Capo 372 Posted May 16, 2021 Partager Posted May 16, 2021 Dans notre numéro de Janvier 2021, nous avons étayé notre suspicion envers la vaccination antigrippale en montrant que cette dernière était clairement corrélée aux flambées coronavirales. Entretemps et par la suite, nous avons donné la parole à des scientifiques expliquant comment l’immunisation artificielle pouvait perturber l’immunité naturelle des individus et semer la pagaille dans le microcosme qui les entoure. Les lecteurs de notre mensuel ont découvert les phénomènes de déplacement et de remplacement épidémiques, les notions de « toxicité communautaire » ou de « péché antigénique originel », et surtout l’existence des anticorps facilitant et aggravant les infections. Ceux-ci peuvent être « dopés » par les injections intempestives et c’est pourquoi le vaccin covid inquiète tellement certains médecins et chercheurs. Je pense, entre autres, à la microbiologiste irlandaise Dolorès Cahill, à son homologue allemand Sucharit Bhakdi et à la généticienne Alexandra Henrion-Caude. En plus d’alerter sur la gravité des effets secondaires immédiats et sur les dangers à long terme de la technologie à ARN messager, ces trois experts avertissent que les personnes vaccinées pourraient payer un lourd tribut dès l’automne prochain, lorsqu’elles vont rencontrer un quelconque coronavirus « ancien ». Alexandra vient d’ailleurs de s’associer à un appel de 57 scientifiques et médecins demandant l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination en cours. La perspective d’une hécatombe automnale parmi les inoculés n’est pas un scénario né dans l’imagination de fadas du grand complot mais une hypothèse réaliste formulée par des savants de premier plan. Plus que jamais, j’invite ceux qui me lisent à se défier des vaccins en général et de ceux contre le covid en particulier. Le scénario qui monte Maintenant, faut-il également se méfier des vaccinés et fuir leur proximité ? Depuis deux semaines, la toile bruisse de rumeurs alarmistes et les médias sociaux résonnent de messages franchement catastrophistes : les personnes ayant reçu un des quatre vaccins autorisés en Occident seraient contagieuses pour leurs proches et ceux-ci pourraient développer des symptômes. Pire : ils seraient à leur tour la proie des désormais célèbres « protéines Spike » et ces dernières auraient le pouvoir d’entraîner les graves et spectaculaires troubles vasculaires caractéristiques du covid sévère. Ce n’est pas un fantasme sorti de nulle part car les « médecins de première ligne » américains (America’s Frontline Doctors) ont évoqué cette éventualité dans un article paru le 26 avril. Selon leurs explications, les vaccins engendrent la production massive de protéines Spike chez les receveurs et leur excrétion par la peau ou la salive serait à l’origine de transmissions par simple contact. Plus pathogènes que le virus entier, ses picots protéiques auraient la propriété de déclencher des maladies auto-immunes (où le corps attaque ses propres tissus) chez certaines personnes. Dans le monde entier, on signale des cas de péricardites, de zonas, de pneumonies ou de thromboses chez des personnes non-vaccinées mais en relation étroite avec des personnes vaccinées. On rapporte surtout des cas de règles complètement dérèglées, de saignements vaginaux abondants et de fausses couches. D’après les échos les plus pessimistes, les gens vaccinés deviendraient ainsi des « bombes biologiques » pour leur entourage et même pour ceux qui fréquentent leur entourage ! Si vous n’avez pas encore été alertés par d’autres médias alternatifs, je vous invite à lire cet article qui résume bien la problématique. Et si vous ne l’avez pas encore fait , je vous convie aussi à visionner la dernière « Conversation du Lundi » postée sur sa chaîne privée par Jean-Jacques Crèvecœur. Notre ancien collaborateur prend très au sérieux ce scénario émergent et il a mis sous sa vidéo toutes les sources accréditant la thèse des « vaccinés dangereux pour la santé ». Personnellement, je n’ai pas encore d’opinion tranchée sur le sujet mais j’éprouve des réticences à céder à la psychose naissante. J’en énumère quelques raisons dans la suite de mon billet. Une épine très anodine D’abord, j’aimerais rappeler que la « fameuse protéine Spike » n’est pas une redoutable et sanguinaire ennemie surgie en 2020 dans notre biotope. Nommée aussi « spicule » ou « péplomère », cette mini-protubérance pointue n’est nullement l’apanage du sars-cov-2. On la retrouve dans tous les types de coronavirus, et même dans une myriade d’autres virus impliqués dans des banals syndromes grippaux. Il suffit d’ouvrir une page Wikipédia pour constater que la terrifiante épine est en réalité très ordinaire, et d’ordinaire très anodine. Certaines formes de protéines à piques sont même présentes dans le corps humain où elles participent aux processus enzymatiques. À l’instar du « nouveau » corona présenté abusivement par le narratif officiel comme un assaillant sans pitié, sa partie épineuse ne me semble pas mériter un procès en sorcellerie. À mes yeux, la spicule ne devrait pas susciter plus d’appréhension que son véhicule viral. Est-ce que le nombre fait une différence ? Est-ce que les milliards de péplomères apportés par le vaccin ou autofabriqués sur injonction de l’ARN messager constituent un danger ? Pour le vacciné, c’est évidemment une possibilité à ne pas écarter. Pour le non vacciné, en revanche, je demande à voir. Selon une étude que je vous ai déjà citée, les personnes vaccinées contre la grippe saisonnière excrètent six fois plus de particules virales que les non-vaccinées. Or, que je sache, leurs proches ou leurs médecins ne sont pas particulièrement accablés chaque année par les Influenzae de type A ou B. Jusqu’à preuve du contraire, les vaccinés ne sont pas « contagieux » pour les non-vaccinés. Ce qui pourrait justifier l’anxiété, c’est bien sûr qu’ici, la protéine Spike est isolée de son support naturel, trafiquée génétiquement et « bombardée » massivement dans l’organisme des injectés. Il n’est donc pas exclu que cette manipulation inédite du vivant débouche sur des dégâts collatéraux tout aussi imprévus, voire prévus si l’on souscrit au récit d’une attaque bioterroriste. Jusqu’à plus ample informé, je m’en tiens pour ma part à une relative insouciance et je ne compte pas préconiser la distanciation sociale par rapport aux vaccinés. J’ai vu ma vieille maman dimanche dernier et je ne me suis pas privé de la fêter en la serrant dans mes bras. Dans les cercles résistants que je fréquente, je m’oppose également à l’ostracisme ou aux gestes-barrières envers ceux qui ont cru à la « seule solution » vaccinale et se croient protégés. Il est vrai que, contrairement à Jean-Jacques Crèvecœur, je n’ai recueilli aucun témoignage crédibilisant les « contaminations » de non-vaccinés par des vaccinés. Je suppose que mon appréciation évoluerait si ça devait changer et si on me rapportait de source sûre de tels événements. Mais tant qu’à présent, je reste zen et suggère de rester zen. Une étude critiquable Une autre raison majeure de mon flegme est cette étude du Salk Institute agitée comme un épouvantail. Dans leur laboratoire, les chercheurs de cette institution vaccinaliste ont créé un « pseudovirus » entouré de la couronne à pointes du sars-cov-2 et ont exposé un « modèle animal » à cet assemblage bricolé. Selon les auteurs de cette expérience, les hamsters auraient rapidement développé des symptômes assez typiques du covid, à savoir des lésions des poumons et des atteintes vasculaires. Conclusion péremptoire: la seule protéine Spike suffirait à provoquer la maladie. Et du coup, beaucoup en déduisent un peu vite que les épines baladeuses seraient également dangereuses pour ceux qui s’y exposent par sécrétions interposées. Mais ça veut dire quoi, « exposer un modèle animal » ? Dans l’étude, il est précisé que le matériel protéique a été « administré » aux pauvres bêtes martyrisées, ce qui signifie très probablement qu’il leur a été injecté. C’est toujours pareil avec les expérimentateurs sur animaux : ils soumettent leurs victimes à des procédures purement artificielles et comme ils parviennent à les rendre malades, ils s’imaginent que ça se passe comme ça dans un contexte naturel. Même en évacuant la question – pourtant essentielle – du stress infligé aux cobayes, le simple recours à la seringue est déjà un biais expérimental qui enlève toute valeur à ce type de test. Dans la vraie vie, les spicules ne pénètrent pas un organisme vivant via une aiguille ! Vous me direz que les laborantins ont aussi reproduit le schéma en éprouvette, sur des cellules endothéliales « exposées » à des protéines Spike. Vu que les premières ont également beaucoup souffert, ils en concluent que le lien causal est confirmé et que le péplomère est vraiment un immonde sous-agent infectieux capable d’expédier au cimetière. Halte là ! C’est un fait bien connu en science que les résultats obtenus In vitro n’ont souvent rien à voir avec ceux obtenus In vivo. Ce qui se passe dans un tube à essai ne permet pas de juger ce qui peut se passer dans la très complexe machinerie humaine. Les cellules cultivées ont trinqué sous l’avalanche de protéines piquantes ? Et alors ? C’est un peu comme si on vous enfonçait dans un seul doigt des milliers d’échardes à la fois. Je ne pense pas qu’ils vous viendrait à l’idée de considérer le minuscule bout de bois comme un péril en soi. Avec ce genre d’études biaisées à la base, on peut facilement inventer une menace imaginaire et construire toute la narration qui va derrière. Ne glaçons pas notre sang ! Ma réticence à l’alarmisme tient aussi à mon scepticisme envers ce qu’on appelle la « piste vasculaire ». Selon cette version du narratif covidiste, la grippe covid serait vraiment exceptionnelle par l’ampleur et la fréquence des troubles thrombotiques soi-disant provoqués par le virus. Or rappelez-vous ce que j’écrivais dans mon infolettre du 30 septembre : les micro-thromboses disséminées sont des symptômes qui se manifestent aussi dans des pneumopathies virales ou bactériennes « classiques ». Les troubles de la coagulation n’ont rien de très anormal dans un tableau clinique de genre grippal avec complications. Et d’ailleurs, la seule étude qui a autopsié des cadavres de « covidécédés » pour les comparer à des défunts de 2009 (grippe H1N1) n’a rien trouvé de très insolite. Juste une déformation légèrement plus visible des capillaires pulmonaires et un nombre plus élevé de micro-caillots sanguins en 2020. Et si ce phénomène était simplement la rançon du confinement et le reflet de la peur éprouvée par les populations terrorisées par les médias et les autorités ? Comme je le soulignais en septembre, la peur panique pétrifie un individu et la langue française nous dit qu’elle peut lui « glacer le sang ». Les caillots, qui sont des sortes de pierres, sont la traduction somatique de ce ressenti de sidération. En répandant l’épouvante, les décideurs ont certainement multiplié leur nombre chez des personnes prédisposées. Et comme ceux qui ont trouillé s’empressent aujourd’hui de se faire vacciner, on ne doit pas s’étonner que le vaccin provoque fréquemment de graves effets secondaires vasculaires liés à la coagulation. Pour l’instant, je recommande la sérénité absolue par rapport à l’hypothèse des vaccinés « supercontaminateurs ». Le seul virus réellement contagieux est celui de la peur et celui-là, il faut vraiment l’éradiquer sans se laisser contaminer. Ne glaçons pas notre sang inutilement ! Source : neosanté.eu Citer Link to post Share on other sites
Capo 372 Posted May 16, 2021 Author Partager Posted May 16, 2021 Morale de l'histoire : Toujours rester zen face à l'adversité.. Toujours écouter son corps.. et sa voix interne ! Le premier qui panique.. se fait piquer ! Et qui se fait piquer ne sera plus jamais tranquille.. Une protéine étrangère dans son corps n'a rien d'un remède.. C'est même flippant ! Citer Link to post Share on other sites
Miss angel 3 848 Posted May 18, 2021 Partager Posted May 18, 2021 les vaccinés d'aujourd'hui sont nos sentinelles de demain. Citer Link to post Share on other sites
Capo 372 Posted May 18, 2021 Author Partager Posted May 18, 2021 Coucou Miss Les cobayes d'aujourd'hui sont peut-être l'espérance d'un lendemain meilleur.. Qui sait.. ça pourrait bien tourner ! En attendant, les pays qui vaccinent très vigoureusement enregistrent des taux de contaminations inexplicables.. Les pays aux populations très denses, eux, enregistrent des variantes assez robustes.. Les pays qui se tiennent à carreaux par contre, sen tirent plutôt bien.. dont l’Algérie ! Citer Link to post Share on other sites
Miss angel 3 848 Posted May 19, 2021 Partager Posted May 19, 2021 Il y a 18 heures, Capo said: Coucou Miss Les cobayes d'aujourd'hui sont peut-être l'espérance d'un lendemain meilleur.. Qui sait.. ça pourrait bien tourner ! En attendant, les pays qui vaccinent très vigoureusement enregistrent des taux de contaminations inexplicables.. Les pays aux populations très denses, eux, enregistrent des variantes assez robustes.. Les pays qui se tiennent à carreaux par contre, sen tirent plutôt bien.. dont l’Algérie ! le virus est apparemment moins virulent au soleil, ça peut expliquer Citer Link to post Share on other sites
Capo 372 Posted May 19, 2021 Author Partager Posted May 19, 2021 ché pas.. Il y a du soleil en Afrique du Sud, au Brésil et en Inde.. Et pourtant, les variantes y font ravage !! A noter que ces 3 pays sont membres du BRICS.. Je dis cela, je dis rien.. Nous sommes face à 2 problèmes : - Un machin biologique qui circule dans la planète. - Un machin de vaccin qui bloque le monde entier. Ces deux couacs méritent une attention simultanée.. Une étude sérieuse à ce propos ne serait pas de refus.. lol Citer Link to post Share on other sites
Miss angel 3 848 Posted May 19, 2021 Partager Posted May 19, 2021 Avons nous des chiffres fiables et précis en Algérie ? les hôpitaux étaient-ils / sont-ils capables de gérer des cas respiratoires compliqués ? certains pays choisissent une politique de gestion de crise non pas en fonction d'une volonté de soigner leur citoyens mais plutôt en fonction de leur capacité matérielle, humaine et peuvent prendre des décisions complétements aberrantes. Citer Link to post Share on other sites
Capo 372 Posted May 19, 2021 Author Partager Posted May 19, 2021 Oui, nous avons des chiffres fiables en Algérie.. Nous avons 28 cas sous respiration artificielle.. Et 3 388 morts dans nos cimetières... La majorité des victimes sont d'un certain age.. Pour ce qui est de la gestion parfaite dans certains pays.. on attend toujours ! La planète compte 165 millions de cas.. Et 3.5 millions de morts.. (dont la moitié en occident). Reste à connaitre pourquoi la Chine, le pays le plus peuplé au monde, s'en est totalement sortie de cette crise ! 2 cas sous respiration artificielle, et 0 morts depuis des semaines ! 5 000 morts au total (dont 90% dans la province de Hubei en 2020).. Shanghai et Beijing n'ont compté que 10 morts.. Le vaccin de la Chine serait-il meilleur ? Sa gestion de la crise serait-elle plus efficace ? Les chinois savent-ils quelque chose que nous ne savons pas ? Là est toute la question.. Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted July 24, 2021 Partager Posted July 24, 2021 (edited) En effet la Chine reste un mystère à élucider. Incroyable qu'un pays avec 2 milliards de population s'en est si bien tiré. Et non ce n'est certainement pas grâce à la vaccination massive, seulement 30 millions de chinois se sont vaccinés (avec les vaccins chinois). Ce qui n'est pas rien mais reste un faible pourcentage de la population totale. La Chine a eu recours a des mesures de gestion basées sur le dépistage massif des cas d'infections, interdiction de voyager pour les cas suspects et pour les soibs medicaux: un mélange d'antiviraux et de cocktails inspirés de la médecine chinoise! Edited July 24, 2021 by Vanny Citer Link to post Share on other sites
riad_ 113 Posted July 24, 2021 Partager Posted July 24, 2021 On 16/05/2021 at 14:57, Capo said: Morale de l'histoire : Toujours rester zen face à l'adversité.. Toujours écouter son corps.. et sa voix interne ! ça je suis totalement d'accord, je vais fermer mes yeux et écouter ma voix interne : "Alalla yellali alalla yellali" mais il est en train de chanter ma voix interne , je fais quoi? Citer Link to post Share on other sites
Vanny 425 Posted July 24, 2021 Partager Posted July 24, 2021 En tout cas c'est à se demander si @Capo a fini par craquer et se faire piquer Citer Link to post Share on other sites
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