d’un monde sans âme, alliant le baume communautariste et le privilège public des religions. Quelle conception de la lutte contre le fanatisme ? Vous dites vouloir éviter les interventions étrangères, notamment les financements venus de pays peu respectueux des valeurs républicaines et démocratiques. Et vous affirmez qu’en payant, on pourra mieux contrôler. Fausse évidence. Car enfin, quel lien juridique y a-t-il entre le financement et un droit de regard sur les propos des responsables religieux dans les lieux de culte ? Il ne peut exister que par le rétablissement d’une démarche concordataire, c’est-à-dire anti-laïque. Napoléon avait fait le concordat de 1801 en assortissant le financement public des cultes d’allégeances obligées des autorités religieuses à son pouvoir. Soit un système assez humiliant pour les croyants, puisqu’en somme il les achète. Dans une République laïque, il ne saurait y avoir d’allégeance assortie de privilège. Veut-on imposer une orthodoxie aux religions ? Qui ne voit le caractère infaisable, et irrecevable, d’une telle perspective ? Bref, il n’est pas nécessaire de payer pour contrôler. Seul vaut l’Etat de droit. Et ce qui importe n’est pas la nationalité d’un imam, mais son respect des lois républicaines. Ne nous trompons pas de combat. Ce n’est pas l’étranger comme tel qui pose problème à la République, mais celui qui entend s’affranchir de la loi commune pour lui substituer sa loi particulière, qu’elle soit religieuse ou coutumière. Enfin, que reste-t-il de la laïcité si on rétablit un financement discriminatoire ? La République n’est pas une juxtaposition de communautés particulières. Il n’y a pas en France cinq millions de "musulmans", mais cinq millions de personnes issues de l’immigration maghrébine ou turque, très diverses dans leurs choix spirituels. Seule une petite minorité d’entre elles fréquente la mosquée, la majeure partie faisant de la religion une affaire privée, ou ne se référant à l’islam que par une sorte de solidarité imaginaire. Dès lors, la République doit-elle renoncer à la laïcité pour satisfaire cette minorité, ou concentrer les deniers publics sur la redistribution par les services publics, la gratuité des soins, le logement social ou la lutte contre l’échec scolaire, qui concernent tous les hommes, sans distinction de nationalité ou de choix spirituels ? Il est évidemment essentiel de permettre aux croyants l’acquisition des terrains qu’ils financeront, et toute discrimination foncière doit être combattue. Le prétexte invoqué pour l’abolition de la loi de 1905 est l’aide à apporter aux citoyens de confession musulmane. Or la promotion du bien commun à tous, et non la prise en charge publique de la religion, est la meilleure réponse au problème soulevé. C’est aussi la seule légitime. Si l’on brouille la frontière pourtant nette entre le culturel et le cultuel, on parachève le démantèlement de la loi. Les mots ont un sens, et tout glissement visant à confondre ce qui est distinct est une malhonnêteté. Cela s’appelle du détournement des deniers publics. Nulle polémique dans de telles interrogations, mais l’inquiétude vive d’un républicain qui n’est pas décidé à admettre de nouveaux empiétements programmés contre la laïcité, à contre-courant des grandes conquêtes de l’esprit de liberté. La conscience citoyenne ne peut que s’insurger. Henri Pena-Ruiz, philosophe, écrivain, est ancien membre de la commission Stasi Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted March 18, 2007 Author Partager Posted March 18, 2007 Et moi qui suit doté en droit et justice par Coran > Sourate An-Nahl> Verset 90 Certes, Allah commande l' équité, la bienfaisance et l' assistance aux proches. Et Il interdit la turpitude, l' acte répréhensible et la rébellion. Il vous exhorte afin que vous vous souveniez. mon droit a moi n'a pas cours ici avec les homme de ce pays? ah il y a des loi et pas une loi ikl ya la main qui te donne et la main qui te repêrend ici est le pays des deux poids deux mesures alors moralité si il y en avait une. je dirais qu'elle calme avec lequ'elle cette lettre a ete ecrité ce que je ne comprend pas c'est que une foie que j'ai fini de la lire je me trouve enervé je me trouve visé elle parle de moi j'ai eut l'impression de lire Lepen pourtant on parle de laicité et de loi de 1905 le message retenu elle dit et bien 2007 n'attend pas mon vote si tu n'est pas anti islamique et j'averti meditiquement alors la repônse??? cat cette lettre aurais put etre envoyer dans une lettre comme celle de tout le monde tien mais moi je vais faire une et la faire editer comme ca tous le monde la lit en meme temps tien on y avait pas pensé çà doit payer le coup de la plume c'est pire que la guillotine j'ai pas fini je vais prendre mon petit dejeuner a + ° on pas appris ca monsieur ah oui ila ete a l'rcole ou il fait dire que els chose qui fache etb aps dire n'inmporte quoi car il serais que lorqu'on est cotisant il ya a la regle et donc on des droit et de derogation doivente eter prise dosn c la raison de ce monsieur c'est que la loi n'a aps dis ces chose et don il se croit tout permis comme dans les reunion d'entreprise avec les mutuelle et les mutualistes qui interdisent atous les benificiants est ce que c'est pour nous faire dire ça eu payer mais ça ne paye plus çà on me sait depuis toujour mais c'est surtout pour dire lui et l'entendre se dire par ses electeurs et par le parti auquelle il adherent ZORRO EST ARRIVE c'est ici qu'on a dut lui dire de se presenter La mise en page d'une lettre de motivation réussieLa date se place-t-elle à gauche ou à droite ? Faut-il opérer un retrait au début de chaque paragraphe ? Pas facile de s'y retrouver alors que les régles anglosaxonnes prennent doucement le pas sur les us et coutumes français. Extrait du Guide de la lettre de motivation, publié aux éditions L'Express, pour être dans le mouv' sans choquer les recruteurs les plus "tradi". ce courier fait etat d'un manque de respect a autruis et ce autruis c'est moi et l'emigration ce n'et padd un groupe d'oiseau qui doit repartir sans bagages sur cette terre on tous ete des etranger et on l'est tous cat elle n'appartien a aucun homme a acune nation et aucun peuple et a aucun etat la terre ret toute frontiere sont interdite hug j'ai dit Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted March 18, 2007 Author Partager Posted March 18, 2007 a ce chere monsieur plein de talent je lui envoit LOUNA pôur lui dire J’ai jeté ma lampe dans le jardin des étoiles ... par louna J’ai jeté ma lampe dans le jardin Des étoiles où la berceuse des alizés Chavire la tête sous la tempête Des averses tropicales ..... Ne pas savoir Ne pas comprendre Douce est la nuit ce soir J’ai jeté ma barque et mon bateau Dans le jardin des étoiles Où la berceuse des alizés Chavire la tête sous la tempête Des averses tropicales .... Ne pas savoir Ne pas comprendre Quand le corps dresse un décor Sous l’eau vive des ruisseaux et des fontaines Ne pas savoir Ne pas comprendre Douce est la nuit ce soir Pour voyager Sous les ondes cristallines Qui dévorent Les fruits mûrs Dans les veines du soir . Et lui Monsieur Henri Pena-Ruiz manigance contre autruis La religion n’est pas un service public, par Henri Pena-Ruiz mardi 6 mars 2007. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted March 18, 2007 Author Partager Posted March 18, 2007 on leur dira les mots bleues qu'on dit avec les yeux qu'on jette aux malheireux Citer Link to post Share on other sites
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