kamy 10 Posted January 16, 2009 Partager Posted January 16, 2009 Le pétrole est un bon serviteur, mais un mauvais maître. Dans les pays où il est dompté, l’or noir construit des autoroutes à plusieurs voies, bâtit des universités qui forment des têtes bien faites, envoie des hommes dans l’espace. Dans les pays où le pétrole n’est pas un moyen, mais une fin en soi, les projets sont officialisés sur le papier, mais absents sur le terrain ; on n’envoie pas des hommes sur la lune, mais sous terre ; on construit des universités pour former des chômeurs. Être arabe aujourd'hui, c'est d'abord une fierté, celle de se rattacher à une immense tradition intellectuelle et créatrice. Mais c'est aussi une tristesse liée au sentiment de déclin, de malaise, de terrible échec. Il y a toujours eu des conflits politiques malgré le pétrole, les pays arabes n'ont connu, en moyenne, qu'une croissance faible, parfois inférieure à leur fort accroissement démographique. Les hommes politiques repoussent les idées réformatrices et, face au chômage, rêvent encore de protectionnisme. Les classes politiques arabes demeurent "traditionnelles" . Le pétrole n’est pas la cause, mais il peut être le moyen pour défendre une cause, il permet aux uns de dominer le monde, et aux autres de dominer leurs peuples. Citer Link to post Share on other sites
you 10 Posted January 16, 2009 Partager Posted January 16, 2009 Ben....Je dirais que c'est comme toutes les autres choses. Entre de bonnes mains,oui :il est bon mais, entre les mauvaises,évidemment qu'il est mauvais ! Un chose est bonne ou mauvaise selon l'usage qu'on en fait... En soi,la chose est ce qu'elle est mais ce sont les hommes qui sont bons ou mauvais,finalement ! Citer Link to post Share on other sites
Gravissimo 10 Posted January 16, 2009 Partager Posted January 16, 2009 Le pétrole est un bon serviteur, mais un mauvais maître. Dans les pays où il est dompté, l’or noir construit des autoroutes à plusieurs voies, bâtit des universités qui forment des têtes bien faites, envoie des hommes dans l’espace. Dans les pays où le pétrole n’est pas un moyen, mais une fin en soi, les projets sont officialisés sur le papier, mais absents sur le terrain ; on n’envoie pas des hommes sur la lune, mais sous terre ; on construit des universités pour former des chômeurs. Être arabe aujourd'hui, c'est d'abord une fierté, celle de se rattacher à une immense tradition intellectuelle et créatrice. Mais c'est aussi une tristesse liée au sentiment de déclin, de malaise, de terrible échec. Il y a toujours eu des conflits politiques malgré le pétrole, les pays arabes n'ont connu, en moyenne, qu'une croissance faible, parfois inférieure à leur fort accroissement démographique. Les hommes politiques repoussent les idées réformatrices et, face au chômage, rêvent encore de protectionnisme. Les classes politiques arabes demeurent "traditionnelles" . Le pétrole n’est pas la cause, mais il peut être le moyen pour défendre une cause, il permet aux uns de dominer le monde, et aux autres de dominer leurs peuples. Contrairement a ce que tu pense les les hommes politiques (arabes) ne revent pas de protectionnisme, il revent tous du trone. De le garder pour celui qui est deja assit dessu, et de le conquerir d'une maniere ou d'une autres pour ceux qui n'y sont pas deja. Parceque rever de protectionisme, de communisme ou de liberalisme (ne pas confendre avec capitalime sauvage, s'est deja croire qu'une de ces doctrine peut marcher pour faire evoluer un pays. Mais justement faire evoluer le pays c'est le cadet des soucis de ces politicars. Quand au petrole y' a qu'a voire la Norvaige, la bas les petrodollars sont depensés dans l'interet du peuple et du pays et les resultats sont la: -chomage minime. -le niveau de vie et l'un des plus elevé au monde -l'esperence de vie elevé -La croissance economique ..... Nos revolutionnaires s'en retournent dans leurs propre tombes. Citer Link to post Share on other sites
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