shadok 63 Posted January 26, 2021 Partager Posted January 26, 2021 (edited) Le professeur Kamel Bouzid a jeté un véritable pavé dans la mare ce dimanche, fustigeant l’incapacité de l’Algérie à déceler si la variante britannique de la Covid-19 est actuellement présente dans le pays et critiquant la gestion « ahurissante » du dossier de la vaccination contre le coronavirus en Algérie. « On ne fait pas de séquençage de la Covid-19, donc on n’est pas en mesure de dire si on a la variante britannique ou sud-africaine en Algérie à cette heure-ci », a affirmé le professeur Bouzid dans un entretien accordé à TSA. « Le séquençage se fait en France ou ailleurs. En Algérie, il y a des tas de séquenceurs mais personne ne sait les faire marcher. Ou alors ceux qui savent les faire marcher n’ont pas les réactifs. On est dans la problématique qu’il manque toujours dix-huit sous pour faire un franc », a dénoncé le chef du service d’oncologie au Centre Pierre-et-Marie-Curie (CPMC) d’Alger. « On ne sait pas si ces souches sont déjà rentrées dans le pays » « L’Algérie n’est pourtant pas à l’abri de ces variantes, que ce soit la britannique ou sud-africaine ou d’autres variantes qui seront découvertes. On ne sait pas si ces souches sont déjà rentrées dans le pays, faute d’avoir fait des séquençages en temps et en heure », souligne le Professeur. Le professeur Kamel Bouzid a également dressé un portrait morbide de la gestion du dossier de la vaccination contre la maladie à coronavirus Covid-19 en Algérie, faisant état d’un grand retard du pays sur cette question et évoquant une « cacophonie » qui règne. « L’Algérie est très en retard dans la vaccination. Il aurait fallu prendre ses dispositions dès le mois de juillet, ce qu’ont fait d’autres pays. Débarquer fin décembre pour dire on va vacciner en janvier, même le Qatar avec ses moyens ne le fait pas », a critiqué le professeur Bouzid. « Jusqu’à maintenant, c’est des vœux pieux », a estimé le professeur, faisant état d’une « cacophonie qui s’est installée à tous les niveaux. Certains disent que ça va venir dans quinze jours, d’autres dans six mois. Certains disent on va le payer, d’autres on ne va pas le payer. C’est du grand n’importe quoi », a-t-il fustigé. Pour tenter de remédier à cela, le professeur Bouzid appelle à ce qu’une personne soit « désignée par l’autorité » pour prendre seule la parole au sujet du dossier de vaccination. « Quand je dis l’autorité, je parle du président de la République et certainement pas de l’un des quatre ministres de la Santé de l’Algérie. Tout le monde est devenu expert en vaccins maintenant ? Soyons sérieux », a dénoncé le professeur. « Il aurait fallu anticiper dès le mois de mars, ce que l’Algérie n’a pas fait » Le professeur Kamel Bouzid a également affirmé que l’Algérie était en mesure d’acquérir le vaccin américain produit par Pfizer en collaboration avec l’allemand BioNTech, alors que des voix ont pointé du doigt les barrières logistiques que représenterait un tel vaccin pour l’Algérie compte tenu de la nécessité de stocker les doses à très basse température. « J’ai discuté ce matin avec quelqu’un de Pfizer. Ils sont prêts à mettre à la disposition de l’Algérie ce qu’ils appellent des spots qui permettent d’avoir 4000 doses congelées qu’on décongèle au bout de cinq jours et qui est utilisable », a fait savoir le professeur, estimant que « la question de la logistique se pose seulement pour les esprits étroits ». « Le seul problème pour Pfizer serait un problème de coût, mais pour la logistique on s’adapte, c’est aussi simple que ça. La Tunisie a acheté le vaccin de Pfizer, vous pensez que la Tunisie a des problèmes logistiques moindres que l’Algérie ? Non », a tranché le professeur. « L’urgence, c’est le vaccin quel qu’il soit. Je n’ai pas d’état d’âme, qu’il soit russe, chinois, indien, américain ou autre. Il faut qu’il y ait le vaccin pour les 45 millions d’Algériens. En enlevant les enfants pour qui ce n’est pas recommandé, il reste au moins 28 millions d’Algériens qu’il faut vacciner à commencer par le personnel soignant », a plaidé le professeur Bouzid, dénonçant l’absence de prévoyance de la part des autorités au sujet du vaccin. « La forte pression sur le vaccin, il fallait l’anticiper. Il aurait fallu anticiper dès le mois de mars, ce que l’Algérie n’a pas fait », a déploré le professeur. « Aujourd’hui on nous parle de 500.000 doses qui devraient venir, que certains disent qu’on va partager avec la Tunisie. Ça fait 250 000 doses. Avec deux doses nécessaires, ça fait 125 000 personnes vaccinées. Qui vont être ces personnes, sachant qu’il y a huit millions de personnes avec comorbidités qui ont besoin du vaccin tout de suite ? », s’est-il interrogé. « Il y a des choses qui sont en train de se passer autour de ce vaccin et de cette pandémie qui sont ahurissantes, c’est le cas de le dire », a conclu le professeur Kamel Bouzid. TSA 24 Janv. 2021 Edited January 26, 2021 by shadok Citer Link to post Share on other sites
shadok 63 Posted January 26, 2021 Author Partager Posted January 26, 2021 (edited) Loin de la propagande du tout va bien ... L'Algérie n’a pas les moyens de faire du séquençage pour détecter les nouvelles variantes du Covid-19 britanniques et sud-africaines qui sont peut-être entrées en Algérie C'est la cacophonie en matière de vaccination en Algérie. On veut bien se comparer aux Etats-Unis lorsqu'il s'agit du nombre de morts mais pas en matière de vaccination. Joe Biden vient d'annoncer un plan de vaccination ambitieux de 100 millions de doses en 100 jours ! Quel est le plan de l'Algérie ? Edited January 26, 2021 by shadok Citer Link to post Share on other sites
shadok 63 Posted January 26, 2021 Author Partager Posted January 26, 2021 (edited) Un autre professeur qui lance le même alerte : Quote Risques d’importer le variant anglais du Covid-19 : le Pr Khiati lance l’alerte Alors que la situation sanitaire liée à la pandémie de coronavirus semble stable depuis fin décembre en Algérie, des spécialistes commencent à s’inquiéter de l’éventuelle arrivée des variants du Covid-19. Le professeur Mustapha Khiati, président de la Forem, lance l’alerte. Il prévient contre « l’importation du variant anglais du Covid-19 » en Algérie, ce qui constituerait un « véritable problème » de santé publique pour le pays. Le Pr Khiati fait référence aux vols de rapatriement en provenance d’Europe. « Il y a un problème réel de la possibilité d’importer le variant anglais qui est plus contagieux. Et les études conduites dans ce pays ont prouvé qu’il (le variant) plus mortel », prévient le Pr Khiati. Ce variant se transmet de 30 à 70 % plus facilement, et le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré vendredi 22 janvier que le variant anglais du Covid-19, qui est présent dans une soixantaine de pays, « peut être lié à un degré plus élevé de mortalité ». « Il est impératif de faire recontrôler avec des tests PCR à l’aéroport d’Alger » « Il semble (également) maintenant qu’il existe des preuves que le nouveau variant, qui a été identifié pour la première fois à Londres, et dans le sud-est (de l’Angleterre), peut être lié à un degré plus élevé de mortalité », a déclaré Boris Johnson. Le variant anglais du Covid-19 a « amené l’Europe à rediscuter d’un retour aux frontières nationales. Cette situation nous oblige nous-mêmes à prendre des décisions rapides », soutient le Pr Khiati. Sans aller jusqu’à demander la suspension des vols de rapatriement, le Pr Khiati estime nécessaire un double contrôle au départ et à l’arrivée. « Si on ne peut pas suspendre les rapatriements qui sont en cours, tout au moins devrions-nous mettre en place un contrôle PCR au niveau de l’aéroport d’Alger à l’arrivée. Non seulement des examens PCR de moins de 48h doivent-ils être exigés pour tous les voyageurs qui prendront les vols, mais également il est impératif de les recontrôler avec un test PCR à l’arrivée à Alger », recommande-t-il. « Aucun séquençage n’a été effectué en Algérie » Le second point sur lequel le Pr Khiati a souhaité insister, c’est le séquençage du virus pour détecter les souches en circulation dans le pays. « Il n’est pas normal aujourd’hui qu’on ne sache pas ce qui se passe sur le plan épidémiologique en Algérie, autrement dit quels sont les virus qui sont en circulation dans le pays », critique le président de la Forem. Il explique que « depuis le début de la pandémie de la Covid, aucun séquençage n’a été effectué en Algérie, alors que l’on sait que certains laboratoires disposent de séquenceurs ». Pour lui, le séquençage est une urgence. « Aujourd’hui, il y a nouveau variant, il va falloir le détecter très rapidement et ne pas être obligé d’envoyer des prélèvements à l’étranger », suggère-t-il. TSA 24-01-2021 Edited January 26, 2021 by shadok Citer Link to post Share on other sites
Capo 372 Posted January 26, 2021 Partager Posted January 26, 2021 Il y a 4 heures, shadok said: « J’ai discuté ce matin avec quelqu’un de Pfizer. Ils sont prêts à mettre à la disposition de l’Algérie ce qu’ils appellent des spots qui permettent d’avoir 4000 doses congelées qu’on décongèle au bout de cinq jours et qui est utilisable » . TSA dans toute sa splendeur !! Macron faché = TSA fachée Journalisme de putes.. hihihi Pour les spots, que Pfizer les envoie au pauvre Liban.. qui compte 3 000 cas par jour et 50 morts ! 70% des nouveaux cas sont dûes aux variantes anglaises et sud-africaines.. et le séquençage se fait en France !! Le Liban gagnerait à fermer ses fichues frontières... car ces variantes vont probablement encore muter.. et devenir un casse-tête ! Les USA, eux-mêmes, vont prochainement fermer leurs espaces aériens aux pays gravement infectés par ces variantes.. Bien devrait signer le décret de fermeture dans quelques jours (ou quelques heures).. va savoir ! En ce qu'il s'agit de l'Algérie, je ne vois pas d'où ces variantes pourraient entrer en Algerie !? L'espace algérien est fermé depuis Mars 2020.. et les contrôles sont très strictes ! Nous ne sommes pas touchés.. Hamdoullah ! Mdrr.. Citer Link to post Share on other sites
shadok 63 Posted January 26, 2021 Author Partager Posted January 26, 2021 (edited) 11 hours ago, shadok said: Le Pr Khiati fait référence aux vols de rapatriement en provenance d’Europe. « Il y a un problème réel de la possibilité d’importer le variant anglais qui est plus contagieux. Et les études conduites dans ce pays ont prouvé qu’il (le variant) plus mortel », prévient le Pr Khiati. Il y a des gens qui souffrent du déni de la réalité Le risque que les variants du Covid-19 se retrouvent en Algérie est bien réel Les vols de rapatriement ont été suspendu vers le 18 décembre 2020 de France, d'Espagne, d'Allemagne, du Canada et des Emirates. La semaine passée, il y a eu encore des vols de rapatriement du Maroc Le variant anglais a été détecté en novembre au Royaume-Uni. Selon des études, il trouve probablement son origine dans le sud-est de l’Angleterre en septembre Rabi Yastour ! Edited January 26, 2021 by shadok Citer Link to post Share on other sites
Capo 372 Posted January 26, 2021 Partager Posted January 26, 2021 Le Professeur Bouzid est atteint du Syndrome Raoult.. lol Bouzid dirige le CPMC depuis des lustres.. il est oncologue de formation et de vocation ! Il est le professeur le plus chouchouté d'Algerie.. Il est un Dieu au CPMC (CHU de Mustapha).. Il n'existe pas une porte, un couloir, un corridor, un service, un bureau où il n'a pas accolé son nom aux murs.. 50 plaques au grand minimum.. son nom est partout.. du RDC au dernier étage.. lol L'état a doté le CPMC du meilleur équipement possible.. et des meilleurs traitements imaginables ! Le CPMC a été modernisé de fond en comble.. et son personnel compte presque un millier ! Les dons qu'il reçoit du public se compte par centaines de millions de centimes par mois.. Mais là, je suis désolé.. il est hors contexte ! Faut être taré pour accorder une interview à TSA-machin en ces temps qui courent.. Bouzid ne fait pas partie du comité scientifique en charge du Covid.. Qu'il s'occupe de ses oignons.. Qu'il reste dans son domaine.. le Cancer ! Le CPMC est à la traîne depuis des mois.. les RDV et les consultations des malades s'entassent à la pêle-mêle !! Bouzid prend de l'age.. et avec l'age les professeurs d'Algerie ont tendance à jeter leur révolu dans la politique !! C'est le Syndrome Raoult dont je parlais.. mais n'est pas Raoult qui veut !! Bouzid ne publie rien depuis des lustres.. il ne fait que papoter sur la chaîne 3 !! Mdrr.. Citer Link to post Share on other sites
Qarnabote 10 Posted January 26, 2021 Partager Posted January 26, 2021 Si l'Algerie echappe au mutation du covid , c'est qu'Allah protege reellement ce pays . Quand on sait comment le covid a fait ses premiers pas chez nous , il est plus qu'evident qu'avec le rapatriement qui a commencé le 23 decembre et si je ne dis pas de betise sans quarantaine obligatoire comme ce fut le cas au tout debut , la mutation anglaise ou que sais je d'autre est deja parmi nous . Suis en kabylie actuellement , et du moins dans la region ou je suis , personne ne porte de masques . Ni a lexterieur , ni a l'interieur des magasins . Les gens sont un peu revenu a la version du tout debut , cad le covid n'existe plus . 1 Citer Link to post Share on other sites
shadok 63 Posted January 27, 2021 Author Partager Posted January 27, 2021 (edited) Qu'Allah protège l'Algérie de l'entrée de ces variants du Covid-19 L'OMS a estimé à 60 le nombre de pays dans lesquels le variant britannique était présent Un 3ème professeur algérien (le Pr Ali Lounici de Tlemcen) tire la sonnette d'alarme Selon le Pr Lounici, si le variant britannique rentre en Algérie, il mettrait à genoux les capacités sanitaires de l’Algérie en 02 mois !! Quote Risque d’importer le variant anglais Covid-19 : la simulation glaçante du Pr Lounici En Algérie, l’inquiétude autour des risques liés à l’arrivée du variant anglais du Covid-19 prend de l’ampleur. Les spécialistes multiplient les alertes. Chef du service médecine interne au CHU de Tlemcen, le Professeur Ali Lounici met en garde contre les conséquences sur le système de santé national d’une arrivée du variant anglais du Covid-19 en Algérie. « S’il rentre en Algérie, ce variant britannique mettrait à genoux les capacités de l’Algérie (en matière sanitaire) en deux mois. Il a une capacité de propagation extrêmement rapide, qui peut dépasser de 70 % celle du variant classique », met en garde le professeur Lounici dans un entretien accordé à TSA. « Actuellement ce variant anglais est présent dans plus de soixante pays. Beaucoup de pays en Europe préconisent le confinement général parce qu’ils sont débordés », fait savoir le professeur. « Pour ce qui de l’Algérie, est-ce que les autorités publiques peuvent nous dire si l’Institut Pasteur d’Alger est capable de reconnaître le variant anglais dans la méthode de séquençage ? C’est la seule façon de savoir s’il est déjà là ou pas. Indépendamment de cela, il suffit de voir le trafic aérien. Est-ce que l’Algérie a eu un trafic aérien avec le Royaume-Uni ou des pays où se trouve le variant britannique ? », expose le professeur. « S’il est déjà présent, dans deux mois il va exploser » « À défaut d’avoir ces deux informations, on peut envisager l’hypothèse maximaliste, c’est-à-dire la plus grave, que ce variant va entrer ou est déjà présent. S’il est déjà présent, dans deux mois il va exploser », prévient le chef du service Médecine interne au CHU Tidjani Damerdji Pour convaincre du danger du variant anglais sur le système de santé en Algérie, le Pr Lounici livre une simulation glaçante. « Faisons une simulation. S’il touche mille personnes par jour, il va provoquer 1 à 2 % de mortalité. Il y aura donc dix à vingt décès. Il va provoquer 5 %, c’est-à-dire 50 personnes, qui vont nécessiter une assistance respiratoire. Il va également provoquer des formes sévères qui nécessitent une hospitalisation et de l’oxygène pour 150 à 200 personnes. Rien qu’avec 1000 contaminations par jour, au bout de quelques semaines, notre système de santé qui n’est pas très fort bien avant la Covid va s’écrouler en l’espace de quelques semaines », alerte le professeur Lounici. « Si le variant anglais arrive, l’Algérie n’a pas les moyens de faire face en matière de structures. Ça va être dix fois pire que la situation constatée en juillet/août dernier », met en garde le professeur. « Un point positif pour ce variant anglais, c’est que dans l’état actuel des choses il répond à l’immunité naturelle et la vaccination disponible actuellement y répond », rassure le chef du service Médecine interne au CHU Tidjani Damerdji. « Les mesures barrières efficaces pour le variant anglais » Le professeur Lounici tient également à faire savoir que les mesures barrières de prévention valables pour la version classique de la Covid-19 demeurent efficaces face au variant anglais. « Quelle que soit la mutation ou le variant, pour un pays comme l’Algérie qui ne fait pas le séquençage et qui n’a pas les moyens de savoir si le virus est déjà présent, le seul moyen de s’en sortir sont les mesures barrières », affirme le professeur. Ces mesures individuelles préventives concernent la distanciation physique, le port du masque et le lavage fréquent des mains, mais également l’aération fréquente des espaces, détaille le professeur Lounici. « L’aération régulière des espaces permet de réduire de 90 % la présence du coronavirus dans l’air », indique-t-il dans ce cadre. « En ce qui concerne les mesures collectives, j’espère que les autorités anticipent parce que le variant est au Portugal, à Marseille, etc. Le trafic aérien doit continuer à être suspendu avec tous les pays où le variant est présent », plaide le spécialiste. Un dernier point crucial qui permettrait à l’Algérie de faire face à ce variant anglais concerne la vaccination, signale le professeur Lounici. « Nous sommes en ce moment en situation épidémiologique extrêmement favorable. Le virus est actuellement en pleine baisse, en attendant la tempête. Je regrette que les autorités n’activent pas la campagne de vaccination, qui a été démontrée comme étant efficace pour réduire les formes sévères, les hospitalisations et les décès », préconise-t-il. « Il faut qu’il y ait une stratégie de déploiement opérationnelle et efficace. Il faut qu’on sache le nombre de vaccins qui va arriver et surtout l’équation de vacciner un maximum de la population en un minimum de temps. C’est le seul moyen qui permet d’avoir une immunité collective capable d’arrêter la propagation du virus », soutient le professeur Ali Lounici. Samedi, le Professeur Mostefa Khiati avait lancé l’alerte sur les risques liés à l’importation du variant anglais du Covid-19 en Algérie, et a demandé de renforcer les contrôles à l’aéroport d’Alger, avec la mise en place des tests PCR pour les Algériens rapatriés de l’étranger. TSA 26-01-2021 Edited January 27, 2021 by shadok Citer Link to post Share on other sites
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