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Bonjour tout le monde je voudrai ouvrir un topic en littérature, pour une invitation à à y proposer une histoire, je commencerai par la mienne. Je tiens à signaler une chose j’avais passé un certain temps dans Forum.fr sous le pseudonyme Safir Farid et Youghorta salem en même temps l’admin avait fermé les yeux pour cette insubordination. J’ai tenu à préciser ce fait car l’histoire que je vais raconter je l’avais commencé dans ce forum.

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Histoire de mon enfance J’étais depuis mon jeune âge un garçon turbulent et très instable et aussi trop précoce. Je me souviens que des cousines m’emmenaient au hammam (bain turc) pour que je leu

J’étais orphelin de père, ce dernier je ne l’ai jamais connu, mort sous les tortures des français et jeter avec les disparus de Bigeard. ma mère qant à elle , continuait  à vivre comme une célibataire

Un de mes oncle avait caché mes sévices  par un drap blanc pour que son enfant âgé de deux ans apparaisse à ma droite, mais lui il ne connaissait rien à l’histoire, le tortionnaire l’avait bien leurré

Histoire de mon enfance

J’étais depuis mon jeune âge un garçon turbulent et très instable et aussi trop précoce. Je me souviens que des cousines m’emmenaient au hammam (bain turc) pour que je leur lave le dos. Bien que j’eusse été  très jeune, ma dextérité dans ce domaine était devenue presque légendaire. Mes cousines se disputaient mes services. Je me disais au fond de moi-même pourquoi ne pas en faire un petit métier, ainsi je pourrais m’acheter cette tenue de Zorro qui me nargue à chaque fois que je passais  devant ce magasin pour me rendre à l’école. c’était une idée que j’aie effectivement concrétisée.

« Salim vient vite me laver le dos avant que Manel n’arrive »  je prenais tout mon temps, et je pouvais de mon endroit voir l’impatience de ma cousine qui m’attendait avec un savon et sa lavette dans sa main. « Mais pourquoi tu marches comme ça, ce n’est pas de ton habitude ! » me lança t- elle excédée.

«  Tu ne vois pas que l’endroit est très glissant, d’ailleurs j’en ai marre de travailler pour rien, je vois bien des masseuses qui sont payées à bon prix. Moi je ne demande la moitie. Ça te va ? »

Ces paroles ont laissé ma cousine abasourdie. Ces yeux déjà trop grands étaient entrouverts comme si elle avait  vu Dracula en personne et sa bouche  restaient entrebâillée, pareilles à ses petits oiseaux qui s’agitent demandant  la pitance à leurs mamans. Elle paraissait comme une fille transformée par une sorcière en statue de marbre. Mais cette image me laissa moi aussi de marbre et je n’étais point impressionné, ma tenue de Zorro, je la veux coute que coute. Sa torpeur estompée, je revenais à la charge quitte à l’envouter une seconde fois.

« Alors que dis-tu de ma proposition ? » en guise d’envoutement c’est un savon sur la figure que j’ai reçu. Je me suis levé, pour sortir tout doucement comme je suis arrivé la première fois.

« Arêtes, petit chenapan, d’accord, c’est ok. » mon cœur avait fait un grand bond dans sa cavité. La tenue de Zorro était passée devant mes yeux, toute prête à sortir de ce magasin pour moi. Mais je gardais les pieds sur terre.

« L’argent avant, sinon je repars. » elle m’a bien fixé pour voir que je ne bluffais pas. Puis elle s’est dirigée dans la salle de repos pour extraire ses maudits pécules afin de me les donner.  Elle est revenue, toute triste, en se disant que désormais ce petit diable est un futur escroc. Pour les autres cousines, je ne me suis pas donné la peine de les informer de la nouvelle condition de mes services, ni du tarif, Manel s’en est occupée et je lui en suis reconnaissant. Elles me regardèrent étonnées sans plus et j’ai pu avoir le plaisir de gouter à leurs pécules qui ont été extraits de leur petit porte monnaie, en le comptant sou par sou comme, seules les vieilles femmes savent le faire.

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J’étais orphelin de père, ce dernier je ne l’ai jamais connu, mort sous les tortures des français et jeter avec les disparus de Bigeard. ma mère qant à elle , continuait  à vivre comme une célibataire, elle ne savait peut-être pas qu’elle avait un fils, Je ne la voyais que rarement et je n’avais jamais senti qu’elle était ma mère.  C’est entre mes grands parents maternels et cousins et cousines que je vivais. Etant très discret et solitaire, je ne faisais presque pas parti de ce décor familiale et je n’apparaissais que pendant les repas, blottit dans un coin, seul, éloigné de l’ambiance familiale, à attendre que ma grand-mère allonge son bras pour me présenter mon assiette. Je ne lui ai jamais demandé de me servir un surplus car elle n’aimait pas que je le fasse et elle me faisait peur, bien qu’elle soit très gentille. Il faut dire qu’en ces temps la vie était trop dure.  

Je continuais à me procurer de l’argent ce qui me permettait d’aller voir, James Steward, Clint eastwood et autres. J’adorais le cinéma, il me permettait de m’évader et comme un schizophrène, je me prenais pour ces héros que j’aimais beaucoup. Cette situation avait marqué ma vie et est resté jusqu’à aujourd’hui. Une fois j’avais vu un film ou il était question  de deux très belle filles qui se battaient dans une rivière à cause de l’acteur principale, j’ai rêvé en dormant cette nuit, qu’elles se battaient pour moi, j’avais pu les réconcilier  et je les ai prises toutes les deux. J’avais, ce jour là, passé la plus belle nuit de ma vie, et je n'avais jamais oublié Sophia Loren et Brigitte Bardot (jeunes bien sur).

Comme j’étais presque incognito dans la famille, aussi insignifiant qu’un meuble d’une chambre à coucher, mes parents ne savaient pas que je grandissais, mais ce qui se passa allait ruiner mon commerce. Au bain maure, les corps des femmes désormais me plaisaient beaucoup. Il y en avait de toutes sortes des plus grosses aux plus chétives. Bien sur je commençais déjà par apprécier et faire la différence entre le bon et le moins bon. Ces sortes de tissus collés sur leurs corps, ne cachaient presque rien  et je sentais maintenant un désir qui allait… là ou vous savez… Mes parents, disant adoptives, avaient oublié que normalement je ne devais plus aller au Hammam. je grandissais et que ces scènes dans la Hammam ne pouvaient me laisser indifférent. Jusqu’au jour ou ma cousine avait remarqué une chose d’inhabituelle au moment où je commençais à lui frotter le dos, alors qu’elle s’était allongée de face sur mes jambes. Une chose dure lui avait caressé la poitrine, elle s’est mise debout horrifiée tout en  me demandant de sortir immédiatement pour aller dans la salle de repos.

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21 minutes ago, Esmeralda said:

Très belle histoire et très bien racontée,digne d'une plume de Maupassant 😄.

En lisant le début j'allais te dire quel veinard,c'est le rêve de tous les garçons d'aller au hammam avec leur mamans mais la suite m'a fait tellement rire😂

 

merci Esméralda et la suite je pense qu'elle te ferait rire en ces temps de grisaille.

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C’est cette cousine qui avait tiré la sonnette d’alarme, pour que je ne fréquente plus le Hammam au féminin et qu’elle fit remarquer à ma grand-mère que je n’avais pas été encore circoncis, alors que je devenais un homme. Je connaissais déjà tout de la circoncision et le jour J, le tortionnaire était venu vers moi alors que j’étais sur le lit de la torture, la fête battait son plein, alors que mon cœur avait failli sortir de mes trippes tellement le coupeur des  zizis me faisait peur. Il est arrivé cachant derrière son dos le fameux dougdoug (le couteau ainsi appelé), il m’avait dit de regarder  le bel  oiseau qui volait sous le plafond. En guise de bel oiseau, je regardais sa vilaine gueule de meurtrier. Je lui avais dit : « tu veux me couper mon zizi avec ton couteau derrière ton dos. »  Je commençais à crier et injurier toutes ces personnes qui me tenaient par les bras, les jambes, le torse,  et la tête, en les traitants de criminels. Je proférais des mots grossiers, que j’avais appris à l’école et qui ont fait fuir plusieurs de mes parents, dont certains d’entres eux  affichaient des sourires. les parents entres eux ne devaient pas entendre des mots pareils. J’ai subi ce jour là une torture pratiquée par la Gestapo elle-même, alors que la fête battaient son plein. Je me remémorais des scènes des films western ou l’acteur se faisait torturer alors que des indiens heureux tournaient autour de lui en dansant et chantant quand mon tortionnaire avait coupé ce que j’avais de plus précieux et qu’au même moment des femmes comme ces apaches  poussaient des you you.

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Il y a 11 heures, maupassant said:

Bonjour tout le monde je voudrai ouvrir un topic en littérature, pour une invitation à à y proposer une histoire, je commencerai par la mienne. Je tiens à signaler une chose j’avais passé un certain temps dans Forum.fr sous le pseudonyme Safir Farid et Youghorta salem en même temps l’admin avait fermé les yeux pour cette insubordination. J’ai tenu à préciser ce fait car l’histoire que je vais raconter je l’avais commencé dans ce forum.

j'adore ta façon de raconter l'histoire, bravo

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Bravo Safir !!

Belle historique..

Que de rebondissements.. lol

La partie de bigeard le maudit m'attriste.. 

La section du canif à zizi me fait rire.. 

 

Joli topic.. vraiment !

Les confessions de Maupassant.. aurait fait un bon titre !!

Vous êtes pardonné mon père.. ou mon fils !.. (c'est selon).. hihihi

 

On attend la suite.. 

Ton outil (ta plume) prend bel et bien de l'ampleur.. 

 

Mdrr.. 

 

 

 

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Un de mes oncle avait caché mes sévices  par un drap blanc pour que son enfant âgé de deux ans apparaisse à ma droite, mais lui il ne connaissait rien à l’histoire, le tortionnaire l’avait bien leurré, il a commencé à chercher l’oiseau sous le plafond quand ce criminel en un tour de main avec dextérité lui avait arraché son prépuce. tout c’est bien passé si ce n’est quelques lamentations après le crime. Un deuxième cousin âgé de trois ans avait fait son apparition à ma gauche, chez nous les enfants se font chaque année, ce qui fait que les fêtes ne manquaient pas. Toujours est-il que la dernière victime était la plus stoïque, elle s’est laissé faire aussi docilement comme quelques agneaux inconscients présentaient leur cous au criminel le jour  de l’Aïd. Ce jour là une aubaine s’est présentée à moi il y avait à ma droite et à ma gauche deux chéchia qui appartenaient chacune d’elles à mes cousins, moi aussi j’en avais une et je ne sais par quel tour de magie ces chéchia étaient remplies d’argent, et ce sont des billets et non des misérables pièces, les dourous ou les franeque ! Mes deux cousins se sont endormis et moi comme un diable, j’avais commencé à leur soutirer quelques billets pour les enfuir dans ma chéchia. J’avais fait ce jour la plus belle affaire de ma vie. Grisaille

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Disons que tu peux garder les pièces.. 

Mais les billets, faudra les rembourser.. lol

Pas de prescription qui tienne !!

Il n'est jamais trop tard de réparer un tort..

Un billet de circoncision est l'équivalent d'une fortune..

En prenant en compte les indemnités et l’inflation.. ta dette est grosse envers les cousins :classic_biggrin:

 

hahaha

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Il n'est pas seulement question de vol.. ou de lutter contre une tentation !

Il s'agit d'abus de confiance.. lol

Les chechias de tes cousins n'avaient pas à être nettoyées :classic_laugh:

La dette te restera sur la conscience.. 

Mdrr.. 

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39 minutes ago, Capo said:

Il n'est pas seulement question de vol.. ou de lutter contre une tentation !

Il s'agit d'abus de confiance.. lol

Les chechias de tes cousins n'avaient pas à être nettoyées :classic_laugh:

La dette te restera sur la conscience.. 

Mdrr.. 

et en plus des chéchias rouges que je pourrais jamais oublier, mais je pense que c'était à ce moment l'innocence d''un enfant

 

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pour détendre l'atmosphère je vous raconte cette histoire qui est à moitie vraie

Une histoire qui sent le moisi.

Dans la vie des choses anodines que nous pensions n’avoir aucuns intérêts, sont façonnées par notre cerveau, pour devenir ainsi des lois pures et dures de la bienséance. Une histoire réelle qui m’a été narrée par son héros que je livre pudiquement dans ce modeste torchon, que j’espère vous procurerait ne serait-ce qu’un tout petit peu de plaisir. J’ai sciemment changé un peu le décor et les acteurs, mais le fond demeure une réalité parfaite. 

Toute la famille était présente, mes deux tantes, mes deux oncles ainsi que leurs progénitures. Tonton Mourad venait de France avec ses enfants, spécialement pour assister à la petite fête organisée par mon père à l’occasion de la réussite de son fils au doctorat. La joie était présente et chacun de nous faisait étalage de son sens de l’humour. Tout se passait très bien, jusqu’à la présentation du méchoui, porté par ma mère et sa sœur. Elles marchaient chacune d’elles, d’un pas mesuré et l’odeur agréable de ce festin avait envahi le salon, cette odeur suivie des pas majestueux des deux femmes, nous avait coupé le souffle, un silence total s’était installé dans la salle à manger, et les yeux étaient tous rivés sur cette viande bien cuite. Mais un imprévu avait décidé de nous gâcher cette fête et c’était moi-même, ou plus exactement mon estomac qui en avait décidé ainsi. Un   gros dégagement gazeux que j’avais lâché et que ses ondes sonores puissantes avaient fait bouger le lustre de la salle à manger est venu tout bouleverser. L’odeur du méchoui s’était mélangé à une odeur pas du tout catholique, ni musulmane d’ailleurs. Les émigrés avaient tout de suite retiré de leurs poches des mouchoirs, pour boucher un nez trop fragile, tandis que les autres se regardaient entre eux, voulant localiser la provenance de ces puissantes ondes, pour connaitre le foyer de ce tremblement qui pouvait-être classé sur l’échelle de Richter. Trahi par ces gaz diffus et par ces regards pointés dans ma direction, Je me suis levé tout doucement, comme un gamin pris la main dans le sac, tête baissée, me faisant tout petit ,déguerpissant de cet endroit qui devenait trop gênant, pour ne revenir que vingt années plus tard. En m’éclipsant, J’entendis derrière moi un rire qui ressemblait à celui de mon oncle et qui est resté figé dans mon cerveau pendant toutes ces vingt années d’exil.

Ma mère pleurait, m’embrassait toutes les secondes, sur le front, les joues, les épaules, elle ne laissa nulle place où la bouche ne passe et repasse. Mon père aussi avait les larmes aux yeux et marmonnait des paroles que je ne comprenais pas. Peut-être psalmodiait-il des complaintes à la gloire du seigneur, pour le remercier d’avoir enfin permis à son fils de revenir le revoir. Ils sont restés seuls dans cette maison, après le mariage de mon frère et mon retour avait miraculeusement  embelli cette demeure. Ma mère  m’avait affirmé m’avoir vu dans un songe, tandis que mon père avait carrément vu dans son rêve mon retour. Je ne voulais pas interpréter ces rêves de mauvais augure.

Une nouvelle fête avait été prévue pour mon arrivée et toute la famille avait été invitée. D’autres personnes comme la femme de mon frère, que je ne connaissais pas, et leurs enfants sont venus grossir les rangs de la famille. Ils étaient tous content de me revoir, mon oncle Mourad plus que les autres qui demandait de mes nouvelles et voulait que j’aille le visiter à Paris.

La même fête avait-été reproduite, elle avait été comme la précédente très agréable. Le rire était présent, mon oncle et mon père surtout se surpassés en racontant des anecdotes qui nous faisaient plier de rire. Le méchoui venait de ressurgir et ma mère et sa sœur commençaient nous le présentèrent, fiers d’avoir réussi un si parfait met. Instinctivement, le gaz avait refait surface mais courageusement, j’avais réussi à le  contenir dans ses limites, jusqu’à ce que mon oncle Mourad, se lève pour prononcer son discours à la gloire de ce méchoui.

-          Cette fête n’a été possible que grâce à Mourad. La dernière fois qu’un méchoui nous a été présenté il y a de cela quinze ans un évènement historique qui devrait figurer dans le Guinness avait marqué toute la famille.

Je craignais un dérapage incontrôlé  de mon oncle, pourvu qu’il ne remette sur le tapis, cette histoire qui avait été à l’origine de mon exil. Et c’est justement ce que mon oncle venait de faire. Il nous avait  réchauffé cette histoire honteuse pour nous le servir avec le méchoui.

-          Nous sommes réunis à cause de deux faits qui devraient-être cité dans le Guinness. Un homme avait produit un son aussi puissant  qu’un tremblement de terre tellement fort que ma chaise avait bougé et le second fait, son exil qui a duré quinze années. Je vous présente mon neveu ici présent, que vous devez tous applaudir.

Tous se sont levés pour m’applaudir mais moi bouillonnant de rage, j’étais assis pour contenir ce gaz entre ma chaise et mon derrière, sans oser relever ma tête. Mais quand ils se sont installés, Je me suis levé pour répondre à mon oncle.

-          Vingt années d’exil et vous n’avez toujours pas oublié cette histoire malheureuse.

 J’ai alors sciemment laissé échapper ce son maintenu en détention.

-          Voilà vous êtes servi, maintenant,  je ne reviendrais plus.  et toi mon oncle, tu peux maintenant tout inscrire dans ton Guinness.

 

N.B : l’histoire réelle est qu’un homme de Bougaa (w. Sétif), avait émigré pendant vingt ans en France et quand il est revenu sa mère lui avait dit : «oh mon fils à cause d’un rot tu nous avais quitté aussi longtemps, il a illico presto repris ses bagages et est repartit » raconté par un ami en 1975.

 

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Il existe un très bon Hammam à Bougaâ.. 

Un vestige des temps romains.. et toujours fonctionnel !

Je commence à croire que Maupassant y a foulé ses pieds.. et roulé ses mains !

Mdrr.. 

 

Belle histoire cela dit.. 

Deux méchouis mémorables.. lol

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