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Décès de Me Ali Yahia Abdennour, combattant acharné et exemplaire pour les droits de l’Homme


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Maître Ali Yahia Abdennour, combattant acharné et infatigable des droits de l’homme en Algérie, est décédé ce dimanche 25 avril à son domicile. L’avocat, qui a été brièvement ministre aux premières années de l’indépendance, a consacré toute sa vie à la lutte pour le respect des droits de l’homme et des libertés.

Né le 18 janvier 1921 à Aït Yahia, maître Ali Yahia avait fêté ses 100 ans en janvier dernier et a reçu des hommages appuyés y compris de ses détracteurs qui n’ont pas compris que chez cet homme, les droits de l’homme ne se morcellent pas. En dépit de campagnes de presse dont certaines ont été des sommets de vilenie, Me Ali Yahia n’a jamais transigé, les droits de l’homme, c’est pour tous les hommes.

La rédaction de 24H Algérie tient à rendre hommage à cet homme au parcours exemplaire. 

Ali Yahia Abdennour: la traversée du siècle en combattant

Cette chronique de Saïd Djaafer a été écrite et lue sur Radio Corona à l’occasion des 100 ans de Me Ali Yahia Abdennour, qui vient de nous quitter. C’est incontestablement un grand homme, un homme qui n’a jamais renoncé à défendre les droits humains et les libertés. Toutes les libertés et pour tous les humains au-delà de leurs idées, leurs convictions et leurs origines. 

Un centenaire cela se fête. Le centenaire d’un homme qui a consacré l’essentiel de sa vie à la lutte pour la liberté et la dignité encore plus. Je rends grâce du fait que Ali Yahia Abdennour est toujours vivant pour entendre les hommages unanimes qui lui sont rendus. J’imagine qu’il doit en sourire, lui qui a essuyé toutes vilenies possibles pour son engagement  Cet homme a défendu tout le monde, gauchistes, communistes, berbéristes, islamistes, syndicalistes, arabisants, francisants.. et il l’a fait avec une forte et égale conviction. Et ne s’agit pas simplement d’une attitude d’avocats qui défend une clientèle diversifiée. Pour Me Ali Yahia, c’est autant un sacerdoce qu’un engagement politique. 

Un défenseur radical des droits de l’homme

Contrairement à ce que peuvent suggérer les hommages actuels – et ils sont les bienvenus tous, certains peuvent être pris comme une contrition, une demande de pardon   – Ali Yahia Abdenour, n’a pas  été “consensuel” car il a été défenseur radical des droits de l’homme. Et il en a reçu des insultes pour son refus de saucissonner les droits de l’homme, chose courante en Algérie où l’adversaire politique est catalogué comme ennemi, voire dépouillé de son humanité. Ali Yahia Abdennour a subi toutes les accusations possibles car il considère qu’un militant des droits de l’homme ne doit pas choisir entre les victimes de la violence et de la répression mais qu’il doit les défendre toutes. Ali Yahia est un progressiste mais il n’a jamais accepté l’idée qu’il fallait défendre les siens et abandonner les autres. Dieu sait que cela n’est guère évident, cette capacité de dépasser ses propres parti pris.

Au coeur des années terribles 

 La pire période pour l’Algérie et pour maître Ali Yahia a été les années 90. Il était contre l’arrêt du processus électoral qu’il considérait comme un coup d’Etat, il s’est battu comme un diable contre les cours spéciales, il a été signataire du contrat de Rome. On avait eu au lendemain des évènements d’octobre 1988, la mise en place d’un comité national contre la torture, dirigé par ce qu’on appelle des progressistes. Ils ont fait du bon boulot. Mais en 1992, ils ont choisi de se saborder pour ne pas avoir à s’occuper des choses malsaines qui arrivaient et dont seront victimes leurs adversaires. 

Un humain est un humain

Rien de tel chez Ali Yahia, un humain est un humain et il se défend contre l’arbitraire et peu importe ses convictions ou ses idées. Je le cite: “J’ai défendu les prisonniers de toutes les couleurs politiques de l’arc-en-ciel. Quand les droits de l’homme sont bafoués, je ne cherche pas à savoir si la victime est démocrate ou islamique pour lui porter aide et assistance. Il n’y a pas de différences entre toutes les victimes de la répression, affectées du même coefficient d’humanité, car les droits de l’homme sont au-dessus de tous les clivages politiques ou idéologiques.” 

Tout Ali Yahia est dans cet impératif catégorique. Et pour cette raison, les pires insultes sont venues de ceux qui étaient en théorie étaient dans son camp naturel, les progressistes ou démocrates, durant les années 90. Certains, oublieux qu’il les avait défendus, le traitaient d’avocat des “intégristes”, d’autres n’ont pas hésité à lui faire un procès en trahison, ainsi qu’à Ait Ahmed et Mehri, après la signature du contrat de Rome.

C’est durant cette période que l’expression censée être méprisante de droitdelhommiste a été lancée. Nous avons été heureux d’avoir un Ali Yahia, droit de l’hommiste impénitent dans la vie de ce pays, son parcours est une leçon. Joyeux anniversaire maître. 

24hdz
25-04-2021

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je n'aime pas l'hypocrisie, encore plus en politique, ça fout en l'air toute une société et son avenir

les algériens aujourd'hui qui zaama parlent de ce grand personnage,  comme s'ils étaient d'accord avec ce qu'il disait lors de la periode 1988 1992, avec son parti le FFS d'Ait Ahmed

toute les medias francophones et une grande partie des "modernistes" etaient farouchement contres sa politique et aujourd'hui, zaama à pleurniche à chaudes larmes

yaww  machi mlih lekdeb,  on paie cher l'hypocrisie

evidement, je ne vises pas ceux ici qui ont fait des commentaires, je vise l'ensemble de ceux qui pleurent Abdenour ali yahia ( sauf ses vrais partisans d'antan ) 

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 je l'ai précisé, je peux donner des noms, mais je ne peux pas me limiter à quelques uns, il y'en a des millions

quand je parle de presse francophone ( l'arabophone est toujours hors champs, c'est un autre monde dont je m'attarde jamais  )  je vise précisement les "modernistes" dont  énormemement de kabyles mais évidement pas tous ( il ne faut pas jouer au jeu régionaliste à la noix, c'est pas mon choix ) .... des laics, ceux d'aujourd'hui qui sont au Hirak via le RCD par exemple mais pas que..... tiens un nom me revient, Zoubida Assoul sans meme verifier lol lol lol 

ces gens la, avaient pissé ouvertement sur la mouvance politique d'Abdenour ali yahia, à savoir le FFS en s'alliant avec le Pouvoir militaire, avec zaama des pincettes ( wa el fahem yafham ) 

Je sais qu'en général, les gens ont la mémoire courte, pour l' immense majorité des Algériens,  Gt Egedio c'est carrément le moyen âge et ça ne mérite pas d'y revenir ( alors qu'en réalité, on est encore en plein dedans, et donc pas sorti du dilemme St Eugedio ) 

et ça vient pleurnicher la mort d' un mec qu'ils avaient ignoré quand il était  ( lui et les militants du FFS ) capable d'orienter autrement la politique du gouvernement qui est devenue depuis 1992, une politique pseudo nationaliste, en réalité mafieuse.

voilà pourquoi entre autres, le Hirak n'est pas viable.

 

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merci shadok, même si on est pas du meme bord politique, quand j'évoque une situation donnée, je peux ne pas être précis, ça fait plaisir d'être compris

 donc, tu  les a parfaitement résumé, meci pour la précision 

evidement, quand j'ai visé quelques "clans" ou "groupes" ce n'est pas pour diviser ou offenser quiconque, mais une vérité ne doit jamais être cachée, sinon elle se retourne inévitablement sur l'ensemble de la société

la societé algérienne MERITE toutes les tragédies futures, parce que dans la vie, le plus grave, ce n'est pas de faire des erreurs, mais de les répéter, et surtout en faisant en sorte d'oublier l'Histoire, la Vraie, sans pleurnicheries

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Il y a 23 heures, shadok said:

Maître Ali Yahia Abdennour, combattant acharné et infatigable des droits de l’homme en Algérie, est décédé ce dimanche 25 avril à son domicile. L’avocat, qui a été brièvement ministre aux premières années de l’indépendance, a consacré toute sa vie à la lutte pour le respect des droits de l’homme et des libertés.

Né le 18 janvier 1921 à Aït Yahia, maître Ali Yahia avait fêté ses 100 ans en janvier dernier et a reçu des hommages appuyés y compris de ses détracteurs qui n’ont pas compris que chez cet homme, les droits de l’homme ne se morcellent pas. En dépit de campagnes de presse dont certaines ont été des sommets de vilenie, Me Ali Yahia n’a jamais transigé, les droits de l’homme, c’est pour tous les hommes.

La rédaction de 24H Algérie tient à rendre hommage à cet homme au parcours exemplaire. 

Ali Yahia Abdennour: la traversée du siècle en combattant

Cette chronique de Saïd Djaafer a été écrite et lue sur Radio Corona à l’occasion des 100 ans de Me Ali Yahia Abdennour, qui vient de nous quitter. C’est incontestablement un grand homme, un homme qui n’a jamais renoncé à défendre les droits humains et les libertés. Toutes les libertés et pour tous les humains au-delà de leurs idées, leurs convictions et leurs origines. 

Un centenaire cela se fête. Le centenaire d’un homme qui a consacré l’essentiel de sa vie à la lutte pour la liberté et la dignité encore plus. Je rends grâce du fait que Ali Yahia Abdennour est toujours vivant pour entendre les hommages unanimes qui lui sont rendus. J’imagine qu’il doit en sourire, lui qui a essuyé toutes vilenies possibles pour son engagement  Cet homme a défendu tout le monde, gauchistes, communistes, berbéristes, islamistes, syndicalistes, arabisants, francisants.. et il l’a fait avec une forte et égale conviction. Et ne s’agit pas simplement d’une attitude d’avocats qui défend une clientèle diversifiée. Pour Me Ali Yahia, c’est autant un sacerdoce qu’un engagement politique. 

Un défenseur radical des droits de l’homme

Contrairement à ce que peuvent suggérer les hommages actuels – et ils sont les bienvenus tous, certains peuvent être pris comme une contrition, une demande de pardon   – Ali Yahia Abdenour, n’a pas  été “consensuel” car il a été défenseur radical des droits de l’homme. Et il en a reçu des insultes pour son refus de saucissonner les droits de l’homme, chose courante en Algérie où l’adversaire politique est catalogué comme ennemi, voire dépouillé de son humanité. Ali Yahia Abdennour a subi toutes les accusations possibles car il considère qu’un militant des droits de l’homme ne doit pas choisir entre les victimes de la violence et de la répression mais qu’il doit les défendre toutes. Ali Yahia est un progressiste mais il n’a jamais accepté l’idée qu’il fallait défendre les siens et abandonner les autres. Dieu sait que cela n’est guère évident, cette capacité de dépasser ses propres parti pris.

Au coeur des années terribles 

 La pire période pour l’Algérie et pour maître Ali Yahia a été les années 90. Il était contre l’arrêt du processus électoral qu’il considérait comme un coup d’Etat, il s’est battu comme un diable contre les cours spéciales, il a été signataire du contrat de Rome. On avait eu au lendemain des évènements d’octobre 1988, la mise en place d’un comité national contre la torture, dirigé par ce qu’on appelle des progressistes. Ils ont fait du bon boulot. Mais en 1992, ils ont choisi de se saborder pour ne pas avoir à s’occuper des choses malsaines qui arrivaient et dont seront victimes leurs adversaires. 

Un humain est un humain

Rien de tel chez Ali Yahia, un humain est un humain et il se défend contre l’arbitraire et peu importe ses convictions ou ses idées. Je le cite: “J’ai défendu les prisonniers de toutes les couleurs politiques de l’arc-en-ciel. Quand les droits de l’homme sont bafoués, je ne cherche pas à savoir si la victime est démocrate ou islamique pour lui porter aide et assistance. Il n’y a pas de différences entre toutes les victimes de la répression, affectées du même coefficient d’humanité, car les droits de l’homme sont au-dessus de tous les clivages politiques ou idéologiques.” 

Tout Ali Yahia est dans cet impératif catégorique. Et pour cette raison, les pires insultes sont venues de ceux qui étaient en théorie étaient dans son camp naturel, les progressistes ou démocrates, durant les années 90. Certains, oublieux qu’il les avait défendus, le traitaient d’avocat des “intégristes”, d’autres n’ont pas hésité à lui faire un procès en trahison, ainsi qu’à Ait Ahmed et Mehri, après la signature du contrat de Rome.

C’est durant cette période que l’expression censée être méprisante de droitdelhommiste a été lancée. Nous avons été heureux d’avoir un Ali Yahia, droit de l’hommiste impénitent dans la vie de ce pays, son parcours est une leçon. Joyeux anniversaire maître. 

24hdz
25-04-2021

Qu'il repose en paix, 100 ans c'est magnifique si c'est sans souffrance.

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je ne comprends plus rien des personnes qui mettent en exergue leurs propres ennemis pour dénigrer un homme reconnu par sa probité. des millions dit-il, incroyable et il ose parler de Sant Egidio qui était en ce temps une véritable porte de sortie qui aurait pu nous faire le bénéfice d'une guerre horrible de 10 ans qui nous a valu non seulement de revenir en arrière de plusieurs années, mais aussi la main mise d'un système  mafieux qui a investi toutes les institutions de l'Etat  qui est tombé en plus sur les mains des criminels à la solde de la France et les Emirats, mais aussi d'une oligarchie inculte, sans vergogne comme des limaces rampant sur le corps de l'Algérie lui suçant son sang. je ne comprends pas ces gens qui tirent sur tout ce qui bouge. personne ne leur convient, tous sont mauvais si ce n'est eux. alors que la situation en Algérie est clair comme l'eau de roche. vouloir jouer à l'intello pour aller dans le sens contraire de la logique criarde c'est devenir, ça s'appelle perdre la boussole. celui qui vient pour reboucher des trous d'une habitation n'est pas pareil à celui qui veut détruire cette habitation pour l'acquérir. si je te demande de me montrer ton nez pourquoi tu me montre ton derrière?

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alors que la situation en Algérie est clair comme l'eau de roche

non ya akhi la situation n'a jamais été clair, peut être pour toi, mais malheureusement, ceux qui nous ont gouverné ( avant même de prendre le pouvoir effectif  ) et nous gouvernent toujours,  n'ont jamais été clair sur leur intentions, ou du moins, n'ont jamais été transparents dans la manière de décider pour le Peuple dont ils sont censés êtres les élus ( démocratiquement ou non ) 

du reste, c'est le propre de toute "Entreprise", "Pouvoir" ou toute initiative humaine, on aime les cachoteries, c'est ainsi que l'Homme, contrairemet aux autres vivants ( plantes et animaux ) EST FAIT, le Mensonge est sa seconde  nature.

St Eugedio ( dont Abdenour ali yahia faisait partie ) n'était pas la panacée c'est sur, on aurait préféré éviter d'arriver à cette crise lamentable et sanguinaire

comme d'ailleurs  "la constituante" dont réclamait en vain le FFS durant toute la vie d'Ait Ahmed, et qui n'est pas facile à appliquer pour une population déjà bien "cadrée" et  opportunement  divisée depuis les années 60 et meme avant,

en Tunisie à côté ont préféré bouffer leur pain noir tout de suite ( avec tous les risques )  ça passe ou ça casse, c'est ça une vraie Révolution, et inchallah, un vrai pays exemplaire qu'on était censé logiquement l'être, 1 million et demi de martyrs pour finir épouvantail au monde entier, en tous cas, comme le dernier de la classe !

donc St Eugedio était  juste une tentative pour sortir effectivement comme tu dit de la crise provoquée par le "coup d'état des janvieristes" et la réaction "animale" des islamistes,  sauf que le rapport de force a été largement au bénéfice des militaires putchistes, non pas qu'ils étaient forts, mais juste machiavéliques dans leur entreprise d'autodestruction de notre pays ( sauf la nomenklatura bien protégée ) en impliquant par la propagande, la corruption ( Said Sadi avait troqué sa maison  perchée la haut dans la montagne de son village perdu contre un Palais à El Biar lol lol )

  et l'intimidation de tous les autres  "sanafirs" qui avaient endormis par tous les moyens la population y compris par la terreur.....qui jusqu'à aujourd'hui  n'a pas été decortiquée parce que interdite, et surtout ça fouterait un merdier pas possible au sein de la société avec des reglements de compte ( Le directeur d'El Watan est devenu milliardaire avec son journal bidon à fake news  quotidiens  )

idem pour les autres :médias et partis, etc, tout est resté miné  par un chantage systémique : tu coupes et tu divise une population en deux : l'une globalement "moderniste" et l'autre islamiste",  comme le découpage est faussé, diabolique et violent, forcément, tout ce beau monde fini par accepter, admettre et jusqu'à applaudir l'arbitre, et qui est l'arbitre ? le mafieux qui a tout inventé pour demeurer au Pouvoir.

concrétement, on est contraints de répéter nos mensonges, nos problèmes,  nos massacres, nos divisions, parce qu'on a ENSEMBLE  forcés , complices ou apeurés, mis un couvercle  sur ce qui s'est passé et qui étaient les vrais responsables de la tragédie

bref, ceux qui marchent les vendredit doivent au minimum, faire un peu de nettoyage, mais s'ils se hasardent à le faire, il n'y aura plus de Hirak ! elle n'est pas belle la vie ?  et pourquoi donc ? parce qu'on peux mentir un temps et à quelques uns, mais on ne peux pas mentir à tout le monde tout le temps ! 

voilà ce qui risque  bientôt de survenir sans même savoir d'ou ça sortirait, parce que le Mensonge ne peut pas être permanent, et les chats ne font pas des chiens et vice verca ( on ne peux pas faire une révolution avec un panier à crabes ) 

allez oust, le RCD, la Zoubida Assoul, et 50 % du hirak, dévoilez vous, reconnaissez que vous n'êtes qu'une aile soft ( sous marin )  d'un clan des militaires, le restant, la encore, il y a à boire et à manger !

voilà pourquoi, au mieux, le Hirak est un allié du Pouvoir qu'il est censé dénoncer zaama de toutes ses forces.... et ce Pouvoir a le temps pour lui...et sutout le 'cabinet noir' qui continue les manipulations tous azimuts.

 

Edited by tizi oualou
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