Une Histoire Etrange

[harmonie 10]

l'histoire ne fait que commencer. si tu vas dormir alors, je vais arreter d'écrire c'est tout - voila

ma3amartlekche 3inek:mad:

rani hna j'attends la suite:o

[Guest Didine RAYAN]

on attend DR, surtout que j'adore ce genre d'histoires, qui sortent de l'ordinaire

 

 

Bon, je continue...

 

Soudain, alors qu'il engagea sa quatrième vitesse, il vit au loin, à une vingtaine de metres, une ombre, une silhouette de femme qui paraissait se mouvoir dans le noir, tel un fantôme.

 

Il crut que c'était la peur qui lui jouait un mauvais tour, que ce qu'il voyait n'était pas vrai, mais lorsqu'il arriva à sa hauteur, il dut s'apercevoir qu'il s'agissait d'une jeune fille d'à peine I8 ans

[fleurdu27 10]

ma3amartlekche 3inek:mad:

rani hna j'attends la suite:o[/QU

 

 

 

 

ta vu harmonie pourton on attends depuit tt a leur ma3lich

[Guest Didine RAYAN]

Les feux des ses lanternes allaient droit au corps frele de la jolie demoiselle. Elle était sublime, radieuse, envoutante....enfin trés belle avec cette chevelure blonde qui lui tombait sur les épaules. Sa robe d'un blanc sale lui collait completement sur sa peau et trahissait de loin sa féminité.

 

Il n'avait jamais vu pareille créature, m'avait-il dit. Elle était toute trempée et son regard traduisait la peur et aussi la tristesse.

 

Fallait-il laisser cette fille seule dans la nuit ou presser la pédale et s'enfuir à vive allure droit sur la ville?

[Guest Didine RAYAN]

Il s'était résolu au dernier moment. Il freina aussi sec que la voiture alla se trainer à plusieurs metres avant de s'arreter. Il engagea sa marche-arrière et stoppa à sa hauteur.

 

Elle était raide, completement raide. Elle était également bleme qu'elle ne fit aucun effort pour monter à bord de la voiture. C'était lui qui s'était penché pour lui ouvrir la portière. Elle osa alors de prendre place, mais pris une attitude d'un maccabé.

 

Elle regardait droit devant elle et son regard semblait fixer quelque chose à travers le pare brise.

[Guest Didine RAYAN]

En la voyant dans ce piteux état, m'avait-il dit, il prit la peine de se débarrasser de sa veste qu’il lui donna et qu’elle prit, à contre cœur qu'elle enfila difficilement au bout de plusieurs minutes puis il rajouta l’intensité au chauffage de sa voiture.

 

Mais malgré un parcours de quelques kilomètres et cette chaleur étouffante, la température de la demoiselle, figée toujours dans son attitude, semblait toujours constante. il s’en était aperçu lorsqu’il mit sa main sur la sienne laquelle dégageait un froid aussi similaire à celui d’un cadavre.

 

Mon ami ne fit pas attention à cette piètre remarque et continua sa route dans un silence triste, pesant et inquiétant.

 

Il avait oublié sa peur, il avait également oublié qui il était

[Guest Didine RAYAN]

Bon, je vous laisse, je vous donne rendez vous demain.

Mais croyez moi, c'est une histoire dont je suis convaincu, trés convaincu lorsque j'ai vu une de similaire dans une émission de télévision IO ans plus tard.

[Charmant 10]

Bonjour D R !

Je viens de lire le reste de ce merveilleux récit! Alfred Hitchcock devrait vous tirer chapeau!

 

c'est tout simplement merveilleux!

 

Merci D R et nous attendons la suite impatiemment ...!

[Guest Didine RAYAN]

Bonjour D R !

Je viens de lire le reste de ce merveilleux récit! Alfred Hitchcock devrait vous tirer chapeau!

 

c'est tout simplement merveilleux!

 

Merci D R et nous attendons la suite impatiemment ...!

 

merci charmant.

comme je disais, c'est une histoire que je ne suis pas prés d'oublier moi aussi.

je suis convaincu qu'elle est vraie.

lorsqu'il m'a été permis de voir une reconstitution dans une chaine étrangère, j'ai cru que je vivais réellement l'évènement. J'ai eu la chaire de poule du début à la fin de celle-ci. C'était la même aventure qui s'était manifestée en Allemagne quelques années plus tard, aprés le décés de mon ami.

[kamy 10]

merci charmant.

comme je disais, c'est une histoire que je ne suis pas prés d'oublier moi aussi.

je suis convaincu qu'elle est vraie.

lorsqu'il m'a été permis de voir une reconstitution dans une chaine étrangère, j'ai cru que je vivais réellement l'évènement. J'ai eu la chaire de poule du début à la fin de celle-ci. C'était la même aventure qui s'était manifestée en Allemagne quelques années plus tard, aprés le décés de mon ami.

 

coucou DR

:confused: :confused:

[Guest Didine RAYAN]

coucou DR

:confused: :confused:

 

Coucou kamy.

pour parfaire la peur, j'ai changé mon avatar.

on dit que les femmes ont horreur d'el ghoula n'est ce pas?

[Guest Didine RAYAN]

je vous donne rendez vous pour ce soir.

 

la suite d'un des mysteres de la vie et de la mort également

 

c'est un fait tout a fait vrai - c'est le paranormal qu'on ne peut

 

expliquer, car il dépasse l'entendement humain, c'est tout

[Durakwir 10]

Je vais vous raconter une histoire étrange qui s'est passée aux alentours d'Alger. C'est une histoire vraie qu'a vécue un taxieur algerois dans les années 9O.

 

Excellent!

 

On en veut d'autres... ;)

[Guest Didine RAYAN]

Elle avait adopté la même posture depuis qu’elle était montée à bord et portait ce même regard glacial droit qui parait scruter l'obscurité.

 

Tout son corps frêle inerte, semblait figé telle une statue ; le buste relevé et le dos en retrait du dossier du siège sur lequel, elle était assise. Il lui semblait qu’elle était si pressée d’arriver à bon port et d’entrer si vite chez elle.

[Firdaws 10]

C'est le truc de la dame blanche ton histoire...:rolleyes:

 

sinon j'ai adoré ta facon d'ecrire!!!!!!!!!!! fabuleu!

 

mais qu'est ce que tu m'a enerve avec tes message coupé!!!!!!:mad::mdr:

 

 

 

ps: sympa ton ghoul bouuuuhhhhh:mdr:

[Guest Didine RAYAN]

Il avait noté également que son visage émacié avait un teint livide et blafard, soupoudré d’un blanc qu’on ne pouvait relever que sur les êtres venus d'ailleurs, autrement dit des morts ou plus tôt des revenants d'un autre monde, en tout cas, entièrement different de celui des vivants.

 

Il devait chasser cette idée et s'était dit que ce qu'il constatait, était, tout simplement, le résultat du froid, de la pluie et de l'obscurité aussi qui avaient déformé sa belle physionomie

[Guest Didine RAYAN]

Ce visage n’exprimait aucune expression, sauf peut être, ce sentiment de peur mêlée à une profonde tristesse. Elle était vraiment confuse et désemparée, prête à bondir par n’importe quelle issue de la voiture, au moindre sursaut ou à la moindre alerte.

[Guest Didine RAYAN]

Il dut remarquer également, lorsqu’il alluma le plafonnier à la recherche de son paquet de cigarettes, cette position de ses mains immobiles et crispées, posées retournées à même les genoux mortifiées probablement par le froid.

 

Il s’était dit qu’elle venait vraisemblablement d'être victime de violences de quelques voyous errants qui avaient abusé d’elle qui s’en étaient débarrassés au beau milieu de la nuit après avoir assouvis leurs bas instincts.

 

C'était possible, c'était possible se disait à lui même....

[Guest Didine RAYAN]

Il avait, certes, eu affaire à quelques cas identiques durant ses longues années de service, m’avait-il confié, mais toutes les victimes de ce genre d’abus qu’il faisait monter à bord, n’arrêtaient pas de râler, de vociférer, de pleurer durant tout le trajet et exprimaient le plus souvent, leur désir de vengeance, leur désir de porter plainte et de traîner les auteurs de telles sévisses devant les tribunaux

[Guest Didine RAYAN]

Mais pas elle. Pas celle qui se trouvait là, tout près de lui. Elle, elle était si bien différente.

 

Elle s’était murée dans un silence de marbre depuis le début. Elle n’avait émis aucun mot, n'avait formulé aucune parole ni même un geste susceptible de détendre l’atmosphère.

 

Il était quelque peu gené par cette situation, mais en tant que chauffeur de taxi, il s'était rodé au métier de sorte qu'il avait appris d'observer le silence lorsque ses clients n'engageaient pas de discussions.

[Guest Didine RAYAN]

Il avait beau souhaité en connaître les circonstances de sa mésaventure, mais il s’était ressaisi – je ne sais pour quelle raison – m’avait-il expliqué. C’était quelque chose qui le retenait d’engager une discussion ou même d’émettre la moindre parole. C'était vraiment étrange. il était devenu aphone sans le vouloir, un être servile entièrement à la dispostion de cette mysterieuse créature.

[Guest Didine RAYAN]

Ce qui n’avait pas expliqué, ce qui n'avait pas compris, c’était cette dissipation subite de la peur. Il ne se sentait plus lui-même et n’avait plus froid. Ses membres ne tremblaient également plus et il s’était aperçu qu’il conduisait très sereinement avec une singulière aisance.

 

Il lui semblait aussi qu’il n’était plus pressé d’arriver au plus vite à destination. La présence de cette demoiselle à ses côtés ne le gênait aucunement. Bien au contraire, ajouta-t-il, il s’en réjouissait intérieurement.

 

C'était tout de même assez bizarre ce changement brusque d'attitude. Il s'en rejouissait effectivement et je l'avais bien noté à sa façon - bien inspirée - de me raconter son récit entrecoupé d'un sourire sincère et d'une gorgée de café.

 

Toute la sincèrité se lisait dans ses yeux

[Guest Didine RAYAN]

Si à l’intérieur de la voiture il faisait une chaleur suffocante. Dehors, par contre, la nuit était étrangement enveloppée d’un froid peu ordinaire. La pluie battait son plein et venait s’écraser férocement sur le brise, ce qui rendait la visibilité moins bonne malgré la danse frénétique des essuies glace qui tournaient à plein régime.

 

De loin, c'était le premier patée de maisons formant un des faubourgs mal éclairé de la capitale . Il fallait ralentir à cause de l'état de la chaussée dégradée. On y trouvait tantôt des excavations, tantôt des nids de poule beants et moins visibles.

[Guest Didine RAYAN]

C'était lorsqu'il s'engagea à la première ruelle que la demoiselle lui cria fortement

 

---" Arrestes!!!

 

Elle prit soin d'ouvrir la portière, sans prendre la peine de le regarder ou de le remercier, descendit précipitamment en courant droit vers une maison vétuste à coté de laquelle se trouvait le seul réverbère qui éclairait les environs. Elle s'y engoufra et la porte se referma derrière derrière elle.

[Guest Didine RAYAN]

Il resta quelques minutes sur son siège pétrifié, le coeur battant, indécis puis, pris son courage à deux mains et se dirigea vers la maison.

 

Il ne s'aperçut ni de la pluie, ni du froid glacial. Il fit les quelques pas qui le séparaient de la maison. Il serra fermement le poignée pour frapper à la porte puis, se résigna au dernier moment en se disant:

 

" Je reviendrai demain matin récuperer ma veste......Je n'ai rien à faire, c'est mon jour de repos hébdomadaire....le vendredi....