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Les quatre écoles juridiques, sont pour la condamnation à mort de l'apostat. Et les érudit majeurs dont unanimes sur ce fait. Ce qui veut dire que demain, si un parti islamiste prend le pouvoir, et prend pour constitution la Charia, celui qui a apostasie, doit mourir. Nous pouvons imaginer, qu'il va se sauver dans un pays des koufars. L'état islamique demandera son extradition. Certain pays de nos jours condamner des apostats. 

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Selon la doctrine juridique classique, l’apostasie de l’Islam comprend non seulement la renonciation explicite à la foi islamique (que ce soit pour une autre religion ou n'importe quelle forme d'irréligiosité : déisme, agnosticisme, athéisme, antithéisme etc.), mais aussi tout acte ou toute parole qui implique la mécréance, comme le fait de nier un "principe ou une croyance fondamentale" de l’islam[5]. Les jurisconsultes musulmans n’ont pas formulé de règles générales pour établir la mécréance, mais ont plutôt dressé des listes, parfois longues, de paroles et d’actes qui relèvent, selon eux, de l’apostasie[5]. Les règles relatives à l'apostasie ne concernent pas les personnes qui ont été contraintes d'embrasser l'islam, ou bien à l'inverse qui ont été contraintes de prononcer des paroles ou d'effectuer des actes de mécréance pour préserver leurs vies. Nous avons donc, par conséquent, vu des pendaisons et des fusillades au Soudan, e  Iran, en Egypte..., contre des personnes qui n'ont pas apostasié, mais uniquement donné des avis contraire à la tradition. 

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 sourate La Concertation, verset 48 :

« S'ils se détournent de toi,... sache que tu n’es pas envoyé pour être leur mentor : ton rôle est de transmettre le message».

Un verset qui rappelle à Prophète qu'il ne possède aucune autorité sur les gens. Il doit uniquement  transmettre le message divin. Allah nous a crée tout en nous léguant la liberté de conscience et la dignité humaine. les versets 21 à 26 de la sourate L’Enveloppante 

Montrent que c'est Allah et personne d'autres qui s'occupe  de ce problème de reniement de la religion  :« fais-le se rappeler celà, ta vocation est de le rappeler, et non pas d’exercer une autorité exclusive sur eux, exception faite de celui qui s’est renié, le mécréant. Il sera châtié par Allah du plus grand châtiment. Car c’est vers Nous qu’ils feront leur retour et c’est à Nous qu’incombe leur décompte».  D’autres versets qui s’inscrivent dans cette idée pourraient encore être cités, comme par exemple le verset 99 de la sourate Jonas ou encore le verset 29 de la sourate La Caverne.


Cependant, pour la majorité des religieux, cette tolérance de la religion musulmane ne concerne pas les musulmans, mais seulement les non-musulmans.

Autremen dit, un non-musulman est libre de ne pas adhérer à la religion musulmane. En revanche, un musulman n’est libre ni de renier sa religion ni de la quitter pour une autre religion. Pour ces savants, un tel acte, inadmissible du point de vue de la religion, mérite la mort.
Plusieurs versets montrent clairement, que C'est à Dieu que revient le châtiment. Mais nos chouyoukhs, ne sont pas à court d'idée et surtout ils n'ont pas peur de paraître ridicule. Ils disent que ces versets ne concernent que ceux qui ne sont pas musulmans, donc les koufars. 

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  • 2 months later...

L’apostasie, en arabe er-ridda, est le fait pour un individu adulte et un responsable de renier sa religion. Dans le Coran, est apostat celui qui manifeste son choix de devenir mécréant après avoir été musulman. Pour les oulémas (savants de l’islam), est considéré comme apostat celui qui renie publiquement sa religion pour soit n’appartenir à aucune religion soit rejoindre une autre religion.
Pour préciser la position de l’islam vis-à-vis de l’apostat, il faut naturellement revenir au Coran, le premier livre de référence dans la religion musulmane : c’est, selon le dogme de l’islam, le livre de Dieu, qui porte sa parole. Les savants de l’islam sont unanimes : celui qui veut connaître la religion musulmane dans sa source authentique, doit se tourner vers le Coran.
Croire ou ne pas croire est une question de conscience. La première chose à souligner, quand on s’intéresse à la question de la conscience religieuse, est le nombre de versets qui affirment la liberté de culte dans le Coran. Prenons par exemple la sourate La Concertation, verset 48 : “S'ils se détournent de toi,... sache que tu n’es pas envoyé pour être leur mentor : ton rôle est de transmettre le message”.

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verset rappelle au Prophète qu'il n’a ni autorité ni domination sur les individus et que son rôle ne  consiste qu’à transmettre le message divin. Il témoigne donc du plus grand respect pour la liberté de conscience et la dignité humaine.
Il en est de même pour les versets 21 à 26 de la sourate L’Enveloppante :

 “Fais-les se rappeler cela, ta vocation est de le rappeler, et non pas d’exercer une autorité exclusive sur eux,  exception faite de celui qui s’est renié, le mécréant. Il sera châtié par Allah du plus grand châtiment. Car c’est vers Nous qu’ils feront leur retour et c’est à Nous qu’incombe leur décompte”.

 Ces versets précisent que si certains ne veulent pas adhérer à ce principe, c’est à Dieu seul que revient le droit de les juger et de les punir. D’autres versets qui s’inscrivent dans cette idée pourraient encore être cités, comme par exemple le verset 99 de la sourate Jonas ou encore le verset 29 de la sourate La Caverne.


 

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Cependant, pour la majorité des religieux, cette tolérance de la religion musulmane ne concerne pas les musulmans, mais seulement les non-musulmans. Autrement dit, un non-musulman est libre de ne pas adhérer à la religion musulmane. En revanche, un musulman n’est libre ni de renier sa religion ni de la quitter pour une autre religion. Pour ces savants, un tel acte, inadmissible du point de vue de la religion, mérite la mort.
Effectivement, l’apostasie est évoquée dans plusieurs versets : le verset 217 de la sourate La Vache, le verset 54 de la sourate La Table, le verset 25 de la sourate Mohammed, le verset 96 de la sourate Josef, le verset 137 de la sourate Les Femmes, le verset 74 de la sourate Le Repentir. Tous condamnent l’apostasie, mais aucun d’entre eux ne nous laisse entendre qu’il faudrait tuer l’apostat

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D’autres versets viennent appuyer cette position comme les versets 137 et 138 de la sourate Les Femmes : “Ceux qui croient puis dénient, puis croient, puis dénient, enfin s’enfoncent dans la dénégation ; ceux-là Dieu Se refusera à leur pardonner, à les guider sur aucun chemin. Fais annonce aux hypocrites qu’ils courent à un châtiment de douleur…” Ainsi, si l’apostasie est une transgression dont le Coran avertit les musulmans de ne pas la commettre, rien ne dit qu’il faut tuer l’apostat. Cependant, les anciens juristes ont une autre position ; ils considèrent que l’apostat doit être condamné à mort et exécuté. Cette condamnation est  est pour eux d’une telle évidence que leur attention a été attirée par d’autres questions qui les ont largement occupés : fallait-il poser un ultimatum à l’apostat, lui enjoignant de renoncer et de revenir à l’islam ou pas ?

 

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De quel délai pouvait-on convenir ? Certains proposaient une heure, d’autres un jour, d’autres trois jours ou encore un mois. La question des biens de l’apostat et de leur transmission faisait aussi partie de leurs préoccupations ainsi que celle des critères permettant de prouver qu’une personne est apostat ou pas.
Pourtant, les commentateurs des textes coraniques ne vont pas dans cette direction. Aucune référence à la condamnation à mort de l’apostat n’est évoquée, ni dans le commentaire de Tabari, ni dans celui d’Ibn Kathir, ni dans celui des Djalalaïne. Il faut cependant réserver une place à part à Qortoubi, qui ne donne pas son avis personnel, mais se contente de relater la position des différents juristes, alors que la logique veut que pour déduire une règle juridique d’un verset, il faille d’abord l’interpréter. C’est donc le juriste qui doit s’appuyer dans son travail sur le commentateur et non le contraire.
Pour justifier la condamnation à mort de l’apostat, les juristes se fondent sur deux éléments : un hadith rapporté par Ibn Abbas et dans lequel il affirme avoir entendu le Prophète (QSSL) dire “celui qui change de religion, tuez-le”, et la guerre, dite guerre contre l’apostasie, menée par Abou Bakr. Sur ce second point, il s’agissait en fait de guerres menées contre certaines tribus qui s’étaient rebellées, juste après la mort du Prophète (QSSL), au prétexte qu’elles ne devaient obéissance qu’au Prophète (QSSL) et que sa disparition les relevait de leur serment et de leurs obligations.
Pour certains penseurs, comme Mohamed Abed El-Djabiri et Ferhat Othman, ce fait historique n’a rien à voir avec la question de l’apostasie. Selon eux, il est nécessaire de replacer ces guerres, menées par Abou Bakr, dans leur époque : la préservation de l’Etat et sa stabilité, dans le contexte politique d’un Etat musulman fraîchement construit. Quant au hadith rapporté par Ibn Abbas, rappelons tout d’abord les critères que les savants du hadith imposent pour distinguer entre le hadith authentique et le hadith qui ne l’est pas : ils insistent sur le fait que le hadith rapporté ne doit contredire ni le Coran ni la tradition du Prophète (QSSL).
Or ce hadith va non seulement à l’encontre des versets coraniques, mais aussi à l’encontre de la tradition prophétique ; les savants de l’islam sont unanimes : aucun apostat n’a été exécuté du vivant du Prophète (QSSL). Selon Amel Grami, ce hadith ne peut appartenir au Prophète (QSSL), car il s’oppose aux principes moraux et à l’esprit de l’islam en tant que religion de miséricorde, d’amour et de pardon.
Aujourd’hui, la grande majorité des musulmans, jurisconsultes comme gens du commun, pensent que la règle de l’islam impose l’exécution de l’apostat. En Mauritanie, des hommes et des femmes sont sortis fêter la condamnation à mort du jeune Mohamed Cheikh Ould Mohamed. La position des anciens juristes l’emporte donc sur l’attitude préconisée par les textes coraniques et la tradition du Prophète (QSSL).
Ajoutons qu’il est important d’observer que le hadith, qui justifie la  condamnation à mort de l’apostat, est rapporté par Ibn Abbas, donc par un homme. Or quelles que soient l’intégrité d’un homme et la capacité de sa mémoire, il ne demeure qu’un être humain, et l’humain est imparfait par nature et par principe.
Principe qui se déduit du dogme de l’unicité divine : Dieu est unique dans son être et dans ses attributs dont le premier est la perfection. Si Dieu seul est parfait, la cohérence exige que tout être humain soit imparfait.
Quoi qu’il en soit, une chose est sûre, et c’est le moins qu’on puisse dire, cette règle juridique condamnant à mort l’apostat suscite le doute ; et si doute il y a, il est donc préférable et plus prudent de douter de la parole d’un être humain (Ibn Abbas), plutôt que d’aller à l’encontre de ce que dit le Coran. Il est essentiel de choisir la vie sur la mort, car c’est d’un être humain dont il s'agit.

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Jusqu'à la fin du xixe siècle, l'écrasante majorité des fuqaha sunnites et chiites s'accordaient à dire que l'apostasie était un crime, un pêché et un acte de trahison passible de la peine de mort, généralement après une période d'attente pour permettre à l'apostat de se repentir et de retourner à l'islam. Le type d’apostasie que les juristes jugeaient généralement punissable était de nature politique, bien qu’il y ait des divergences d’opinion juridiques considérables à ce sujet. Wael B. Hallaq affirme que « [dans] une culture dont la religion, les principes religieux et la moralité religieuse sont la pierre angulaire, l’apostasie est en quelque sorte l'équivalent de la haute trahison dans l’État-nation moderne. » Les premiers fuqaha ont développé des institutions juridiques pour contourner cette punition sévère, et la ligne rouge pour condamner quelqu'un à la peine de l'apostat a été placée si haut que pratiquement aucun verdict n'a été rendu dans ce sens avant le xixe siècle du calendrier julien. Cependant, par la suite, les fuqaha ont abaissé cette ligne rouge pour appliquer la peine de mort, laissant aux Qadah une plus large liberté d’interprétation pour caractériser l'apostasie, ce qui s'est traduit parfois par de la clémence et d'autres fois par de la sévérité. À la fin du XIXe siècle, le recours à des sanctions pénales pour l’apostasie est tombé en désuétude, bien que des sanctions civiles soient toujours appliquées.

Selon Abdul Rashied Omar, la majorité des fuqaha contemporains continuent de considérer l’apostasie comme un crime méritant la peine de mort. Certains la considèrent comme une forme de crime religieux, d'autres non.

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l'origine de la peine de mort de l'apostat vient du hadiths du grand sahih de Bukarih

"Celui qui change de religion, tuez-le"

# ↑ Sahîh Bukhari, vol. 9, livre 84, numéro 57, rapporté par Ibn Abbas

QUI CROIRE AL BOUKHARI OU LE CORAN???

pourquoi le verdict pour notre jurisconsulte est tombé comme un couperet et c'est Al BOUKHARI qui a gagné devant Dieu.

question sur je pose à ces idiots qui continuent à suivre nos Ulémas comme des robots guidés par une télécommande.

 

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premier texte auquel nous faisons référence est un guide de la Charia de l'école chafi'ite. Il porte un certificat de l'université Al-Azhar du Caire, numéro 1 des universités islamiques. Aux pages 595 à 598 de la version anglaise, on peut lire au §o8 ce qui suit (traduction libre) :
 
o8.0 Apostasie de l'Islam (appelée RIDDA)
o8.1 Une personne ayant atteint l’âge de puberté et saine d’esprit quittant volontairement l'Islam mérite d'être mise à mort.
o8.2 Dans un tel cas, le calife est obligé de lui demander de se repentir et de revenir vers l'Islam. S'il le fait, il est accepté; s'il refuse, il est immédiatement exécuté.
o8.3 S'il s'agit d'un homme libre, personne n'a le droit de le tuer, sauf le calife ou son représentant. Si quelqu'un d'autre le tue, cette personne doit être réprimandée (pour s'être arrogé le droit du calife).
o8.4 Aucune indemnité n'est due pour l'exécution d’un apostat (étant donné qu'il s'agissait de quelqu'un méritant de mourir).
o8.6 Si un époux d'un mariage consommé devient infidèle à l'Islam, le couple est séparé pendant trois cycles menstruels. Si l'époux revient à l'Islam avant la fin de cette période, le mariage est considéré comme n'ayant jamais été interrompu.
 
ACTES QUI SIGNIFIENT L'APOSTASIE DE L'ISLAM
o8.7 Les actes qui signifient l'apostasie de l'Islam sont entre autres :
(1) Vénérer une autre divinité
(2) Exprimer l'intention de devenir athée
(3) Exprimer des mots comme "Je suis Allah" ou "Allah est le tiers de trois"
(4) Offenser Allah ou son messager
(5) Nier l'existence d’Allah
(6 )Exprimer du sarcasme à propos d’Allah
(7 )Nier ou rajouter un verset du Coran ou toute chose pour laquelle les érudits déclarent unanimement qu'elle appartient au Coran
(8) Déclarer en moquerie : "J’ignore ce qu'est la foi"
(9) Répondre "Dire qu'il n'y a pas de force ou de puissance autre qu’Allah ne vous épargnera pas de la faim"
(10) Quand une personne opprimée déclare : "Ceci est une commande d’Allah" et qu'un dictateur répond : "J'agis sans les décrets de Allah"
(11) Dire d'un musulman qu'il est un infidèle
(12) Refuser d'apprendre la profession de foi islamique à quelqu'un qui le demande
(13) Dire d'un musulman ou de quelqu'un qui veut le devenir qu'il est non croyant
(14) Nier le caractère obligatoire de quelque chose sur lequel il existe un consensus entre musulmans
(15) Déclarer que l'un des prophètes d’Allah était un menteur
(16) Se moquer de l'Islam
(17) Prétendre que quelque chose se fasse sans la volonté d’Allah
(18) Nier l'existence des anges ou des djinns (sortes d'esprits)
(19) S'exprimer de façon sarcastique sur l'une des règles de la charia
(20) Nier qu’Allah avait comme but que toute l'humanité suive le message de Mahomet comme religion
 
Il existe encore bien d'autres choses car le sujet est pratiquement infini.
 
Manifestement, il est clair, pour ces gens, que renier l'Islam mérite la peine de mort et qu'un musulman n'est donc pas libre de quitter l'Islam. Comment est-ce possible ?  Le Coran ne dit-il pas au verset 2.256 qu'il n'y a "Nulle contrainte en religion" ? Les érudits ne connaissent-ils pas ce verset ? Ne savent-ils pas que l'Islam est une religion de liberté et de tolérance ?
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Tu
 
 
Examinons ce que dit l'école Maliki sur ceux qui renient l'Islam. On trouve un manuel de la charia de cette école en cliquant sur le lien suivant (site internet de l’International Islamic University of Malaysia. Le chapitre 37 parle des apostats de l'Islam, du meurtre et d’autres actes répréhensibles similaires. Renoncer à l'Islam est donc considéré par cette école comme proche d'un meurtre. Le chapitre 37 est accessible en cliquant sur ce lien :
 
37.19 CRIMES CONTRE L’ISLAM
hérétiques (Zindiq) doivent être mis à mort et leur repentance est à rejeter. Un hérétique est quelqu’un qui dissimule sa mécréance en prétendant embrasser l’islam. […] Un apostat doit aussi être tué sauf s’il se repent. Il lui est permis trois jours de grâce, s’il refuse à utiliser la chance du repentir, l’exécution doit avoir lieu. La même chose s’applique aux femmes apostates.
 
L'école Maliki montre donc la même "interprétation intolérante de l'Islam" qui implique que les renégats méritent d'être tués. Cette école ne connaît pas non plus le verset 2.256 qui dit qu'il n'y a nulle contrainte en religion.
 

Dans ce cas, d'où les érudits islamiques puisent-ils leur "interprétation" intolérante? Pourquoi pensent-ils que les apostats doivent être exécutés ?
 
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peine de mort pour apostasie est surtout basée sur les Hadiths. Nous rappelons aux lecteurs que la loi islamique est autant basée sur les Hadiths que sur le Coran : les deux sources ont autant force de loi. Plusieurs Hadiths prescrivent la peine de mort pour les apostats sans donner d'autres circonstances atténuantes.
 
Bukhari 9.83.17:
 
Rapporté par 'Abdullah : « L'Apôtre d'Allah a dit : 'Le sang d'un musulman qui confesse que seul Allah peut être adoré et que je suis son Apôtre ne peut être versé excepté pour 3 cas : le meurtrier en raison de la loi du Talion (Qisas), l'adultère des personnes mariées, l'apostat qui abandonne l'Islam et quitte la communauté.' »
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Bukhari 9.84.57 dit à peu près la même chose que 4.52.260
 
Bukhari 9.89.271

Rapporté par Abu Musa: Un homme s’est converti à l’islam puis s’est reconverti au judaïsme. Mu'adh bin Jabal arrivait et voyait l’homme chez Abu Musa. Mu'adh demandait: "Quel est le problème avec cet homme ?" Abu Musa répondait: "Il s’est converti à l’islam et puis s’est reconverti au judaïsme." Mu'adh disait, "Je ne vais pas m’asseoir avant que tu aies tué cet homme vu que c’est le verdict d’Allah et de son Apôtre.”

Bukhari 9.84.58 dit à peu près la même chose que 9.89.271
 
Il existe des Hadiths qui prescrivent la peine de mort pour les personnes ayant renié l'Islam et commis un autre crime. Il n'est pas clair que la peine de mort soit prononcée pour l'apostasie et pour le crime, ou seulement pour le crime. Un exemple est le hadith suivant:
 
Bukhari 9.83.37:

Abu Qilaba a rapporté: "Anas rapporte que des gens de la tribu de 'Ukl sont venus voir le Prophète et se sont convertis à l'Islam. Mais le climat de Médine ne leur convenait pas, et il devinrent malades et en plaignaient auprès du Prophète qui leur ordonna d'aller au berger de notre troupeau de chameaux et de boire du lait et de l'urine (comme médicament) des chameaux. Ils l’ont fait, et après avoir retrouvé la santé ils ont abandonné l'Islam, tué le berger et pris les chameaux.

Le Prophète envoya des hommes à leur poursuite qui les ont ramenés. Alors le Prophète ordonna que leurs mains et leurs jambes soient tranchées et que leurs yeux soient crevés à l'aide d’un fer chaud, et que leurs plaies ne soient pas soignées, jusqu'à ce qu'ils meurent." J'ai dit,  "Est-ce qu’il y de plus grave que ce que firent ces gens? Ils tournèrent le dos à l'Islam, perpétrèrent meurtre et vol.
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