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aimez vous les livres?


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qui n'aime pas les livres??:eek:

bonjour linda!:)

 

bjr a vs???

je pense ke la nouvelle génération a horreur du livre,, j'essaie d'inculquer la lecture à ma niece et a mon neuveu mais .....je crois ke c sans espoir, l'internet, les jeux en ligne et films d'action ont bcp plus de succés

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bjr a vs???

je pense ke la nouvelle génération a horreur du livre,, j'essaie d'inculquer la lecture à ma niece et a mon neuveu mais .....je crois ke c sans espoir, l'internet, les jeux en ligne et films d'action ont bcp plus de succés

oui c'est vrai...mais les mordus de lecture resteront à jamais...

moi je lis tout....arabe et français...soufisme,poesie,romans....histoire,sociologie...etc etc..et toi?

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idem meme les BD

 

 

et pour ma part j'ecri en plus pour mon plaisir une ligne vingt pages

 

50 pages

 

une colère une joie

une poesie

une beauté

un aiku

une critique

 

mon desaccord

 

j'ai des pages et des pages écrites et mise dans les cartons

 

 

ect..

 

c'est pourquoi mes sujets

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moi si un livre me passionne je passe des nuit blanche pour le finir,des ke je commence je ne peux plus m'arreter!!

 

 

 

 

Je lis partout même au magasin et dans la voiture j’ai toujours quelque chose à lire !

 

J’aimerais ajouter une autre question à ce topic après ton consentement bien sûr Lindabelbel !

Quel est ton meilleur roman ?

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Je lis partout même au magasin et dans la voiture j’ai toujours quelque chose à lire !

 

J’aimerais ajouter une autre question à ce topic après ton consentement bien sûr Lindabelbel !

Quel est ton meilleur roman ?

 

mon meilleur roman!!!!!! celui ki m'a le plus plu c l'alchimiste de coelho!!

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mon meilleur roman!!!!!! celui ki m'a le plus plu c l'alchimiste de coelho!!

 

J'ai lu l'alchimiste mais mon meilleur reste toujours '' Les misérables'' de Victor Hugo! Aucun n'a pu le détrôner jusqu'à cette heure!

As-tu lu '' Ce que le jour doit à la nuit''?

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non pas encore!!j'aimerai bien

 

Il mérite d'être lu! C'est une page d'histoire qui s'ouvre devant le lecteur! Y K a ce talent de promener son lecteur à travers les méandres du temps et de l'espace en ne lui laissant la langue que pour exprimer son ahurissement!

Ce roman est disponible maintenant en Algérie au prix de 950 D.A! Il a été édité par Sédia ! C’est un livre assez volumineux de plus de 500 pages!

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je fais faire le tour des libraire pour l'acquerir,,,, g pas bcp de temps mais je vais essyer merci pour les infos

 

ah linda jai besoin de toi donc jai besoin d'un livre stp

 

pour un enseignement interactif des langues étrangéres

et celui la

discription presentatio et enseignement

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ah linda jai besoin de toi donc jai besoin d'un livre stp

 

pour un enseignement interactif des langues étrangéres

et celui la

discription presentatio et enseignement

 

nous avons ce titre,,, catalogue enseugnement secondaire 2003/2004

guide de l'enseignement de 1993 a 2000

anisi change l'ecole

etc

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wi c tres interessant ce topic

dailleur je suis entrein de lire

" Le dernier jour d’un condamné"

 

Dakkou! C'est ce livre que tu es entrain de lire?

 

Condamné à mort !

 

Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !

 

Autrefois, car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C'était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre.

 

Maintenant je suis captif. Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n'ai plus qu'une pensée, qu'une conviction, qu'une certitude : condamné à mort !

 

Quoi que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés, seule et jalouse, chassant toute distraction, face à face avec moi misérable, et me secouant de ses deux mains de glace quand je veux détourner la tête ou fermer les yeux. Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu'on m'adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot ; m'obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau.

 

Je viens de m'éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant : – Ah ! ce n'est qu'un rêve ! – Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s'entrouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l'horrible réalité qui m'entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille : – Condamné à mort !

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Dakkou! C'est ce livre que tu es entrain de lire?

 

Condamné à mort !

 

Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !

 

Autrefois, car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C'était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre.

 

Maintenant je suis captif. Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n'ai plus qu'une pensée, qu'une conviction, qu'une certitude : condamné à mort !

 

Quoi que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés, seule et jalouse, chassant toute distraction, face à face avec moi misérable, et me secouant de ses deux mains de glace quand je veux détourner la tête ou fermer les yeux. Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu'on m'adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot ; m'obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau.

 

Je viens de m'éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant : – Ah ! ce n'est qu'un rêve ! – Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s'entrouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l'horrible réalité qui m'entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille : – Condamné à mort !

 

exact ;)

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Dakkou! C'est ce livre que tu es entrain de lire?

 

Condamné à mort !

 

Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !

 

Autrefois, car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C'était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre.

 

Maintenant je suis captif. Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n'ai plus qu'une pensée, qu'une conviction, qu'une certitude : condamné à mort !

 

Quoi que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés, seule et jalouse, chassant toute distraction, face à face avec moi misérable, et me secouant de ses deux mains de glace quand je veux détourner la tête ou fermer les yeux. Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu'on m'adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot ; m'obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau.

 

Je viens de m'éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant : – Ah ! ce n'est qu'un rêve ! – Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s'entrouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l'horrible réalité qui m'entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille : – Condamné à mort !

 

le dernier jour d'un comdané,, c un roman de victor hugo,,, malheureusement nous n'avons k'1 seul exemplaire et il a été emprunté dommage j'auré voulu jeter un oeil!!!

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nous avons ce titre,,, catalogue enseugnement secondaire 2003/2004

guide de l'enseignement de 1993 a 2000

anisi change l'ecole

etc

nn pa celle la c surtt celui la

pour un enseignmenet interactif .......

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