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Le confort matériel suffit-il au bonheur?


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Guest KRATOS
Le confort ça veut dire quoi pour toi ??Pour allé jusqu'au bout d'un raisonnement il faut appliquer les mot juste car moi je connais le confort matériel là on parlera d'aissance et il ya le confort personnel qui s'apparentré à du bien être moi je parle du bien être pas de l'aisance.

 

 

 

Quand je ressent un bien être je ressent du bonheur donc le Bonheur est intimement lié avec le confort personnel:) On est d'accord et on peut aussi appliquer ça o bonheur matériel donc je te rejoins dans ton explication

 

Dans un premier temps il est intéressant de rappeler que intimement en l'occurence dans ma précédente boutade ( je ne te ferais pas l'affront de te donner la définition de boutade :D) Donc je surligna en rouge intimement dans le but de mettre en évidence que ce mot est lié à tous ce qui est sexuelle donc je voulais juste faire une boutade sur le fait que d' utiliser intimement de ta part fût un jolie lapsus qui nous a démontrer que tu penses inconsciement que le bonheur et relier à la sexualité Voila c'est tout je rigolais avec toi :D

 

Tu m'en veux pas ? :cloud9:

 

bonjour,

désolé je suis très fatigué et donc je ne pourrais pas apporter une réponse à ton message maintenant mais j'y reviendrai.

je voulais juste te dire que je n'ai jamais mis en avant ma réflexion sinon ma vision concernant le confort et le bonheur. je n'ai fait qu'apporter de l'eau à la discussion.

en tout cas, ce qui sort de ta réponse est que le confort lui même est un concept individuel et donc ne pouvant pas être soumis à une comparaison sur un autre concept qui l'est aussi. en d'autre mots, ces concepts peuvent se rejoindre chez certaines personnes comme ils peuvent diverger. sauf que la nature romantique de l'homme cherche à se démunir de tout matérialisme pour renforcer le profondeur de son existence. alors la question qui se pose : est ce que le bonheur et le confort peuvent exister si l'homme n'existait pas ?

:)

PS : comment peux tu établir un profil de l'inconscient à travers une réponse sur un forum ?

si tu sais vraiment le faire alors je peux te proposer un travail à la CIA :D

bonne journée chère demoiselle

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Guest ferria
Bonjour Kratos,

 

J'aime beaucoup ton approche de distinguer le bonheur comme relevant d'une perception personnelle et qu'il est donc difficile d'entreprendre une analyse transversale avec la notion de "confort".

 

Toutefois, il faut reconnaître l'existence de cette confusion dans la société de consommation. C'est pas tant de savoir si c'est objectif dans leur tête mais bien qu'il s'agisse d'un fait, d'une réalité. Toute la communication du capitalisme va dans ce sens, tu n'aurais pas la majorité active dans cette mouvance, le système ne pourrait survivre puisqu'il ne peut s'auto-suffir.

 

Kéké, j'ai bien aimé ta phrase comme quoi le bonheur était davantage dans la quête du bien que dans son acquisition. C'est pour moi aussi un leurre.

 

Bonjour Rylinette :D

 

Moi aussi j'aime bien les analyse transversal .Peut tu nous donner la définition :D

Aprés tu peux me donner des exemples de bonheur qui ne reléve pas d'une perception personelle ? :D

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Bonjour Rylinette :D

 

Moi aussi j'aime bien les analyse transversal .Peut tu nous donner la définition :D

Aprés tu peux me donner des exemples de bonheur qui ne reléve pas d'une perception personelle ? :D

 

Bonjour Ferria,

 

Allez, c'est dimanche...on se fait plaisir :

 

L'approche transversale est une théorie psychosociologique existentielle et multiréférentielle, développée par René Barbier, professeur de sciences de l'éducation à l'université de Paris VIII, entre 1970 et 1997.

 

Elle implique la mise en œuvre de trois types :

 

- scientifique-clinique, avec sa méthodologie propre de recherche, appelée recherche-action existentielle

- poétique-existentielle qui prend en compte les phénomènes imprévus résultant de l'action des minorités et de la particularité dans un groupe ou chez un individu

- spirituelle-philosophique, c’est-à-dire l'écoute des valeurs ultimes qui sont en œuvre chez le sujet (individu ou groupe)

 

C'est le plus synthétique que j'ai trouvé :D

 

Sinon pour la notion de bonheur, autant elle nous impartient dans le sens où c'est nous qui la ressentons et lui donnons la dimension subjective qui nous est propre. Autant elle n'est pas forcément objective surtout lorsque la finalité de ce bonheur est récupéré par une entité supérieure.

Je pense notamment à l'association du bonheur et de la consommation (confort, bien matériel...) qui pour moi relève à 50% d'un jugement libre (et personnel). Les 50% restants ont été suscités et influencés.

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c est dimanche matin, vous avez les neurones deja en ebullition, moi je n arrrive a tenir un discours philosophique qu a partir d une certaine heure et jamais le w end:mdr::mdr: cela dit votre approche est tres interressante

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c est dimanche matin, vous avez les neurones deja en ebullition, moi je n arrrive a tenir un discours philosophique qu a partir d une certaine heure et jamais le w end:mdr::mdr: cela dit votre approche est tres interressante

 

C'est la faute de Ryline elle aime philosopher le dimanche matin:mdr:

je vais tout relire depuis le début et prendre mon temps:D

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bonheur ==== assez bien matériellement

 

pas assez bien matériellement ===== probléme, machékil bezzaf, mauvaise humeur, pas de possibilité de faire se qu'on veux :p

 

Bonjour Shadow,

 

Bien pour embêter Omri & Matienne qui se moquent de mes envies d'ateliers philo du dimanche matin...

 

Donc selon toi, le confort matériel serait une base pour se détâcher des problèmes périphériques et pouvoir ainsi nous aventurer vers la vraie recherche du bonheur ? C'est pas bête en tout cas ! :40:

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Bonjour tout le monde,

 

Ca philosophe fort par là.

 

Si j'ai bien compris, la question est de savoir si le confort matériel influence le bonheur personnel, la réponse ne peut etre que oui, le monde évolue et progresse dans tous les domaines, progrés veut dire acquisitions de nouvelles téchniques mais aussi droits á l'épanouissement de tous. Si le progrés apporte son lot de bienfaits comme l'abondance de la nourriture, les droits au repos et á la détente, il impose qu'il doit toucher l'ensemble des individus. La réalité est que une minorité profite du progrés ce qui crée des frustrations chez les autres et c'est tellement compréhensible de quelqu'un qui se dit malheureux car il n'a ni bonne nourriture , ni de bons habits, qui ne trouve pas de logement, qui ne peut pas se divertir etc.........

 

Aors que ceux qui assurent l'éssentiel et qui sont encore malheureux car il ne peuvent pas passer des vacances á 7000 euros la nuit et la veste ou le pantalon qui nous plait coutent 5 fois plus notre salaire, cela devient de l'assujetissement et ne fait que renforcer les chaines avec lesquelles ils nous ont enchainés. Dans ces cas là le bonheur doit se chercher dans l'accomplissement de la personne, santé physique , morale et spirituelle et sourtout l'apport perso pour perpétuer le progrés. Car si on ne rapporte rien, on se sentira inutil et c'est le début de nouvelles frustrations .

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Bonjour tout le monde,

 

Ca philosophe fort par là.

 

Si j'ai bien compris, la question est de savoir si le confort matériel influence le bonheur personnel, la réponse ne peut etre que oui, le monde évolue et progresse dans tous les domaines, progrés veut dire acquisitions de nouvelles téchniques mais aussi droits á l'épanouissement de tous. Si le progrés apporte son lot de bienfaits comme l'abondance de la nourriture, les droits au repos et á la détente, il impose qu'il doit toucher l'ensemble des individus. La réalité est que une minorité profite du progrés ce qui crée des frustrations chez les autres et c'est tellement compréhensible de quelqu'un qui se dit malheureux car il n'a ni bonne nourriture , ni de bons habits, qui ne trouve pas de logement, qui ne peut pas se divertir etc.........

 

Aors que ceux qui assurent l'éssentiel et qui sont encore malheureux car il ne peuvent pas passer des vacances á 7000 euros la nuit et la veste ou le pantalon qui nous plait coutent 5 fois plus notre salaire, cela devient de l'assujetissement et ne fait que renforcer les chaines avec lesquelles ils nous ont enchainés. Dans ces cas là le bonheur doit se chercher dans l'accomplissement de la personne, santé physique , morale et spirituelle et sourtout l'apport perso pour perpétuer le progrés. Car si on ne rapporte rien, on se sentira inutil et c'est le début de nouvelles frustrations .

 

Bonjour Hograbarakat... c'est dimanche :o

 

Là tu pointes les écarts et les injustices sociales qui créent forcément de l'envie par la comparaison avec ce qu'on a. Et chercher à combler ce vide, ce fossé existant avec le "modèle" qu'on se fait et notre situation, serait une quête vers ce qu'on croit être le bonheur.

 

Moi je pense, comme l'avait dit Jasmine, que nous sommes des éternels insatisfaits, conscients que le bonheur est rarissime en comparaison avec notre investissement quotidien plutôt fade, donc qu'il est important de lui courir après. Celui qui n'a pas, veut, celui qui a, ne veut plus...

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Bonjour Hograbarakat... c'est dimanche :o

 

Là tu pointes les écarts et les injustices sociales qui créent forcément de l'envie par la comparaison avec ce qu'on a. Et chercher à combler ce vide, ce fossé existant avec le "modèle" qu'on se fait et notre situation, serait une quête vers ce qu'on croit être le bonheur.

 

Moi je pense, comme l'avait dit Jasmine, que nous sommes des éternels insatisfaits, conscients que le bonheur est rarissime en comparaison avec notre investissement quotidien plutôt fade, donc qu'il est important de lui courir après. Celui qui n'a pas, veut, celui qui a, ne veut plus...

 

Non ryline je ne parle pas des disparités sociales, je veux seulement dire que le bonheur éxige au départ un minimum vital du progrés selon les époques.

De nos temps et surtout dans les pays pauvres ou mal géres, les individus qui se disent malheureux ou que le bonheur est intouchable parceque le minimum des biens matériel n'est pas assuré ont le droit de lier les deux, c'est tellemnt vrai, tellemnt naturel.

 

Par contre ceux qui lient le bonheur avec le mode de vie des stars et des puisants de ce monde sont dans le faux.

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Non ryline je ne parle pas des disparités sociales, je veux seulement dire que le bonheur éxige au départ un minimum vital du progrés selon les époques.

De nos temps et surtout dans les pays pauvres ou mal géres, les individus qui se disent malheureux ou que le bonheur est intouchable parceque le minimum des biens matériel n'est pas assuré ont le droit de lier les deux, c'est tellemnt vrai, tellemnt naturel.

 

Par contre ceux qui lient le bonheur avec le mode de vie des stars et des puisants de ce monde sont dans le faux.

 

Ok donc tu rejoinds l'idée de shadow comme quoi la quête du bonheur n'est possible qu'en se libérant des périphériques économiques (freinant au confort) ?

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Ok donc tu rejoinds l'idée de shadow comme quoi la quête du bonheur n'est possible qu'en se libérant des périphériques économiques (freinant au confort) ?

 

Oui en quelques sorte, mais si je crois qu'arriver une heure en retard á une destination parcequ'on a roulé dans une voiture qui a dix ans d'age et qu'on sente que le bonheur nous deserte, cela devient du "Self- enchainement" et pas dutout une quète du bonheur.

 

Il faut aussi lier le bonheur avec ce qu'on accomplit, faire un enfant nous innonde de bonheur, aider des humains dans la detresse nous rend les plus heureux du monde, réduire les souffrances de malades nous met au sommet de la satisfaction. L'équation est simple pour atteidre le bonheur, recevoir le minimum plus donner assez de soi.

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avnat tout il faudrait definir le bonheur qui me semble etre tellement subjectif selon les epoques et les individus voilà ma maigre contribution

pour moi le bonheur est un sentiment de pleinitude avec ou sans confort materiel puisqu il prend sa source dans l epanouissement personnel et la realisation de soi;) le bonheur est a mon ses une addition de petits bonheurs quotidiens

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Guest KRATOS
Bonjour Kratos,

 

J'aime beaucoup ton approche de distinguer le bonheur comme relevant d'une perception personnelle et qu'il est donc difficile d'entreprendre une analyse transversale avec la notion de "confort".

 

Toutefois, il faut reconnaître l'existence de cette confusion dans la société de consommation. C'est pas tant de savoir si c'est objectif dans leur tête mais bien qu'il s'agisse d'un fait, d'une réalité. Toute la communication du capitalisme va dans ce sens, tu n'aurais pas la majorité active dans cette mouvance, le système ne pourrait survivre puisqu'il ne peut s'auto-suffir.

 

Kéké, j'ai bien aimé ta phrase comme quoi le bonheur était davantage dans la quête du bien que dans son acquisition. C'est pour moi aussi un leurre.

 

Bonjour,

pour ne pas changer de cap dans ma démarche critique (et aucunement personnelle), il semble que le bonheur ne soit qu'un aspect du confort personnel. en effet, la vision collective du bonheur converge vers la définition discontinue du bonheur (il n'existe que des moments de bonheur). cette vision annonce aussi la marginalité de ces instants de bonheur de la vie d'une personne (l'homme ressent le bonheur que rarement dans sa vie). si on rajoute à ça un chouiya de romantisme humain voulant greffer de la profonduer à l'existence de l'homme, le bonheur se ressent plutôt comme une quête remplie d'embûches mais qui donne un sens à la vie de l'homme.

 

aussi, il est évident que l'homme ne vit le bonheur que sur une période très limitée dans sa vie sans ressentir aucune carrence ni même une quelconque tristesse. l'homme peut jouire (petite boutade sexuelle pour ferria :D) sereinement sa vie et savoure le bonheur quand il le croise. par conséquent, le bonheur n'ajoute qu'un plus dans la vie de l'homme et ne peut donner nullement une valeur et encore moins un sens à la vie de ce dernier. en d'autres mots, le bonheur définit une satisfacttion qui pénétre (deuxième petite boutade sexuelle pour ferria :D) la vie de l'homme.

 

alors, l'homme peut avoir une vie intéressante sans avoir à gouter au bonheur. mais peut il se détacher du confort ?

 

:)

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Bonjour,

pour ne pas changer de cap dans ma démarche critique (et aucunement personnelle), il semble que le bonheur ne soit qu'un aspect du confort personnel. en effet, la vision collective du bonheur converge vers la définition discontinue du bonheur (il n'existe que des moments de bonheur). cette vision annonce aussi la marginalité de ces instants de bonheur de la vie d'une personne (l'homme ressent le bonheur que rarement dans sa vie). si on rajoute à ça un chouiya de romantisme humain voulant greffer de la profonduer à l'existence de l'homme, le bonheur se ressent plutôt comme une quête remplie d'embûches mais qui donne un sens à la vie de l'homme.

 

aussi, il est évident que l'homme ne vit le bonheur que sur une période très limitée dans sa vie sans ressentir aucune carrence ni même une quelconque tristesse. l'homme peut jouire (petite boutade sexuelle pour ferria :D) sereinement sa vie et savoure le bonheur quand il le croise. par conséquent, le bonheur n'ajoute qu'un plus dans la vie de l'homme et ne peut donner nullement une valeur et encore moins un sens à la vie de ce dernier. en d'autres mots, le bonheur définit une satisfacttion qui pénétre (deuxième petite boutade sexuelle pour ferria :D) la vie de l'homme.

 

alors, l'homme peut avoir une vie intéressante sans avoir à gouter au bonheur. mais peut il se détacher du confort ?

 

:)

 

Bonjour Kratos,

 

Superbe phrase !

 

Mais penses-tu vraiment que la pensée collective en soit si convaincue ? Ne crois-tu pas qu'elle aurait tendance à idéaliser sa conception du bonheur et la proximité qui est la sienne ? Je pense que le bonheur comme rareté est consciemment connu de tous quand on prend le temps de se poser clairement la question. Mais que chacun espère intimement qu'il soit juste à côté de lui. C'est ce paradoxe qui pourrait donner "du sens à sa vie"

 

Pour l'idée du bonheur comme une rareté (qui fait, je pense aussi, son intensité) je te rejoins entièrement. Donc si le confort matériel est lui permanent, on en déduit qu'il se fond progressivement dans la banalité (qui fait d'ailleurs qu'on va consommer à nouveau).

Donc l'achat en lui-même d'un produit qu'on désirait peut être un moment de bonheur sur le coup mais disparaitra avec le temps et sera remplacé par un nouveau désir. Le confort est une quête capricieuse pour moi. Un bonheur fabriqué par le système, qui enferme l'individu entre quête et réalisation du désir. Un aliéné...mais une victime !

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Re-Amis philosophes ou simples contestataires...

 

Pour reprendre l'idée de "bonheur" = confort = consommation = économie = politique = attention tu t'es fait avoir... :cool:

 

J'ai ressorti quelques bouquins et suis remontée en 1793, à l'époque du grand révolutionnaire Saint-Just (pote de Robespierre) qui avançait déjà les prémices de ce concept, déjà palpables à l'époque, consistant à intégrer la notion de bonheur dans le politique (plus seulement dans la morale) pour répondre à une question sociale collective (et plus seulement individuelle).

 

Je cite :D :

 

A la différence de tous les régimes qui l'ont précédée, la démocratie prétend assurer le bonheur du plus grand nombre, sinon de tous. Il y a là quelque chose d'inouï dans l'histoire humaine : il est certain qu'aucun empereur, qu'aucun roi de l'histoire passée n'avait jamais prétendu faire le bonheur de son peuple.

 

La division des tâches est ainsi organisée : l'Etat démocratique fournit aux citoyens les conditions du bonheur, à charge pour ceux-ci d'accomplir leur bonheur personnel comme ils l'entendent. Autrement dit, le bonheur devient une affaire de volonté - collective et personnelle.

Cette idée de volonté contredit directement celle de la chance, du hasard (...) Le hasard en effet ruine notre volonté et nos projets; il blesse notre amour-propre et notre volonté de puissance. Il est plus satisfaisant de croire que l'on doit sa bonne fortune personnelle à son mérite propre qu'aux multiples hasards de la vie. Ainsi le bonheur est-il véritablement devenu un mythe du monde moderne.

 

L'homme d'aujourd'hui tend à placer l'excitation plus haut que le plaisir, plus haut que le bonheur lui-même.

 

Alors c'est la faute de qui ce gros chantier ??! A la z3ama dimoucratia :p

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