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France-Maroc: Une rencontre secrète pour déstabiliser l’Algérie


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Algérie54 a appris qu’une réunion secrète, regroupant le patron des services de renseignements français, DGSE et ancien ambassadeur de France à Alger Bernard Emié, l’ambassadeur du Maroc en France Mohamed Benchaaboun, ancien ministre des finances, nouvellement installé en remplacement  du très controversé Chakib Benmoussa et un proche conseiller du président français Emmanuel Macron, s’est tenue ce jeudi à Paris, dont l’ordre du jour était l’Algérie.

 

 

 
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Cette réunion était liée aux derniers développements de la région du Maghreb au lendemain du lâche assassinat des trois ressortissants algériens, perpétré par le Makhzen  marocain soutenu par l’entité sioniste. Si on ignore la teneur des discussions entre les trois responsables, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’une coordination des actions entre la France et le Maroc soutenu par les sionistes, pour déstabiliser l’Algérie, à travers des actions et des opérations communes.
Tout laisse à croire que l’ancien ambassadeur de France à Alger, Bernard Emié qui entretient des rapports étroits avec des activistes en Algérie, bien introduits et bien infiltrés dans tous les secteurs d’activité, économique, sociale, culturelle et médiatique, devrait actionner ses réseaux en Algérie pour déclencher des mouvements de grève, diffuser des Fake news pour ternir l’image des institutions de la république, et détourner l’opinion publique algérienne sur les réelles menaces qui guettent son unité et sa souveraineté. Pour ce qui est des médias, Bernard Emié était « le véritable rédacteur en Chef » de certains médias, dont la proximité de leurs journalistes avec les différents ambassadeurs français devenus ensuite patrons de la DGSE, comme Xavier Driencourt, Bernard Bajolet et Bernard Emié, n’est plus à présenter. Des journalistes inféodés aux officines françaises devenus des activistes, avant de s’approprier un qualificatif trompeur de « détenus d’opinion ».
Bernard Emié a non seulement infiltré les médias, mais aussi le monde culturel, universitaire, sportif, les syndicats et le monde des affaires. Pour ce qui est du nouvel ambassadeur du Maroc Mohamed Benchaaboune, ancien ministre des finances, il devra poursuivre le sale boulot de son prédécesseur Chakib Benmoussa, devenu trop encombrant, sachant que Chakib Benmoussa, proche du CRIF et des milieux sionistes de l’Establishment français, et aurait entretenu des rapports avec des activistes algériens liés aux organisations terroristes de Rachad et du MAK

L’ancien ambassadeur du Maroc avait été reçu le premier octobre dernier par le CRIF, et avait abordé avec la puissante organisation juive de France, les moyens de mettre en concrétisation ce qui est appelé les accords d’Abraham.

Il est maintenant clair que le Maroc se prépare avec l’aide de l’entité sioniste et l’engagement  de la France  pour déclencher de nouvelles hostilités  avec l’Algérie!

La déstabilisation de l‘Algérie n‘ayant pas réussi sur le plan interne. On passe à la phase supérieure. Signes avant-coureurs qui ne trompent pas: les Marocains en France se font de plus en plus discrets, il semble que des instructions ont été données pour éviter des actes de vengeances des Algériens en France en cas de déclenchement des hostilités.

 

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A l’instar de l’agression tripartite de 1956

La croisade menée actuellement par le pacte maroco-franco-sioniste contre l’Algérie nous rappelle l’agression tripartite du Royaume Uni, la France et l’entité sioniste contre l’Égypte nassérienne qui refusait le diktat impérialo-sioniste et refusant de céder sur les questions et principes constants de la souveraineté et l’indépendance.
La croisade menée contre l’Algérie est liée à son refus de normalisation avec l’entité sioniste, exprimé par le président Tebboune, en septembre 2020, dans le sillage de la constance de la position algérienne à l’égard des causes justes de ce monde, et à la détermination de l’Algérie et de son peuple d’édifier un avenir radieux pour ses fils loin du diktat des forces exogènes, soucieuses de ses intérêts.

 

Par Algerie54-
5 novembre 2021

Algériens tués : le Maroc se moque "royalement" de la colère d’Alger

Alors que l’Algérie s’énerve, fulmine et menace suite au décès de ses trois ressortissants, qu’elle attribue aux troupes marocaines opérant au Sahara occidental, du côté du Maroc c’est silence radio. Ou presque. Rabat a laissé filer plus de 24 heures, et n’a évoqué qu’hier l’affaire, à l’occasion de la réunion hebdomadaire du Conseil du gouvernement. Le porte-parole officiel du gouvernement marocain a été chargé de débiter un communiqué très bref, insipide et mou: le Maroc s’en tient à «un respect scrupuleux des principes de bon voisinage avec tous». C’est tout. Rabat n’apporte aucun éclairage sur les événements, très graves du reste. Encore moins des excuses officielles ou même une intention affichée d’enquêter et éventuellement punir les coupables de cette bévue.

Rien du côté marocain pour calmer la colère algérienne. C’est comme si l’escalade qui se profile, avec le risque patent d’un face-à-face armé, ne secoue même pas les autorités marocaines. Incompréhensible. Et surtout très dangereux au regard du conflit entre les deux pays depuis des décennies et au regard de la poudrière sur laquelle sont assises les deux nations, avec tous ces groupes djihadistes qui rôdent autour et pourraient profiter de la situation.

En lieu et place d’une explication et bonne et due forme que les Algériens pourraient avaliser, le porte-parole du gouvernement marocain, Mustapha Petsas, s’est arrêté sur la décision de stopper le transit du gaz par le Maroc pour alimenter l’Espagne. : «Le gaz algérien n’est pas destiné aux usages des citoyens, mais plutôt une partie de celui-ci pour la production d’électricité. Le non-renouvellement du contrat n’a aucun effet sur la production d’électricité, et son prix n’augmentera pas“. Il a qualifié l’impact de cette décision de “très faible, voire inexistant“. Voilà, on en est là : Une guerre des mots alors que la vraie guerre guette. Si les choses venaient à dégénérer, on ne pourra pas éluder la responsabilité du Maroc, qui n’aura même pas daigné réagir à la hauteur de la colère de l’Algérie sur une affaire au moins aussi importante que le dossier du gazoduc.

Le roi du Maroc, Mohammed VI, n’a pas pipé mot sur cet incident sanglant, alors que sa parole aurait pesé, et peut-être même aurait fait baisser la tension. Ni les Algériens ni les observateurs ne comprennent le mutisme de l’homme qui décide de tout au royaume chérifien. Son silence est intenable. Si le roi continue d’ignorer royalement l’indignation algérienne, il devra en assumer les conséquences…

Source : Tunisie Numérique

Bombardement par un drone

 

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L’implication d’un drone de combat turc Bayraktar TB-2 utilisé par l’armée marocaine dans le bombardement ayant tué trois civils algériens le 1er novembre dernier dans la région de Bir Lahlou, dans les territoires libérés du Sahara Occidental se précise.

Une vidéo publiée hier et une photo partagée aujourd’hui montrent pour la première fois le Bayraktar en vol dans la région de Smara au Sahara Occidental. 
 
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