dawson 10 Posted February 1, 2009 Partager Posted February 1, 2009 Oh ma belle . . . Oh mon adorable ingénue. . . S’il te plait, je voudrais te voir toute nue.:shifty: Après, c’est promis, je partirai sans te toucher. Je partirai avec regret et avec des meurtrissures. Après, c’est promis, tu pourras aller te doucher. Je te laisserai laver tout ton corps de la salissure Dont mes yeux vont fatalement l’éclabousser. Mais saches que je ne suis ni trop vieux ni émoussé Pour ne pas avoir fortement envie de ce que tu caches. Voilà qui est dit ; je tenais simplement à ce que tu le saches. Maintenant, déshabille-toi . . . Mais pas trop vite . . . Les yeux écarquillés sous l’impulsion de ton invite, Je suis déjà haletant ; déjà en extase Tandis que tout mon corps s’embrase. Combien de fois n’ai-je pas rêvé de toi ! Et, maintenant que te voilà, j’ai peur ; Peur d’être victime une énième fois De mes songes délicieusement trompeurs Et trop souvent emplis d’égarements. Mes réveils étaient frustration et angoisse. Le jour, je maudissais ma poisse. La nuit j’étais victime d’effarements. Poursuivi et étranglé par l’émotion, J’ai souvent rêvé de cette promotion. Déshabille-toi lentement . . . Très lentement Pour faire durer cet exceptionnel moment. Déshabille-toi en commençant par enlever Ta superbe robe dont j’ai inlassablement rêvé ; Cette robe aux couleurs chatoyantes Qui te donne cette démarche ondoyante. Enlève ton fond de robe bleu en soie Sans te soucier du quant à soi. Enlève ce soutien-gorge en dentelle Pour libérer tes deux superbes rebelles. N’oublie pas de relever ta chevelure scintillante. Enlève cette culotte dont l’opacité garde prisonnier Ce triangle duveteux aux anciens péchés déniés Et à la toison ô combien accueillante. Ce triangle capable de susciter chez tes soupirants Les folies les plus incroyables et les plus inattendues Quand, las d’avoir trop espéré et trop attendu, Ils se rendent à leur tour, coupables d’actes délirants. Maintenant, je suis à genoux et reconnaissant ; Je suis ébloui par ton effeuillage étourdissant. Mes yeux sont émerveillés par ton corps d’albâtre Et mon cœur me fait peur tant il se met à battre. Je suis à genoux et je remercie dame Nature Pour tout ce dont elle t’a généreusement dotée. Assailli par vagues, par des idées impures, Je repousse toute envie brusque de te tripoter. Je préfère me délecter de l’instant miraculeux Où je reçois la révélation de la quintessence. En choisissant de demeurer pondéré et méticuleux, J’appréhende ma béatitude et ses conséquences. Surtout ne m’accuse pas d’inappétence Car je sens naître en moi, une réelle résipiscence, Point de départ de l’éternelle réminiscence Qui me poursuivra jusqu’après mon existence. Pour l’heure, je demeure ivre devant tant de vénusté. Ton corps tout entier respire la perfection. Tes seins aux galbes affriolants et effrontés Apparaissent au grand jour sans leur protection. Tes épaules, tes bras, tes cuisses, ton ventre plat Resplendissent dans leur blancheur immaculée Comme des trophées inaccessibles aux émasculés. Décidément, tu n’as rien . . . Rien d’un échalas. En pensant à ces minutes fascinantes, Je me demande ce que seront mes jours à venir. Je vais te laisser et partir la tête bourdonnante . . . Je ne ferai plus la même expérience à l’avenir. A dieu chère et adorable enfant d’Aphrodite. Tu demeureras à jamais inoubliable et maudite. A dieu petite fille à l’ineffable et magnifique silhouette. Je te fais le serment que ma douleur ne restera pas muette. :o:predface2redface2 Citer Link to post Share on other sites
djalti 10 Posted February 1, 2009 Partager Posted February 1, 2009 Oh ma belle . . . Oh mon adorable ingénue. . . S’il te plait, je voudrais te voir toute nue.:shifty: Après, c’est promis, je partirai sans te toucher. Je partirai avec regret et avec des meurtrissures. Après, c’est promis, tu pourras aller te doucher. Je te laisserai laver tout ton corps de la salissure Dont mes yeux vont fatalement l’éclabousser. Mais saches que je ne suis ni trop vieux ni émoussé Pour ne pas avoir fortement envie de ce que tu caches. Voilà qui est dit ; je tenais simplement à ce que tu le saches. Maintenant, déshabille-toi . . . Mais pas trop vite . . . Les yeux écarquillés sous l’impulsion de ton invite, Je suis déjà haletant ; déjà en extase Tandis que tout mon corps s’embrase. Combien de fois n’ai-je pas rêvé de toi ! Et, maintenant que te voilà, j’ai peur ; Peur d’être victime une énième fois De mes songes délicieusement trompeurs Et trop souvent emplis d’égarements. Mes réveils étaient frustration et angoisse. Le jour, je maudissais ma poisse. La nuit j’étais victime d’effarements. Poursuivi et étranglé par l’émotion, J’ai souvent rêvé de cette promotion. Déshabille-toi lentement . . . Très lentement Pour faire durer cet exceptionnel moment. Déshabille-toi en commençant par enlever Ta superbe robe dont j’ai inlassablement rêvé ; Cette robe aux couleurs chatoyantes Qui te donne cette démarche ondoyante. Enlève ton fond de robe bleu en soie Sans te soucier du quant à soi. Enlève ce soutien-gorge en dentelle Pour libérer tes deux superbes rebelles. N’oublie pas de relever ta chevelure scintillante. Enlève cette culotte dont l’opacité garde prisonnier Ce triangle duveteux aux anciens péchés déniés Et à la toison ô combien accueillante. Ce triangle capable de susciter chez tes soupirants Les folies les plus incroyables et les plus inattendues Quand, las d’avoir trop espéré et trop attendu, Ils se rendent à leur tour, coupables d’actes délirants. Maintenant, je suis à genoux et reconnaissant ; Je suis ébloui par ton effeuillage étourdissant. Mes yeux sont émerveillés par ton corps d’albâtre Et mon cœur me fait peur tant il se met à battre. Je suis à genoux et je remercie dame Nature Pour tout ce dont elle t’a généreusement dotée. Assailli par vagues, par des idées impures, Je repousse toute envie brusque de te tripoter. Je préfère me délecter de l’instant miraculeux Où je reçois la révélation de la quintessence. En choisissant de demeurer pondéré et méticuleux, J’appréhende ma béatitude et ses conséquences. Surtout ne m’accuse pas d’inappétence Car je sens naître en moi, une réelle résipiscence, Point de départ de l’éternelle réminiscence Qui me poursuivra jusqu’après mon existence. Pour l’heure, je demeure ivre devant tant de vénusté. Ton corps tout entier respire la perfection. Tes seins aux galbes affriolants et effrontés Apparaissent au grand jour sans leur protection. Tes épaules, tes bras, tes cuisses, ton ventre plat Resplendissent dans leur blancheur immaculée Comme des trophées inaccessibles aux émasculés. Décidément, tu n’as rien . . . Rien d’un échalas. En pensant à ces minutes fascinantes, Je me demande ce que seront mes jours à venir. Je vais te laisser et partir la tête bourdonnante . . . Je ne ferai plus la même expérience à l’avenir. A dieu chère et adorable enfant d’Aphrodite. Tu demeureras à jamais inoubliable et maudite. A dieu petite fille à l’ineffable et magnifique silhouette. Je te fais le serment que ma douleur ne restera pas muette. :o:predface2redface2 :crazy:je me suis surpris en le lisant de bas en haut essai et tu verra le resultat!!! trtes beaux poème Citer Link to post Share on other sites
dawson 10 Posted February 1, 2009 Author Partager Posted February 1, 2009 :crazy:je me suis surpris en le lisant de bas en haut essai et tu verra le resultat!!! trtes beaux poème ben oui tu as raison parfaitement raison Citer Link to post Share on other sites
esperance 10 Posted March 6, 2009 Partager Posted March 6, 2009 tu m'espionnes alors toi:mad: ohhh; pour une fois je ne peux envouloir un homme de fantrasmer sur le corps nue d'une femme Citer Link to post Share on other sites
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