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IL a fallut le voir pour le croire - la folie israelienne


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bonjour

 

oui IL a fallut a l'europe le voir pour le croire - la folie israelienne

 

deja en 1945 le 8 mai en algerie 45 MILLE morts

 

alors que leur derigents des occidenteaux le savaient

 

et oui deux etat et deux esprit dans le monde qui se dise etre peuple Elus

et peuple superieur

 

Ou l'un a deja mis a feu et a sang le monde entier et l'autre est en train de le faire depuis 60 ans en palestine

 

ah ces esprit malade ete pris de folies des grandeurs

 

comment il faut faire comprendre a l'occident qu'il faut qu'ils reconsidere ce qu'ils ont fait voila 60 ans donner un etat et un pays a ces gens

 

la tere en palestien appratien aux palestiniens et pas aux israeliens

 

il yavait que deux mille famille ou moin en 1948 eux oui

ou sont ils eux?pour temoigner le bon voisinage avant l'arriver des ces etranger israeliens

 

les autres doivent sortir

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bonjour

un de mes ancien courier qui a ete fait en direction de la responsibiolité

 

aujourdui il a un lien avec le sujet de la palestinevoila ce que je disait pour celui qui retrouva un logement en Algerie

 

 

Qui Peut nous dire et redire sans facons malgré l’appelle a l’union

 

Que si, Mohamed à l’aide de sa femme invite dans leur salon

 

Amis et famille ou la ils font de l’opinions

 

Quelle galere pour faire adher a la distinctin

 

Culturellement parlé il ferons abstraction

 

De ce qu’ils ont ete et jammais l’indepence ils la gratifieront

 

Leur ennergie est d’avoir eut une passion

 

Travailler durement pour etre au diapason

 

Et se faire un nom

 

Aujourdhui ils l’on

 

Que font ils Si-Mohamed sa femme et leur Salon

 

C’etait la leur but de leurs unisson

 

Je leur souhaite une longue et heureuse vie de leur chansson

 

Qu’a cela ne tienne ils diron notre vengence nous la tenons

 

 

 

Voila un comportemnt a conseillé

 

Une reponse a l’occident

 

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours,

 

Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour

 

 

 

Et de dire aux autres : par un juif (voir ce qui est souligné)

 

Jean Ferrat

 

Nuit et brouillard A L’Algerie

 

 

 

Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers, comment oublier

Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés, nos camps ont existe

Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants, le someil ils nous l’ont empeché

 

Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent. Toute l’Algerie

 

Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres : soumis a des laissés passées

Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés. De notre engagement ils eperait une redission

 

Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre,oui la faim fut une punition

 

Ils ne devaient jamais plus revoir un été mais l’algerie savait esperer malgré les moments noirs

 

 

La fuite monotone et sans hâte du temps,

 

Survivre encore un jour, une heure, obstinément

 

Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs

 

Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir.

 

Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel,

 

Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou,

 

D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel,

 

Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux.

 

 

 

Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage;ou son nos disparus retrouvé apres guerre dans des grottes attaché brulées

 

Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux ?

 

Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge

 

Les veines de leurs bras soient devenues si bleues.

 

Les Allemands guettaient du haut des miradors,

 

La lune se taisait comme vous vous taisiez,

 

En regardant au loin, en regardant dehors,

 

Votre chair était tendre à leurs chiens policiers.

 

 

 

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours,

 

Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour,

 

Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire,

 

Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare.

 

Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ?

 

L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été,

 

Je twisterais les mots s'il fallait les twister,

 

 

 

Et l’algerie twistra s’il fallait twister sa douleur pour que plus jamais çà

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un de mes ancien courier qui a ete fait en direction de la responsibiolité

 

aujourdui il a un lien avec le sujet de la palestinevoila ce que je disait pour celui qui retrouva un logement en Algerie

 

 

Qui Peut nous dire et redire sans facons malgré l’appelle a l’union

 

Que si, Mohamed à l’aide de sa femme invite dans leur salon

 

Amis et famille ou la ils font de l’opinions

 

Quelle galere pour faire adher a la distinctin

 

Culturellement parlé il ferons abstraction

 

De ce qu’ils ont ete et jammais l’indepence ils la gratifieront

 

Leur ennergie est d’avoir eut une passion

 

Travailler durement pour etre au diapason

 

Et se faire un nom

 

Aujourdhui ils l’on

 

Que font ils Si-Mohamed sa femme et leur Salon

 

C’etait la leur but de leurs unisson

 

Je leur souhaite une longue et heureuse vie de leur chansson

 

Qu’a cela ne tienne ils diron notre vengence nous la tenons

 

 

 

Voila un comportemnt a conseillé

 

Une reponse a l’occident

 

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours,

 

Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour

 

 

 

Et de dire aux autres : par un juif (voir ce qui est souligné)Jean Ferrat

 

Nuit et brouillard A L’Algerie

 

 

 

Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers, comment oublier

Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés, nos camps ont existe

Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants, le someil ils nous l’ont empeché

 

Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent. Toute l’Algerie

 

Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres : soumis a des laissés passées

Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés. De notre engagement ils eperait une redission

 

Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre,oui la faim fut une punition

 

Ils ne devaient jamais plus revoir un été mais l’algerie savait esperer malgré les moments noirs

 

 

La fuite monotone et sans hâte du temps,

 

Survivre encore un jour, une heure, obstinément

 

Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs

 

Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir.

 

Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel,

 

Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou,

 

D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel,

 

Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux.

 

 

 

Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage;ou son nos disparus retrouvé apres guerre dans des grottes attaché brulées

 

Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux ?

 

Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge

 

Les veines de leurs bras soient devenues si bleues.

 

Les Allemands guettaient du haut des miradors,

 

La lune se taisait comme vous vous taisiez,

 

En regardant au loin, en regardant dehors,

 

Votre chair était tendre à leurs chiens policiers.

 

 

 

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours,

 

Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour,

 

Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire,

 

Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare.

 

Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ?

 

L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été,

 

Je twisterais les mots s'il fallait les twister,

 

 

 

Et l’algerie twistra s’il fallait twister sa douleur pour que plus jamais çà

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un de mes ancien courier qui a ete fait en direction de la responsibiolité

 

aujourdui il a un lien avec le sujet de la palestinevoila ce que je disait pour celui qui retrouva un logement en Algerie

 

 

Qui Peut nous dire et redire sans facons malgré l’appelle a l’union

 

Que si, Mohamed à l’aide de sa femme invite dans leur salon

 

Amis et famille ou la ils font de l’opinions

 

Quelle galere pour faire adher a la distinctin

 

Culturellement parlé il ferons abstraction

 

De ce qu’ils ont ete et jammais l’indepence ils la gratifieront

 

Leur ennergie est d’avoir eut une passion

 

Travailler durement pour etre au diapason

 

Et se faire un nom

 

Aujourdhui ils l’on

 

Que font ils Si-Mohamed sa femme et leur Salon

 

C’etait la leur but de leurs unisson

 

Je leur souhaite une longue et heureuse vie de leur chansson

 

Qu’a cela ne tienne ils diron notre vengence nous la tenons

 

 

 

Voila un comportemnt a conseillé

 

Une reponse a l’occident

 

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours,

 

Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour

 

 

 

Et de dire aux autres : par un juif (voir ce qui est souligné)

 

Jean Ferrat

 

Nuit et brouillard A L’Algerie

 

 

 

Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers, comment oublier

Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés, nos camps ont existe

Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants, le someil ils nous l’ont empeché

 

Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent. Toute l’Algerie

 

Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres : soumis a des laissés passées

Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés. De notre engagement ils eperait une redission

 

Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre,oui la faim fut une punition

 

Ils ne devaient jamais plus revoir un été mais l’algerie savait esperer malgré les moments noirs

 

 

La fuite monotone et sans hâte du temps,

 

Survivre encore un jour, une heure, obstinément

 

Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs

 

Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir.

 

Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel,

 

Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou,

 

D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel,

 

Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux.

 

 

 

Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage;ou son nos disparus retrouvé apres guerre dans des grottes attaché brulées

 

Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux ?

 

Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge

 

Les veines de leurs bras soient devenues si bleues.

 

Les Allemands guettaient du haut des miradors,

 

La lune se taisait comme vous vous taisiez,

 

En regardant au loin, en regardant dehors,

 

Votre chair était tendre à leurs chiens policiers.

 

 

 

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours,

 

Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour,

 

Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire,

 

Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare.

 

Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ?

 

L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été,

 

Je twisterais les mots s'il fallait les twister,

 

 

 

Et l’algerie twistra s’il fallait twister sa douleur pour que plus jamais çà

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