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Ô Ghaza

60 années de patience

60 hivers de souffrance

Combien de temp vas-tu encore pleurer terre aimée

 

Tu porte le sang de mes frères inconnus

Et pourtant Ô vous mes frères je vous aimes tant

Face à cette detresse je me sent si perdue

A chaques mort d'un petit être, j'ai perdue un enfant

 

Et pourtant je suis coupable

Ô combien coupable Ghaza

J'ai moi aussi ete complice, comment ne pas se sentir minable

Fasse à ces suplices, nous n'avançons pas

 

Honte à moi qui dit t'aimé

Ne dis t-on pas que l'amour se prouve et ne se dit pas

Et nous nous complaisons dans nos vie materialisées

Réagissons à notre mesure, cette mesure est un pas

 

Quelle honte, baissons la tête,

Nous admirons ce monstre qu'est cette bête

De pouvoir, d'avidité, pseudo puissance

Batie sur le sang, les cris, la souffrance

 

Nous sommes esclaves de nos passions

Poussés par la conssomation, dictée par ce serpent sans nom

Alors nous preferons fermer les yeux fasse à l'injustice

Car nous craignons celui que nous avons pour nouveau Dieu

Aveuglés, endormis fasse à ce monde factis

Ô pauvres drogués que nous sommes, ou est donc passé le curieu

 

Ou est le courageu qui se levera pour denoncer

L'indenonçable, le secret, le caché

Ou es l'homme qui a decouvert que tout est crée, calculé

Pour garder le bas peuple sous la peur

Creer le chaos, rendre la societé asservie ne pensant qu'à son bonheur

 

Parler à un prix, beaucoup on fait le choix

A eux tout mon respect, qu'on ne cesse de combattre et censurer

Alors Ghaza, tu vas encore pleurer, la decision ne vient pas de moi

Elle a été prise par des illuminés

 

 

F.

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Ô Ghaza

 

60 années de patience

60 hivers de souffrance

Combien de temp vas-tu encore pleurer terre aimée

 

Tu porte le sang de mes frères inconnus

Et pourtant Ô vous mes frères je vous aimes tant

Face à cette detresse je me sent si perdue

A chaques mort d'un petit être, j'ai perdue un enfant

 

Et pourtant je suis coupable

Ô combien coupable Ghaza

J'ai moi aussi ete complice, comment ne pas se sentir minable

Fasse à ces suplices, nous n'avançons pas

 

Honte à moi qui dit t'aimé

Ne dis t-on pas que l'amour se prouve et ne se dit pas

Et nous nous complaisons dans nos vie materialisées

Réagissons à notre mesure, cette mesure est un pas

 

Quelle honte, baissons la tête,

Nous admirons ce monstre qu'est cette bête

De pouvoir, d'avidité, pseudo puissance

Batie sur le sang, les cris, la souffrance

 

Nous sommes esclaves de nos passions

Poussés par la conssomation, dictée par ce serpent sans nom

Alors nous preferons fermer les yeux fasse à l'injustice

Car nous craignons celui que nous avons pour nouveau Dieu

Aveuglés, endormis fasse à ce monde factis

Ô pauvres drogués que nous sommes, ou est donc passé le curieu

 

Ou est le courageu qui se levera pour denoncer

L'indenonçable, le secret, le caché

Ou es l'homme qui a decouvert que tout est crée, calculé

Pour garder le bas peuple sous la peur

Creer le chaos, rendre la societé asservie ne pensant qu'à son bonheur

 

Parler à un prix, beaucoup on fait le choix

A eux tout mon respect, qu'on ne cesse de combattre et censurer

Alors Ghaza, tu vas encore pleurer, la decision ne vient pas de moi

Elle a été prise par des illuminés

 

 

F.

 

trés trés beau et émouvant merci bella :):40:

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