SOLAS 79 Posted June 14, 2021 Partager Posted June 14, 2021 1. Participation plus faible que lors de la présidentielle du 12 décembre 2019, mais plus élevée que lors du référendum du 1er novembre 2020 sur la constitution. 2. Les appareils politiques traditionnels raflent la mise. 3. Les partis islamistes très présents. 4. Les listes indépendantes, trop nombreuses, pourraient être les grands perdants de ce vote. Leur rôle se limite à gonfler un peu le taux de participation, grâce à un "vote de proximité" improductif. 5. Aucun parti traditionnel ne semble en mesure de se détacher pour espérer une majorité à lui tout seul. 6. Comme la constitution parle de majorité parlementaire et non de coalition, le prochain gouvernement reste une inconnue, avec deux variantes : une coalition, islamiste par exemple, peut former le gouvernement, mais le président peut faire une autre lecture de l'article 110 et maintenir Djerad en lui demander de recruter chez les uns et les autres. 7. Crédible ou pas, le vote est là. Une autre situation de fait. En attendant, les "démocrates" exigent toujours que l'armée négocié avec eux un processus transitoire. 8. Le mode de scrutin choisi est très complexe. L'électeur vote pour une lite, mais dans cette même liste, il coche des noms. Il faudra donc un premier dépouillement pour savoir quelles listes ont été choisies, et ensuite dire, dans un second dépouillement, qui, dans chaque liste, sera élu. Fastidieux Citer Link to post Share on other sites
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