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Tebboune procède à un remaniement partiel du gouvernement


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Le président Abdelmadjid Tebboune a procédé ce dimanche 21 février à un remaniement partiel du gouvernement, comme il l’a annoncé jeudi 18 février, dans son discours à la nation.

Le chef de l’État a maintenu Abdelaziz Djerad comme Premier ministre, mais il a limogé Ferhat Ait Ali (Industrie), Abdelmadjid Attar (Energie), Arezki Berraki (Ressources en eau), Mohamed Hamidou (Tourisme), Nassira Benharrats (Environnement) et Farouk Chiali (Travaux publics).

Il a nommé Mohamed Bacha à la tête du département de l’Industrie, Mohamed Arkab au ministère de l’Energie et des mines, Kamel Nasri à la tête des Travaux publics et des transports, Mustapha Kamel Mihoubi (Ressources en eau), Mohamed Ali Boughazi (Tourisme), Hocine Charhabil au département de la Numérisation et des statistiques, Tarek Belaribi au ministère de l’Habitat et de l’urbanisme, Dalila Boudjemaa (Environnement).

Le président Tebboune a maintenu les autres ministres et le nouvel exécutif compte 36 membres entre ministres et secrétaires d’État.

TSA
21-02-201

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Il est où le changement ?! 🙂

La plupart des ministres incompétents sont maintenus:  Abdelaziz Djerad, Belkacem Zeghmati, Kamel Rezig, Ammar Belhimer .... Quelle est la logique de maintenir ce clown de Kamel Rezzig ?!

Les seuls changements notables sont ceux de Ferhat Ait Ali qui a payé le prix de son opposition aux lobbies des importateurs d’automobiles et Abdelmadjid Attar a quitté le gouvernement après le jumelage du ministère avec celui des Mines à sa tête Mohamed Arkab

Une autre fois, nous avons la confirmation que ce n'est pas Tebboune qui nomme les ministres. Ca explique le dépassement du délais de 48h maximum annoncé par Tebboune

 

Edited by shadok
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L'hypocrisie à l'état pur de sa race.. 

Pourquoi s'en cacher ?

Le rêve de certains (la cible) était la justice.. 

Sauf que tous ceux qui misent sur le limogeage de Zeghmathi se fourrent le doigt dans l’œil.. 

Zeghmati est la pierre angulaire sur laquelle repose les réformes de Tebboune.. 

Il accompagnera Tebboune durant tout son mandat.. 

Ceux qui ne peuvent faire avec, peuvent toujours se cogner la tête contre un mûr - ça leur fera du bien.. lol

 

Djerad quant à lui, sera écarté après les législatives.. (retraite définitive) !

La majorité parlementaire choisira son Premier Ministre.. 

Tebboune aura le dernier mot s'agissant des ministères de souveraineté.. 

Tout cela est dans la nouvelle constitution - élémentaire comme dirait Mister Watson !!

 

Mdrr.. 

 

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Ce remaniement, annoncé en grandes pompes, est la risée de tous les algériens. La montagne qui a accouché d'une souris ! 😁

Tebboune avait annoncé que le remaniement ministériel toucherait les secteurs ayant enregistré des lacunes. Résultat les deux ministres les plus compétents dans leurs domaines : Ferhat Ait Ali et Abdelmadjid Attar sont limogés alors que les ministres médiocres, qui étaient préssentis d'être lomogé (Djerrad, Rezig ...), sont maintenus.

Autre constat : des 5 ministres limogés, 2 se réclament du Hirak: Ferhat Ait Ali et Youcef Sehairi. Une belle réponse aux gens qui croient qu'on peut changer le système de l’intérieur

On remarque également le retour de deux anciens ministres de Bouteflika : Mohamed Ali Boughazi au Tourisme et Dalila Boujemaa à l’Environnement

Pour courroner le tout on annonce le même jour la confirmation de Salah Goudjil (90 ans) à la tête du Sénat

Vive la Nouvelle Algérie 😁

 

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Le 28 décembre, Abdelmadjid Tebboune avait nommé Premier ministre Abdelaziz Djerad, un universitaire de 65 ans, ancien secrétaire général de la présidence (1993-1995) puis du ministère des Affaires étrangères (2001-2003), et l’avait chargé de constituer un gouvernement.

En Décembre il nomme Premier ministre Abdelaziz Djerad, ancien secrétaire général de la présidence (1993-1995)  lors de la décennie noire et ministère des Affaires étrangères (2001-2003) avec Bouteflika, afin de constituer un gouvernement. Puis deux mois après il vient après une maladie de plusieurs mois, s’adresser à la Ouma, chose inédite, pour berner les algériens alors que onze ministres étaient au sein des ministères de la honte avec Bouteflika. Je citerais les postes les plus importants dans un état qui se respecte, ce qui n’est bien sur pas notre cas. Comment respecter des fossoyeurs d’un pays comme l’Algérie ?

Sabri Boukadoum conserve le portefeuille des Affaires étrangères, dont il était déjà le titulaire dans le gouvernement de Noureddine Bedoui, nommé le 31 mars par le président Bouteflika, deux jours avant sa démission.

Kamel Beldjoud, le ministre de l’Habitat dans le gouvernement Bedoui, devient ministre de l’Intérieur, poste dont il assurait l’intérim depuis le limogeage le 19 décembre de son titulaire Salah Eddine Dahmoune, coupable d’avoir traité les manifestants du « Hirak » de « traîtres, mercenaires, homosexuels ».

Belkacem Zeghmati, déjà ministre de la Justice du gouvernement Bedoui, conserve lui aussi son portefeuille, de même que Mohamed Arkab à l’Énergie, Chérif Omari à l’Agriculture et Youcef Belmehdi aux Affaires religieuses.  le procureur Belkacem Zeghmati, cheville ouvrière de la purge orchestrée par Gaïd Salah ?

Abderrahmane Raouya redevient ministre des Finances, poste qu’il avait déjà occupé entre 2017 et fin mars 2019 sous la présidence Bouteflika, dans le gouvernement d’Ali Baba Ahmed Ouyahia.

Avec ce scénario réchauffé à chaque fois pour qu’il nous soit servi sans dessert, je ne sais si cette mafia nous prend pour des mongoliens ou elle le fait sciemment pour nous sortir de nos gonds. Tous des hommes du système mafieux.

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Quand le hirak disait ‘’aytnahaw gha3’’ ce n’était pas des paroles en l’air, non. Il faut imaginer un système mécanique avec un moteur bien huilé qui fait marcher tout un ensemble automatique. Ce moteur bien huilé doit-être sain où la moindre poussière n’y doit s’infiltrer car elle endommagerait, mécaniquement tout le système. C’est ainsi que tous les responsables de l’état sans aucune exception sont des corrompus, mafieux à une échelle proportionnelle au poste qu’ils occupent. car si un seul responsable est sain, il devient la poussière qui pourrait altérer le moteur. Ils doivent tous sans exception partir et la seule solution c’est un hirak serein, pondéré sans aucune animosité. Nous prions Allah pour que ce hirak réussisse et je vais de ce pas partir rejoindre mes frères

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