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La Nasa cherche des volontaires pour vivre un an dans les mêmes conditions que sur Mars


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ACTUALITÉ

La Nasa, l’agence spatiale américaine, recherche quatre personnes volontaires pour vivre un an dans des conditions similaires à celles que des astronautes pourraient subir sur Mars. Il s’agit d’une simulation terrestre, destinée à observer les effets d’un séjour sur la planète Rouge sur le corps et l’esprit.

« L’appel de Mars. » C’est ainsi que commence un communiqué de la Nasa, l’agence spatiale américaine, publié le vendredi 6 août 2021. L’institution recherche des volontaires prêts à vivre, une année durant, dans des conditions semblables à celles que pourraient retrouver des astronautes envoyés en mission sur la planète Rouge.

L’expérience doit « nous aider à comprendre et à composer avec les défis physiques et mentaux auxquels seront confrontés les astronautes avant qu’ils partent » en direction de Mars, explique Grace Douglas, la responsable du programme de recherche sur les technologies d’alimentation avancées de la Nasa.

Il s’agit donc d’une expérience visant à étudier les effets, sur le corps et l’esprit, d’un éventuel séjour sur la planète.

 

« Simuler les défis d’une mission sur Mars »

L’expérience doit se dérouler dans des installations de la Nasa situées à Houston, dans le sud des États-Unis. Il s’agit d’un module d’environ 150 m² qui comprend des quartiers privés, une cuisine, deux toilettes, mais aussi des pièces dédiées aux soins médicaux, aux loisirs, à l’exercice physique, explique la Nasa.

Lire aussi : Après l’arrivée du rover Perseverance sur Mars, à quand des humains sur la planète rouge ?

Le lieu a été pensé pour « simuler les défis d’une mission sur Mars », indique encore l’agence spatiale américaine. Car durant cette expérience, les participants devront composer avec des « ressources limitées », tout en faisant face à « des pannes matérielles » et d’autres « facteurs de stress environnemental ».

 

 
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Un visuel montrant à quoi pourraient ressembler des installations abritant des humains sur la planète Mars. (Photo : ICON / Nasa)

 

Leurs missions comprendront aussi des simulations de sorties sur le sol de la planète Rouge, des expériences de recherche scientifique, de culture de végétaux… Les participants devront également utiliser des technologies de réalité virtuelle, et gérer des robots.

Les scientifiques de la Nasa vont également observer la manière dont les participants préparent et consomment leurs repas, pratiquent des exercices physiques, occupent leur temps de repos ou dorment

Les quatre candidats, qui seront sélectionnés et pourront être rémunérés doivent commencer leur mission à l’automne 2022. D’autres simulations du même type et d’une même durée sont prévues en 2024 et en 2025.

Des candidats « très compétents » et « pleins de ressources »

Dans ce contexte, la Nasa recherche des participants avec un profil très spécifique. Citoyens américains ou résidents permanents aux États-Unis, ils doivent être âgés de 30 à 55 ans et, bien sûr, être en bonne santé.

Ils doivent aussi détenir une maîtrise en ingénierie, mathématiques, biologie, physique… ou, à défaut, disposer d’une solide expérience de pilotage d’au moins 1 000 heures de vol, entre autres possibles exceptions.

Les personnes sélectionnées seront « très compétentes, pleines de ressources, et n’auront pas besoin des autres pour se sentir bien », explique l’ancien astronaute canadien Chris Hadfield, qui a passé cinq mois dans la Station spatiale internationale en 2013, à l’agence de presse Associated Press.

 

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L’expérience est destinée à simuler les conditions de vie qui pourraient être celles d’astronautes en mission sur la planète Rouge. (Photo : NASA / JPL / Malin Space Science Systems / Domaine public)

 

Entre 2010 et 2011, une expérience du genre avait été menée, en Russie : le projet Mars500. Six volontaires, dont deux Européens, s’étaient isolés pendant 520 jours, en Russie. Une durée semblable à celle d’un trajet en direction de la planète Rouge, d’un atterrissage sur sa surface, puis d’un retour sur Terre.

Il s’agissait, là aussi, d’étudier les effets de ce long voyage spatial sur le corps et l’esprit, expliquait alors l’Agence spatiale européenne (ESA).

« La monotonie était très pesante, nous expliquait Romain Charles, le seul participant français, au sortir de cette expérience. Je suis très très heureux et assez fier. C’est assez gratifiant d’avoir pu apporter sa petite pierre à l’édifice, qui je l’espère, mènera le plus rapidement possible l’homme vers Mars ».

Entre 2015 et 2016, la Nasa avait également organisé une mission similaire d’un an, destinée elle aussi à préparer d’éventuels futurs voyages vers la planète Rouge.

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  • 2 weeks later...

les gens de la mecque feraient l affaire je pense -  c'est pour cela que le paradis arabe  est representé par un jardin avec des vergers et des fleuves d'eau et de miel et des parasols ...il etait facile vu l enfer dans lequel dieu les a placé de vouloir acceder a un tel paradis ...chez les touaregs y a des oasis et ils peuvent toujours monter au nord ou tout cela  existe a profusion avant qu'ils y mettent le feu hh...

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Il y a 2 heures, koceyla said:

les gens de la mecque feraient l affaire je pense -  c'est pour cela que le paradis arabe  est representé par un jardin avec des vergers et des fleuves d'eau et de miel et des parasols ...il etait facile vu l enfer dans lequel dieu les a placé de vouloir acceder a un tel paradis ...chez les touaregs y a des oasis et ils peuvent toujours monter au nord ou tout cela  existe a profusion avant qu'ils y mettent le feu hh...

ce sont nous qui vivons l'enfer (oui je sais toi tu vis chez toi la France), les saoudiens vivent comme des rois. et la verdure chez eux est plus présent que chez nous. ils ont su comment construire leur pays et les émirats est devenue la place des richissimes hommes d'affaire et un paradis pour les touristes. Qatar va organiser la coupe du monde ...les touareg ne vivent pas dans les oasis, les sédentaires qui y vivent, tu ne connais même pas ton pays, ils font des milliers de kilomètres sans passer par des oasis, car ils connaissent certains puits et quelques chotts qui sont des repères pour eux et qui les alimentent en eau. ceux qui montent non au nord mais aux hauts plateaux sont les semi-nomades. 

 

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