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Il y a 18 heures, Vanny said:

Tu ne peux pas réduire la compréhension d'un texte a la connaissance du sens apparent des mots qui le composent. Il y a plusieurs niveaux de compréhension. Par exemple, tu as تفسير ,تأويل , تدبر tous concernent la compréhension du Coran mais a des niveaus différents. 

Comprendre le sémantique est la premier épate a faire avant de chercher l’interprétation probable on a vu les anciens  moufassirin vouloir interpréter le max des versets  qui fini par produit des erreurs comme le mot 3ala9a était interprété "goute de sang" et aujourd’hui on interprète le mot ذرة en atome ce qui est faux dans les deux exemples.

Il y a 18 heures, Vanny said:

Pour les pauses, elles sont le fruit du Ijtihad et il n'y a pas unanimité les concernant, elles n'ont rien d'obligatoire, en plus elles concernent le tajwid et ne sont pas des substituts des points de ponctuation (virgule, point, etc).


c'est vrai qu'il est possible de lire ou réciter  sans etre oblige de respecter ces ponctuations dont certains dont elles sont ajoutés pour empecher de faire des fausses pauses pour ne pas changer le sens du verset  mais les wa9f du Prophete sont connues ceux-la  sont intéressants  a l'interpretaion ... si on revient aux pauses sur "rassikhoun fil 3ilm" il est claire qu'il ne s'agit pas de ponctuations ajoutés mais un wa9f que le Prophète l'aurait fait d'ou la difficulté a trancher. .

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Merci pour ces contributions, j'apprécie ta maniere de puiser dans les faits historiques pour apporter de nouveaux insights tirés de la lecture du Coran. Un effort intellectuel tout a fait appréciable

Salaam Vanny, Il s'agit d'une lecture aidée par de GROS moyens qui sont l'informatique et les échanges intensifs! On redécouvre nos ERREURS et on prend son courage à deux mains pour essayer

Je comprends..  Mais c'est involontaire de ma part..  Google m'affiche al ma3ani.. en premier ! Je posterais à partir du Lisân la prochaine fois.. 

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@Zinzeberien

Il est ou le problème si on se trompe? L'essentiel c'est de ne pas le faire intentionnellement pour déformer la parole d'Allah. Lis les fatwas que je t'ai postées tu comprendras. Il est clair que le bénéfice de méditer le Coran, bien-sûr avec une nia sincère, dépasse le risque de se tromper. Si ce n'était pas le cas le Coran ne nous inciterait pas avec une telle insistance a le méditer.

Pour les pauses, non tu te trompes, c'est pas l'oeuvre du  Prophète. C'est plutôt le découpage en versets complets qui nous vient de lui. Fais une recherche sur Google, moi même j'ai appris ca hier lol.

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@maupassant

Je t'en prie, prends ton aise, il y a un soupçon de susceptibilité dans tes derniers posts, il n'y a pas de raison pour cela.

Comme tu dis, chacun donne son avis librement. Pour moi, quel que soit les sens possibles du mot "فاقطعوا", mettre en prison n'en fait pas partie by any stretch of the imagination. Tu es tout simplement en train de transposer une pratique moderne sur le texte. 

Pour les détails relatifs au fiqh, c'est un autre sujet. Ne pas confondre fiqh et tafsir.

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Il y a 23 heures, maupassant said:

 

La première excuse qu’ils se sont fait est de dire qu’il fallait écrire des hadiths, car le danger éventuel qui pourrait se présenter est le mélange entre coran et hadith. Par conséquent il fallait inventer l’abrogation, al nasskh. Un hadith qui permettrait d’écrire ces hadiths va éliminer ce hadith de l’interdiction d’écrire des hadiths. Et le mal va toucher le coran qui serait lui aussi atteint de cette maladie du nasskh, l’abrogation. Des textes divins vont-être abrogés par des hadiths humains.

 

   

 

ils ont dit au départ, le prophète avait eu peur qu'ils se mélangent au coran, puis il a donné le feu vert. alors que pour les salafis ils s'agit d'une révélation, un second livre que Dieu nous avait envoyé. mais voyons ces hadiths et histoires avérés:

"Zayd Ibn Thabit  visita le Calife Mu’aawiya (plus de 30 ans après la mort du prophète) et lui raconta une histoire sur le prophète. Mu’aawiya apprécia l’histoire et ordonna que quelqu’un l’écrive. Mais Zayd dit: « Le messager de Dieu nous a ordonné de ne jamais rien écrire de ses Hadiths. » (Rapporté par Ibn Hanbal)"

Il faut rappeler que ce même Zaid, quand Abu Bakr lui avait demandé de compiler les versets coraniques, il avait refusé au début, car pour lui Mohamed (saw) ne l’avait pas fait. Alors que dire des hadiths.

Muslim a rapporte, que l'Envoyé de Dieu - صلى الله عليه و سلم - a dit: « N'écrivez rien de moi si ce n'est le Coran. Et qui a écrit de moi quelque chose, en dehors du Coran, qu'il l'efface». 

Le Prophête (psl) a dit: N'écrivez rien de moi sauf le Coran! Celui qui a écrit qqch de moi doit l'effacer! (Muslim, Zuhd 72; Hanbel3/12,21,39)"

Selon Aby Saïd Al-Khudry(r) : « nous avons suppliée prophète(s) afin qu’il nous laisse écrire ses paroles mais il a refusé

 

 

Selon Abou Hourayara(r) : Nous étions interdits de rapporter des Hadiths du prophète(s) jusqu'à la mort du Calife Omar(r) - Tarikh Ibn Khatir (Vol 6,P295)
8- Omar(r) a dit à Abou Hourayra(r) : arrêtes de rapporter des Hadiths sur le prophète(s) si non je te renvoie à la terre de « Daous » (ville d’origine d’Abou Hourayra) Tarikh Ibn Khatir

Omar(r) a dit Ka’ab Al Ahbar (Juif converti) : que tu arrêtes toi aussi de propager des Hadiths sur Abou Hourayra si non je t‘exilerais comme lui  Tarikh Ibn Khatir.

les deux Kaab et Abou Horeira étaient tous les deux Yémenites, le premier était juif et il se pourrait que le second aussi qui n'avait connu le prophète que trois ans avant sa mort alors qu'il est rapporteur de plus de la moitie des hadiths. 

Deux sources relatant que le deuxième calife Omar(s) aurait emprisonné trois compagnons Abou Darâda’ , Abou Dar et Ibn Massou’ad pour le délit de propagation abusive
des hadiths prophétiques Tazkart Al Houffaz (Vol 3, P7) - Mustadrak Al Hakim (Vol1, P110)

 

d'Autres histoires ou hadiths existent, mais de là à mettre au même niveau le coran et le hadith ou de donner une suprématie aux hadiths c’est aller vite en besogne.

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On 04/02/2021 at 12:43, Capo said:

Je plussoie.. 

Le jeu politique ne vaut pas la chandelle.. 

Les gens (dotés d'une conscience) ont en marre de cela !!

Faut s'en tenir à la langue.. et rien que ça !

Les chiisme limite الرَّاسِخُونَ فِي الْعِلْمِ à la seule descendance d'Ali (12 imams).. 

Les sunnisme, quant à lui, limite la connaissances aux "anciens".. et ne juge pas utile d'aller au delà de حفظ القرآن 

 

Une p'tite vidéo pour l'illustration :

 

 

 

Le professeur Mohamed Chahrour, Allah yarahmou est un homme qui a consacré plus de cinquante an de sa vie dans des recherches pour nous léguer un travail remarquable. Il s’est donné règle que le Coran est révélé par Dieu, par conséquent il doit être précis et pour aboutir à cette précision, il a éliminé la synonymie dans le Coran, comme l’avaient fait avant lui Ibnou Ali Al Farissi et ses adeptes comme Al Jourjani et Ibn Gini, mais il reconnait la polysémie. Il a aussi décrété que le coran est universel, suivant des versets coraniques et le livre de Dieu ne peut contenir des suppléments grammaticaux ou sémantiques. Ceci l’a mené à faire une découverte des plus étonnante qui pourtant crevait les yeux. Puisque le coran ne comportait pas de synonymes, donc le Coran qui est la prophétie et le livre qui englobe le coran et le message, ils ne peuvent pas être les même et deux versets le montrent clairement, le second de la sourate al baqara et le 185ème. Il a aussi expliqué tous les autres termes qui ont été interprétés de différentes manières, comme al lawh al mahfoud, el kitab al moubine, al fourqane, al inzal et atanzil, assirate al moustakime…

nous avons besoin d'hommes des sa trempe 

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Les mouvements réformateurs apparus au 19eme siècle, ont certe fait un travail pour faire bouger un peu cette léthargie, mais leur impact était  insuffisant pour notre remise sur les rails de la modernité. Abderrahmane al Kawakibi a écrit un livre (tabai3 al istibdade wa massani3e al isti3bade) ‘’nature du despotisme et industrie de l’esclavage’’ qui correspond à notre réalité aujourd’hui, qui pourtant avait été édité vers 1902, il a tout définit le despotisme politique, économique et nous sommes toujours au même point aujourd’hui en 2019,  ce fait accentue l’idée selon laquelle nous sommes restés englués dans le bourbier de la tradition. Des révolutions politiques ont eu lieu, mais elles n’ont été précédées d’aucune révolution culturelle, scientifique et autre. Les révolutions occidentales ont été précédées par une armée de philosophes, scientifiques et autres qui ont pu produire un résultat qui a balisé la route menant à la réussite de ce mouvement, disant le tout de suite matérielle et qu’Allah nous préserve d’une moralité avilissante . Toute révolution dont son antériorité démunie de réformes culturelles et scientifiques… est vouée inévitablement à l’échec ar-ra3d.

لَهُ مُعَقِّبَاتٌ مِنْ بَيْنِ يَدَيْهِ وَمِنْ خَلْفِهِ يَحْفَظُونَهُ مِنْ أَمْرِ اللَّهِ إِنَّ اللَّهَ لَا يُغَيِّرُ مَا بِقَوْمٍ حَتَّى يُغَيِّرُوا مَا بِأَنْفُسِهِمْ (11)

« 11 – L’homme aura des anges qui se tiendront devant et derrière lui. Ils le protègent sur ordre d’Allah, car Allah ne change en rien un peuple, tant que ce dernier n’a pas procédé à son propre changement.»

 Les réformateurs comme Mohamed Abdou et Al Afghani étaient certes des réformateurs, mais ils vivaient à l’époque de l’empire Ottoman et ne pouvaient déroger à la sainte loi du mutisme devant ces despotes,  cet empire était très loin de la liberté d’expression, il était resté cloitré dans un système vieux de plusieurs siècles et ces érudits n’ont pas posé par exemple la problématique de la liberté, ils ont parlé de la justice du despote. Jusqu’à présent dans le subconscient arabe, la justice par exemple est absente, elle ne fait pas partie de sa préoccupation. Il faudrait savoir que tous les tyrans se cachent derrière le terme de liberté. La révolution marxiste sa base était l’idée de la liberté, la dictature des classes, du prolétariat. Elle s’est basée sur l’idée de la justice, mais cette justice était prisonnière de l’exécutif du parti unique, unique comme Dieu, il fait alors ce qu’il veut, le parti ne possède pas uniquement le bien matériel, mais aussi la conscience collective. C’est ce qui se passe dans presque tous les pays musulmans et dans  tous les pays arabes. Le problème  est que c’est un legs ancestral hérité des dynasties musulmanes, renforcé par les hadiths, que dire alors d’un personnage qui se fait élire au nom d’Allah !. La justice et la liberté vont de pair,  Il faudrait que cette liberté soit la campagne du citoyen et la crainte de faire des revendications doit-être nulle. Les manifestations des citoyens en Algérie ont démontré toute l’étendu de l’écart qui existe entre ces soi- disant ulémas et le citoyen et ce dernier dépasse de loin ces ulémas du roi.

Si on prend l’exemple du deuxième Calife Omar Ibn Al Khatab (radiya Allah 3anhou). Omar n’était pas une institution, c’était seulement une personne et aujourd’hui nous sommes restés figés sur ce modèle et nous recherchons non des institutions qui règleraient les problèmes d’une nation, mais un héros comme Omar pour lui donner une liberté absolue afin de régner comme bon lui semble tout en nous délestant de nos choix. Ce héros qui serait choisit devant trop de prérogatives entre ses mains, deviendrait inévitablement un despote. Pourtant pour qu’il reste un héros, il ne doit en principe que suivre des lois préétablies et donner seulement une touche personnelle innovante. Des héros il y en a eu en Occident, mais parmi eux, ils n’ont même pas été réélus. C’est le règne, chez nous, du Zaimisme.

 

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En Algérie Il y a eu un héros,  Il a été appelé à la rescousse pour officiellement faire sortir un pays de l’intégrisme, mais officieusement pour secourir une bande de mafia dont les tentacules dépassent les frontières nationales, c’est cette mafia qui est institutionnalisée, et non pas les lois du pays. Quand ce héros, Zaim dans notre langage, s’était rendu compte qu’il était géré par cette mafia, il a essayé discrètement de s’attaquer à leur compte en banque, en désignant un ancien des services secrets algériens pour s’enquérir des avoirs de cette mafia à l’étranger. Ils ont été dénoncés par les tenants des banques étrangères et tous les deux et d’autres qui avaient essayé de sauver les meubles dans ce pays meurtrit par la corruption, ont été assassinés.

Nous n’avons pas besoin de héros, mais d’innovateurs, qui secouent cette léthargie générale héritée depuis fort longtemps. Nous devons revoir certains termes et les comprendre à la lumière de la modernité, comme exemple :

 Le legs ancestral (Al assala, origine ou authenticité) c’est, quoi ce mot que nous entendons à chaque fois dans des discours nationalistes et religieux. Sa signification c’est de posséder des valeurs ancestrales qui doivent-être positives et non obsolètes qui ne produisent rien. Mais, il faudrait comprendre surtout ce mot d’al mo3assara qui signifie ‘’innover pour se coller à la modernité et donner un complément positif à Al Assala’’ qui devient ainsi productive et non obsolète. Donc l’un doit suivre l’autre deux en un.

 Le legs ancestral (l’origine ou l’authenticité : al assala) nous ne pouvons le renier, mais il faudrait le dépasser pour construire sur lui une modernité innovante (ou lakdime ma atfarate 3alihe, l’ancien nous ne l’abandonnons pas). L’authenticité (Al Assala doit à chaque fois refaire son lessivage, il faudrait innover pour se   perpétuer, car Al Assala c’est  soit les morts doivent rester vivants et poursuivre une voie nouvelle tracée au préalable, ou les vivants seraient des morts-vivants, en faisant du sur place à la faveur d’une imitation aveugle qui nous obscurcirait. Nous avons choisi le deuxième cas, car nous vivons dans le passé sans innovation. Je voudrais lire le livre avec mes propres yeux à moi et non avec des yeux qui appartiennent à Abou Hanifa, Malek, Chafii, Ahmed, ou autres traditionnalistes tout en suivant leurs assiduités et leurs amours de la recherche, c’est ça la véritable Assala (authenticité)  qui s’imprègne dans la Moassara (la contemporanéité). Nous devons faire dans l’accumulation, je possède la tradition je prends ce qui me convient et j’essaie d’innover pour une accumulation de la connaissance que je laisserais à mes enfants, qui à leur tour en donneraient une nouvelle touche innovante.

Quelles sont les problèmes qui sont posés à l’intellect arabe ? Un problème culturel, lié à la spécificité de la compréhension elle-même. La compréhension formée historiquement dans la conscience collective a sclérosé le cerveau arabe pour le rendre incapable d’innover. Certes il y avait eu plusieurs chercheurs et penseurs au cours de cette histoire, qui ont justement, tous sans exception, refusé de suivre le chemin qui ne mène nulle part et parmi eux il y en a qui ont été éxécutés ou mis en prison, mais c’est largement insuffisant, comme je l’ai di plus haut il faudrait une révolution culturelle, scientifique et autres qui doit être la locomotive menant vers la félicité. Pour une compréhension de la religion, il faudrait tout revoir car 14 siècles de despotisme ont complètement dénaturé la religion (je dis la religion, car il n’existe qu’une seule religion car Allah est un, il ne peut en aucune manière créé plusieurs religion et il le dit dans le livre « ina al dine 3inda Alla al Islam » « la religion pour Allah est l’Islam ».

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Quelle est la première cause du manque de production de la connaissance. La compréhension en fonction des synonymes, est imprécise alors que notre création  est très précise, et cette précision doit se trouver dans le livre, sinon il ne pourrait-être divin, un livre comprend toujours la marque de son auteur. La poésie par exemple a besoin des synonymes et ce n’est pas une tare pour cette branche et c’est dans cette optique que les arabes qui étaient férus en la matière, ont vu dans le livre, des paroles poétiques. C’est vrai que le coran est très beau du point de vu de la syntaxe, mais il faut surtout voir son aspect de précision. Par conséquent un poète qui essaierait de comprendre le coran, va voir des aspects poétiques et un savant verrait des aspects scientifiques et c’est l’un des côtés fort de ce livre, mais il faudrait ne pas perdre de vue qu’il doit-être absolument précis et la synonymie ne s’y prête pas.

Le complexe du mal est le plus grand embrouille ancré dans notre culture. Nous la sentons nuits et jours, elle a inscrit dans notre conscience collective le sentiment de culpabilité, provient de la mauvaise compréhension du ‘’jugement et de la prédestinée’’ (al kada et al kadar) y est pour quelque chose et les hadiths ont complété ce complexe. L’introduction des bienfaits dans la religion est une contrainte et une injustice à l’encontre du créateur.

Nous avons figé la religion dans des slogans. Dans les années 70, une certaine effervescence a vu le jour concernant la religion. Le nombre des mosquées, des adeptes, des pèlerins, des jeûneurs,  des femmes voilés, des barbus… a décuplé  … tous les slogans étaient réunis pour que nous plongions au premier siècle de l’hégire. Ils ont appelé ça un éveil islamique, qui en fait était une anesthésie. D’un autre côté, le nombre de pauvres a augmenté, la prostitution aussi, le vol, les crimes et j’en passe ont augmenté aussi. De quel éveil parlons-nous alors, si cet éveil nous fournit une conséquence aussi désastreuse, il vaut mieux qu’il retourne faire sa sieste.

Comment y remédier ? Il faut deux choses : une révolution de la pensée et la compréhension et des outils comme accompagnateur de cette révolution.

Le concept était que la terre est le centre de l’Univers et que tout tournait autour d’elle. Copernic a changé ce concept par une théorie et Galilée est venu avec sa lunette comme outil pour authentifier la théorie de Copernic. Cette révolution a bouleversé toute la mécanique céleste. Ils viendront d’autres comme Einstein qui remettrait les pendules à l’heure pour affirmer par exemple que le temps ne s’écoule pas de la même façon dans l’espace et l’outil était la fameuse horloge des plus sophistiquée construite pour mener à bon port l’expérimentation qui authentifiera la théorie d’Einstein.  La lunette de Galilée deviendrait le télescope du Mont Wilson et Hubble donnerait son nom à une Sonde.

Donc il faudrait une révolution de la pensée et des outils pour permettre à cette pensée de trouver le chemin pour s’engouffrer dans les méandres de la modernité.

Concernant notre sujet, il faudrait que le concept de la compréhension du livre change et on ne doit surtout pas comprendre comme l’ont compris les premiers car Le Coran est révélé pour toute l’humanité, il doit-être universel et immuable dans le temps. Tous sans exception doivent le comprendre, pour le rejeter ou au contraire en faire un livre sacré, pour le créateur ce n’est nullement un problème. «وَمَا أَرْسَلْنَاكَ إِلَّا رَحْمَةً لِّلْعَالَمِينَ (107) » « sorate 21 al anbiya« 107.Et Nous ne t'avons envoyé qu'en qualité de miséricorde pour l'univers. »» cette miséricorde doit-être visible partout dans le monde. Nous n’avons qu’à imaginer les compagnons du prophète (saw) depuis le règne d’Abou Bakr et nous demander comment ils concevaient l’humanité en ce moment.

Si tu prends par exemple l’Imam Malek, sa logique de l’analogie (al kias), une des quatre bases de la jurisprudence islamique, a complètement dénaturé en partie l’exégèse du livre, l’extirpant ainsi de son universalisme pour le confiner dans un rôle local.  Il faudrait alors se poser la question: est-ce que Le monde entier se trouve dans la presqu’ile arabique ? Cette idée fixative nous a cloués dans un espace temps et lieu, bien déterminés. La compréhension de l’analogie (al kias) dans le coran doit être revue et corrigée. Poser des prémices datant de 13 siècles pour en faire une analogie au 21ème  siècle est tout à fait débile et contraire à la logique.  

Pour nous le temps est toujours compris entre deux barrières qui se compressent en même temps pour ne former qu’un seul moment issu d’un affrontement des deux générations  du 7ème et 21ème siècle, nous sommes restés au milieu des deux barrières au risque d’être écrabouillé par le temps qui ne s’arrête jamais et c’est ainsi que la machine imperturbablement continue son chemin sans qu’elle ne regarde derrière elle ces cadavres écrabouillés par le temps. La logique aristotélicienne est que le temps n’existe pas et Cette logique est qu’il y ait toujours une introduction et une solution, L’introduction et la solution sont posées entre le 7ème  siècle et le 12ème, et nous l’approuvons sans chercher à comprendre, alors qu’il est impossible de transposer un problème du 6ème siècle, pour en faire une analogie comparative au 21ème siècle.

Exemple au 6eme siècle, une femme veut voyager de la Mecque au Yémen. Il lui faudrait un accompagnateur, c’est clair qu’à cette époque il était impossible pour une femme de faire ce voyage seule car les mœurs de ce moment étaient rudimentaires et les moyens de locomotion aussi. Au 21eme siècle, elle veut partir pour la Suède, il lui faut toujours un accompagnateur, c’est le kias (analogie),  Alors que du 7ème au 21ème  siècle beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. La logique est la même car c’est un personnage du 7ème, 8ème  ou 9ème … siècle qui a décidé pour nous, homme du  21ème siècle cette analogie (kiass) est restée collée non à notre cerveau plus encore  à notre subconscient.

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On 08/02/2021 at 17:56, maupassant said:

Le problème  est que c’est un legs ancestral hérité des dynasties musulmanes, renforcé par les hadiths, que dire alors d’un personnage qui se fait élire au nom d’Allah !. La justice et la liberté vont de pair,  Il faudrait que cette liberté soit la campagne du citoyen et la crainte de faire des revendications doit-être nulle.

 

Ce que je viens de souligner est très important et posons nous la question de savoir si la jurisprudence musulmane possède le droit de décréter des lois dont la sentence est la peine de mort et qui sont équivoques. Si je prends uniquement le cas de l’apostasie Nous constaterons que suivant un moment bien déterminé de l’histoire et jusqu’au 20ème siècle des innocents ont été tués grâce à cette loi. Cette législation est restée jusqu’à aujourd’hui effective, cachée dans les coulisse des palais de justice semblable à une épée de Damoclès qui ressurgit dans les mains des despotes suivant un contexte politique pour couper des têtes. Etudions ce problème et posons-nous la question de savoir si nous avons le droit de débattre de lois qui n’existent pas dans le coran pour produire une législation afin de tuer des innocents. Et tout le monde connait la valeur d’une vie humaine pour le créateur. La liberté de culte, et d’expression et la justice dans notre livre sacré sont pourtant garanties.

L’Apostasie suivant la jurisprudence : l'écrasante majorité des fuqaha sunnites et chiites s'accordaient à dire que l'apostasie était un crime, un pêché et un acte de trahison passible de la peine de mort. La justise  ou Al qadah possède une très grande liberté d’interprétation pour caractériser l’apostasie. Ainsi il pourrait suivant un contexte politique devenir pour son président ou roi un atout majeur comme c’est le cas de Mohamed Taha ou Mohamed Qotb  et autres Allah  yar hamhoum. La majorité des fuqaha contemporains continuent de considérer l’apostasie comme un crime méritant la peine de mort Certains la considèrent comme une forme de crime religieux, d'autres non.

Selon des hadiths :

Deux de ces citations sont notamment considérées par certains théologiens islamiques comme allant dans le sens d'une application de la peine de mort en cas d'apostasie :

« Le sang d'un musulman, qui accepte qu'il n'y a d'autre Dieu qu'Allah et que je suis Son prophète, ne peut être versé que dans trois conditions : en cas de meurtre, pour une personne mariée qui s'adonne au sexe de manière illégale, et pour celui qui s'éloigne de l'islam et quitte les musulmans39 ». Ce hadith est rapporté par l'imam al-Boukhari (mort en 870 / 256 AH) et n'est pas repris par Muslim (mort en 875 / 261 AH) dans son Sahih.

« Celui qui change de religion, tuez-le40 »

·         Hadith no 14 d’Ibn Mas`ûd sur "l'inviolabilité du sang du Musulman" :

« Il n'est pas licite de faire couler le sang du musulman, sauf s'il s'agit d'un des trois coupables que voici : le fornicateur dont le mariage a été consommé, le meurtrier qui subira le sort de sa victime, et l'apostat qui se sépare de la communauté musulmane. »

·         L’érudit Ibn Rajab affirme :

« Tuer dans chacun de ces trois cas est un consensus admis par les musulmans. »

L'ayatollah Khomeini a argué de ce principe pour émettre une fatwa de condamnation à mort contre l'écrivain britannique Salman Rushdie

Certains oulémas perçoivent dès le ixe siècle la peine de mort pour apostasie comme une règle.

La grande catastrophe est que la majorité des fuqaha contemporains continuent de considérer l’apostasie comme un crime méritant la peine de mort.

Des musulmans réformateurs contemporains tels que les coranistes Ahmed Subhy Mansour   et Muhammad Shahrour ont souffert d’accusations d’apostasie et de demandes d’exécution, émises par des ecclésiastiques islamiques tels que Mahmoud Ashur, Mustafa Al-Shak’a, Mohammed Ra’fat Othman et Yusif Al-Badri65. Bien qu’il ait prétendu avoir reçu des menaces de mort, Edip Yuksel pense également que des apostats très médiatisés qui sont controversés devraient être tués. Mahmoud Mohamed Taha, exécuté par le gouvernement soudanais, alors que des milliers de manifestants protestaient contre son exécution67,68, et Faraj Fouda, victime d'extrémistes islamistes arrêtés et emprisonnés pendant 20 ans sont des exemples récents d'écrivains et d'activistes tués pour apostasie. Le lauréat égyptien du prix Nobel de littérature Naguib Mahfouz a été blessé dans une tentative d'assassinat, paralysant son bras droit. Le cas d'Abdul Rahman Jawed, un Afghan qui s'est converti au christianisme, a suscité un débat sur la question. Bien qu'il ait initialement été condamné à mort, il a finalement été libéré car il était jugé mentalement inapte à subir un procès. De plus, certains États islamiques qui n'exécutent pas directement les apostats, facilitent et encouragent parfois indirectement les exécutions extrajudiciaires perpétrées par la famille de l'apostat, surtout si l'apostat s'exprime..

 

 

Maintenant considérons l’envers de la médaille : le coran en premier lieu ne mentionne qu’un seul cas de peine de mort, avec une possibilité de grâce, qui est l’assassinat. Certains versets qui mentionnent ce cas d’apostasie :

Selon le coran

Plusieurs versets parlent de l'apostasie, et bien que condamnée moralement, aucune sanction terrestre n'est préconisée Diverses versets évoquent l'apostasie, tels que :

« Ils t'interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés. Dis : « Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès de Dieu est de faire obstacle au sentier de Dieu, d'être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d'expulser de là ses habitants. L'association est plus grave que le meurtre. » Or, ils ne cesseront de vous combattre jusqu'à, s'ils peuvent, vous détourner de votre religion. Et ceux qui parmi vous abjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement. »

— Coran, II, 217

« Ainsi dit une partie des gens du Livre: « Au début du jour, croyez à ce qui a été révélé aux Musulmans, mais, à la fin du jour, rejetez-le, afin qu'ils retournent (à leur ancienne religion). »

— Coran, III, 72

« En vérité, ceux qui ne croient plus après avoir eu la foi, et laissent augmenter encore leur mécréance, leur repentir ne sera jamais accepté. Ceux-là sont vraiment les égarés. »

— Coran, III, 90

« Ô les croyants ! Si vous obéissez à ceux qui ne croient pas, ils vous feront retourner en arrière. Et vous reviendrez perdants. »

— Coran, III, 149

« Ceux qui ont cru, puis sont devenus mécréants, puis ont cru de nouveau, ensuite sont redevenus mécréants, et n'ont fait que croître en mécréance, Dieu ne leur pardonnera pas, ni les guidera vers un chemin (droit). »

— Coran, IV, 137

« Ô les croyants! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion… Dieu va faire venir un peuple qu'Il aime et qui L'aime, modeste envers les croyants et fier et puissant envers les mécréants, qui lutte dans le sentier de Dieu, ne craignant le blâme d'aucun blâmeur. Telle est la grâce de Dieu. Il la donne à qui Il veut. Dieu est Immense et Omniscient. »

— Coran, V, 54

« Ne vous excusez pas: vous avez bel et bien rejeté la foi après avoir cru. Si Nous pardonnons à une partie des vôtres, Nous en châtierons une autre pour avoir été des criminels. »

— Coran, IX, 66

« Ceux qui sont revenus sur leurs pas après que le droit chemin leur a été clairement exposé, le Diable les a séduits et trompés. »

— Coran, XLVII, 25

« Quiconque a renié Dieu après avoir cru… — sauf celui qui y a été contraint alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi — mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère de Dieu et ils ont un châtiment terrible. »

— Coran, XVI, 106

Un verset du Coran explique :

« Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s'est distingué de l'égarement. Donc, quiconque mécroit au Rebelle tandis qu'il croit en Allah saisit l'anse la plus solide, qui ne peut se briser. Et Allah est Audient et Omniscient »

— Coran, II, 256

Rien dans la biographie de Mahomet ne contient la moindre information crédible favorisant la mise en exécution d'une telle sentence. Au contraire, deux épisodes le montrent traitant avec des apostats ou des personnes ayant quitté sa communauté. On le voit signer un traité avec Quraych encore païen, dont une clause précise que rien ne doit empêcher ceux qui le souhaitent de retourner dans la tribu adverse et, partant, de retourner à l'idolâtrie ante-musulmane. Cet article du traité d'Houdaybiya n'est pas recensé par Boukhari dans son Sahih.

 

Au cours des siècles, un certain nombre de grands ouléma, tels le faqih malikite Abu al-Walid al-Baji  (mort en 1081 / 474 AH) et le faqih hanbalite Ibn Taymiyya (mort en 1328 / 728 AH), ont affirmé que l’apostasie n’est pas un hadd et qu’elle n’est donc passible que d’une peine laissée à la discrétion du cadi . Certaines autorités plus anciennes, comme Ibrahim al-Nakha'i et Sufyān al-Thawrī, ainsi que le faqih hanafite Sarakhsi (mort en 1096 / 490 AH), croyaient qu’il fallait demander à un apostat de se repentir indéfiniment et ne jamais le condamner à mort, Selon Sarakhsi, l’apostasie de l’islam est un grand crime, mais sa punition est différée au jour du jugement. Le point de vue selon lequel le Coran ne parle que d'une punition dans l'au delà pour l’apostasie a également été retenu par le Grand Imam d’Al-Azhar (1958-1963) Mahmoud Shaltout , qui a soutenu que la prescription de la peine de mort pour l’apostasie trouvée dans le hadith visait seulement à prévenir l’agression contre les musulmans et la sédition contre l’État islamique naissant..

J’accuse le fiqh et les foqahas d’avoir tuer des innocents.

 

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On 15/02/2021 at 15:52, maupassant said:

La logique est la même car c’est un personnage du 7ème, 8ème  ou 9ème … siècle qui a décidé pour nous, homme du  21ème siècle cette analogie (kiass) est restée collée non à notre cerveau plus encore  à notre subconscient.

3) La méthodologie dans la compréhension du message.

 

Si un salafi me dit que l’explication du coran du temps des compagnons du prophète est suffisante et que je lui réponds par la négation, il me classera alors illico-presto dans la catégorie des mécréants, bien que sa vision du coran ne puisse défier le temps pour atteindre le 21ème siècle.

 Il faudrait construire une nouvelle constitution islamique qui doit-être érigé sur une prise en  considération de trois problèmes. Le  premier est le problème linguistique, le second est religieux et le troisième est juridico-politique.

Premièrement, nous posons comme prémices, le Dieu comme créateur de cet Univers. Cet Univers et les créations qui s’y trouvent sont crées d’une manière parfaite, la création est le livre d’Allah visible, et son livre qui est sa création écrite ou lue (le coran)  doit-être aussi précis que sa création visible, aucune lettre supplémentaire ou synoyme ne doit s’y trouver. Quand il dit : S : les femmes «23-Il vous a été interdit d’épouser vos mères  حُرِّمَتْ عَلَيْكُمْ أُمَّهَاتُكُمْ » Il ne dit pas vos génitrices, mais bien vos mères (qui peuvent-être génitrices et adoptives en même temps ou uniquement adoptives, mais jamais uniquement adoptives (bien que les exégètes ne font pas de différence, j’y reviendrais ine chaa Allah). Et quand il dit dans la sourate les femmes 23 «Il vous est interdit d’épouser les femmes de vos fils qui sont issus de vos reins » وَحَلَائِلُ أَبْنَائِكُمُ الَّذِينَ مِنْ أَصْلَابِكُمْ » ça veut dire qu’il se pourrait que vos fils ne soient pas de vos reins, par conséquent ce sont des enfants adoptifs, donc  l’adoption est licite.

Les sciences ont progressées, la littérature aussi, Il faudrait constater dans ce livre cette progression au cours du temps et qu’il ne doit pas les contredire.

Le livre doit-être universel, Cet universalisme est assuré, concernant le message, par les limites al houdoud, qui sont pareilles à des frontières d’un pays où les hommes ne peuvent dépasser. Mais là il s’agit des frontières d’une juridiction religieuse que l’homme ne doit pas outrepasser. Le péché et le licite constituent ces frontières, Allah nous a tracé 14 péchés dans son livres, donc 14 fontières que tu ne dois pas toucher, mais de la première frontière qui est le licite, jusqu’au péché qui est la frontière à ne pas dépasser, l’homme possède un champ d’action qui est le licite où il a le droit de légiférer. Il ne peut par exemple légiférer dans le cas d’un vol et voter une loi permissive dans ce cas.

Tout ce barratin que je vien de citer peut-être compris par un seul mot la précision de sa création et de son livre :

 La création d’Allah c’est son livre réel dans la nature, tangible que nous appellerons son livre visible. Et le livre que nous récitons, c’est son livre lisible qui provient  des paroles révélées à notre prophète Mohamed (saw) par Gabriel Gibril. La question est : est-ce que livre visible est aussi précis que le livre lisible? Ma réponse à moi est, oui le livre lisible est aussi précis que le livre visible. Mais une autre question s’impose ; pourrions nous comprendre tout le livre écrit qui est le coran ? Ma réponse à moi est non. Pourquoi parce que pour comprendre tout le Coran, il faudrait comprendre toute la création est c’est impossible. Je donnerais un exemple sur la précision de la création d’Allah et je déduirais qu’il est impossible de comprendre totalement la création. Et ce verset est tout à fait éloquent pour étayer ce point de vue :

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  • 2 weeks later...
On 21/02/2021 at 08:21, maupassant said:

Et ce verset est tout à fait éloquent pour étayer ce point de vue :

Pour étayer cette idée prenons un exemple simple, qui est celui de l’atome.

C’est quoi un atome, c’est un noyau et des électrons qui tournent autour de lui à l’image de la terre qui tourne autour du Soleil. Les scientifiques  ont calculé le rayon de l’atome et pour que nous puissions imaginer les dimensions de l’atome,   ils ont utilisé pour nous l’unité du mètre et son rayon est de 10-10m. avec cette dimension c’est certain, tu ne pourrais jamais le voir ) l’œil nu, ni pouvoir imaginer sa grandeur avec cette unité du mètre. Mais les spécialistes ont inventé l’unité du PM, qui est égal à10-12m (10 puissance moins 12) . Donc le rayon de l’atome de l’atome correspond à 100pm cette distance n’est valable que pour un seul électron qui tourne autour du rayon car le rayon s’accroit avec l’accroissement du nombre d’électrons. Nous voyons tout de suite que l’utilisation de l’unité  ‘’mètre’ est inadéquate pour l’atome. Si nous allons voir ce qui se passe dans le neutron et le proton donc le noyau nous découvrons que le rayon de ce dernier est 10 puissance 5 fois plus petit que l’atome, 100.000 fois.  Avec la découverte du quartz par exemple les unités de pm deviendraient inadéquates et c’est ainsi que du point de vue microscopique, les scientifiques ont  besoin de trouver d’autres unités adéquates car d’autres découvertes plus petites que le quartz ont été faites dans le domaine da la dynamique. Il en est de même pour le macroscopique  si tu veux calculer une distance entre le Soleil est la terre tu utilises l’unité du KM, mais plus loin tu as besoin par exemple de l’unité Année lumière. Donc tout est calculé d’une grandeur qui nous dépasse. Voyons ce que disent les savants sur la précision de la création lors de la grandfe explosion, le Big Bang.

Paul Devis : célèbre professeur de physique théorique a déclaré après avoir fait un calcul sur le taux d’expansion de l’Univers. Que ce taux est d’une précision inimaginable. Il dit :

« Une mesure attentive place le taux d’expansion très près d’une valeur critique, à laquelle l’Univers échappera tout juste à sa propre gravité et poursuivra son expansion indéfiniment. Un peu plus lentement et le cosmos s’écroulera, un peu plus vite et la matière cosmique se serait depuis longtemps complètement dispersée. Le B.B n’était de toute évidence pas n’importe quelle explosion d’une magnitude fixée avec la plus grande précision. » « Super force, 1984, page 184 »

Stephen Hawkins : Une brève histoire du temps, 1998, p.181.

« si le temps d’expansion une seconde après le B.B, avait été inférieure ne serait-ce qu’un cent milliards de millionième, l’Univers serait effondré à nouveau bien avant d’atteindre sa taille actuelle. »

Paul Davies : Dieu est la nouvelle physique. 1983, p.189

Il est difficile de résister à l’impression que la structure actuelle de l’Univers, qui parait si sensible, à la moindre modification des chiffres, a été soigneusement élaborée…la conjugaison  apparemment miraculeuse des ces valeurs numériques que la nature a assignées à ses constantes fondamentales, demeure la preuve la plus éclatante d’une forme d’organisation cosmique.

 Georges Greenstein : professeur d’astronomie Américain : l’Univers symbiotique, 1988, p.27

Lorsque nous examinons toutes ses preuves nous sommes assaillis par l’idée insistante que cela doit-être la marque d’une volonté surnaturelle.

الرَّحْمَنُ (1) عَلَّمَ الْقُرْآنَ (2) خَلَقَ الْإِنْسَانَ (3) عَلَّمَهُ الْبَيَانَ (4) الشَّمْسُ وَالْقَمَرُ بِحُسْبَانٍ (5) وَالنَّجْمُ وَالشَّجَرُ يَسْجُدَانِ (6) وَالسَّمَاءَ رَفَعَهَا وَوَضَعَ الْمِيزَانَ (7)

« 1. Le Tout Miséricordieux.2. Il a enseigné le Coran.3. Il a créé l'homme.4. Il lui a appris à s'exprimer clairement.5. Le soleil et la lune [évoluent] selon un calcul [minutieux] 6. Et les étoiles et les arbres se prosternent .7. Et quant au ciel, Il l'a élevé bien haut. Et Il a établit la balance »

Rien n’est laissé au hasard, un calcul très précis, selon des statistiques des plus performantes , il a tout prévu au départ avec un calcul minutieux et il a établit la balance. C’est quoi cette balance ce n’est surement pas la balance de l’épicier du coin. C’est la balance qui pèse le moindre poids de l’univers qui pourrait équilibrer toute la création. C’est le  taux d’une précision inimaginable de Paul Devis. 

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Il y a 14 heures, maupassant said:

 C’est le  taux d’une précision inimaginable de Paul Devis. 

Mais l’atome a été suggéré par Le philosophe grec Leucippe et son disciple Démocrite depuis 2500 ans  et aujourd’hui encore nous découvrons des choses nouvelles sur l’atome et le chemin reste long à parcourir.

Maintenant prenons, les versets qui mentionnent le mot atome et voyons ce qui se passe.


« Certes, Allah ne lèse (personne), fût-ce du poids d'un atome. S'il est une bonne action, Il la double, et accorde une grosse récompense de Sa part. » [Les femmes Sourate 4, 40]
إِنَّ اللَّهَ لَا يَظْلِمُ مِثْقَالَ ذَرَّةٍ وَإِنْ تَكُ حَسَنَةً يُضَاعِفْهَا وَيُؤْتِ مِنْ لَدُنْهُ أَجْرًا عَظِيمًا


« Tu ne te trouveras dans aucune situation, tu ne réciteras aucun passage du Coran, vous n'accomplirez aucun acte sans que Nous soyons témoin au moment où vous l'entreprendrez. Il n'échappe à ton seigneur ni le poids d'un atome sur terre ou dans le ciel, ni un poids plus petit ou plus grand qui ne soit déjà inscrit dans un livre évident » [Jonas, Sourate 10, 61]
وَمَا تَكُونُ فِي شَأْنٍ وَمَا تَتْلُو مِنْهُ مِنْ قُرْآنٍ وَلَا تَعْمَلُونَ مِنْ عَمَلٍ إِلَّا كُنَّا عَلَيْكُمْ شُهُودًا إِذْ تُفِيضُونَ فِيهِ وَمَا يَعْزُبُ عَنْ رَبِّكَ مِنْ مِثْقَالِ ذَرَّةٍ فِي الْأَرْضِ وَلَا فِي السَّمَاءِ وَلَا أَصْغَرَ مِنْ ذَلِكَ وَلَا أَكْبَرَ إِلَّا فِي كِتَابٍ مُبِينٍ (61)


« Ceux qui ne croient pas disent : "L'Heure ne nous viendra pas". Dis : "Par mon Seigneur! Très certainement, elle vous viendra. [Mon Seigneur] le Connaisseur de l'Inconnaissable. Rien ne Lui échappe fût-il du poids d'un atome dans les cieux, comme sur la terre. Et rien n'existe de plus petit ni de plus grand, qui ne soit inscrit dans un Livre explicite » [Saba, sourate 34, 3]
وَقَالَ الَّذِينَ كَفَرُوا لَا تَأْتِينَا السَّاعَةُ قُلْ بَلَى وَرَبِّي لَتَأْتِيَنَّكُمْ عَالِمِ الْغَيْبِ لَا يَعْزُبُ عَنْهُ مِثْقَالُ ذَرَّةٍ فِي السَّمَاوَاتِ وَلَا فِي الْأَرْضِ وَلَا أَصْغَرُ مِنْ ذَلِكَ وَلَا أَكْبَرُ إِلَّا فِي كِتَابٍ مُبِينٍ (3)


« Dis : "Invoquez ceux qu'en dehors d'Allah vous prétendez [être des divinités]. Ils ne possèdent même pas le poids d'un atome, ni dans les cieux ni sur la terre. Ils n'ont jamais été associés à leur création et Il n'a personne parmi eux pour Le soutenir" » [Saba, sourate 34, 22]
قُلِ ادْعُوا الَّذِينَ زَعَمْتُمْ مِنْ دُونِ اللَّهِ لَا يَمْلِكُونَ مِثْقَالَ ذَرَّةٍ فِي السَّمَاوَاتِ وَلَا فِي الْأَرْضِ وَمَا لَهُمْ فِيهِمَا مِنْ شِرْكٍ وَمَا لَهُ مِنْهُمْ مِنْ ظَهِيرٍ (22)


« Quiconque fait un bien fût-ce du poids d'un atome, le verra, et quiconque fait un mal fût-ce du poids d'un atome, le verra » [La secousse, Sourate 99, 7 et 8]

فَمَنْ يَعْمَلْ مِثْقَالَ ذَرَّةٍ خَيْرًا يَرَهُ (7) وَمَنْ يَعْمَلْ مِثْقَالَ ذَرَّةٍ شَرًّا يَرَهُ (8)

 

J’ai signalé que Démocrite a parlé de l’atome, mais la masse de l’atome, appelée en chimie la masse atomique ou poids atomique est un terme très récent. Nous le voyons très bien dans tous les versets signalés. مِثْقَالَ ذَرَّةٍpersonne ne pourrait dire qu’il ne s’agit de masse ou poids.

Pourquoi il ne parle pas de volume ?

Il ne faut pas perdre de vue que tout l’univers était compressé dans un œuf cosmique, ceci nous donne un aperçu sur le volume des atomes d’un œuf qui devient tout l’Univers avec ses composantes. Donc c’est un vide gigantesque qui comprend des masses très petites.

Des théories atomiques très compliquées ont vu le jour et qui sont passées par des étapes. De Rutherford à la plus récente en passant Par Bohr. Et ces théories ont montré entre autres qu’il existe plus petit que l’atome dans son noyau. Les versets coraniques le montrent aussi et Il ne peut exister une justice aussi parfaite ni de plus précise que prendre pour atome une unité de mesure.

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Mdrr.. 

Un retour aux textes s'impose.. 

L'atome ne veut rien dire pour le Coran..  

La langue arabe est claire comme l'eau de roche.. 

مِثْقَالَ ذَرَّةٍ est une référence à un poids - celui d'une graine en l’occurrence.

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21 minutes ago, Capo said:

Mdrr.. 

Un retour aux textes s'impose.. 

L'atome ne veut rien dire pour le Coran..  

La langue arabe est claire comme l'eau de roche.. 

مِثْقَالَ ذَرَّةٍ est une référence à un poids - celui d'une graine en l’occurrence.

 

Salut capo : Il n'échappe à ton seigneur ni le poids d'un atome sur terre ou dans le ciel, ni un poids plus petit ou plus grand qui ne soit déjà inscrit dans un livre évident » [Jonas, Sourate 10, 61]
la logique est de rendre le plus petit possible, pourquoi il a choisi une graine est ce la plus petite unité du point de vue poids ? alors que le plus petit sur terre et dans les cieux est l'atome et plus petit encore que l'atome, ce sont les protons et neutrons, puis le quartz...dans les cieux il n'existe pas de graine. 

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Bonjour Maupassant

Si tu fais allusion à ce qui se fait sur terre ou dans le ciel.. il s'agit de nos actions !

Rien échappe à Notre Seigneur.. de la plus p'tite à la plus grande action.. et ce, en bien ou en mal.

Ceci dit, je comprends ton engouement pour la physique nucléaire.. mais dans notre verset-là.. c'est la linguistique qui l'emporte.

La signification de ce verset est donc un jeu d'enfant.  

 

 

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d'accord, au lycée comment appelles t-on l'atome en arabe et il faut convenir qu'il parle d'un poids qui serait mis sur une balance et non d'un volume et  du plus petit au plus grand qui doivent _ être pesés. les érudits je pense ont parlé du poids d'une fourmi et Allah ya3lame

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25 minutes ago, maupassant said:

 

Salut capo : Il n'échappe à ton seigneur ni le poids d'un atome sur terre ou dans le ciel, ni un poids plus petit ou plus grand qui ne soit déjà inscrit dans un livre évident » [Jonas, Sourate 10, 61]
la logique est de rendre le plus petit possible, pourquoi il a choisi une graine est ce la plus petite unité du point de vue poids ? alors que le plus petit sur terre et dans les cieux est l'atome et plus petit encore que l'atome, ce sont les protons et neutrons, puis le quartz...dans les cieux il n'existe pas de graine. 

La dharrâ désigne les particules de poussière, comme celles qu'on aperçoit FLOTTANT DANS L'AIR (في السماء) lorsque la lumière pénètre un endroit obscure. 

Le verset évoque ça: 

spacer.png

Edited by An-Nisr
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21 minutes ago, An-Nisr said:

La dharrâ désigne les particules de poussière, comme celles qu'on aperçoit FLOTTANT DANS L'AIR (في السماء) lorsque la lumière pénètre un endroit obscure. 

Le verset évoque ça: 

spacer.png

salut Nisr 

Disons que c’est une lumière qui transporte une énergie lumineuse pour se transformer en énergie thermique lors de son contact avec une paroi par exemple, ou une graine ou une fourmi, dans tout ceci Allah veut nous faire comprendre qu’il s’agit d’un poids qui est le plus possible n’est ce pas

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تعريف و معنى ذرة في معجم المعاني الجامع - معجم عربي عربي

  1. ذَرّة: (اسم)
    • الجمع : ذرّات و ذرّ
    • الذَّرّةُ : هي أصْغر جزءٍ في عُنصر مّا، يصحُّ أن يدخل في التفاعلات الكيميائية
    • اسم مرَّة من ذَرَّ: رَشَّة
    • قدرٌ ضئيل جدًّا، بالغ الصِّغر،
    • ذرّة رمل: حبّة رمْل
    • عصر الذَّرَّة: العصر الحديث،
    • علم الذَّرَّة/ علم الذَّرّات: علم يبحث في الذرّات وخصائصها، الفيزياء النوويّة،
    • نظريَّة الذَّرَّة: نظريَّة تفسير تكوين العناصر من وحدات صغيرة جدًا
    • رباعيّ الذرَّات: له أربع ذرَّات لكلِّ جزيء
    • الذَّرّ: النَّسل والخلْق
    • صِغار النَّمل
    • تَناثَرَ الذَّرُّ : الهَباءُ الْمُنْتَشِرُ في الهَواءِ
  2. ذُرة: (اسم)
    • الذُّرةُ : نباتٌ زراعيّ، حَبّيٌّ، عُشبيّ، سنويّ من الفصيلة النجيلية، يطحن ويصنَع منه الخبز
    • ذُرة صفراء: نبات عشبيّ حوليّ من فصيلة النجيليّات، زراعتُه منتشرة في أنحاء العالم، أنواعه عديدة، ساقه ليفيَّة، أوراقُه سنانيَّة الشّكل، وافر المحصول أَمْريكِيُّ الأَصْلِ، ثِمارُهُ حُبوبٌ بِيضٌ أَوْ صُفْرٌ، تُؤْكَلُ مَسْلوقَةً أَوْ مُحَمَّصَةً، كَما أَنَّها تُطْحَنُ لِيُتَّخَذَ مِنْها الخُبْزُ، أَوْ بَعْضُ أَنْواعِ العَصيدَةِ، أَوِ الحَريرةِ، كَما يُقَدَّمُ عَلَفاً لِلْحَيَواناتِ
  3. ذرّة رمل:
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Tous ces savants Paul Devis, Hawkins et Greenschtine se sont basée sur la théorie  du Big bang pour calculer ce taux d’expansion inimaginable. C’est une théorie certe basée sur des calculs des savants et des observations astronomiques, mais elle reste toujours une théorie et il nous reste toujours du travail à faire et Et le travail restera éternel jusqu’à la fin des temps, mais l'expansion de l'univers est cité dans le coran. mais nous ne connaissons presque rien car Allah dit

Al Israa 85: « وَيَسْأَلُونَكَ عَنِ الرُّوحِ ۖ قُلِ الرُّوحُ مِنْ أَمْرِ رَبِّي وَمَا أُوتِيتُم مِّنَ الْعِلْمِ إِلَّا قَلِيلًا (85) »  « Et ils t'interrogent au sujet de l'âme, - Dis : " l'âme relève de l'Ordre de mon Seigneur". Et on ne vous a donné que peu de connaissance »

et c’est pourquoi Al Moutachabih= l’équivoque. Des connaissances que nous ne connaîtrons qu’à un moment déterminé de l’histoire par Allah lui-même. Et l’histoire nous donne raison, de l'invention de la roue au moteur, à l’horloge …et la base reste la roue.

Donc la méthodologie de la compréhension du message divin est de de se fixer un plafond de connaissance existant. Il s’agit d’expliquer ce qui se passe aujourd’hui au 21ème siècle et non plus tard et suivant les connaissances actuelles. Après certaines années il faudrait revoir la véracité du moment initial fixé à un certain moment. Personne ne peut connaitre les problèmes futurs et  c’est à nos prédécesseurs qu’incombe la tâche de résoudre leurs difficultés et l’interprétation est la solution finale de l’équivoque, al moutachabihe.  

سَنُرِيهِمْ آيَاتِنَا فِي الْآفَاقِ وَفِي أَنفُسِهِمْ حَتَّىٰ يَتَبَيَّنَ لَهُمْ أَنَّهُ الْحَقُّ ۗ  (53)

أَوَلَمْ يَكْفِ بِرَبِّكَ أَنَّهُ عَلَىٰ كُلِّ شَيْءٍ شَهِيدٌ

53) coran 41 v 53  « 53. Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la Vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute-chose? »

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Il y a 19 heures, maupassant said:

ذُرة: (اسم)

  • الذُّرةُ : نباتٌ زراعيّ، حَبّيٌّ، عُشبيّ، سنويّ من الفصيلة النجيلية، يطحن ويصنَع منه الخبز
  • ذُرة صفراء: نبات عشبيّ حوليّ من فصيلة النجيليّات، زراعتُه منتشرة في أنحاء العالم، أنواعه عديدة، ساقه ليفيَّة، أوراقُه سنانيَّة الشّكل، وافر المحصول أَمْريكِيُّ الأَصْلِ، ثِمارُهُ حُبوبٌ بِيضٌ أَوْ صُفْرٌ، تُؤْكَلُ مَسْلوقَةً أَوْ مُحَمَّصَةً، كَما أَنَّها تُطْحَنُ لِيُتَّخَذَ مِنْها الخُبْزُ، أَوْ بَعْضُ أَنْواعِ العَصيدَةِ، أَوِ الحَريرةِ، كَما يُقَدَّمُ عَلَفاً لِلْحَيَواناتِ

Autant dire une graine de céréale.. 

Et c'est la correcte réponse.. 

Le poids (Al mîzan) est important en islam comme nous savons.. 

Et celui-ci doit être perceptible à l’œil nu.. puisqu'il est question de voir !

Tout est question de calcul le jour du jugement dernier.. 

Chaque petite action/réaction compte et se verra le jour du " Hîssab ".

 

Sur un autre registre, nous avons aussi l'équation de la taille.. 

Notons que celle-ci  est également perceptible à l’œil nu.. dans le Coran !

Un moustique en l’occurrence..

Le langage est clair : la taille d'un moustique et au delà (voire section en rouge).

 

وَبَشِّرِ الَّذِينَ آمَنُوا وَعَمِلُوا الصَّالِحَاتِ أَنَّ لَهُمْ جَنَّاتٍ تَجْرِي مِن تَحْتِهَا الْأَنْهَارُ ۖ كُلَّمَا رُزِقُوا مِنْهَا مِن ثَمَرَةٍ رِّزْقًا ۙ قَالُوا هَٰذَا الَّذِي رُزِقْنَا مِن قَبْلُ ۖ وَأُتُوا بِهِ مُتَشَابِهًا ۖ وَلَهُمْ فِيهَا أَزْوَاجٌ مُّطَهَّرَةٌ ۖ وَهُمْ فِيهَا خَالِدُونَ (25) ۞ إِنَّ اللَّهَ لَا يَسْتَحْيِي أَن يَضْرِبَ مَثَلًا مَّا بَعُوضَةً فَمَا فَوْقَهَا ۚ فَأَمَّا الَّذِينَ آمَنُوا فَيَعْلَمُونَ أَنَّهُ الْحَقُّ مِن رَّبِّهِمْ ۖ وَأَمَّا الَّذِينَ كَفَرُوا فَيَقُولُونَ مَاذَا أَرَادَ اللَّهُ بِهَٰذَا مَثَلًا ۘ يُضِلُّ بِهِ كَثِيرًا وَيَهْدِي بِهِ كَثِيرًا ۚ وَمَا يُضِلُّ بِهِ إِلَّا الْفَاسِقِينَ (26) الَّذِينَ يَنقُضُونَ عَهْدَ اللَّهِ مِن بَعْدِ مِيثَاقِهِ وَيَقْطَعُونَ مَا أَمَرَ اللَّهُ بِهِ أَن يُوصَلَ وَيُفْسِدُونَ فِي الْأَرْضِ ۚ أُولَٰئِكَ هُمُ الْخَاسِرُونَ (27) كَيْفَ تَكْفُرُونَ بِاللَّهِ وَكُنتُمْ أَمْوَاتًا فَأَحْيَاكُمْ ۖ ثُمَّ يُمِيتُكُمْ ثُمَّ يُحْيِيكُمْ ثُمَّ إِلَيْهِ تُرْجَعُونَ (28) هُوَ الَّذِي خَلَقَ لَكُم مَّا فِي الْأَرْضِ جَمِيعًا ثُمَّ اسْتَوَىٰ إِلَى السَّمَاءِ فَسَوَّاهُنَّ سَبْعَ سَمَاوَاتٍ ۚ وَهُوَ بِكُلِّ شَيْءٍ عَلِيمٌ (29)

 

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7 minutes ago, Capo said:

Autant dire une graine de céréale.. 

A la base le nom dharrâ (pluriel: dharr) désigne les larves de fourmi. 

Mais comme il est question de fi al-samâ' on pourrait déduire qu'il s'agit des particules de poussières étant donné que le verbe dharra renvoie à l'idée d’éparpillement de ce qui est pulévrulent. 

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