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Un imam a été arrêté, ce mercredi 1er avril en Algérie, pour avoir remis en cause l’existence du coronavirus


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Algérie : Un imam en prison pour avoir remis en doute l’existence du coronavirus

 

Un imam a été arrêté, ce mercredi 1er avril en Algérie, pour avoir remis en cause l’existence du coronavirus à travers des vidéos et publications postées sur les réseaux sociaux, indique le journal arabophone ECHOUROUK  ONLINE.

Cela se passe dans la wilaya de Tébessa. Via ses sorties publiques, cette personne incitait les citoyens à ne pas croire au Covid-19. Une maladie qu’elle considère être “une simple invention des pays occidentaux”. Arrêté par les éléments de la brigade de lutte contre la cybercriminalité, relevant de la Police judiciaire de cette wilaya de l’Est, l’imam conspirationniste a été mis sous mandat de dépôt pour “diffusion de publications subversives sur les réseaux sociaux”

En effet, le mis en cause, indique le média arabophone, diffusait sur les réseaux sociaux des publications à travers lesquelles il avançait que le coronavirus était une affabulation. Il a, d’ailleurs, appelé la population à ne pas y croire, en incitant à violer les mesures préventives mises en place par les autorités, dont le confinement.

Âgée de 55 ans, cette personne, qui s’est avérée être imam, appelait les citoyens à continuer à tenir des fêtes de mariage et autres rassemblements. L’enquête enclenchée par les services de sécurité a permis de l’arrêter et de le mettre sous mandat de dépôt. Il faut rappeler que les personnes qui ne respectent pas les mesures de prévention sanitaires adoptées pour freiner la propagation du coronavirus dans le pays s’exposent à des sanctions fermes.

Lire aussi : Lourdes amendes et prison : Les sanctions pour refus de dépistage ou de confinement en Algérie

 

 
 
29 MARS 2020 À 10 H 01 MIN
 
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– Vu la situation sanitaire actuelle, y a-t-il un risque sur la disponibilité des produits agricoles ?

Pour le moment, non. Nous avons assez de fruits et légumes pour subvenir aux besoins de nos concitoyens. Toutefois, cela n’exclut pas un impact négatif des mesures de confinement sur le marché de gros et, de facto, sur le marché de détail. Il ne faut pas oublier que nous sommes dans une période creuse.

Le mois d’avril est le mois qui note, en temps normal, une chute dans la disponibilité des produits agricoles. Avec ces mesures de confinement, notamment celles touchant la wilaya de Blida, la disponibilité est impactée. Un fait que personne ne peut nier.

– Justement avec ces mesures de confinement, quels sont les problèmes que vous rencontrez, notamment pour l’approvisionnement ?

Il faut savoir que la wilaya de Blida contribue à hauteur de 30% dans l’approvisionnement des marchés de la capitale et de toute la périphérie de la Mitidja. Beaucoup de terrains agricoles et de chambres froides y sont localisés. Ces mesures de confinement total se sont directement répercutées sur la disponibilité. Certes, nous avons des produits mais pas autant que d’habitude, notamment en cette période d’intersaison.

Même si les marchands de fruits et légumes venant de cette wilaya sont autorisés à circuler, la peur a poussé plusieurs d’entre eux à éviter les sorties et geler leur activité jusqu’à nouvel ordre. Ceci est valable pour tout le secteur des transports de ces produits, notamment ceux venant des wilayas du Sud et de l’intérieur du pays.

La tomate du Sud n’est pas disponible à cause de ce problème de transport. En plus, la main-d’œuvre dans les marchés de gros a nettement baissé. La plupart de ces employés à la journée habitent à Blida et ses environs.

L’interdiction de circulation dans cette wilaya a réduit l’activité dans nos marchés de gros. Autre problème : nous ne nous sommes jamais préparés à une situation sanitaire aussi particulière que celle que nous vivons aujourd’hui. Aucune préparation en matière de gestion de crise dans son volet approvisionnement du marché. Même constat, voire pire, en matière de respect des mesures d’hygiène et de précaution.

Au marché de gros des Eucalyptus, il est aujourd’hui rare de voir les ouvriers, le peu qui reste en activité, porter des masques de protection, des gants ou désinfecter les lieux de travail ou de stock des marchandises. Pour ma part, je fais de mon mieux, mais cela est loin d’être le cas pour tous les locataires de ce marché de gros, qui se sont habitués à une certaine méthode de travail.

– Qu’en est-il aujourd’hui des prix des fruits et légumes ?

Avec le retour à la normale de la demande, les prix ont chuté. Ils sont aujourd’hui à la portée du consommateur. Les prix pratiqués en début de crise sont dus à la peur qui a gagné le consommateur, qui s’est abattu sur les produits. Les commerçants en ont profité. Heureusement que cela n’a pas duré. Toutefois, le marché reste instable.

Les prix peuvent augmenter à tout moment, surtout si aucune mesure n’a été prise pour assurer l’arrivée des produits. Une crise pour le début du Ramadhan n’est pas à écarter. Imposer des prix aux mandataires sans prendre en considération les charges imposées par cette propagation surprise du Covid-19 est loin d’être la solution.

Certes, nous continuons aujourd’hui à travailler malgré le risque élevé de contamination, mais le confinement se généralise, s’il dure dans le temps et qu’aucune mesure n’est prise pour prévoir les chamboulements dans l’approvisionnement, les marchés de gros seront fortement touchés. Le consommateur et l’agriculteur en seront les premiers touchés.

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Il faut l'emmener a Blida a l'hopital frantz fannon -il a le droit de verifier .

voila ou mene l'ignorance , il a le droit de douter et de penser ce qu'il veut mais induire les autres en erreur est un crime surtout lorsque la securité ou l'histoire est en jeu car ce n'est pas les premiers doutes qu'ils partagent -ils doutent meme de l'identité des habitants du pays et ils partagent cela impunement  tous les vendredi .

il faut les radier ! pour moi ils n'apportent rien a la societe -nous ferions une enorme economie et le peuple se portera  bien mieux sans eux .

 

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Sois juste, oui il a raison de douter et c'est vrai qu'il se doit d'être prudent avant de faire tomber les autres dans l'erreur, tout comme toi lorsque tu parles de religion, tu te dois aussi de vérifier. Ils n'ont as le droit de le mettre en prison mais plutôt l'inviter à aller à l'hôpital de Tbessa voir de ses propres yeux ou Franz Fanon. Non il faut mieux les former et surtout ouvrir leurs horizons, tu ne connais pas l'école algérienne, le problème est fi les profs, c'est incroyable combien ils limitent l'enfant et font ressortir les mauvais penchants ! J'irai jusqu'à dire qu'il faut ramener des enseignant d'autres pays.

Je suis d'accord qu'il y a du louche derrière le corona sans pour autant nier son existence .

 

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abdou semmar a donne les noms et la maniere dont  une quantité importante de masques ont disparu en direction de la france  par des petites mains  et ce sont les douaniers français  qui ont arreté des porteurs de valises ... ça m etonnait aussi que certains achetaient des masques au marche noir en france -des magasins a marseille en vendait au black -ils viennent du bled !- puisqu en pharmacie ,ils sont introuvalbles et que tout a ete requisionné mais il y a des masques algerien a paris ...il faut des condamnations a mort ,c'est le seul moyen d'arreter la corruption .

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11 hours ago, koceyla said:

abdou semmar a donne les noms et la maniere dont  une quantité importante de masques ont disparu en direction de la france  par des petites mains  et ce sont les douaniers français  qui ont arreté des porteurs de valises ... ça m etonnait aussi que certains achetaient des masques au marche noir en france -des magasins a marseille en vendait au black -ils viennent du bled !- puisqu en pharmacie ,ils sont introuvalbles et que tout a ete requisionné mais il y a des masques algerien a paris ...il faut des condamnations a mort ,c'est le seul moyen d'arreter la corruption .

Il y a les masques vendus par les quincailleries pour les ouvriers, ils sont à filtre et lavables. Mais il ne faut pas rêver, il n'y aura rien ici, ni test ni rien, on compte sur Allah Ta'ala, Rabbi yestorna. Mettre un masque ou en fabriquer un, se laver les mains, on a de l'eau de javel à gogo, s'éloigner des autres malgré que l'algérien adore se coller, je n'attends rien de l'algérie, un peuple d'incapable voleur et mauvais, je le dis depuis mon arrivée.

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