SOLAS 79 Posted September 28, 2021 Partager Posted September 28, 2021 La véritable guerre mondiale est en Algérie L’Algérie est immensément riche. Elle «roule» sur l’or, au sens propre et au figuré. L’or est en effet partout, au sud, au nord, à l’est et à l’ouest. Les côtes algéroises en regorgent. À quelques kilomètres d’Alger, il suffit de se baisser pour ramasser de l’or ! Le sol et le sous-sol algériens n’ont pas fini de livrer leurs secrets. Des métaux, des minerais, de l’énergie fossile, des terres rares, des terres agricoles exploitables même dans le sud, de l’eau à profusion, du soleil à produire de l’énergie pour éclairer le monde. Et de l’uranium, surtout de l’uranium pur dans les vastes étendues de l’Ahaggar et du Tassili ! Or, la profondeur algérienne en Afrique est également fournie en richesse à un point que l’on ose à peine imaginer ! L’avenir du monde est en Afrique. Les richesses du sol et du sous-sol africain ne laissent indifférent aucune puissance mondiale. Zbigniew Brzeziński avait en son temps évoqué l’importance de la région des grands lacs africains pour les États-Unis. Et l’agenda américain était de sortir la France depuis cette région jusqu’au nord de l’Afrique. Cela a commencé avec l’installation de l’Ouganda comme tête de pont, puis l’installation d’une base arrière au Rwanda en impliquant la France pour l’éteindre dans l’un des plus terribles génocides humains du vingtième siècle, en provoquant la partition du Soudan. L’Éthiopie, l’Érythrée et la corne de l’Afrique sont déjà sous influence américano-sioniste tout comme Khartoum sous «mandat» émirato-saoudien, autant dire Tel Aviv et Washington. Au nord, la Tunisie et le Maroc sont déjà totalement enserrés dans un étau dont ils ont du mal à s’en sortir. Mais la clef de la conquête définitive de l’Afrique gît en «la mise sous séquestre» de l’Algérie. Et c’est le nerf de la guerre mondiale actuelle qui ne dit pas son nom. Elle se joue dans les coulisses, dans les laboratoires des services de renseignement, dans les accrochages politiques sourds. Les yeux sont grands ouverts, écarquillés même, mais les bouches sont cousues de peur de révéler l’ampleur des enjeux. Elles commencent à peine à s’ouvrir. La médiatisation de l’Algérie montera en puissance, les enjeux sont trop énormes pour qu’ils restent discrets. Ils sont tellement énormes qu’ils dépassent en importance tous les points de fixation actuelle à l’échelle du globe. Il y va de l’avenir de la France et de l’Europe. C’est-à-dire de la fin définitive de la domination américaine et de l’alliance atlanto-sioniste. Il y va des intérêts économiques de la Chine et de la Russie. Tout cela réuni signifie la fin des équilibres mondiaux hérités de Yalta alors qu’ils étaient sur le point d’être reconduits en y apportant quelques amendements. Le réveil de l’Algérie modifie tous les calculs et rend aphones toutes les puissances qui aujourd’hui savent qu’elles assistent impuissantes à une future recomposition mondiale dont ils ne maîtrisent ni les tenants, ni les aboutissants. Or, aucune puissance n’a intérêt à ce que l’Algérie et le reste de l’Afrique reprennent contrôle de leur destin. Il y va du destin et de l’avenir des équilibres mondiaux actuels qui font de l’Afrique le grand absent à la table des négociations et le grand gâteau dont tous veulent croquer. Comment alors maîtriser ce qui est inéluctable…? Sous le Sahara : une nappe d’eau grande comme deux fois la France Il y a moins de 15 000 ans, le Sahara était une savane tropicale herbeuse qui s’est progressivement asséchée, laissant place au plus grand désert de notre planète : une région souvent hostile, écrasée par le Soleil. Mais sous le sable et les rochers se cache une nappe d’eau gigantesque qui parvient en partie à se renouveler, malgré une pression humaine de plus en plus forte. Le système aquifère du Sahara septentrional s’étend sur une surface de presque deux fois la France métropolitaine et recèle, à plusieurs centaines voire milliers de mètres de profondeur, plus de 30.000 km3 d’eau, accumulée au cours des périodes humides qui se sont succédé depuis 1 million d’années. Ce réservoir d’eau souterraine, parmi les plus grands du monde, a permis le développement urbain et agricole des régions semi-arides de Tunisie, d’Algérie et d’une partie de la Libye au cours des trente dernières années. Le système aquifère du Sahara septentrional se recharge Ce que l’on sait moins, c’est que les nappes d’eau du système aquifère du Sahara septentrional se renouvellent, révèle une étude publiée dans Geophysical Research Letters et menée par des chercheurs de l’IRD. En effet, jusqu’à présent, l’eau souterraine du Sahara était considérée comme «fossile», c’est-à-dire non renouvelable, comme le charbon ou du pétrole que nous exploitons jusqu’à épuisement. Les précipitations dans la région semblaient trop faibles et l’évapotranspiration trop grande pour recharger significativement les nappes profondes. Mais les chercheurs viennent de montrer qu’en réalité, les nappes du système aquifère du Sahara septentrional, de leur nom exact, sont aujourd’hui encore alimentées. En effet, leur recharge existe et a pu être quantifiée : les eaux de pluies et de ruissellement apportent en moyenne au système 1,4 km3 par an, soit environ 2 mm par an sur la surface d’alimentation des nappes. Sur la période de 2003 à 2010, la recharge annuelle a même atteint 4,4 km3 certaines années, soit 6,5 mm/an. Une nouvelle approche par satellite L’équipe de recherche a mis en évidence cet apport grâce à une nouvelle méthode de mesure par satellite. Les scientifiques ont analysé les données fournies par la mission satellitaire GRACE (Gravity Recovery and Climate Experiment) de la NASA et du centre aérospatial allemand. Mis en orbite depuis 2002, GRACE mesure les variations du champ de pesanteur terrestre, ce qui permet de déduire les variations de masse d’eau contenue dans les enveloppes superficielles. Ces données ont permis aux chercheurs d’estimer l’évolution du volume d’eau stockée et d’en déduire la recharge des aquifères, une fois pris en compte les prélèvements effectués dans les nappes. Cette approche globale permet, entre autres, de s’affranchir des incertitudes des modèles hydrogéologiques, qui s’appuient sur des mesures locales du niveau piézométrique, c’est-à-dire du niveau d’eau relevé dans les puits et les forages. Des prélèvements toutefois non entièrement compensés La recharge moyenne de 1,4 km3 par an correspond à 40% des 2,75 km3 prélevés au total chaque année dans la région, d’après les données de l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS). Par conséquent, 60% des ponctions annuelles ne sont pas compensées. AG Citer Link to post Share on other sites
shadok 63 Posted September 29, 2021 Partager Posted September 29, 2021 (edited) 12 hours ago, SOLAS said: Or, aucune puissance n’a intérêt à ce que l’Algérie et le reste de l’Afrique reprennent contrôle de leur destin. L'Algérie reprendra le contrôle de son destin lorsque le pouvoir revient au peuple. Ce pouvoir militaro-civil est soutenu par la France et les États-Unis La preuve en est le soutien de Macron au président illégitime Tebboune, imposé par les militaires, au détriment du Hirak populaire qui aspire à un changement démocratique Nous avons vu comment la nouvelle loi sur les hydrocarbures a été passée de force par le gouvernement Bedoui en plein révolution populaire pour brader les richesses de l'Algérie aux puissances étrangères notamment les Gaz de Schistes La récente rencontre intriguante du ministère des affaires étrangères Ramtane Lamamra avec le Président d'Anadarko Algérie est un bon indice de ce qui se trame en quatimini Le deal c'est le soutien des puissances occidentales au régime totalitaire algérien contre des avantages économiques ! Edited September 29, 2021 by shadok Citer Link to post Share on other sites
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