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En regardant ce cadre contenant ton portrait ahurissant.

En faction si touchante je me trouve bien reconnaissant.

Toujours luisante aveuglant les yeux des goguenards.

Tu fais couler de l'encre et tu aphones les bavards.

J'ai jeté des milliers de feuilles essayant de te décrire.

Je me méprends toujours avec une telle beauté qui déchire.

Une flemme rafraichissante d'une attitude médiévale.

Des sourcils languissants et une peau de satin idéal.

Je me remémorais, je me souvenais de nos dissertations.

L'affluence de mes larmes me rend une épave de passion.

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Dure cette vie qui nous niche et qui s'en fiche.

Qui ne nous laisse ni proches ni poche ni miche.

 

Tumultueuse, suave parfois et on ne comprend.

Pleurnichards, enjoués, elle nous apprend et surprend.

 

Nous ne attendions, nous ne pensions plus.

Elle nous laisse habilement, prestement confus.

 

Le juste destin nous hale, on ne peut rien changer.

Vogue la galère, pas la peine de ranger ni de songer.

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Guest thesoulshudders
j'attendais une indulgence après ce déballage, cette nouvelle, j'ai pas voulu décrire tes yeux pour ne rien amoindrir de valeur, je t'ai pas aimé mais j'ai bu ton amour a tire-larigot, je me suis transformé en nyctalope pour ne voire personne que toi, j'attendais toujours ton spectre nocturne, je suis pas si célèbre qu'ils me chantent mes poèmes, j'ai inventé un synonyme pour l'éternité et pérennité tout simplement ton amour, j'avais pas voulu dire je t'aime car je savais pas bien le langage des anges, penser a toi me magnétise alors comment ferai-je le temps de te voir ? tu penses que j'étais pas sur, tu peux poser cette question a mes longues nuits solitaires, mes imploration de l'aube, mes rêves et mes pensées, ils vont tout dire, t'as devancé tes rivaux rien qu'avec ta présence, tu veux savoir tes particularités alors que cette dernière fait parti d'elles, je te laisse confectionner une réponse mais je t'informe que j'accepterai jamais le refus.

 

pk t'accepterai pas le refus? en plus ki tavai di kelle aller de repondre:D

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Guest thesoulshudders
J'ai gaspillé trop de temps chantant ce désolé.

Tu chercheras dans mon cœur ton âme croulée.

J'ai rien fait mais tu soupçonnais et tu leurrais.

Je n'ai pas pu garder la patience qui me fourrait.

Tu m'as choqué, et tu n'arrêtais pas de me cogner.

Tu me fracassais le petit cœur après le saigner.

Tu te gourais bassement et tu te comportais bêtement.

Une seule question a pu interrompre nos jasements.

Je ne vais jamais dire pardon une autre fois.

Je ne vais jamais redevenir celui que tu crois.

Tu vas bien comprendre que l'amour est une amitié fardée.

Et bien sûr l'amitié après l'amour n'est qu'une vie dardée.

Tu enlèveras le corset sur tes yeux au future proche.

Tu vas tout comprendre mais sans voir ma caboche.

 

trop bo ...tro profond

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