Jump to content

La misogynie: un mal à bannir.


Recommended Posts

Les femmes violentées au foyer, c’est le pire des abus. Un crime vieux comme le monde, et l’un des moins connus parce que trop longtemps occulté par le poids des traditions et des préjugés mais aussi et surtout masqué par le silence des victimes et l’indifférence des autres.

Mais le problèmes est aussi difficile à résoudre qu’à mesurer, pour la même raison. Presque toujours, la violence intervient dans l’intimité du foyer, là où les parents, les amis, les voisins et les autorités hésitent à pénétrer. Les victimes elles-mêmes portent moins souvent plainte et font moins fréquemment appel à la loi. La peur des représailles, les tabous entourant les questions sexuelles, la honte et le sentiment de culpabilité des femmes violées, l’acceptation aveugle de la tradition et le bâillon de la dominance masculine sont autant de facteurs qui jouent un rôle allant de pair avec la complicité active ou passive de l'entourage et du laxisme des autorités pour punir l'auteur des méfaits. Cependant, si la justice et même les autorités compétentes n’ont pas encore pris la mesure de la gravité du problème, les nouvelles générations des femmes sont de moins en moins résignées et osent en parler. Cassons ce tabou assassin et osons relever le défi pour le bien-être futur de nos filles qui vont devenir vos femmes et mères de vos enfants.

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...