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dépression et maniaco-dépression


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ya pas d'echelle,....c'est un syndrome donc un ensembles de symptomes, pas un en particulier

 

Tu devrais embêter tes profs avec ça pour savoir :D Moi ça m'interesse !

Comment distinguer l'état dépressif, d'une dépression ? Sachant que l'Homme peut facilement surjouer inconsciemment son état par pur plaisir d'être pris en charge - ça existe aussi (alors qu'il ne nécessitait pas focément de traitement médicamenteux).

 

Moi mon impression c'est qu'il est plus facile de prescrire que de chercher des outils cliniques performants permettant d'administrer par parcimonie. Le médicament demande moins de temps au practicien et profite aux groupes pharmaceutiques. En plus, le patient est content car il a associé le médicament à la guérison (dans sa forme générale - "exemple la comm' sur les antibiotides, c'est pas systématique") et pour lui, la prise d'un anti-dépresseur est une reconnaissance de sa maladie (transfer de responsabilités - qui atténue la volonté de dépassement je trouve).

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Désolée our cette interruption,j'ai eu une deconnex...

sinon pour revenir à notre sujet...il faut faire tres attention aux definitions et aussi classifications car les troubles depressifs apparaissent dans plusieurs tableaux cliniques

aussi la PMD est une affection chronique caractérisé par la prévalence des troubles de l'humeur.....donc trouble bipolaire....

 

le syndrome depressif est essentiellement caractérisé par l'humeur depressive et la perte de l'elan vital.....

Mona tu travailles avec quel tableau de classification?

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Tu devrais embêter tes profs avec ça pour savoir :D Moi ça m'interesse !

Comment distinguer l'état dépressif, d'une dépression ? Sachant que l'Homme peut facilement surjouer inconsciemment son état par pur plaisir d'être pris en charge - ça existe aussi (alors qu'il ne nécessitait pas focément de traitement médicamenteux).

 

Moi mon impression c'est qu'il est plus facile de prescrire que de chercher des outils cliniques performants permettant d'administrer par parcimonie. Le médicament demande moins de temps au practicien et profite aux groupes pharmaceutiques. En plus, le patient est content car il a associé le médicament à la guérison (dans sa forme générale - "exemple la comm' sur les antibiotides, c'est pas systématique") et pour lui, la prise d'un anti-dépresseur est une reconnaissance de sa maladie (transfer de responsabilités - qui atténue la volonté de dépassement je trouve).

 

P our répondre à ta question ,d'habitude l'echelle de hamilton est la plus utilisée pour deceler un etat depressif...et parlant du surjouer ,là ryline on entre carrement dans une autre forme clinique celle de l'hypocondrie peu etre...

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P our répondre à ta question ,d'habitude l'echelle de hamilton est la plus utilisée pour deceler un etat depressif...et parlant du surjouer ,là ryline on entre carrement dans une autre forme clinique celle de l'hypocondrie peu etre...

 

j'ai mal compris la question de ryline...:confused:

mais quelque soit le degres de l'etat depressif on utilise le meme traitement(je ne parle pas des posologies),je veux dire par cela que le traitement medicale est obligatoire????

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P our répondre à ta question ,d'habitude l'echelle de hamilton est la plus utilisée pour deceler un etat depressif...et parlant du surjouer ,là ryline on entre carrement dans une autre forme clinique celle de l'hypocondrie peu etre...

 

Ah voilà les filles, c'est un peu une dérivée de "l'hypocondrie" pour moi qui jouerait dans la dépression contrairement à la PMD. Attention, je ne parle pas de malade imaginaire mais d'une caractéristique ambivalente qui permettrait à notre psychisme d'avoir ou non la volonté de se battre (hors médication j'entends). Notre envie de s'en sortir rapidement et notre capacité à se faire violence au moment M !

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j'ai mal compris la question de ryline...:confused:

mais quelque soit le degres de l'etat depressif on utilise le meme traitement(je ne parle pas des posologies),je veux dire par cela que le traitement medicale est obligatoire????

 

alors pour la depression essentielle comme on dit,le sujet est souvent peu accessible à la relation psychotherapique,donc un traitement medicamenteux s'avere primordiale pour apaiser la douleur depressive :des anti -depresseurs

l'hopitalisation peu séverer necessaire en cas de risque suicidaire..en suite une psychothérapie de soutien pour intervenit à ce moment là...

pour la PMD elle doit etre traiter au long cours par des medocs tabilisateurs de l'humeur:thymorégulateurs- ou sels de lithium....

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j'ai mal compris la question de ryline...:confused:

mais quelque soit le degres de l'etat depressif on utilise le meme traitement(je ne parle pas des posologies),je veux dire par cela que le traitement medicale est obligatoire????

 

En fait, ce qui me dérange un peu dans le terme "dépression" c'est qu'on ne le délimite plus. Il est devenu avec les années une formule fourre-tout où on retrouvera dedans des "crises existentielles", "des angoissés", "des insomniaques"... J'ai l'impression que sur tous les cas rescensés de "dépressifs" (et soignés en conséquence), on a des cas qui ont un traitement plus lourd que ce qu'ils auraient du avoir !

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alors pour la depression essentielle comme on dit,le sujet est souvent peu accessible à la relation psychotherapique,donc un traitement medicamenteux s'avere primordiale pour apaiser la douleur depressive :des anti -depresseurs

l'hopitalisation peu séverer necessaire en cas de risque suicidaire..en suite une psychothérapie de soutien pour intervenit à ce moment là...

pour la PMD elle doit etre traiter au long cours par des medocs tabilisateurs de l'humeur:thymorégulateurs- ou sels de lithium....

 

donc quelque soit le degres de l'etat depressif les medicaments sont necessaire.?anti-depresseurs et sedatifs

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salut les filles!

la PMD C'est la succession chez le même patient d'accès maniaques et d'accès dépressifs. Le malade retrouve son état normal dans l'intervalle qui sépare les accès.

LE SYNDROME DEPRESSIF c'est la pathologie psychiatrique la plus fréquente. son déterminisme est complexe et mutifactoriel (biopsychosocial). L'efficacité des médicaments antidépresseurs fait suspecter l'existence de dysfonctionnements de certains neuromédiateurs (sérotonine, noradrénaline). Le syndrome dépressif fait partie des troubles thymiques ou affectifs. Il peut être unique et isolé ou faire partie de pathologies thymiques à rechutes. les pathologies associées psychiatriques ( trouble bipolaire, schizophrénie, depression majeur et trouble de personnalité troubles de la personnalité ), somatiques ( pathologies douloureuses ou chroniques ) .

 

 

et,si vous permettez,et pour plus de clarté,je peux vous poster quelques références à consulter!

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donc quelque soit le degres de l'etat depressif les medicaments sont necessaire.?anti-depresseurs et sedatifs

en général :

1-Association de médicaments antidépresseurs à doses suffisantes, pendant 2une durée suffisante .

2-Une psychothérapie de soutien .

3-Une surveillance detrés pré!

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slt sacerise!!!!

pour moi le DSMIII/DSMIIII: sont ma bible ou mon coran!!!

tout en sachant que d'autres classifications en vue le jour depuis..

 

je t'avais bien dis que tu étais doc toi!!!!!:mdr:;)

allez,jette un coup d'oeil quand-meme!!

 

PSYCHOSE MANIACO DEPRESSIVE

 

psychose maniaco-dépressive

 

SYNDROME DEPRESSIF depression

http://www.cavimac.fr/fiches_medical/fiches_med_pdf/fiche_607-le-syndrome-depressif.pdf

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ON GROS oui!!!!sans chimio-thérapie ya pas grand risque de guérison!!!!

 

En fait,la chimiothérapie est d'une trés grande utilité,et un moyen indispensable pour arriver à la guérison,qui,il faut le dire n'est jamais à 100%!! car les récidives sont trés importantes!

j'ai un DCEM questions-réponses en psychiatrie,tu veux l'avoir??

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Voici l'échelle d'Hamilton

 

Pour chacun des 21 items choisir la définition qui caractérise le mieux le malade

 

1. Humeur dépressive (tristesse, sentiment d'être sans espoir, impuissant, auto-dépréciation)

 

-Absent

-Ces états affectifs ne sont signalés que si l'on interroge le sujet

-Ces états affectis sont signalés verbalement spontanément

-Le sujet communique ces états affectifs non verbalement, par ex par son expression faciale, son attitude, sa voix et sa tendance à pleurer

-Le sujet ne communique PRATIQUEMENT que ces états affectifs dans ses communications spontanées verbales et non verbales

 

 

2. Sentiment de culpabilité

 

-Absent

-S'adresse des reproches à lui-même, a l'impression qu'il a causé un préjudice à des gens

-Idées de culpabilité ou rumination sur des erreurs passées ou sur des actions condamnables

-La maladie actuelle est une punition. Idées délirantes de culpabilité

-Entend des voix qui l'accusent ou le dénoncent et/ou a des hallucinations visuelles menaçantes

 

 

3. Suicide

 

-Absent

-A l'impression que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue

-Souhaite être mort ou équivalent: toute pensée de mort possible dirigée contre lui-même.

-Idées ou geste de suicide

-Tentatives de suicide (coter pour toute tentative sérieuse)

 

 

4. Insomnie du début de la nuit

 

-Pas de difficulté à s'endormir

-Se plaint de difficultés éventuelles à s'endormir (par ex. mettre plus d'une demi-heure)

-Se plaint d'avoir chaque soir des difficultés à s'endormir

 

 

5. Insomnie du milieu de la nuit

 

-Pas de difficulté

-Le malade se plaint d'être agité et troublé pendant la nuit.

-Il se réveille pendant la nuit (coter cet item toutes les fois où le malade se lève du lit, sauf si c'est pour uriner.

 

 

6. Insomnie du matin

 

-Pas de difficulté

-Se réveille de très bonne heure le matin, mais se rendort

-Incapable de se rendormir s'il se lève.

 

 

7. Travail et activités

 

-Absent

-Pensées et sentiments d'incapacité, fatigue ou faiblesse se rapportant à des activités professionnelles ou de détente

-Perte d'intérêt pour les activités professionnelles ou de détente, ou bien décrite directement par le malade, ou indirecteemnt par son apathie, son indécision et ses hésitations (il a l'impression qu'il doit se forcer pour travailler ou pour avoir une activité quelconque)

-Diminution du temps d'activité ou diminution de la productivité. A vl'hôpital coter cet item si le malade ne passe pas au moins trois heures par jour à des activités- aide aux infirmières ou thérapie occupationnelle (à l'exclusion des tâches de routine de la salle)

-A arrêté son travail en raison de sa maladie actuelle. A l'hôpital, coter cet item si le maldade n'a aucune autre activité que les tâches de routine de salle, ou s'il est incapable d'excuter ces tâches de routine sans être aidé

 

 

8. Ralentissement (lenteur de la pensée et du langage, baisse de la faculté de concentration, baisse de l'activité motrice)

 

-Langage et pensée normaux

-Léger ralentissement à l'entretien

-Ralentissement manifeste à l'entretien

-Entretien difficile

-Stupeur

 

 

9. Agitation

 

-Aucune

-Crispation, secousses musculaires

-Joue avec ses mains, ses cheveux, etc...

-Bouge, ne peut rester assis tranquille

-Se tord les mains, ronge ses ongles, arrache ses cheveux, se mord les lèvres.

 

 

10. Anxiété psychique

 

-Aucun trouble

-Tension subjective et irritabilité

-Se fait du souci à propos de problèmes mineurs

-Attitude inquiète, apparente dans l'expression faciale et le langage

-Peurs exprimées sans qu'on pose de question

 

 

11. Anxiété somatique: Concomitants physiques de l'anxiété tels que: gastro-intestinaux (bouche sèche, troubles digestifs, diarrhée, coliques, eructations), cardiovasculaires (palipitations, céphalées), respiratoires (hyperventiliation, soupirs), pollakiurie, transpiration.

 

-Absente

-Discrète

-Moyenne

-Grave

-Frappant le sujet d'incapacité fonctionnelle

 

 

12. Symptômes somatiques gastro-intestinaux

 

-Aucun

-Perte d'appétit, mais mange sans y être poussié par les infrimières. Sentiment de lourdeur abdominale.

-A des difficultés à manger en l'absence d'incitations u personnel. Demande ou a besoin de laxatifs, de médicaments intestinaux ou gastriques.

 

 

13. Symptômes somatiques généraux

 

-Aucun

-Lourdeur dans les membres, dans le dos ou la tête. Douleurs dans le dos, céphalées, douleurs musculaires. Perte d'énergie et fatigabilité.

-Coter cet item au cas ou n'importe quel symptôme est net.

 

 

14. Symptômes génitaux: symptômes tels que: perte de libido, troubles menstruels

 

-Absents

-Légers

-Graves

 

 

15. Hypocondrie

 

-Absente

-Attention concentrée sur son propre corps.

-Préoccupations sur sa santé.

-Plaintes fréquentes, demandes d'aide, etc...

-Idées délirantes hypocondriaques

 

 

16A. Perte de poids d'après les dires du malade (ne pas coter cet item si vous cotez le suivant)

 

-Pas de perte de poids

-perte de poids probable liée à la maladie actuelle

-Perte de poids certaine, selon ce que dit le sujet

 

 

16B. Perte de poids objective, appréciée par des pesées hebdomadaires (ne pas coter cet item si vous cotez le précédent)

 

-Moins de 500 g de perte de poids par semaine

-Plus de 500 g de perte de poids par semaine

-Plus de 1000 g de perte de poids par semaine

 

 

17. Prise de conscience

 

-Reconnaît qu'il est déprimé et malade

-Reconnaît qu'il est malade, mais l'attribue à la nourriture, au climat, au surmenage, à un virus, à un besoin de repos, etc..

-Nie qu'il est malade

 

 

18. Variations dans la journée.

Noter si les symptômes sont plus marqués dans la matinée ou la soirée. Quand il y a variation diurne, indiquer la sévérité de la VARIATION. Indiquer "aucune s'il n'y a pas de variation

 

-Aucune

-Légère

-Importante

 

 

19. Dépersonnalisation et déréalisation (par ex. sentiment que le monde n'est pas réel, idées de négation)

 

-Aucune

-Légère

-Moyenne

-Grave

-Entraînant une incapacité fonctionnelle

 

 

Symptômes délirants (persécutifs)

 

-Aucun

-Soupçonneux

-Idées de référence

-Idées délirantes de référence et de persécution

 

 

Symptômes obsessionnels et compulsifs

 

-Absents

-Légers

-Graves

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En fait,la chimiothérapie est d'une trés grande utilité,et un moyen indispensable pour arriver à la guérison,qui,il faut le dire n'est jamais à 100%!! car les récidives sont trés importantes!

j'ai un DCEM questions-réponses en psychiatrie,tu veux l'avoir??

 

oh oui j'aimerai bien!!!!:p

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Voici l'échelle d'Hamilton

 

Pour chacun des 21 items choisir la définition qui caractérise le mieux le malade

 

1. Humeur dépressive (tristesse, sentiment d'être sans espoir, impuissant, auto-dépréciation)

 

-Absent

-Ces états affectifs ne sont signalés que si l'on interroge le sujet

-Ces états affectis sont signalés verbalement spontanément

-Le sujet communique ces états affectifs non verbalement, par ex par son expression faciale, son attitude, sa voix et sa tendance à pleurer

-Le sujet ne communique PRATIQUEMENT que ces états affectifs dans ses communications spontanées verbales et non verbales

 

 

2. Sentiment de culpabilité

 

-Absent

-S'adresse des reproches à lui-même, a l'impression qu'il a causé un préjudice à des gens

-Idées de culpabilité ou rumination sur des erreurs passées ou sur des actions condamnables

-La maladie actuelle est une punition. Idées délirantes de culpabilité

-Entend des voix qui l'accusent ou le dénoncent et/ou a des hallucinations visuelles menaçantes

 

 

3. Suicide

 

-Absent

-A l'impression que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue

-Souhaite être mort ou équivalent: toute pensée de mort possible dirigée contre lui-même.

-Idées ou geste de suicide

-Tentatives de suicide (coter pour toute tentative sérieuse)

 

 

4. Insomnie du début de la nuit

 

-Pas de difficulté à s'endormir

-Se plaint de difficultés éventuelles à s'endormir (par ex. mettre plus d'une demi-heure)

-Se plaint d'avoir chaque soir des difficultés à s'endormir

 

 

5. Insomnie du milieu de la nuit

 

-Pas de difficulté

-Le malade se plaint d'être agité et troublé pendant la nuit.

-Il se réveille pendant la nuit (coter cet item toutes les fois où le malade se lève du lit, sauf si c'est pour uriner.

 

 

6. Insomnie du matin

 

-Pas de difficulté

-Se réveille de très bonne heure le matin, mais se rendort

-Incapable de se rendormir s'il se lève.

 

 

7. Travail et activités

 

-Absent

-Pensées et sentiments d'incapacité, fatigue ou faiblesse se rapportant à des activités professionnelles ou de détente

-Perte d'intérêt pour les activités professionnelles ou de détente, ou bien décrite directement par le malade, ou indirecteemnt par son apathie, son indécision et ses hésitations (il a l'impression qu'il doit se forcer pour travailler ou pour avoir une activité quelconque)

-Diminution du temps d'activité ou diminution de la productivité. A vl'hôpital coter cet item si le malade ne passe pas au moins trois heures par jour à des activités- aide aux infirmières ou thérapie occupationnelle (à l'exclusion des tâches de routine de la salle)

-A arrêté son travail en raison de sa maladie actuelle. A l'hôpital, coter cet item si le maldade n'a aucune autre activité que les tâches de routine de salle, ou s'il est incapable d'excuter ces tâches de routine sans être aidé

 

 

8. Ralentissement (lenteur de la pensée et du langage, baisse de la faculté de concentration, baisse de l'activité motrice)

 

-Langage et pensée normaux

-Léger ralentissement à l'entretien

-Ralentissement manifeste à l'entretien

-Entretien difficile

-Stupeur

 

 

9. Agitation

 

-Aucune

-Crispation, secousses musculaires

-Joue avec ses mains, ses cheveux, etc...

-Bouge, ne peut rester assis tranquille

-Se tord les mains, ronge ses ongles, arrache ses cheveux, se mord les lèvres.

 

 

10. Anxiété psychique

 

-Aucun trouble

-Tension subjective et irritabilité

-Se fait du souci à propos de problèmes mineurs

-Attitude inquiète, apparente dans l'expression faciale et le langage

-Peurs exprimées sans qu'on pose de question

 

 

11. Anxiété somatique: Concomitants physiques de l'anxiété tels que: gastro-intestinaux (bouche sèche, troubles digestifs, diarrhée, coliques, eructations), cardiovasculaires (palipitations, céphalées), respiratoires (hyperventiliation, soupirs), pollakiurie, transpiration.

 

-Absente

-Discrète

-Moyenne

-Grave

-Frappant le sujet d'incapacité fonctionnelle

 

 

12. Symptômes somatiques gastro-intestinaux

 

-Aucun

-Perte d'appétit, mais mange sans y être poussié par les infrimières. Sentiment de lourdeur abdominale.

-A des difficultés à manger en l'absence d'incitations u personnel. Demande ou a besoin de laxatifs, de médicaments intestinaux ou gastriques.

 

 

13. Symptômes somatiques généraux

 

-Aucun

-Lourdeur dans les membres, dans le dos ou la tête. Douleurs dans le dos, céphalées, douleurs musculaires. Perte d'énergie et fatigabilité.

-Coter cet item au cas ou n'importe quel symptôme est net.

 

 

14. Symptômes génitaux: symptômes tels que: perte de libido, troubles menstruels

 

-Absents

-Légers

-Graves

 

 

15. Hypocondrie

 

-Absente

-Attention concentrée sur son propre corps.

-Préoccupations sur sa santé.

-Plaintes fréquentes, demandes d'aide, etc...

-Idées délirantes hypocondriaques

 

 

16A. Perte de poids d'après les dires du malade (ne pas coter cet item si vous cotez le suivant)

 

-Pas de perte de poids

-perte de poids probable liée à la maladie actuelle

-Perte de poids certaine, selon ce que dit le sujet

 

 

16B. Perte de poids objective, appréciée par des pesées hebdomadaires (ne pas coter cet item si vous cotez le précédent)

 

-Moins de 500 g de perte de poids par semaine

-Plus de 500 g de perte de poids par semaine

-Plus de 1000 g de perte de poids par semaine

 

 

17. Prise de conscience

 

-Reconnaît qu'il est déprimé et malade

-Reconnaît qu'il est malade, mais l'attribue à la nourriture, au climat, au surmenage, à un virus, à un besoin de repos, etc..

-Nie qu'il est malade

 

 

18. Variations dans la journée.

Noter si les symptômes sont plus marqués dans la matinée ou la soirée. Quand il y a variation diurne, indiquer la sévérité de la VARIATION. Indiquer "aucune s'il n'y a pas de variation

 

-Aucune

-Légère

-Importante

 

 

19. Dépersonnalisation et déréalisation (par ex. sentiment que le monde n'est pas réel, idées de négation)

 

-Aucune

-Légère

-Moyenne

-Grave

-Entraînant une incapacité fonctionnelle

 

 

Symptômes délirants (persécutifs)

 

-Aucun

-Soupçonneux

-Idées de référence

-Idées délirantes de référence et de persécution

 

 

Symptômes obsessionnels et compulsifs

 

-Absents

-Légers

-Graves

 

Merci m'dam!!!comme je te l'ai toujour dis :tu es une SADJIAA et demi;)

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Merci sacerise ! J'ai tout lu :04:

 

Dîtes, "résistance au traitement" cela signifie qu'il n'a aucun effet sur le patient (comme un vrai placebo :D - ouaiiiss, big dédi to my pineco' !)

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Merci sacerise ! J'ai tout lu :04:

 

Dîtes, "résistance au traitement" cela signifie qu'il n'a aucun effet sur le patient

 

la résitance au traitement,c'est quand il y a insuffissance du traitement,ou;lorsque la thérapie est inadéquate ou mal suivie!!

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Merci sacerise ! J'ai tout lu :04:

 

Dîtes, "résistance au traitement" cela signifie qu'il n'a aucun effet sur le patient (comme un vrai placebo :D - ouaiiiss, big dédi to my pineco' !)

 

La resistance au traitement veut souvent dire que l'état du patient ne s'est pas amélioré ou n'a pas montré des signes d'amélioration..donc il faut revoir le dosage ainsi que le modéle psychothérapique utilisé....

quant au placebo ma chére il est administré souvent dans les cas nevrotiques:comme l'hypocondrie,neurasthénie....afin d'apaiser le patient dans sa quéte de guerison!!

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Très très intéressant le petit cours de medecine merci le filles! :04:

 

d'après vous, existe-t-il un moyen de prévenir une dépression chronique ?

 

Il parait qu'une activité physique régulière limiterait les risques de rechute ?

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Très très intéressant le petit cours de medecine merci le filles! :04:

 

d'après vous, existe-t-il un moyen de prévenir une dépression chronique ?

 

Il parait qu'une activité physique régulière limiterait les risques de rechute ?

 

Oui moi aussi j'ai entendu ça aussi !!

 

Sinon les filles, j'ai fait une simulation avec un faux patient ne souffrant pas réellement de dépression (juste un blues passager mais qu'il aimerait attribuer en dépression - un peu hypocondriaque quoi) sur le test d'Hamilton.

 

Bien il a eu 20 points et au-dessus de 18, on le considère comme "déprimé" pourtant j'ai pris soin de cocher que des négations aux symptomes lourds et des "un peu" pour les légères !

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