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Israël ou est ta victoire ? Fin


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Toutefois, une poutre s’étant détachée du plafond broya la colonne vertébrale de la première, et les jambes de la deuxième.

 

Lorsque les deux filles s’étaient réveillées sur leur lit d’hôpital, elles avaient sombré toutes les deux dans une crise d’hystérie. La perte de leurs parents et de leurs frères n’avait pas suffi. Sana ne sentait plus ses jambes, elle était paralysée pour toujours. Linda avait été amputée des deux, jusqu’aux genoux.

 

Les deux filles, orphelines, devaient désormais vivre dans un fauteuil roulant.

 

Elles avaient été placées dans un établissement recueillant les sans famille et vivaient dans la même chambre. Marhoum, un employé du foyer, était chargé de s’occuper d’elles, de les promener, de leur tenir compagnie.

 

Soudain, l’ainée fut tirée de ses pensées par la cadette.

- Sana ! Sana ! J’entends du bruit, en bas.

- Du bruit ?

- Oui… écoute !

En effet, on pouvait entendre des coups de pioche maintenant que l’aviation ne bombardait plus et que les canons s’étaient tus.

Ohé ! Nous sommes là ! Nous sommes là ! cria Sana suivit par Linda.

 

Sana prit un morceau de fer qui s’était détaché du toit et se mit à frapper la paroi. Soudain les bruits cessèrent comme pour tenter d’entendre les coups que donnait la jeune fille.

Enfin, une voix !

Y a-t-il quelqu’un là-haut ? cria un homme.

– Oui… nous sommes là ! Nous sommes là. Firent les deux filles en hurlant de tous leurs poumons.

– Je vous entends !

 

Sana et Linda trépignèrent de joie !

 

Les secouristes accrochèrent une corde à un piton de pierre et de fer seul vestige de l’escalier. Un homme en tenue léopard se hissa à l’étage par la force des bras. Musclé, grand et fort, il eut tôt fait de dégager la porte et de libérer les deux jeunes filles, qui malgré, leur fauteuil roulant, se jetèrent dans ses bras et l’embrassèrent. L’homme se mit à rire emporté par la vague de tendresse qui déferlait sur lui. Il était jeune. Il était beau. Il plut à Sana qui, d’emblée, sentit son cœur battre la chamade pour Ahmed, ce soldat du Hamas, qui venait de la sauver. Lui, ne resta pas insensible à son charme.

Au bout de quelques heures, par treuillage de fortune, l’équipe réussit à dégager les deux jeunes filles. Lorsqu’elle fut au rez-de-chaussée, Sana prit la main d’Ahmed et la posa sur son cœur en le remerciant, plus particulièrement, après l’avoir fait pour les autres. Lui, le sourire facile, esquissa une agréable mimique sans dire mot. Puis, rougissant comme un coquelicot, il reprit son fusil à jumelle et le porta en bandoulière.

Le groupe se déplaça vers une zone plus sûre, Ahmed poussant le fauteuil de celle qu’il venait de sauver.

 

Soudain, un hélicoptère Apache apparut, sorti d’on ne sait où.

Il piqua sur ses proies comme un rapace.

Les Israéliens avaient pour habitude, après les bombardements par leur aviation, de « nettoyer le terrain », de « sécuriser la zone » en lâchant des hélicoptères capables de « finir le travail », en arrosant tout ce qui bougeait, sans aucun état d’âme car la devise était, dans la glorieuse armée : tuez-les tous afin que vive le Grand Israël !

 

La mitrailleuse se mit à crépiter soulevant la poussière au sol et tuant les trois secouristes.

Ahmed eut le temps de mettre Sana et Linda à l’abri, sous une sorte de porche.

Puis, il se pointa au milieu de la rue, attendant le retour de l’hélicoptère.

Lorsque celui-ci lui fit face et cracha son venin, Ahmed le mit en joue calmement, ajusta la lunette et prit pour cible le pilote. Ce dernier apparaissant dans le cadran de la jumelle, Ahmed pointa son visage et tira une balle… une seule, laquelle traversa le cockpit et frappa mortellement l’agresseur qui s’affaissa sur le manche de pilotage. L’hélicoptère se mit à tourner sur lui-même à plusieurs reprises et piqua du nez se dirigeant vers celui qui venait de lui faire un sort.

 

Ahmed mesura le danger.

En s’écrasant, l’appareil chargé de munitions exploserait.

Il savait, déjà, en affrontant pareil monstre, qu’il n’aurait aucune chance de s’en tirer. Moins encore, après la déflagration car il serait pris dans le souffle.

Mais, il comprit que Sana et Linda étaient en danger puisqu’à découvert.

Il lâcha son arme et courut vers elles.

Il eut juste le temps de pousser, avec le pied brutalement, le fauteuil de la plus jeune à l’intérieur d’un couloir, afin de la mettre à l’abri. Mais l’Apache explosa avant qu’Ahmed ne put mettre Sana à couvert.

Comprenant qu’il allait mourir, il voulut sauver la jeune fille.

Il regarda la belle, lui fit un sourire et l’enveloppa de tout son corps afin de la protéger du mieux qu’il put.

 

Le déluge de fer et de feu s’abattit sur eux.

 

Lorsque tout fut calme, Ahmed le dos brulé, criblé de trous provoqués par les fragments et les sous-munitions, était affalé sur le fauteuil de Sana, couvrant la jeune fille de sa masse.

De sa bouche coulait du sang.

Sana se mit à hurler et à pleurer.

Lui, regarda sa protégée, lui sourit une ultime fois, dressa son index droit et fit sa profession de foi avant de fermer les yeux à tout jamais.

 

PS : je dédie cette modeste nouvelle aux 70.000 handicapés de Gaza. Ceci, afin de sensibiliser l’opinion publique sur le calvaire qu’ils vivent, au quotidien, lors de bombardements. Pensons à eux, aux handicaps qui rendent leur vie encore plus difficile.

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Toutefois, une poutre s’étant détachée du plafond broya la colonne vertébrale de la première, et les jambes de la deuxième.

 

Lorsque les deux filles s’étaient réveillées sur leur lit d’hôpital, elles avaient sombré toutes les deux dans une crise d’hystérie. La perte de leurs parents et de leurs frères n’avait pas suffi. Sana ne sentait plus ses jambes, elle était paralysée pour toujours. Linda avait été amputée des deux, jusqu’aux genoux.

 

Les deux filles, orphelines, devaient désormais vivre dans un fauteuil roulant.

 

Elles avaient été placées dans un établissement recueillant les sans famille et vivaient dans la même chambre. Marhoum, un employé du foyer, était chargé de s’occuper d’elles, de les promener, de leur tenir compagnie.

 

Soudain, l’ainée fut tirée de ses pensées par la cadette.

- Sana ! Sana ! J’entends du bruit, en bas.

- Du bruit ?

- Oui… écoute !

En effet, on pouvait entendre des coups de pioche maintenant que l’aviation ne bombardait plus et que les canons s’étaient tus.

Ohé ! Nous sommes là ! Nous sommes là ! cria Sana suivit par Linda.

 

Sana prit un morceau de fer qui s’était détaché du toit et se mit à frapper la paroi. Soudain les bruits cessèrent comme pour tenter d’entendre les coups que donnait la jeune fille.

Enfin, une voix !

Y a-t-il quelqu’un là-haut ? cria un homme.

– Oui… nous sommes là ! Nous sommes là. Firent les deux filles en hurlant de tous leurs poumons.

– Je vous entends !

 

Sana et Linda trépignèrent de joie !

 

Les secouristes accrochèrent une corde à un piton de pierre et de fer seul vestige de l’escalier. Un homme en tenue léopard se hissa à l’étage par la force des bras. Musclé, grand et fort, il eut tôt fait de dégager la porte et de libérer les deux jeunes filles, qui malgré, leur fauteuil roulant, se jetèrent dans ses bras et l’embrassèrent. L’homme se mit à rire emporté par la vague de tendresse qui déferlait sur lui. Il était jeune. Il était beau. Il plut à Sana qui, d’emblée, sentit son cœur battre la chamade pour Ahmed, ce soldat du Hamas, qui venait de la sauver. Lui, ne resta pas insensible à son charme.

Au bout de quelques heures, par treuillage de fortune, l’équipe réussit à dégager les deux jeunes filles. Lorsqu’elle fut au rez-de-chaussée, Sana prit la main d’Ahmed et la posa sur son cœur en le remerciant, plus particulièrement, après l’avoir fait pour les autres. Lui, le sourire facile, esquissa une agréable mimique sans dire mot. Puis, rougissant comme un coquelicot, il reprit son fusil à jumelle et le porta en bandoulière.

Le groupe se déplaça vers une zone plus sûre, Ahmed poussant le fauteuil de celle qu’il venait de sauver.

 

Soudain, un hélicoptère Apache apparut, sorti d’on ne sait où.

Il piqua sur ses proies comme un rapace.

Les Israéliens avaient pour habitude, après les bombardements par leur aviation, de « nettoyer le terrain », de « sécuriser la zone » en lâchant des hélicoptères capables de « finir le travail », en arrosant tout ce qui bougeait, sans aucun état d’âme car la devise était, dans la glorieuse armée : tuez-les tous afin que vive le Grand Israël !

 

La mitrailleuse se mit à crépiter soulevant la poussière au sol et tuant les trois secouristes.

Ahmed eut le temps de mettre Sana et Linda à l’abri, sous une sorte de porche.

Puis, il se pointa au milieu de la rue, attendant le retour de l’hélicoptère.

Lorsque celui-ci lui fit face et cracha son venin, Ahmed le mit en joue calmement, ajusta la lunette et prit pour cible le pilote. Ce dernier apparaissant dans le cadran de la jumelle, Ahmed pointa son visage et tira une balle… une seule, laquelle traversa le cockpit et frappa mortellement l’agresseur qui s’affaissa sur le manche de pilotage. L’hélicoptère se mit à tourner sur lui-même à plusieurs reprises et piqua du nez se dirigeant vers celui qui venait de lui faire un sort.

 

Ahmed mesura le danger.

En s’écrasant, l’appareil chargé de munitions exploserait.

Il savait, déjà, en affrontant pareil monstre, qu’il n’aurait aucune chance de s’en tirer. Moins encore, après la déflagration car il serait pris dans le souffle.

Mais, il comprit que Sana et Linda étaient en danger puisqu’à découvert.

Il lâcha son arme et courut vers elles.

Il eut juste le temps de pousser, avec le pied brutalement, le fauteuil de la plus jeune à l’intérieur d’un couloir, afin de la mettre à l’abri. Mais l’Apache explosa avant qu’Ahmed ne put mettre Sana à couvert.

Comprenant qu’il allait mourir, il voulut sauver la jeune fille.

Il regarda la belle, lui fit un sourire et l’enveloppa de tout son corps afin de la protéger du mieux qu’il put.

 

Le déluge de fer et de feu s’abattit sur eux.

 

Lorsque tout fut calme, Ahmed le dos brulé, criblé de trous provoqués par les fragments et les sous-munitions, était affalé sur le fauteuil de Sana, couvrant la jeune fille de sa masse.

De sa bouche coulait du sang.

Sana se mit à hurler et à pleurer.

Lui, regarda sa protégée, lui sourit une ultime fois, dressa son index droit et fit sa profession de foi avant de fermer les yeux à tout jamais.

 

PS : je dédie cette modeste nouvelle aux 70.000 handicapés de Gaza. Ceci, afin de sensibiliser l’opinion publique sur le calvaire qu’ils vivent, au quotidien, lors de bombardements. Pensons à eux, aux handicaps qui rendent leur vie encore plus difficile.

 

bonjour Makhlouq

 

merci pour ces faits

 

allah yarham elmouta

que dieu arme les famille de patience

 

que dieu assite la population

 

je m'associe et partage cette douleur et a ce cris

pour denoncé et accusé

 

ce carnage et ce crime

gratuite, gratuite, oui gratuite

 

et a toutes les douleur

la faim , la soif, l'indignation,la peure

 

la peure la peure

 

en face ils se glorifient oui ils se glorifient

pour avoir rendu plus pauvre et pour avoir eliminer la vie que dieu adonenr aux hommes et a sa creation

 

croient ils qu'il ne les voit pas

 

dieu est temoins de tout

 

et vinedra le tour a chacun

c'est une question de temps

attendons et ils attendent et tous on va voir et entendre

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Lorsque les deux filles s’étaient réveillées sur leur lit d’hôpital, elles avaient sombré toutes les deux dans une crise d’hystérie. La perte de leurs parents et de leurs frères n’avait pas suffi. Sana ne sentait plus ses jambes, elle était paralysée pour toujours. Linda avait été amputée des deux, jusqu’aux genoux.

 

Les deux filles, orphelines, devaient désormais vivre dans un fauteuil roulant.

 

Elles avaient été placées dans un établissement recueillant les sans famille et vivaient dans la même chambre. Marhoum, un employé du foyer, était chargé de s’occuper d’elles, de les promener, de leur tenir compagnie.

 

Soudain, l’ainée fut tirée de ses pensées par la cadette.

- Sana ! Sana ! J’entends du bruit, en bas.

- Du bruit ?

- Oui… écoute !

En effet, on pouvait entendre des coups de pioche maintenant que l’aviation ne bombardait plus et que les canons s’étaient tus.

Ohé ! Nous sommes là ! Nous sommes là ! cria Sana suivit par Linda.

 

Sana prit un morceau de fer qui s’était détaché du toit et se mit à frapper la paroi. Soudain les bruits cessèrent comme pour tenter d’entendre les coups que donnait la jeune fille.

Enfin, une voix !

Y a-t-il quelqu’un là-haut ? cria un homme.

– Oui… nous sommes là ! Nous sommes là. Firent les deux filles en hurlant de tous leurs poumons.

– Je vous entends !

 

Sana et Linda trépignèrent de joie !

 

Les secouristes accrochèrent une corde à un piton de pierre et de fer seul vestige de l’escalier. Un homme en tenue léopard se hissa à l’étage par la force des bras. Musclé, grand et fort, il eut tôt fait de dégager la porte et de libérer les deux jeunes filles, qui malgré, leur fauteuil roulant, se jetèrent dans ses bras et l’embrassèrent. L’homme se mit à rire emporté par la vague de tendresse qui déferlait sur lui. Il était jeune. Il était beau. Il plut à Sana qui, d’emblée, sentit son cœur battre la chamade pour Ahmed, ce soldat du Hamas, qui venait de la sauver. Lui, ne resta pas insensible à son charme.

Au bout de quelques heures, par treuillage de fortune, l’équipe réussit à dégager les deux jeunes filles. Lorsqu’elle fut au rez-de-chaussée, Sana prit la main d’Ahmed et la posa sur son cœur en le remerciant, plus particulièrement, après l’avoir fait pour les autres. Lui, le sourire facile, esquissa une agréable mimique sans dire mot. Puis, rougissant comme un coquelicot, il reprit son fusil à jumelle et le porta en bandoulière.

Le groupe se déplaça vers une zone plus sûre, Ahmed poussant le fauteuil de celle qu’il venait de sauver.

 

Soudain, un hélicoptère Apache apparut, sorti d’on ne sait où.

Il piqua sur ses proies comme un rapace.

Les Israéliens avaient pour habitude, après les bombardements par leur aviation, de « nettoyer le terrain », de « sécuriser la zone » en lâchant des hélicoptères capables de « finir le travail », en arrosant tout ce qui bougeait, sans aucun état d’âme car la devise était, dans la glorieuse armée : tuez-les tous afin que vive le Grand Israël !

 

La mitrailleuse se mit à crépiter soulevant la poussière au sol et tuant les trois secouristes.

Ahmed eut le temps de mettre Sana et Linda à l’abri, sous une sorte de porche.

Puis, il se pointa au milieu de la rue, attendant le retour de l’hélicoptère.

Lorsque celui-ci lui fit face et cracha son venin, Ahmed le mit en joue calmement, ajusta la lunette et prit pour cible le pilote. Ce dernier apparaissant dans le cadran de la jumelle, Ahmed pointa son visage et tira une balle… une seule, laquelle traversa le cockpit et frappa mortellement l’agresseur qui s’affaissa sur le manche de pilotage. L’hélicoptère se mit à tourner sur lui-même à plusieurs reprises et piqua du nez se dirigeant vers celui qui venait de lui faire un sort.

 

Ahmed mesura le danger.

En s’écrasant, l’appareil chargé de munitions exploserait.

Il savait, déjà, en affrontant pareil monstre, qu’il n’aurait aucune chance de s’en tirer. Moins encore, après la déflagration car il serait pris dans le souffle.

Mais, il comprit que Sana et Linda étaient en danger puisqu’à découvert.

Il lâcha son arme et courut vers elles.

Il eut juste le temps de pousser, avec le pied brutalement, le fauteuil de la plus jeune à l’intérieur d’un couloir, afin de la mettre à l’abri. Mais l’Apache explosa avant qu’Ahmed ne put mettre Sana à couvert.

Comprenant qu’il allait mourir, il voulut sauver la jeune fille.

Il regarda la belle, lui fit un sourire et l’enveloppa de tout son corps afin de la protéger du mieux qu’il put.

 

Le déluge de fer et de feu s’abattit sur eux.

 

Lorsque tout fut calme, Ahmed le dos brulé, criblé de trous provoqués par les fragments et les sous-munitions, était affalé sur le fauteuil de Sana, couvrant la jeune fille de sa masse.

De sa bouche coulait du sang.

Sana se mit à hurler et à pleurer.

Lui, regarda sa protégée, lui sourit une ultime fois, dressa son index droit et fit sa profession de foi avant de fermer les yeux à tout jamais.

 

PS : je dédie cette modeste nouvelle aux 70.000 handicapés de Gaza. Ceci, afin de sensibiliser l’opinion publique sur le calvaire qu’ils vivent, au quotidien, lors de bombardements. Pensons à eux, aux handicaps qui rendent leur vie encore plus difficile.

 

bonjour Makhlouq

 

merci pour ces faits

 

allah yarham elmouta

que dieu arme les famille de patience

 

que dieu assite la population

 

je m'associe et partage cette douleur et a ce cris

pour denoncé et accusé

 

ce carnage et ce crime

gratuite, gratuite, oui gratuite

 

et a toutes les douleur

la faim , la soif, l'indignation,la peure

 

la peure la peure

 

en face ils se glorifient oui ils se glorifient

pour avoir rendu plus pauvre et pour avoir eliminer la vie que dieu adonenr aux hommes et a sa creation

 

croient ils qu'il ne les voit pas

 

dieu est temoins de tout

 

et vindra le tour a chacun

c'est une question de temps

attendons et ils attendent et tous on va voir et entendre

 

car celui qui aura gifler son fere le sera a son tour

dieu est juste

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