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Notre sociéte contemporaine est pleine de curiosités. L'une de ces curiosités est d'associer abusivement l'art qui est une production de tout ce qui est beau à la violence. Ne parle t-on pas de l'art de la guerre, l'art noble ( boxe), l'art de la tauromachie. Toutefois, il y les idées plus nobles et plus douces que je voudrais voir dominer le débat sous l'appellation de "choc des idées" que je propose à tous ceux qui souhaitent y contribuer.J'ai choisi ce titre car comme disait LYNSDAY OWEN JONES " Les chocs culturels stimulent la créativité"

Je suis persuader que l'impact de vos idées avec des idées contraires interagissent non pas de manière brutale mais civilisationnelle et constructive pour la réflexion. Pour ouvrir le débat je vous demande ce que vous pensez de la sagesse? Le doute ne mène t-il pas vers la sagesse comme le prétend Aristote?

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Notre sociéte contemporaine est pleine de curiosités. L'une de ces curiosités est d'associer abusivement l'art qui est une production de tout ce qui est beau à la violence. Ne parle t-on pas de l'art de la guerre, l'art noble ( boxe), l'art de la tauromachie. Toutefois, il y les idées plus nobles et plus douces que je voudrais voir dominer le débat sous l'appellation de "choc des idées" que je propose à tous ceux qui souhaitent y contribuer.J'ai choisi ce titre car comme disait LYNSDAY OWEN JONES " Les chocs culturels stimulent la créativité"

Je suis persuader que l'impact de vos idées avec des idées contraires interagissent non pas de manière brutale mais civilisationnelle et constructive pour la réflexion. Pour ouvrir le débat je vous demande ce que vous pensez de la sagesse? Le doute ne mène t-il pas vers la sagesse comme le prétend Aristote?

 

 

 

 

bienvenue parmi nous faridas

j'espere que tu va te plaire ici

 

 

 

bon c'est un sujet bien philosophique

que celui là ,et il va me falloir,un temps de reflexion avant d'y repondre !

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Notre sociéte contemporaine est pleine de curiosités. L'une de ces curiosités est d'associer abusivement l'art qui est une production de tout ce qui est beau à la violence. Ne parle t-on pas de l'art de la guerre, l'art noble ( boxe), l'art de la tauromachie. Toutefois, il y les idées plus nobles et plus douces que je voudrais voir dominer le débat sous l'appellation de "choc des idées" que je propose à tous ceux qui souhaitent y contribuer.J'ai choisi ce titre car comme disait LYNSDAY OWEN JONES " Les chocs culturels stimulent la créativité"

Je suis persuader que l'impact de vos idées avec des idées contraires interagissent non pas de manière brutale mais civilisationnelle et constructive pour la réflexion. Pour ouvrir le débat je vous demande ce que vous pensez de la sagesse? Le doute ne mène t-il pas vers la sagesse comme le prétend Aristote?

 

Je ne pense pas qu'il y ait une définition précise de la sagesse, p-e que la sagesse dont tu parles n'est pas la même que celle que j'imagine.

Pour moi être sage, c'est être équilibré, toujours être au centre et jamais au extrêmes dans tout ce qu'on fait, ne jamais prendre partie de qui ou quoi que ce soit.

 

être sage c'est se connaître soi même.

Se connaître soi même est, je crois, le but de la vie chez l'être humain.

La vie n'est qu'une perpétuelle recherche de ce qu'on est (c'est une théorie que j'ai développé récemment, mais ça reste qu'un concept dans ma tête)

D'où la procréation ou le besoin d'avoir une religion.

 

J'ai remarqué que chaque un a sa propre définition du dieu, et cette définition s'approche de ce que cette même personne considère ma perfection.

(La perfection est relatif à chaque personne, il est donc normal que dieu le soit par la même occasion !)

En allant plus loin j'ai remarqué que dieu est ce que cette même personne voudrait être.

Pour ça que dans la mythologie grec par exemple on trouve toute sorte de dieu, ça va du mauvais au bon, du chaotique au loyale etc...

ça n'est que la représentation des attitude de leurs clergé !

 

Edit : Ah merde j'ai dévié du sujet initiale sans même m'en rendre compte :mdr:

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Je ne pense pas qu'il y ait une définition précise de la sagesse, p-e que la sagesse dont tu parles n'est pas la même que celle que j'imagine.

Pour moi être sage, c'est être équilibré, toujours être au centre et jamais au extrêmes dans tout ce qu'on fait, ne jamais prendre partie de qui ou quoi que ce soit.

 

Oui je te rejoins aussi sur la sagesse comme notion d'équilibre, de réflexion médiane faisant appel à la raison et dégageant ainsi tous jugements de valeurs pouvant amener une part de subjectivité peu pertinente.

 

Pour y parvenir, le doute et le débat me semblent être la voie la plus prégnante et Aristote était déjà très visionnaire. Cette théorie a d'ailleurs été à de nombreuses reprises étudiées et observées sur le terrain et l'analyse des résultats montrent clairement que les individus dans l'échange, la remise en question et dans la création du doute parviennent à faire naturellement évoluer leurs idées.

 

Personnellement, j'ajouterai que le doute permet d'avoir une vision globale des choses, de saisir aussi bien les opinions contraires, extrêmes et étirées pour ensuite parvenir à un compromis intellectuel.

Bizarrement je serais même tentée d'y ajouter une forme de pragmatisme salvateur. C'est paradoxal car le pragmatisme fait référence à un contexte englobant l'homme et son univers, l'intérêt individuel comme collectif, objectif comme subjectif (car nous sommes conscients qu'en tant qu'humains nous sommes loin d'être sages) donc je doute moi-même sur cette fameuse définition (:D c'est bon signe)

 

Etre sage c'est se connaître soi même.

Se connaître soi même est, je crois, le but de la vie chez l'être humain.

La vie n'est qu'une perpétuelle recherche de ce qu'on est (c'est une théorie que j'ai développé récemment, mais ça reste qu'un concept dans ma tête)

D'où la procréation ou le besoin d'avoir une religion.

 

Oui, la sagesse c'est se connaître soi-même ainsi que les autres. Je pense d'ailleurs que la sagesse commence quand on ne dépend plus de soi tant on arrive à lire ce qu'on est, quand on n'a plus rien à se prouver, quand l'harmonie intérieure est telle qu'on se détâche complètement de soi pour se donner entièrement aux autres, à la science et à la réflexion.

 

J'ai remarqué que chaque un a sa propre définition du dieu, et cette définition s'approche de ce que cette même personne considère ma perfection.

(La perfection est relatif à chaque personne, il est donc normal que dieu le soit par la même occasion !)

En allant plus loin j'ai remarqué que dieu est ce que cette même personne voudrait être.

Pour ça que dans la mythologie grec par exemple on trouve toute sorte de dieu, ça va du mauvais au bon, du chaotique au loyale etc...

ça n'est que la représentation des attitude de leurs clergé !

 

Je comprends où tu veux en venir mais je pense que tu devrais prendre le "problème" à l'envers. L'homme ne recherche pas en Dieu la perfection qu'il n'est pas mais se rassure de ne pas l'être. La perfection et l'absolu n'appartenant qu'à Dieu (qui reconnaît Lui-même nos imperfections), il est plus facile d'accepter ce que nous sommes.

Autrement dit, autant nous respectons la perfection autant nous sommes conscients de ne jamais l'atteinte (c'est déstressant :D)

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Ce que tu dis est très pertinent Tempus, je me reconnais dans tes écrits en tout cas.

 

Si tu pouvais développer, ça m'aiderait à étoffer cette théorie.

Dis moi pour commencer quelle partie tu as trouvé pertinente et et ce que tu en penses dans un deuxième temps ! quelques critiques ne seraient pas de refus aussi :p

 

En tout cas c'est cool qu'on soit sur la même longueur d'onde :D

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Oui je te rejoins aussi sur la sagesse comme notion d'équilibre, de réflexion médiane faisant appel à la raison et dégageant ainsi tous jugements de valeurs pouvant amener une part de subjectivité peu pertinente.

 

Ce qui est bien avec toi c'est que tu peux reformuler une phrase en lui donnant tout son sens ! t'as su retranscrire ma pensée mieux que je ne pourrais jamais le faire :mdr:

 

Pour y parvenir, le doute et le débat me semblent être la voie la plus prégnante et Aristote était déjà très visionnaire. Cette théorie a d'ailleurs été à de nombreuses reprises étudiées et observées sur le terrain et l'analyse des résultats montrent clairement que les individus dans l'échange, la remise en question et dans la création du doute parviennent à faire naturellement évoluer leurs idées.

 

Moi je crois plutôt que c'est inné ou du moins il y a une très grosse part ! Là je parle de la sagesse bien sûr et non des idées.

Comme le disais Tamerlan ou plutôt "Dieu" (:p) :

 

Al-Baqara - 2.269. Dieu donne la sagesse à qui Il veut et quiconque reçoit la sagesse jouira d’un immense bonheur. Mais seuls les êtres intelligents sont enclins à méditer et à se recueillir.

 

(Je m'appelle Tempus et j'approuve de ce message, je me surprends à trouver le coran cohérent ! (ces deux mots vont bien ensemble en plus :p))

 

Personnellement, j'ajouterai que le doute permet d'avoir une vision globale des choses, de saisir aussi bien les opinions contraires, extrêmes et étirées pour ensuite parvenir à un compromis intellectuel.

 

Dommage que la plupart des gens ne soit pas de cette avis !

A chaque fois que je critique une idée ou une personne, on la prend comme une attaque personnelle...

En tout cas je suis d'accord !

Mais bon faut dire aussi que je doute rarement de mes propres théories :mdr:, c'est toujours l'autre qui est sujet au doute chez moi, ça n'arrange pas vraiment les choses (quoique...c'est ce que je viens de faire ici !)

 

Bizarrement je serais même tentée d'y ajouter une forme de pragmatisme salvateur. C'est paradoxal car le pragmatisme fait référence à un contexte englobant l'homme et son univers, l'intérêt individuel comme collectif, objectif comme subjectif (car nous sommes conscients qu'en tant qu'humains nous sommes loin d'être sages) donc je doute moi-même sur cette fameuse définition (:D c'est bon signe)

 

Si si t'es très sage ;)

 

Non en fait c'est rare qu'une personne avoue qu'elle n'est pas sage, (moi je le fais volontiers :mdr:).

 

Pour en revenir au sujet je dirais que c'est une question de point de vue !

 

Oui, la sagesse c'est se connaître soi-même ainsi que les autres. Je pense d'ailleurs que la sagesse commence quand on ne dépend plus de soi tant on arrive à lire ce qu'on est, quand on n'a plus rien à se prouver, quand l'harmonie intérieure est telle qu'on se détâche complètement de soi pour se donner entièrement aux autres, à la science et à la réflexion.

 

C'est exactement ce que j'ai voulu dire !

Mais je pense qu'on peut jamais atteindre se but, et donc on pourra jamais se détacher complètement de soi même. On ne pourra jamais se connaître entièrement, par fois je me dis que la seule chose que je connais de moi c'est que j'aime le chocolat :mdr:

Je dirais aussi que c'est beaucoup plus simple de connaître l'autre que de se connaître soi même !

Par contre je crois que l'humain est foncièrement égoïste une fois qu'il se connaît lui même, il ne cherchera nullement à connaître l'autre et je pense que sa vie n'aura plus aucun sens (mais bon ça n'arrivera jamais vu qu'on pourra jamais se connaître complètement !).

Même quand il cherche à connaître l'autre c'est lui même qu'il cherche à se connaître au fond.

 

Je viens de remarquer aussi que c'est le but de toute les sciences !

La médecine, l'anthropologie, la physique, etc...leur but en fin de compte c'est de connaître les secrets de l'humanité et vu que le chercheur est humain, c'est lui même qu'il veut connaître.

Tout ce qu'entreprends l'homme n'a qu'un seul but en fait directement ou indirectement. Même ce que je fais là tend vers ce but :D

 

Je comprends où tu veux en venir mais je pense que tu devrais prendre le "problème" à l'envers. L'homme ne recherche pas en Dieu la perfection qu'il n'est pas mais se rassure de ne pas l'être. La perfection et l'absolu n'appartenant qu'à Dieu (qui reconnaît Lui-même nos imperfections), il est plus facile d'accepter ce que nous sommes.

Autrement dit, autant nous respectons la perfection autant nous sommes conscients de ne jamais l'atteinte (c'est déstressant :D)

 

Possible oui, mais ce que je voulais dire par là, c'est que "dieu" ou la chose qu'on considère comme notre dieu n'est en fait que nous même !

Il existe autant de dieux, autant de religions que de personnes, chacun sa propre religion ! p-e que les fondements sont les même mais le reste c'est nous même qui l'avons crée !

 

Autrement dit, autant nous respectons la perfection autant nous sommes conscients de ne jamais l'atteinte (c'est déstressant :D)

 

ça se rapproche de ce que je disais ! cette perfection on ne pourra jamais l'atteindre.

Cette perfection nous humain l'appelons "sagesse" et moi l'appelle "connaissance de soi".

 

Sois pas sage ! :p

 

Edit : Viens dans notre monde Pmat :p ça te changera un peu de la politique (c'est déstressant ;))

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C'est exactement ce que j'ai voulu dire !

Mais je pense qu'on peut jamais atteindre ce but, et donc on pourra jamais se détacher complètement de soi même. On ne pourra jamais se connaître entièrement, par fois je me dis que la seule chose que je connais de moi c'est que j'aime le chocolat :mdr:

Je dirais aussi que c'est beaucoup plus simple de connaître l'autre que de se connaître soi même !

Par contre je crois que l'humain est foncièrement égoïste une fois qu'il se connaît lui même, il ne cherchera nullement à connaître l'autre et je pense que sa vie n'aura plus aucun sens (mais bon ça n'arrivera jamais vu qu'on pourra jamais se connaître complètement !).

Même quand il cherche à connaître l'autre c'est lui même qu'il cherche à se connaître au fond.

 

C'est parfaitement vrai. Prétendre être capable de se connaître pleinement relève du fantasme collectif et d'une prétention opposée à la sagesse dans son sens noble. Aussi je pense que l'exercice relève plus d'un détachement de soi, de ses intérêts personnels et de ses jugements de valeur, un stade où nous n'aurions plus besoin de nous prouver des choses à nous-mêmes mais juste d'introduire du doute dans nos réflexions dans une visée exclusivement scientifique.

 

Pour ce qui est du recul sur soi je suis d'accord aussi. Nous avons plus la capacité à percevoir les défauts ou les qualités de l'autre que les notres. Moi-même, les gens parviennent toujours à me déstabiliser sur ce que je suis et que je ne parviens pas à voir. Bizarrement, l'émission d'une vérité qu'on ne perçoit pas n'est pas pour autant évidente à entendre. Même en faisant preuve de bonne foi, on rejette naturellement cette vérité car notre inconscient à déjà rationnalisé les oeillères que l'on porte. On est persuadé d'être dans le vrai quand il s'agit de soi, de ses idées... il est très difficile d'admettre, de sortir de notre inconscient car que nous nous sommes construits une sorte de muraille, de fausses certitudes.

Il ne faut pas rêver, pour avancer nous avons tendance à chercher à nous rassurer, à rendre évident un leurre et à lui donner du sens. Le doute nous effraie naturellement. Il s'oppose aux repères dont nous avons besoin depuis tout petit pour aller de l'avant. Nous avons constamment besoin de sentir les choses en amont et en aval (enfin je suis comme ça :D - certains sont plus freestyleurs et ils ont raison), de nous projetter pour trouver une certaine sérénité intérieure ce qui construit inconsciemment un pré-format de nos représentations qui rend difficile l'introduction du doute (qui fait donc peur et c'est normal).

Alors je ne dis pas qu'on n'a pas la capacité de nous remettre en question. Je dis juste que c'est souvent sur les points radicaux, des valeurs sures qui nous paraissent évidentes ou des choses bonnes de notre vie qu'on se fait avoir (c'est comme le fait qu'on se fasse plus facilement avoir par un proche que par un étranger). Nous trichons avec nous-même en faisant évoluer uniquement ce qui ne va pas. C'est évident vous me direz. Mais dans cette recherche de connaissance de soi le doute et les questionnements ne doivent pas être excluants. Même le bon et nos certitudes qui sont les moteurs de notre vie devraient être malmenés. C'est clair que c'est un risque à prendre très lourd car l'acquis positif qu'il représente peut brutalement s'effondrer. C'est pour celà que la sagesse demande des qualités particulières, une force morale sans faille permettant de ne pas sombrer quelque soit la vérité qui nous est révélée. :goodluck:

 

Enfin pour la connaissance de l'autre, je ne suis pas d'accord. Autant je reconnais le caractère tendanciellement égoïste de l'homme autant je sais qu'il ne peut vivre seul. Les interactions sociales sont nécessaires à le mener vers ce qu'il est, c'est un partage, un apprentissage, une comparaison, une interrogation... c'est une richesse inépuisable ! Dans un tel cas, tu peux même renverser la notion d'égoïsme car l'homme ne serait pas comblé s'il vivait en hermite. Il trouve un intérêt conscient ou non à vivre avec l'autre.

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C'est parfaitement vrai. Prétendre être capable de se connaître pleinement relève du fantasme collectif et d'une prétention opposée à la sagesse dans son sens noble. Aussi je pense que l'exercice relève plus d'un détachement de soi, de ses intérêts personnels et de ses jugements de valeur, un stade où nous n'aurions plus besoin de nous prouver des choses à nous-mêmes mais juste d'introduire du doute dans nos réflexions dans une visée exclusivement scientifique.

 

Pour ce qui est du recul sur soi je suis d'accord aussi. Nous avons plus la capacité à percevoir les défauts ou les qualités de l'autre que les notres. Moi-même, les gens parviennent toujours à me déstabiliser sur ce que je suis et que je ne parviens pas à voir. Bizarrement, l'émission d'une vérité qu'on ne perçoit pas n'est pas pour autant évidente à entendre. Même en faisant preuve de bonne foi, on rejette naturellement cette vérité car notre inconscient à déjà rationnalisé les oeillères que l'on porte. On est persuadé d'être dans le vrai quand il s'agit de soi, de ses idées... il est très difficile d'admettre, de sortir de notre inconscient car que nous nous sommes construits une sorte de muraille, de fausses certitudes.

 

Bon on est d'accord sur ces deux points là, ça ne sert à rien de s'attarder dessus !

 

Il ne faut pas rêver, pour avancer nous avons tendance à chercher à nous rassurer, à rendre évident un leurre et à lui donner du sens. Le doute nous effraie naturellement. Il s'oppose aux repères dont nous avons besoin depuis tout petit pour aller de l'avant. Nous avons constamment besoin de sentir les choses en amont et en aval (enfin je suis comme ça :D - certains sont plus freestyleurs et ils ont raison), de nous projetter pour trouver une certaine sérénité intérieure ce qui construit inconsciemment un pré-format de nos représentations qui rend difficile l'introduction du doute (qui fait donc peur et c'est normal).

Alors je ne dis pas qu'on n'a pas la capacité de nous remettre en question. Je dis juste que c'est souvent sur les points radicaux, des valeurs sures qui nous paraissent évidentes ou des choses bonnes de notre vie qu'on se fait avoir (c'est comme le fait qu'on se fasse plus facilement avoir par un proche que par un étranger). Nous trichons avec nous-même en faisant évoluer uniquement ce qui ne va pas. C'est évident vous me direz. Mais dans cette recherche de connaissance de soi le doute et les questionnements ne doivent pas être excluants. Même le bon et nos certitudes qui sont les moteurs de notre vie devraient être malmenés. C'est clair que c'est un risque à prendre très lourd car l'acquis positif qu'il représente peut brutalement s'effondrer. C'est pour celà que la sagesse demande des qualités particulières, une force morale sans faille permettant de ne pas sombrer quelque soit la vérité qui nous est révélée. :goodluck:

 

Je comprends ce que tu veux dire par là, ça va peut être te paraître arrogant, mais personnellement je remets tout en question (je crois du moins), je ne pense pas que je me me mens à moi même, je doute de tout.

Je ne dis pas que le résultat que j'obtiens de ce doute est vrai mais pour moi il l'est et au fond j'en suis persuadé ! ça doit être par ce que je combat perpétuellement ce sentiment de peur, à force de sortir vainqueur de cet affrontement ce sentiment m'envahis de moins en moins, j'en irai presque le défier dans son propre terrain d'où cette perpétuelle remise en question de soi.

En résumé le résultat peut (doit) être erroné, mais la démarche y est. Dans mon cas bien sûr.

Mais ne pas avoir peur de la vérité n'a pas que de bons coté, il y'a un dicton chez nous qui dit : "Celui qui a eu peur s'en est sorti" ("li khaf nja" en arabe)

 

Mais avec ton explication je commence à comprendre le comportement de certain, c'est une bonne chose !

 

Enfin pour la connaissance de l'autre, je ne suis pas d'accord. Autant je reconnais le caractère tendanciellement égoïste de l'homme autant je sais qu'il ne peut vivre seul. Les interactions sociales sont nécessaires à le mener vers ce qu'il est, c'est un partage, un apprentissage, une comparaison, une interrogation... c'est une richesse inépuisable ! Dans un tel cas, tu peux même renverser la notion d'égoïsme car l'homme ne serait pas comblé s'il vivait en hermite. Il trouve un intérêt conscient ou non à vivre avec l'autre.

 

L'homme peut très bien vivre seul à partir d'un certain age selon moi !

L'homme n'a pas toujours vécu en société, un animal peut vivre seul pourquoi l'homme ne pourrait pas le faire ?

Je ne sais pas si il serait comblé mais une chose est sûr c'est qu'il le peut.

A mon avis l'homme vit en société pour unique but de combler ses propres désirs et les seules fois ou il regarde autrui c'est quand il pense qu'il pourrait lui être d'une certaine plus valus à sa propre personne, qu'elle soit physique ou psychique.

Tu le dis toi même !

 

Les interactions sociales sont nécessaires à le mener vers ce qu'il est, c'est un partage, un apprentissage, une comparaison, une interrogation... c'est une richesse inépuisable !

 

N'est ce pas par égoisme qu'il interagit avec sa société ?

Cet homme dans ton exemple partage, apprend, compare etc...pour seul but de se connaître lui même! Une fois accomplie (ce qui n'arrivera jamais), que se passera t'il à ton avis ?

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En résumé le résultat peut (doit) être erroné, mais la démarche y est.

 

Ca c'est très bien et très honnête. J'aime bcp.

Ca me rappelle le grand débat de l'Education Nationale consistant à attribuer autant de points à la démarche qu'au résultat. Je trouve ça évident, d'autres se disent outrés... à la bonne heure !

 

 

L'homme peut très bien vivre seul à partir d'un certain age selon moi !

L'homme n'a pas toujours vécu en société, un animal peut vivre seul pourquoi l'homme ne pourrait pas le faire ?

Je ne sais pas si il serait comblé mais une chose est sûr c'est qu'il le peut.

A mon avis l'homme vit en société pour unique but de combler ses propres désirs et les seules fois ou il regarde autrui c'est quand il pense qu'il pourrait lui être d'une certaine plus valus à sa propre personne, qu'elle soit physique ou psychique.

Tu le dis toi même !

 

L'homme est doté d'un instinct de survie, je pense qu'il est capable de beaucoup de choses même vivre seul. Mais là, on parle de l'enrichissement de soi à travers l'autre et non d'un "Kho-Lanta existentiel" :D

 

Je vais te donner un exemple. Pourquoi la "solitude", "l'indépendance" ou tous les termes allant dans ce sens sont autant glorifiés dans notre société ?

Simplement parce que la société et autrui existent. Parce qu'ils symbolisent une alternative à un acquis, à une obligation même. Ils nous apportent ce qui nous manque. C'est un échappatoire pour se retrouver avec soi car on a souvent le sentiment d'être oppressés par les autres.

Mais l'inverse serait aussi vrai... trop de solitude crée un autre besoin. Nous sommes simplement des éternels insatisfaits et nous cherchons tout ce qu'il y a à prendre (et à l'excès s'il vous plait, sinon c'est pas bon !)

 

Tu me fais rire quand tu parles de "plus-value". Je ne suis même pas sûre que l'être humain ait naturellement la capacité à faire de bons placements quant à son psychisme et son élévation intérieure. Je pense que ses priorités sont ailleurs... à notre époque tout au moins ! Platon, Aristote, Rousseau... doivent vraiment nous regarder comme des gros nases en se disant qu'on n'a rien compris à l'extase et qu'on ne la touchera jamais. :confused: La méditation et le recueillement vs le Iphone & le Hummer ! Quelle classe...

 

L'homme dans sa soumission envers Dieu n'a pu se contenter, dans son arrogance innée, de cette position inférieure. N'ayant pas la prétention toutefois d'atteindre l'absolu (car il est conscient de ce qu'il est) il a donc rabaissé l'animal puis la nature, puis la machine... Il passe son temps à se glorifier en s'opposant à tout ce qui l'entoure. Ca marche donc aussi au sein même de l'espèce humaine.

Pourquoi certains mettent autant d'énergie à dénigrer flen ou foulen ?! Parce que ça leur évite de regarder ce qu'ils sont, pire ce qu'ils pourraient être car ça leur demanderait un effort supplémentaire qu'ils ne st pas prêts à faire.

 

Je ne dis pas que l'homme est l'égal de l'animal ou de la machine (je te vois venir) mais il est complètement stérile de s'arrêter au langage et à la raison pour se dire supérieur. C'est trop réducteur dans la recherche de la sagesse.

Hegel disait "ce qui élève l'homme par rapport à l'animal, c'est la conscience qu'il a d'être animal. Du fait qu'il sait qu'il est animal, il cesse de l'être". Facile à dire... Mais il n'empêche que l'animal a des sens et un instinct plus performants que nous, que la machine exécute plus vite, plus longtemps et souvent mieux... l'univers, la nature, le progrès, la société, l'individu doivent être un tout, sans rapport de force ou de prétention particulière. C'est une complémentarité qui doit enrichir l'espèce humaine non lui donner un titre usurpé et boîteux.

 

N'est ce pas par égoisme qu'il interagit avec sa société ?

Cet homme dans ton exemple partage, apprend, compare etc...pour seul but de se connaître lui même! Une fois accomplie (ce qui n'arrivera jamais), que se passera t'il à ton avis ?

 

Je te demanderai si l'homme s'intéresse naturellement à la médiocrité. S'il parviendrait à construire un intérêt à écouter et comprendre la bêtise pour l'élever elle aussi !

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Question floue d’un fou (selon le concept des normaux)

Ryline, Tempus, rejoignez-moi dans mon cahot et montrez-moi la voie………………….

 

Extrait d’un dialogue entre mes moi (s) dans un contexte d’être au pluriel (schyzo)

…………………..qu’en est-il réellement du « contre divin » qui opère en l’humain ?

Le relais psychique d’IBLIS………….. (« Le ça », iblis bis, la forme psychologique luciférienne)…………..dans sa croisade …………….anti-moi ………anti-l’autres ………anti-adamique

Peut-on, si l’on entreprenais un étirement introspectif constituant un élan réflexif conséquent, à contre courant du surmoi (aveuglement protectionniste) trouver un apport de sagesse au tréfonds de notre satanique foi (le ça) ?

distiller du semblant philosophique à partir du psycho-ilogique (psycho-iblis-logique)………………et le rendre certain, apte au développement………..

 

…………………………………../coupure de raison/

ces dires en barjo ne sons pas de mon moi originel dominant, sociétaire des gens de la normalité, c’est un de mes moi (s) auxiliaires tenu à rester dans l’ombre qui ose se montré dans le but de me mettre dans l’embarras, je vous pries donc d’excusé cette intrusion pour le moins incongrue

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Guest thesoulshudders
Question floue d’un fou (selon le concept des normaux)

Ryline, Tempus, rejoignez-moi dans mon cahot et montrez-moi la voie………………….

 

Extrait d’un dialogue entre mes moi (s) dans un contexte d’être au pluriel (schyzo)

…………………..qu’en est-il réellement du « contre divin » qui opère en l’humain ?

Le relais psychique d’IBLIS………….. (« Le ça », iblis bis, la forme psychologique luciférienne)…………..dans sa croisade …………….anti-moi ………anti-l’autres ………anti-adamique

Peut-on, si l’on entreprenais un étirement introspectif constituant un élan réflexif conséquent, à contre courant du surmoi (aveuglement protectionniste) trouver un apport de sagesse au tréfonds de notre satanique foi (le ça) ?

distiller du semblant philosophique à partir du psycho-ilogique (psycho-iblis-logique)………………et le rendre certain, apte au développement………..

 

…………………………………../coupure de raison/

ces dires en barjo ne sons pas de mon moi originel dominant, sociétaire des gens de la normalité, c’est un de mes moi (s) auxiliaires tenu à rester dans l’ombre qui ose se montré dans le but de me mettre dans l’embarras, je vous pries donc d’excusé cette intrusion pour le moins incongrue

 

Un silbi quoi:rolleyes:

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Question floue d’un fou (selon le concept des normaux)

Ryline, Tempus, rejoignez-moi dans mon cahot et montrez-moi la voie………………….

 

Extrait d’un dialogue entre mes moi (s) dans un contexte d’être au pluriel (schyzo)

…………………..qu’en est-il réellement du « contre divin » qui opère en l’humain ?

Le relais psychique d’IBLIS………….. (« Le ça », iblis bis, la forme psychologique luciférienne)…………..dans sa croisade …………….anti-moi ………anti-l’autres ………anti-adamique

Peut-on, si l’on entreprenais un étirement introspectif constituant un élan réflexif conséquent, à contre courant du surmoi (aveuglement protectionniste) trouver un apport de sagesse au tréfonds de notre satanique foi (le ça) ?

distiller du semblant philosophique à partir du psycho-ilogique (psycho-iblis-logique)………………et le rendre certain, apte au développement………..

 

…………………………………../coupure de raison/

ces dires en barjo ne sons pas de mon moi originel dominant, sociétaire des gens de la normalité, c’est un de mes moi (s) auxiliaires tenu à rester dans l’ombre qui ose se montré dans le but de me mettre dans l’embarras, je vous pries donc d’excusé cette intrusion pour le moins incongrue

 

Bah c'est une bonne question. D'ailleurs de quoi nous sert-on pour parvenir à ce travail d'élévation vers la sagesse ?

Tu sais on a tous nos démons plus ou moins violents et maîtrisés mais ici il ne s'agit pas de nous écouter mais de nous questionner. De prendre le bon comme le mauvais en argumentant nos perceptions de manière objective. Tout doit interagir avec le maximum de variables possibles pour parvenir à cerner la question dans sa globalité afin dans tirer une vision médiane.

 

Donc si tes démons te font peur et semblent dégager des élans ou des idées plutôt extrêmes, demande-toi déjà pourquoi ? Qu'est-ce qui les motive ? Comment tu te sens face à elles ? Pourrais-tu les assumer en société ? Envers un ami, un proche ? Qu'est-ce qui a pu t'amener à ces envies ? ... Pleins de questions qui te permettront de les comprendre. Une fois rationnalisées, elles devraient disparaître sinon il faut voir au niveau de la skyzophrénie :D

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Je crois qu'on s'est pas compris sur cette partie.

Je disais donc au début :

 

Je dirais aussi que c'est beaucoup plus simple de connaître l'autre que de se connaître soi même !

Par contre je crois que l'humain est foncièrement égoïste une fois qu'il se connaît lui même, il ne cherchera nullement à connaître l'autre et je pense que sa vie n'aura plus aucun sens (mais bon ça n'arrivera jamais vu qu'on pourra jamais se connaître complètement !).

Même quand il cherche à connaître l'autre c'est lui même qu'il cherche à se connaître au fond.

 

Et ta réponse était :

Enfin pour la connaissance de l'autre, je ne suis pas d'accord. Autant je reconnais le caractère tendanciellement égoïste de l'homme autant je sais qu'il ne peut vivre seul. Les interactions sociales sont nécessaires à le mener vers ce qu'il est, c'est un partage, un apprentissage, une comparaison, une interrogation... c'est une richesse inépuisable ! Dans un tel cas, tu peux même renverser la notion d'égoïsme car l'homme ne serait pas comblé s'il vivait en hermite. Il trouve un intérêt conscient ou non à vivre avec l'autre.

 

C'est sur le fait de connaître l'autre que ça diverge !

Ce que tu dis là fait toujours partie de la connaissance de soi mais à travers l'autre. Ce dont je parlais moi c'est de la connaissance de l'autre à proprement dit, c'est à dire au même degré qu'on aspire à se connaître soi même. Et là je disais que vu que l'humain était égoïste, il ne le ferait jamais !

En plus déjà qu'il n'aura jamais le temps de se connaitre lui alors il voit pas comment il ferait pour connaître l'autre (de toute façon ça l'intéresse pas, même si il avait 30 vies)

 

Il n'y a que dieu qui ferait une chose pareil, pour juger au jour du jugement.

 

L'homme est doté d'un instinct de survie, je pense qu'il est capable de beaucoup de choses même vivre seul. Mais là, on parle de l'enrichissement de soi à travers l'autre et non d'un "Kho-Lanta existentiel" :D

 

Voilà, on était d'accord dés le début en fait !

On parle d'enrichissement de soi à travers l'autre. Mais crois tu que l'inverse est envisageable, c'est à dire crois tu qu'une personne puisse se sacrifier et avec sa propre volonté enrichir l'autre à travers soi sans aucune contre-partie ?

Moi j'en doute fortement et c'était là où je voulais en venir !

 

 

Je vais te donner un exemple. Pourquoi la "solitude", "l'indépendance" ou tous les termes allant dans ce sens sont autant glorifiés dans notre société ?

Simplement parce que la société et autrui existent. Parce qu'ils symbolisent une alternative à un acquis, à une obligation même. Ils nous apportent ce qui nous manque. C'est un échappatoire pour se retrouver avec soi car on a souvent le sentiment d'être oppressés par les autres.

Mais l'inverse serait aussi vrai... trop de solitude crée un autre besoin. Nous sommes simplement des éternels insatisfaits et nous cherchons tout ce qu'il y a à prendre (et à l'excès s'il vous plait, sinon c'est pas bon !)

 

Ils sont p-e glorifiant dans ta société, mais je peux te dire que chez moi ce n'est pas le cas :mdr:

Mais je ne peux pas être plus d'accord sur ce que tu dis là vu que c'est point par point, mot par mot mon vécu !!

Et je retombe sur la même conclusion que la tienne. (mais elle n'est pas finale cette conclusion en ce qui me concerne, affaire à suivre)

Par contre je ne sais pas si c'est du à qu'a l'oppression de l'autre sur soi, je pense que c'est dû à d'autres facteurs dont j'ignore l'exactitude.

 

Tu me fais rire quand tu parles de "plus-value". Je ne suis même pas sûre que l'être humain ait naturellement la capacité à faire de bons placements quant à son psychisme et son élévation intérieure. Je pense que ses priorités sont ailleurs... à notre époque tout au moins ! Platon, Aristote, Rousseau... doivent vraiment nous regarder comme des gros nases en se disant qu'on n'a rien compris à l'extase et qu'on ne la touchera jamais. :confused: La méditation et le recueillement vs le Iphone & le Hummer ! Quelle classe...

 

Toi et moi, on est humain après tout ! et ce qu'on fait là et ce que j'appelle un partage ou un échange de "plus-value", et cette dernière est loin d'être matériel !

Qu'en penserait Aristote de ce débat ? :D (je crois qu'il rigole aussi :mdr:)

 

L'homme dans sa soumission envers Dieu n'a pu se contenter, dans son arrogance innée, de cette position inférieure. N'ayant pas la prétention toutefois d'atteindre l'absolu (car il est conscient de ce qu'il est) il a donc rabaissé l'animal puis la nature, puis la machine... Il passe son temps à se glorifier en s'opposant à tout ce qui l'entoure. Ca marche donc aussi au sein même de l'espèce humaine.

Pourquoi certains mettent autant d'énergie à dénigrer flen ou foulen ?! Parce que ça leur évite de regarder ce qu'ils sont, pire ce qu'ils pourraient être car ça leur demanderait un effort supplémentaire qu'ils ne st pas prêts à faire.

 

Je crois qu'il l'a cette prétention, il a simplement renié son existence !

Comme ça, ça sera lui the best of the best :confused:

J'aime bien les remettre à leur place ses personnes la mais en même temps je les comprends...

 

Clin d'oeil à Silbi ;)

 

 

Je ne dis pas que l'homme est l'égal de l'animal ou de la machine (je te vois venir) mais il est complètement stérile de s'arrêter au langage et à la raison pour se dire supérieur. C'est trop réducteur dans la recherche de la sagesse.

Hegel disait "ce qui élève l'homme par rapport à l'animal, c'est la conscience qu'il a d'être animal. Du fait qu'il sait qu'il est animal, il cesse de l'être". Facile à dire... Mais il n'empêche que l'animal a des sens et un instinct plus performants que nous, que la machine exécute plus vite, plus longtemps et souvent mieux... l'univers, la nature, le progrès, la société, l'individu doivent être un tout, sans rapport de force ou de prétention particulière. C'est une complémentarité qui doit enrichir l'espèce humaine non lui donner un titre usurpé et boîteux.

 

Non au contraire, par ce que c'est que je pense aussi ! c'est même ce que j'ai voulu te faire comprendre quand on en parlait !!

Je vois que t'as changé d'avis. C'est bien

 

L'homme n'est pas égale à l'animal, l'homme n'est pas supérieur à l'animal, l'homme n'est pas inférieur à l'animal.

L'homme est différent !

Quel est le meilleur fruit la pomme ou l'orange ?

 

Mais je ne supporte pas qu'on dise que l'homme est supérieur :mad:

Et c'est ce qu'on dit dans le coran indirectement !

 

Je te demanderai si l'homme s'intéresse naturellement à la médiocrité. S'il parviendrait à construire un intérêt à écouter et comprendre la bêtise pour l'élever elle aussi !

 

J'avoue ne pas comprendre là...

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Question floue d’un fou (selon le concept des normaux)

Ryline, Tempus, rejoignez-moi dans mon cahot et montrez-moi la voie………………….

 

Extrait d’un dialogue entre mes moi (s) dans un contexte d’être au pluriel (schyzo)

…………………..qu’en est-il réellement du « contre divin » qui opère en l’humain ?

Le relais psychique d’IBLIS………….. (« Le ça », iblis bis, la forme psychologique luciférienne)…………..dans sa croisade …………….anti-moi ………anti-l’autres ………anti-adamique

Peut-on, si l’on entreprenais un étirement introspectif constituant un élan réflexif conséquent, à contre courant du surmoi (aveuglement protectionniste) trouver un apport de sagesse au tréfonds de notre satanique foi (le ça) ?

distiller du semblant philosophique à partir du psycho-ilogique (psycho-iblis-logique)………………et le rendre certain, apte au développement………..

 

…………………………………../coupure de raison/

ces dires en barjo ne sons pas de mon moi originel dominant, sociétaire des gens de la normalité, c’est un de mes moi (s) auxiliaires tenu à rester dans l’ombre qui ose se montré dans le but de me mettre dans l’embarras, je vous pries donc d’excusé cette intrusion pour le moins incongrue

 

Comme je le disais plus haut le fait de se connaître est (pour moi) être sage !

A priori c'est ton cas, partiellement, mais je crois que c'est juste de la mise en scène (c'est mon Iblis qui parle là :p)

 

Pour répondre à ta question, le "ça" fait partie de soi donc en toute logique, il est un élément déterminant pour la connaissance de soi donc de sagesse.

 

Pour moi être sage c'est de poser les questions à soi et pas au autres, par ce que la réponse ne viendra forcément pas d'eux mais de soi.

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Bah c'est une bonne question. D'ailleurs de quoi nous sert-on pour parvenir à ce travail d'élévation vers la sagesse ?

Tu sais on a tous nos démons plus ou moins violents et maîtrisés mais ici il ne s'agit pas de nous écouter mais de nous questionner. De prendre le bon comme le mauvais en argumentant nos perceptions de manière objective. Tout doit interagir avec le maximum de variables possibles pour parvenir à cerner la question dans sa globalité afin dans tirer une vision médiane.

du saint comme du pollué de notre esprit

La sagesse est en chaque être humain mais à présence variable allant de l’embryonnaire au relativement développée selon l’imperfection propre à chaque individu, car à ce niveau, bien avidement l’animalité au sens de l’ignorance est inconstante et cela obéit à divers conditions purement humaines et exclusivement métaphysiques relevant de l’inné comme de l’acquis au travers l’observation par « l’a priori » et « l’a posteriori »

 

 

 

Donc si tes démons te font peur et semblent dégager des élans ou des idées plutôt extrêmes, demande-toi déjà pourquoi ? Qu'est-ce qui les motive ? Comment tu te sens face à elles ? Pourrais-tu les assumer en société ? Envers un ami, un proche ? Qu'est-ce qui a pu t'amener à ces envies ? ... Pleins de questions qui te permettront de les comprendre. Une fois rationnalisées, elles devraient disparaître sinon il faut voir au niveau de la skyzophrénie :D

 

Que me proposes-tu Ryline !!!!!!!!!!!!!!!!!!???????????

le divan du psy !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!?????????????

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Je crois qu'il l'a cette prétention, il a simplement renié son existence !

Comme ça, ça sera lui the best of the best :confused:

J'aime bien les remettre à leur place ses personnes la mais en même temps je les comprends...

 

Clin d'oeil à Silbi ;)

tempus, j’avoue que ton clin d’œil m’a mis la puce à l’oreille, qu’elle en est la visée

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