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Israël, où est ta victoire ?


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Ce texte, une fiction, a pour but de mettre en évidence certaines particularités, ignorées par tous, lors de problèmes, en particulier les conflits.

Il tente de faire comprendre la protection et le sacrifice des Musulmans de Gaza, vis-à-vis de l’agresseur israélien, pour leurs frères Chrétiens, unis dans le même malheur et la même douleur.

 

 

 

Sana ! Sana ! J’ai peur ! cria Linda en se bouchant les oreilles afin de ne pas entendre le bruit effrayant des avions qui volaient à basse altitude sur Gaza.

N’aie pas peur ! N’aie pas peur ! Je suis là, près de toi. Répondit Sana en caressant les cheveux de sa jeune sœur !

Que va-t-il advenir de nous ?

Chut ! Il adviendra de nous ce que le Seigneur voudra qu’il advienne. Nous sommes ensemble. N’est-ce pas suffisant ?

 

Linda leva ses petits yeux apeurés, pleins de larmes, comme si elle suppliait son ainée de trouver une solution, elle qui était si dynamique, si intelligente, si belle.

Mais Sana n’en avait aucune à lui proposer.

Comment pouvait-elle faire, d’ailleurs, enfermée dans cet établissement aux murs déjà lézardés par les explosions qui avaient détruit les maisons avoisinantes, cette maison qui faisait office d’orphelinat, insalubre puisqu’il n’y avait plus d’eau, plus d’électricité à la suite des précédents bombardements ?

 

Sana essuya de sa main douce et affectueuse les petits yeux de biche d’une sœur dont elle s’était juré de protéger la vie quoi qu’il lui en coûte, après la mort de ses parents et de ses deux jeunes frères, des enfants, tués une année auparavant, sous ses yeux, à la suite d’un bombardement.

Linda était sa seule famille.

Il ne lui restait plus qu’elle dans cette vie cruelle, où la raison du plus fort est toujours la meilleure. Cette vie où elle devait subir les caprices d’une armée qui attaquait, tuait, détruisait selon son gré, quand elle le voulait, au moment où elle le décidait dans l’impunité la plus totale, au vu et su de tous, complices.

 

Depuis la veille, les deux filles étaient enfermées dans l’orphelinat et regardaient, du troisième étage où elles se trouvaient, à travers la fenêtre, les morts, les destructions, la valse des ambulances.

Pourquoi, les autres ne viennent-ils pas nous voir ? Pourquoi ? demanda Linda en pleurant toutes les larmes de son corps.

Parce qu’ils sont occupés et aident ceux qui en ont plus besoin que nous !

– Mais… nous aussi avons besoin d’eux ! Nous ne pouvons appeler. Nous ne pouvons ouvrir cette fenêtre car le toit en se lézardant a libéré une traverse en fer qui la bloque. Nous ne pouvons même pas nous hisser pour la dégager.

– Je sais ! Je sais !

– Nous ne pouvons pas descendre car l’escalier du deuxième étage s’est effondré. Et même sans cela…

– Oui, je sais, je sais ! Tu ne m’apprends rien sur notre situation.

Sana ne voulait pas dire à sa sœur, afin de ne pas l’effrayer, que les trente orphelins, des gamins ayant tout au plus quinze ans, le personnel et la directrice de l’orphelinat avaient été tués et enterrés sous les gravas après qu’une bombe, larguée par un avion israélien, fut tombée sur l’établissement. C’était juste au moment où, attendant Marhoum, elle allait descendre pour les rejoindre au réfectoire alors que Linda, s’étant assoupie sur le fauteuil, fut brusquement réveillée par l’explosion qui détruisit une partie de l’orphelinat. Sana, la belle et gracieuse jeune fille avait eu juste le temps de reculer et de rejoindre la chambre, dans laquelle, pour l’heure, elles étaient enfermées, que le toit s’écroula bloquant la porte.

 

Elles étaient donc prisonnières dans cette pièce austère, n’ayant d’eau et de nourriture que pour deux jours.

 

Sur le mur, un crucifix. Sana et Linda se tournèrent vers lui, fermèrent les yeux. Les mains jointes au niveau de la poitrine, elles dirent une prière, se signèrent puis retournèrent à la fenêtre. Elles avaient tenté, vainement, d’attirer l’attention des sauveteurs mais le bruit des avions, des hélicoptères, des obus lancés par les canons, les chars, les vedettes avaient couvert leurs petites voix. En outre, débordés par leur tâche consistant à essayer de dégager les vivants, jouxtant les cadavres, des décombres de maisons effondrées sur leurs occupants, le personnel du Croissant Rouge, les bénévoles, les civils et les militaires gazaouis peinaient à secourir les blessés car les bombardements les empêchaient d’accomplir leur œuvre humanitaire.

En outre, croyant que tous les occupants de l’orphelinat avaient été enterrés sous les décombres, les sauveteurs cherchèrent, ailleurs, des victimes encore vivantes.

 

Le bruit terrible des avions qui sillonnaient le ciel, larguant leurs engins de mort, les bombes qui explosaient ça et là sans répit, la population qui fuyait dans toutes les directions, les cris des enfants, apeurés, effrayés, mortifiés, dans un monde infernal où ils tentaient de survivre, créaient une atmosphère dans laquelle aucun être humain ne pouvait tenir sans y perdre la raison.

 

Sana et Linda assistaient au triste spectacle qui se déroulait sous leurs yeux, à leurs pieds, impuissantes, pleurant plus à cause de la boucherie, du carnage qu’on faisait sur une population sans défense que sur leur sort propre qui faisait d’elles des prisonnières dans une chambre où il n’y avait plus aucune issue.

 

Mais que pouvaient-elles faire ? Qu’auraient-elles pu faire, d’ailleurs, elles si jeunes puisque Sana n’avait que seize ans et Linda seulement quatorze ?

 

Résignées, apeurées, terrifiées elles étaient là, attendant indifféremment la mort mais aussi la vie, si d’aventure quelques sauveteurs pouvaient revenir. Les chances étaient néanmoins bien maigres pour que le miracle se produise. Mais Sana avait de l’espoir. Elle en avait toujours eu, malgré les souffrances et les outrages que son corps avait subis. Néanmoins, elle rageait de ne pouvoir se rendre utile, elle qui ne supportait pas l’inactivité, la nonchalance, l’immobilité. Elle avait envie de pleurer de rage lorsqu’elle voyait ses frères, ses amis, ses voisins, dans la rue, mourir sous les obus et les bombes. Elle aurait tellement souhaité les aider. Mais comment peut-on le faire lorsque…

 

Elle se souvint.

 

Tu es merveilleuse. Tu es si belle dans cette robe. dit Anna à cette fille, sa fille Sana, dont elle était fière. Que le Seigneur te protège. Et qu’il nous protège aussi de ces criminels qui nous empêchent de vivre comme des êtres humains.

 

Sana, devant la psyché, admirait sa robe, se tournait, se retournait, évaluant sa superbe taille, ses jambes parfaitement galbées par la danse classique qu’elle avait pratiquée, à Paris, pendant un an chez son oncle qui l’avait hébergée après que les Israéliens eurent détruit leur maison en Cisjordanie.

Elle était revenue de la capitale française, avait traversé avec difficulté les check-points, subi des humiliations incessantes, pour rejoindre ses parents qui s’étaient enfuis à Gaza. Mais son rêve était de continuer la danse, à Paris, et d’être une étoile. Voyager, connaitre des pays, des coutumes, des traditions, des gens… danser, virevolter, courir sur une scène avec grâce était un désir qu’elle caressait depuis longtemps.

Ceux qui la connaissaient, devant la splendeur de ses jambes, lui avaient conseillée la danse classique.

 

C’est vrai qu’elle avait de belles jambes, bien faites, bien façonnées. Plus encore lorsqu’elle se mettait sur la pointe des pieds et esquissait quelques pas de danse avec une délicatesse et une beauté sublimes.

 

Sana caressa sa croupe en suivit les contours, se regarda encore une fois, descendit ses mains sur ses cuisses qu’elle évalua, puis sur ses jambes, qu’elle apprécia à leur juste valeur.

- Oh, Seigneur ! Que tes jambes sont belles ! Et que cette robe te va bien ! dit Linda en la regardant furtivement. André, Djamil, venez voir !

 

Les deux jeunes frères accoururent.

 

Soudain, un bruit infernal vint interrompre la petite réunion familiale. Un bruit strident à faire dresser les cheveux sur la tête. C’était un avion israélien qui volait si bas qu’on aurait dit qu’il allait s’écraser sur les maisons avoisinantes. Il passait à une vitesse tellement surprenante que le franchissement du mur du son brisait les verres dans la maison et faisait trembler les murs.

 

Les pilotes israéliens avaient pour habitude de voler de la sorte afin de narguer la population, de l’effrayer, de la terroriser. De nombreux enfants, les oreilles en sang, avaient perdu l’ouïe à cause de ces incursions qui ne se faisaient que pour… le plaisir.

 

Au bruit de l’avion succéda un sifflement sinistre, effroyable apportant la mort et la destruction. Une bombe, larguée, fit exploser la maison. Le toit s’effondra sur les enfants, et les tua sur le coup. La mère et le père, tentant de venir au secours de leur progéniture, n’y parvinrent pas. Ils s’écroulèrent, ensevelis sous la chute des décombres. Sana et Anna, s’en étaient tirées.

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bonjour Makhlouq

j'ai fait une intervention qui a ete annuler

elle a du eter considere pas postalle

je comprend

Makhlouq merci pour eux que dieu te benisse et te protege

je ma'ssocie et partage la douleuer et le cris

en attendant

 

que dieu assiste la pôpulation

 

allah yarham el moota

 

que dioeu arme les familes de patience

 

oui la victoire appartien adieu et lui seule en l'honneur sur les hommes

 

mais sa vengence est tres grande

 

que celui qui sait ne la provoque pas

 

mais soyons patien elle est pas loin

 

PS: Elle est finie

 

La belle histoire israélienne, oui c'est fini le temps ou la communauté internationale était a 100% pour israél

 

Ou israél par le mensonge et de la propagande façonnais des justifications a s’armer et se sur armer

Justifiant un droit a se défendre

Mais jamais cela ne l’a été pour la Palestine

Cette considération il lui ont tourner el dis israél et la communauté internationale

 

La Palestine a de tout temps été jugé terroriste et pas un état

 

Imaginez la Palestine être un état

Qui pourra détenir des armes des avions et des bombes et des chars ?

 

Voila ce qu’israél ne désire pas pour rien au monde

 

 

 

Mais il est fini le beau rêve Israélien

 

Comme le rêve américain ou l’Amérique vit sur les cadavres des propriétaires de l’Amérique

 

Oui que pour mieux le réussir il faut que els chars des la Ouma avance ver ce lieu pour aider

 

La Palestine est un état sans armes il a le droit d’être défendu

Il doit être défendu

 

La communauté internationale est aussi criminelle pour ne pas l’avoir fait

 

La sécurité de la Palestine était sous sa responsabilité

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