Vanny 425 Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 Si je me rappelle bien, il avait 26 ans quand il est mort ! Allah yarhmou ! Un chanteur aimé par quasiment tous les algériens ! Partagez ici vos meilleurs souvenirs et hommages a Cheb Hasni ! 1 Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 70 millions views !!! Malgré khallata neddiha ma'endi z'har !! Mdrrr Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 (edited) Quelques articles de presse de l'époque ! Quote Le chanteur Cheb Hasni assassiné à Oran Vendredi 30 Septembre 1994 - L'Humanité En abattant l'une des étoiles de raï, quatre jours après l'enlèvement de l'artiste berbérophone Lounes Matoub, les intégristes s'attaquent en fait à la jeunesse algérienne. LE célèbre chanteur algérien de raï Cheb Hasni a été assassiné hier jeudi à Oran. Il a été tué de deux balles dans la tête vers midi, en plein centre de la capitale de l'Est algérien. Les tueurs l'ont abattu devant son domicile situé dans le quartier Gambetta. Immédiatement après l'agression, il a été transporté à l'hôpital où le décès a été constaté. Il était âgé de vingt-six ans. Cet assassinat intervient quatre jours après l'enlèvement, dans la nuit de dimanche à lundi, du chanteur berbérophone de Kabylie, Lounes Matoub. Dans les deux cas, c'est la jeunesse algérienne (plus des deux tiers de la population algérienne a moins de trente ans) qui est directement agressée. C'est cette jeunesse que l'on veut mettre au pas, que l'intégrisme souhaite museler. S'il est vrai que les groupes terroristes ont trouvé souvent un terreau favorable parmi les jeunes les plus marginalisés, la grande masse, notamment dans les villes, continue à vivre sa révolte en rêvant d'un monde de liberté dont ils sont frustrés. Le raï, comme la chanson en langue berbère, est l'expression d'une volonté de mieux vivre que la bureaucratie FLN n'était pas arrivée à réprimer. Les intégristes avaient appelé à la grève scolaire et universitaire. Ce fut un échec. Dans le mois qui suivit la rentrée, l'offensive a alors été lancée sous forme d'une campagne de menaces plus «ciblée» contre les familles, dans les quartiers. Les intégristes ont franchi une nouvelle étape dans leur entreprise criminelle. Désormais, ils s'attaquent aux artistes les plus prisés par la jeunesse algérienne. C'est le 23 décembre 1993 que l'Armée islamique du salut (AIS, la branche terroriste du FIS avec lequel le pouvoir est en train de négocier) avait lancé un «avertissement no 1». Ce texte, affiché dans les mosquées, diffusé par tracts et lu lors des prêches du vendredi, avait aussi été adressé aux marchands de disques et de cassettes, leur enjoignant, sous peine de mort, de mettre fin à leur commerce. L'AIS menaçait alors de «déclencher une campagne de liquidation physique pour purifier les rangs des musulmans des scories impures, en utilisant les moyens qu'elle juge utiles». Et le libelle ajoutait: «Vous participez à la propagation au sein de la société des musulmans de la fornication par la vente de vos cassettes de chansons profanes qui excitent les instincts des jeunes, en leur faisant oublier Dieu.» Depuis lors, la diffusion des cassettes est devenue clandestine, ce qui n'a pas empêché le développement de leur popularité parmi les jeunes et aussi chez nombre d'adultes. Ecouter une chanson raï ou kabyle est devenu un nouvel acte de résistance. MICHEL MULLER https://www.humanite.fr/node/88148 Edited September 29, 2020 by Vanny Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Quote ALGERIE L'assassinat du chanteur Cheb Hasni Un tabou brisé Publié le 01 octobre 1994 à 00h00 - Mis à jour le 01 octobre 1994 à 00h00 - Le Monde Temps deLecture 2 min. Article réservé aux abonnés Autrefois surnommée El Baya (" la joyeuse "), Oran pleure aujourd'hui, pour la seconde fois, l'un de ses plus célèbres enfants. L'immense vedette Cheb Hasni, " le " champion du raï-love, adulé par les jeunes Algériens des deux côtés de la Méditerranée, a été assassiné de deux balles dans la tête, jeudi 29 septembre, en milieu de journée, devant le domicile de ses parents, situé dans le quartier Gambetta. Le jeune chanteur, âgé de vingt-six ans, a été tué de la même façon, en plein jour, en pleine rue, que le dramaturge Abdelkader Alloula, mortellement blessé par balles, le 10 mars, dans le centre d'Oran. Jamais, jusqu'à la disparition du chanteur kabyle Matoub Lounes, mystérieusement enlevé, dimanche, près de Tizi-Ouzou, la violence terroriste n'avait osé prendre les musiciens pour cible. En tuant Cheb Hasni, les assassins d'Oran ont donc franchi un nouveau pas _ et brisé un tabou. La musique, plus accessible que les livres, moins élitiste que le théâtre ou la peinture, est, sans conteste, l'un des arts les plus populaires en Algérie. Aimés comme des proches, parfois idolâtrés, les musiciens algériens ont longtemps cru, non sans raison, bénéficier de la protection du public. Une sorte de rempart s'était fait autour d'eux, " invisible mais très fort _ du moins, on le croyait... ", souligne le journaliste Rabah Mezouane, fin connaisseur de raï, et qui prépare actuellement une biographie de Khaled. Un geste suicidaire Le meurtre de Hasni est-il " l'oeuvre de fous, jaloux de sa popularité ", comme d'aucuns le supputent ? Ou de desperados islamistes, qui auraient soudainement décidé de frapper, sans souci pour leur " clientèle ", cette jeunesse déclassée des quartiers populaires, qui fournit le gros de ses troupes aux maquis du Groupe islamique armé (GIA), mais qui adore aussi, d'une même ferveur, cette musique " impie ", née dans les bouges miséreux des plaines de l'Oranie, à l'époque coloniale ? Les moudjahidines du GIA, si tant est qu'il s'agisse bien d'eux, auraient alors commis un geste suicidaire. Tant mieux, diront les uns. Curieux, penseront les autres. Personne, en Algérie, ne doute que les " fous de Dieu " ne soient capables d'une telle folie. Mais beaucoup s'interrogent. La politique de la terre brûlée serait-elle l'apanage des seuls islamistes ? Des questions analogues avaient taraudé les esprits, en juin 1992, au lendemain de l'assassinat du président Mohammed Boudiaf. https://www.lemonde.fr/archives/article/1994/10/01/algerie-l-assassinat-du-chanteur-cheb-hasni-un-tabou-brise_3853891_1819218.html Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Quote Hasni, la Légende continue (assassiné) Date: 29-09-1994 Il était le messager de l’amour (marsoul el houb) en paraphrasant Abdelwahab Doukali, il célébrait l’espoir et l’espérance, le roi du raï sentimental, l’enfant terrible de Gambetta, le quartier populaire et populeux d’Oran, «Tchato» (nez épaté, en espagnol) comme aimaient à le surnommer ses fans, l’auteur mythique de Tal ghiyabek ya gh’zali, Gaâ n’ssa, Baïda mon amour, Visa ou encore Arwahi netfahmou : Hasni Chekroune alias cheb Hasni. Il y a voilà 18 ans qu’il disparaissait prématurément. Lâchement Assassiné, un certain jeudi 29 septembre 1994. Une triste et lacrymale date à marquer d’un pierre noire. Cheb Hasni, le raïman martyr-Photo:Dr- La folie meurtrière, la barbarie et l’ignominie humaine ont fauché, Cheb Hasni. Arraché et ravi à la vie à la fleur de l’âge, à 26 ans. Laissant du coup des millions et des millions de jeunes, orphelins, l’ayant adopté et porté dans leur cœur tant s’étaient-ils retrouvés, reconnus et énamourés par la flèche de Cupidon, à travers sa musique, car transférés et transportés. Hasni les faisait rêver. Aujourd’hui, c’est le 18e anniversaire de la disparition tragique et cruelle de cheb Hasni. C’était une certaine et cruelle journée du 29 septembre 1994, un jeudi. Cheb Hasni avait rendez-vous avec son destin, avec la mort. Le baiser de Judas Iscariote Il était environ 11h30, alors que Hasni se trouvait à quelques mètres du seuil de son domicile, dans son quartier natal Gambetta, le désormais appelé Haouch Hasni depuis sa mort, un individu s’approche de lui. Croyant qu’il avait affaire à un fan, Hasni se prêtera à la perfide sollicitation en abordant avec confiance celui qui sera son assassin. Celui-ci enlacera Hasni en lui posant amicalement le bras sur l’épaule tout en discutant avec lui. Et puis une détonation déchire le ciel. Hasni s’écroule. Il vient de recevoir une décharge d’une mahchoucha (canon scié) à bout portant, au cou. Il sera achevé par un second coup de feu à la tête. Houari, voyant son frère Hasni gisant dans une mare de sang, accourt en appelant à l’aide. Les tueurs prendront la fuite à bord d’un véhicule de marque R12 qu’ils abandonneront au quartier Bel Air. Boualem Disco Maghreb, l’éditeur oranais, se souviendra : «La veille, mercredi, nous nous sommes vus, vers 19h, pas loin de la station régionale de l’ENTV, et il m’avait invité à l’accompagner pour le mariage d’une amie commune, jeune policière à l’aéroport d’Oran, à Bel Air où ses assassins avaient laissé la voiture de leur abject crime, le lendemain…» Hasni sera évacué vers le CHU d’Oran où il succombera à ses blessures. L’idole des jeunes La terrible nouvelle se répandit comme une traînée de poudre. Et comme dit l’un de ses amis : «Ce jour-là, non seulement Oran paraissait exiguë mais aussi l’Algérie tout entière. Une grosse perte !…» Ils étaient des centaines et des centaines à se rendre à l’hôpital pour s’enquérir de l’état de santé de l’idole des jeunes. Tout un pays est endeuillé. Le raï a été mutilé. Et la musique algérienne est en berne. Hasni est le premier martyr de la chanson grossissant la liste génocidaire, macabre et rouge sang des chasseurs de lumières comme dirait Idir. Rachid Baba Ahmed, le producteur et arrangeur, cheb Aziz, la chanteuse Lila Amara et son mari Bachir, Matoub Lounès (qui était kidnappé par le GIA quand Hasni a été assassiné) ainsi que d’autres auparavant. Comme le grand écrivain Tahar Djaout, l’émérite dramaturge Abdelkader Alloula, le comédien Azzedine Medjoubi, le journaliste Saïd Mekbel… Une interminable litanie assourdissante de douleur ! L’intolérance inepte et mortifère avait décidé d’ôter la vie à Hasni parce qu’il était coupable d’innocence. Il a été assassiné parce qu’il représentait l’expression juvénile algérienne, un idéal candide faisant rêver des légions de jeunes épris éperdument des choses de la vie, des écarts existentialistes et de l’amour aussi et surtout des filles. Il savait parler aux jeunes. Enfant de la balle Loin de tout calcul ou autre considération politico-politicienne. Le raï de cheb Hasni est apolitique. Vraiment à l’eau de rose mais mâtiné de temps à autre de fulgurances protestataires d’une jeunesse désabusée par l’establishment, la malvie et un futur obstrué. Hasni Chekroune est né le 1er février 1968 à Gambetta, à Oran. Il est issu d’une modeste famille dont le père était soudeur ayant quitté le foyer, alors qu’il était très jeune, et d’une mère subvenant difficilement aux besoins de tous les membres des Chekroune en exerçant le métier de femme de ménage. Dans sa prime enfance au lieu de fréquenter l’école, il se rendra à celle buissonnière au CEM Bachir Kebbatti. Il arrêtera son cursus scolaire en 4e AM. Doué pour le chant choral et le football, le jeune Hasni s’essayera à la balle ronde au sein du club de seconde division l’ASCO. Il y fera montre d’un talent avéré en tant que technicien du cuir. La preuve ! Plus tard, parmi ses amis intimes, il comptera le célèbre n°10 algérien Lakhdar Belloumi avec lequel il partageait une passion dévorante du foot. Ils évoluèrent ensemble dans une équipe du MPO, à titre amical, et ce, plusieurs fois en salle. Entre le foot et sa marotte du raï, Hasni avait vite fait son choix. Son cœur chavirait et tanguait aux rythmes d’Ahmed Wahby, de cheb Khaled, de cheb Sahraoui ou encore de Houari Benchenet qu’il reprendra, alors âgé de 16 ans, dans les fêtes et autres mariages, en catimini, à l’insu de sa famille. Deux ans plus tard, Hasni fera ses premières armes dans les cabarets et casinos, lieux de l’underground du raï et milieu ambiant de la corniche oranaise. Son baptême du feu se fera au Biaritz, puis à la Guinguette, au Casino ou encore à Beau Séjour. A star is born ! Le bouche à oreille aidant, la bonne étoile de Hasni ne cesse de monter. Il casse la baraka… Cheb Hasni: « Mazal Souvenir Andi« !-Photo:Dr- Remarqué par un producteur d’une maison de disques oranaise, il signera son succès d’estime, à 19 ans, en formant un duo de chic et de choc, à la manière de Fadéla et Sahraoui, avec une raïwoman à la voix très «rock» (rauque), cheba Zehouania, de huit ans son aîné. Baraka M’ranika, une chanson paillarde, jugée licencieuse et shocking par le prosélytisme extrémiste naissant, fut un tube de l’été 1987. Mais après une série de flops, Hasni, ambitieux, se décalera du raï viril, machiste et de l’amour vache, de ses pères spirituels et ses pairs, les Khaled, Mami, Sahraoui, Hamid, Hindi, Zahouani… Il innovera en adoucissant les mœurs musicales du raï. Il créera son propre style. Un raï romantique, mélodique, langoureux et sentimental porté par une voix plaintive, émouvante, pathétique et déchirante. Avec cette beauté de la tristesse qui fera sa marque de fabrique. «Pour percer, il fallait trouver un moyen, afin de s’imposer sur la scène artistique. Les grands monopolisaient tout le marché. Seul le style sentimental comme nouveau genre pouvait m’assurer le succès. C’est pour cela que j’ai opté pour ce style», indiquera-t-il dans une interview à El Moudjahid-Ouest en octobre 1992. Un raï-lamento entraînant auquel il insufflera une seconde jeunesse et un bain de jouvance sur des textes et des paroles propres et soft. Avec Hasni, le raï pénétrait enfin dans les chaumières par opposition à celui hard à la terminologie gênante. Concerto pour lamento Ne volant guère son titre de crooner et affublé de Julio Iglesias du raï, Hasni explosera avec Gaâ N’ssa, Baïda mon amour, Visa, Consulat, Aâlach Ya Aynia, Nehlef Jamais de la vie et bien sûr son lancinant, prémonitoire et testamentaire hymne national de l’espoir Tal Ghiabek Ya Gh’zali. Un pécieux legs qui demeure toujours en vogue et très prisé par la jeunesse. C’est dire que Hasni était un artiste «leader» à sa manière. Il touchera aussi plus d’un en interprétant des titres autobiographiques portant sur son divorce, la séparation de son fils Abdellah et son déchirement familial : Mouhal n’sbor aâla oualdi, Men fraqha makaditche ou encore Saraha Raha. Ses compositions raï mêlaient aussi bien des emprunts allant de la variété française (Michelle Torr ou Comme d’habitude avec Samaât Enass) au rythme baladi et égyptien de George Wassouf, Abdelhalim Hafez ou Farid El Attrache (Aâlache ya aynia, Aâlache ya bent enass, Omri Omri…) en passant par de belles reprises de Houari Benchenet, comme Djebel Wahrane, Rabta el hana et surtout l’excellent Chira li nabghiha. Hasni chantera aussi du wahrani pur jus tel que Djar alia el hem du poète Abdelkader El Khaldi. Hasni aura été un artiste qui, malgré les oripeaux des cieux plus cléments, n’a pas voulu quitter son pays. Gambetta, mon amour ! Pourtant, il avait chanté Eli fiha fiha encourageant les jeunes à être candidats à l’exil. «Ma mère, Gambetta et voir mes amis, c’est l’Amérique pour moi…», rétorquait-il à ses proches l’encourageant à partir outre-mer pour fuir le terrorisme. Curieusement et contrairement à ce qu’on croit, le plus grand vendeur de K7 et CD raï, depuis… 10 ans, reste l’indétrônable et l’indémodable Hasni. Il n’y a pas un jour qui passe où l’on ne sort pas une K7 de Hasni. Mais dans tout cela, sa mère ou bien les ayants droit ne touchent pas un copek sur les droit d’auteur. Son catalogue appartient à tout le monde et à personne. Voilà le drame de Hasni qu’on pleure ! La relève perpétuant le raï-love est assurée par des templiers comme Nani, Houari Dauphin, cheb Réda, cheb Hassan, cheb Akil, Hasni Junior, cheb Amrou ou encore chez des filles comme Djenet ou Dalila. Chaque jour, au cimetière où il repose, sa tombe est soit fleurie ou arrosée. Empreintes fidèles de sa famille et de ses fans. Il est entré dans le panthéon des artistes prématurément morts comme Otis Redding, Jim Morrison, Abdelhalim Hafez, Peter Tosh, Marvin Gaye, Jeff Buckley, Michael Jackson, Amy Winehouse…Sur son épitaphe éternelle, les paroles de sa chanson « Galou Hasni mat »( ils ont dit que Hasni était mort), deux ans avant sa disparition où des rumeurs le donnaient pour mort : «Vous m’avez tué, alors que je suis vivant !» La légende continue ! ksari.com/index.php/component/ksmemoire/?view=ksmemoire&id=13 Citer Link to post Share on other sites
Guest syndrom.x Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 Ce personnage fait partie du patrimoine culturel oranais... Merci pour cet hommage Citer Link to post Share on other sites
Guest syndrom.x Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 syndro Raconte-nous des trucs que seuls les oranais savent sur Hasni Allah yarhmou. Une fois, ils ont fait une émission avec sa femme et son fils Abdallah, il a bien grandi Allah eybarek, bien élevé... en plus sa maman Mlouka est restée fidele a Hasni, elle ne s'est pas remariée d’après ce qu'elle a dit dans l'émission. Citer Link to post Share on other sites
Guest syndrom.x Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 5 minutes ago, Vanny said: syndro Raconte-nous des trucs que seuls les oranais savent sur Hasni Allah yarhmou. Une fois, ils ont fait une émission avec sa femme et son fils Abdallah, il a bien grandi Allah eybarek, bien élevé... en plus sa maman Mlouka est restée fidele a Hasni, elle ne s'est pas remariée d’après ce qu'elle a dit dans l'émission. Hasni était un homme respecté par tout le monde et donnait aux pauvres achetait du matériels pour handicapés ... Mlouka est un personnage qui a profité de la célébrité de hasni pour se mettre plein les poches et meme après sa mort ... fidèle c'est vite dit en tout les cas allah yarhmah comme on dit Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Donc elle a menti dans l'émission? Grave! C'est la mémoire de son mari quand même! Citer Link to post Share on other sites
Guest syndrom.x Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 1 minute ago, Vanny said: Donc elle a menti dans l'émission? Grave! C'est la mémoire de son mari quand même! Quand il s'agit d'argent on est souvent amnésique .... elle a un chteau à Ain Temouchent sur le dos de cette memoire ... hasni habitait dans un 7awch .... Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Allah yerhmou meskin, il n'a pas profite de sa jeunesse et son fric... Denia gheddara sah! Citer Link to post Share on other sites
Guest syndrom.x Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 3 minutes ago, Vanny said: Allah yerhmou meskin, il n'a pas profite de sa jeunesse et son fric... Denia gheddara sah! il vit encore dans la mémoire et le coeur des gens ... 26 ans et on en parle toujours ... j'ecoute souvent ses chansons ... le pire pour moi c'est de vivre 100 ans et mourir dans l'oublie total Citer Link to post Share on other sites
Narciss 50 Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 Il est parti très jeune , Allah yarmah !malgré ghasbouh mais il est toujours dans le coeur de ses nombreux fans Bel hommage Vanny et Sydro ! 1 Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 (edited) Allah yerhmou Hasni mais des fois wallah eyzid fiha m3a leblondet, gallek: Quote Essam'hili ya ezzarga wem3ak malguit feyda, Ezzarga 3dewti mandir'hesh hbibti, welli der ezzarga ya wlid el 3amm der probleme w yaaaa... Alors que la majorité de ses fans sont des brunes !!! Maalish, on lui pardonne a notre Hasni national, gherrouh el gawriyet Edited September 29, 2020 by Vanny Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Ooooh ca y est ghadi nebki, 3awwelt ana nshouf el aaziza! Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Quelques photos tirées du Web: Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 Citer Link to post Share on other sites
Guest syndrom.x Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 Ce qui à fait le succès de ce personnage pour moi c'est qu'il à toujours été proche des jeunes, issus de la classe populaire et la simplicité de ses paroles chaque personne se reconnaissant un peu dans ses chanson. et surtout sa modestie Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 C'est vrai très modeste il était Hasni meskin! Sincère aussi ...et si jeune. Allah yerham el djami3, faut dire que nombre d'artistes, journalistes...etc ont été lâchement assassinés durant cette période trouble de l'histoire du pays. Citer Link to post Share on other sites
Guest syndrom.x Posted September 29, 2020 Partager Posted September 29, 2020 2 minutes ago, Vanny said: C'est vrai très modeste il était Hasni meskin! Sincère aussi ...et si jeune. Allah yerham el djami3, faut dire que nombre d'artistes, journalistes...etc ont été lâchement assassinés durant cette période trouble de l'histoire du pays. Je pense qu'il a été assassiné parce qu'il a monopolisé la scène la vente de cassette a cette époque ... personne ne lui arrivait à la cheville ... mis a part quelque rare chanteurs tel que Nasro ...khaled ...mami ... etc .... apres sa mort y a eu un boom de nouveaux chanteur rai Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted September 29, 2020 Author Partager Posted September 29, 2020 @syndrom.x C'est clair, tkheltet hadek el weqt, le motif aurait pu aussi etre une histoire de jalousie/argent... Lehsed wel ghira fi bladna 3end'ha des racines profondes dans notre culture Citer Link to post Share on other sites
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