5 milliard de $ pour gaza.

[huit six 10]

La conférence de Charm el-Cheikh réunissait le président égyptien Hosni Moubarak, son homologue français Nicolas Sarkozy, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et de hauts diplomates de 45 pays, dont la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, pour la première fois au Proche-Orient en tant que cheffe de la diplomatie américaine.

Au total, les 80 organisations internationales et pays donateurs réunis dans la station balnétaire égyptienne, sur les rives de la mer Rouge, ont promis 5,2 milliards de dollars, soit bien plus que les 2,8 milliards de dollars (2,2 milliards d'euros) minimum espérés.

 

Ce chiffre va "au-delà de nos espérances", a commenté le ministre égyptien des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit. L'enveloppe comporte 4,48 milliards de dollars (3,5 milliards d'euros) de nouvelles promesses, le reste étant constitué par des fonds promis de longue date -mais jamais débloqués- que les donateurs se sont engagés à honorer, a précisé M. Gheit.

 

L'aide promise est destinée à l'aide humanitaire dans la Bande de Gaza, la reconstruction du petit territoire et au financement de l'Autorité palestinienne, a précisé le ministre palestinien du Plan Samir Abdullah.

 

Le donateur le plus généreux a été l'Arabie saoudite, qui s'est engagé à verser 1 milliard de dollars. Viennent ensuite les Etats-Unis, qui ont promis 900 millions de dollars: environ 300 millions pour l'aide humanitaire dans la Bande de Gaza et 600 millions pour soutenir l'Autorité palestinienne. De son côté, l'Union européenne a annoncé l'octroi de 436 millions d'euros (554 millions de dollars) "au peuple palestinien" pour l'année 2009.

 

La question du contrôle des fonds apparaît comme fondamentale. La communauté internationale refuse de négocier avec le Hamas, au pouvoir dans la Bande de Gaza, considéré comme un groupe terroriste aux Etats-Unis et en Israël. Le mouvement islamiste n'était d'ailleurs pas convié à la conférence. Mais l'Autorité palestinienne, basée en Cisjordanie, a peu d'influence à Gaza, dont le Hamas a pris le contrôle par la force en juin 2007.

 

Les Etats du Golfe, dont l'Arabie saoudite, le Qatar et le Koweït, qui ont promis au total 1,6 milliard de dollars, ont décidé de gérer eux-mêmes cette aide, contournant ainsi le Hamas comme l'Autorité palestinienne. Ils ont annoncé dans un communiqué l'ouverture d'un bureau commun à Gaza pour piloter leur aide à la reconstruction.

 

Dans son discours d'ouverture de la conférence, le président égyptien Hosni Moubarak a averti que les promesses de dons ne devaient pas être considérées comme un "butin de la guerre" -un appel implicite lancé aux factions rivales palestiniennes pour éviter toute querelle sur les fonds.

 

Le président français Nicolas Sarkozy a de son côté exhorté les Palestiniens à rechercher la paix avec Israël. Il a rappelé l'importance de la libération du soldat franco-israélien Gilad Schalit, retenu par le Hamas, et a défendu "l'ouverture permanente des points de passage" menant le territoire palestinien pour faire face à la situation humanitaire "très préoccupante". "Israël doit ouvrir les points de passage pour laisser entrer sans (restriction) dès aujourd'hui les biens humanitaires puis tous les biens nécessaires à la vie de Gaza", a-t-il plaidé.

 

De son côté, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a demandé aux participants de soutenir le plan de reconstruction de son Premier ministre Salam Fayyad présenté comme un "plan de développement complet national" et a promis une reconstruction sur les bases de la "transparence" et de la "justice". M. Fayyad avait préparé un document de 53 pages pour les donateurs, qui évalue la réparation des dégâts causés par la guerre à Gaza à 501 millions de dollars.

 

Les pays donateurs ont appelé le Fatah et le Hamas à surmonter leurs divergences et à former un gouvernement d'union capable d'oeuvrer à la reconstruction de Gaza et de s'asseoir à la table des négociations avec Israël. Le chef de la diplomatie britannique, David Miliband, a prédit qu'il n'y aurait qu'une "reconstruction matérielle limitée sans une reconstruction politique, ajoutant que les Palestiniens doivent avoir "un seul gouvernement".

 

Hillary Clinton a de son côté lancé un appel à une action urgente en faveur du processus de paix israélo-arabe. Elle a aussi indiqué que l'administration Obama poursuivrait sur la voie -empruntée par la précédente administration- d'une solution à deux Etats et de la coexistence pacifique d'Israël et d'un Etat Palestinien. AP

[chbikto5zor 10]

L'Algérie versera 200 Millions de Dollars.

On pouvait faire mieux, mais ce n'est pas mal. Que dieu viennent en aide à nos frères palestiniens.

[dilekhe 10]

La conférence de Charm el-Cheikh réunissait le président égyptien Hosni Moubarak, son homologue français Nicolas Sarkozy, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et de hauts diplomates de 45 pays, dont la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, pour la première fois au Proche-Orient en tant que cheffe de la diplomatie américaine.

Au total, les 80 organisations internationales et pays donateurs réunis dans la station balnétaire égyptienne, sur les rives de la mer Rouge, ont promis 5,2 milliards de dollars, soit bien plus que les 2,8 milliards de dollars (2,2 milliards d'euros) minimum espérés.

 

Ce chiffre va "au-delà de nos espérances", a commenté le ministre égyptien des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit. L'enveloppe comporte 4,48 milliards de dollars (3,5 milliards d'euros) de nouvelles promesses, le reste étant constitué par des fonds promis de longue date -mais jamais débloqués- que les donateurs se sont engagés à honorer, a précisé M. Gheit.

 

L'aide promise est destinée à l'aide humanitaire dans la Bande de Gaza, la reconstruction du petit territoire et au financement de l'Autorité palestinienne, a précisé le ministre palestinien du Plan Samir Abdullah.

 

Le donateur le plus généreux a été l'Arabie saoudite, qui s'est engagé à verser 1 milliard de dollars. Viennent ensuite les Etats-Unis, qui ont promis 900 millions de dollars: environ 300 millions pour l'aide humanitaire dans la Bande de Gaza et 600 millions pour soutenir l'Autorité palestinienne. De son côté, l'Union européenne a annoncé l'octroi de 436 millions d'euros (554 millions de dollars) "au peuple palestinien" pour l'année 2009.

 

La question du contrôle des fonds apparaît comme fondamentale. La communauté internationale refuse de négocier avec le Hamas, au pouvoir dans la Bande de Gaza, considéré comme un groupe terroriste aux Etats-Unis et en Israël. Le mouvement islamiste n'était d'ailleurs pas convié à la conférence. Mais l'Autorité palestinienne, basée en Cisjordanie, a peu d'influence à Gaza, dont le Hamas a pris le contrôle par la force en juin 2007.

 

Les Etats du Golfe, dont l'Arabie saoudite, le Qatar et le Koweït, qui ont promis au total 1,6 milliard de dollars, ont décidé de gérer eux-mêmes cette aide, contournant ainsi le Hamas comme l'Autorité palestinienne. Ils ont annoncé dans un communiqué l'ouverture d'un bureau commun à Gaza pour piloter leur aide à la reconstruction.

 

Dans son discours d'ouverture de la conférence, le président égyptien Hosni Moubarak a averti que les promesses de dons ne devaient pas être considérées comme un "butin de la guerre" -un appel implicite lancé aux factions rivales palestiniennes pour éviter toute querelle sur les fonds.

 

Le président français Nicolas Sarkozy a de son côté exhorté les Palestiniens à rechercher la paix avec Israël. Il a rappelé l'importance de la libération du soldat franco-israélien Gilad Schalit, retenu par le Hamas, et a défendu "l'ouverture permanente des points de passage" menant le territoire palestinien pour faire face à la situation humanitaire "très préoccupante". "Israël doit ouvrir les points de passage pour laisser entrer sans (restriction) dès aujourd'hui les biens humanitaires puis tous les biens nécessaires à la vie de Gaza", a-t-il plaidé.

 

De son côté, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a demandé aux participants de soutenir le plan de reconstruction de son Premier ministre Salam Fayyad présenté comme un "plan de développement complet national" et a promis une reconstruction sur les bases de la "transparence" et de la "justice". M. Fayyad avait préparé un document de 53 pages pour les donateurs, qui évalue la réparation des dégâts causés par la guerre à Gaza à 501 millions de dollars.

 

Les pays donateurs ont appelé le Fatah et le Hamas à surmonter leurs divergences et à former un gouvernement d'union capable d'oeuvrer à la reconstruction de Gaza et de s'asseoir à la table des négociations avec Israël. Le chef de la diplomatie britannique, David Miliband, a prédit qu'il n'y aurait qu'une "reconstruction matérielle limitée sans une reconstruction politique, ajoutant que les Palestiniens doivent avoir "un seul gouvernement".

 

Hillary Clinton a de son côté lancé un appel à une action urgente en faveur du processus de paix israélo-arabe. Elle a aussi indiqué que l'administration Obama poursuivrait sur la voie -empruntée par la précédente administration- d'une solution à deux Etats et de la coexistence pacifique d'Israël et d'un Etat Palestinien. AP

 

Cinq millirads de dolard !?

 

dans une partis vient des USA, UE, FRANCE

 

Mais la question je me pose : -est-ce que ces génereux donateur (occidentaux) ont une bonne volonté pour resoudre la question palistinienne ?

-est-ce qu'ils sont juste vis a vis de cette question ?

 

Car je croi que cette aide financiére est contradictoire par rapport a leur politique vis a vis de la palistinne, car les occidentaux dans leur majorité sont complices avec israél a la colonisation de la palistinne et la descrimination de son peuple, en aidant israèl politiquement (en ferment les yeux face a la disrimination du peuple palistinien ) et financiérement ( en l'aidant militairement ).

 

De ce fait, je constate qu'ils sont hypocrite vis a vis du monde arabe et du peuple palistinien, car d'un coté ils soutienne la politique discriminatrice du peuple palistinien d'israèl, et d'un autre coté ils fant semblant d'etre pour la paix en l'aidant financierement .

[benzema13 10]

La conférence de Charm el-Cheikh réunissait le président égyptien Hosni Moubarak, son homologue français Nicolas Sarkozy, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et de hauts diplomates de 45 pays, dont la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, pour la première fois au Proche-Orient en tant que cheffe de la diplomatie américaine.

Au total, les 80 organisations internationales et pays donateurs réunis dans la station balnétaire égyptienne, sur les rives de la mer Rouge, ont promis 5,2 milliards de dollars, soit bien plus que les 2,8 milliards de dollars (2,2 milliards d'euros) minimum espérés.

 

Ce chiffre va "au-delà de nos espérances", a commenté le ministre égyptien des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit. L'enveloppe comporte 4,48 milliards de dollars (3,5 milliards d'euros) de nouvelles promesses, le reste étant constitué par des fonds promis de longue date -mais jamais débloqués- que les donateurs se sont engagés à honorer, a précisé M. Gheit.

 

L'aide promise est destinée à l'aide humanitaire dans la Bande de Gaza, la reconstruction du petit territoire et au financement de l'Autorité palestinienne, a précisé le ministre palestinien du Plan Samir Abdullah.

 

Le donateur le plus généreux a été l'Arabie saoudite, qui s'est engagé à verser 1 milliard de dollars. Viennent ensuite les Etats-Unis, qui ont promis 900 millions de dollars: environ 300 millions pour l'aide humanitaire dans la Bande de Gaza et 600 millions pour soutenir l'Autorité palestinienne. De son côté, l'Union européenne a annoncé l'octroi de 436 millions d'euros (554 millions de dollars) "au peuple palestinien" pour l'année 2009.

 

La question du contrôle des fonds apparaît comme fondamentale. La communauté internationale refuse de négocier avec le Hamas, au pouvoir dans la Bande de Gaza, considéré comme un groupe terroriste aux Etats-Unis et en Israël. Le mouvement islamiste n'était d'ailleurs pas convié à la conférence. Mais l'Autorité palestinienne, basée en Cisjordanie, a peu d'influence à Gaza, dont le Hamas a pris le contrôle par la force en juin 2007.

 

Les Etats du Golfe, dont l'Arabie saoudite, le Qatar et le Koweït, qui ont promis au total 1,6 milliard de dollars, ont décidé de gérer eux-mêmes cette aide, contournant ainsi le Hamas comme l'Autorité palestinienne. Ils ont annoncé dans un communiqué l'ouverture d'un bureau commun à Gaza pour piloter leur aide à la reconstruction.

 

Dans son discours d'ouverture de la conférence, le président égyptien Hosni Moubarak a averti que les promesses de dons ne devaient pas être considérées comme un "butin de la guerre" -un appel implicite lancé aux factions rivales palestiniennes pour éviter toute querelle sur les fonds.

 

Le président français Nicolas Sarkozy a de son côté exhorté les Palestiniens à rechercher la paix avec Israël. Il a rappelé l'importance de la libération du soldat franco-israélien Gilad Schalit, retenu par le Hamas, et a défendu "l'ouverture permanente des points de passage" menant le territoire palestinien pour faire face à la situation humanitaire "très préoccupante". "Israël doit ouvrir les points de passage pour laisser entrer sans (restriction) dès aujourd'hui les biens humanitaires puis tous les biens nécessaires à la vie de Gaza", a-t-il plaidé.

 

De son côté, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a demandé aux participants de soutenir le plan de reconstruction de son Premier ministre Salam Fayyad présenté comme un "plan de développement complet national" et a promis une reconstruction sur les bases de la "transparence" et de la "justice". M. Fayyad avait préparé un document de 53 pages pour les donateurs, qui évalue la réparation des dégâts causés par la guerre à Gaza à 501 millions de dollars.

 

Les pays donateurs ont appelé le Fatah et le Hamas à surmonter leurs divergences et à former un gouvernement d'union capable d'oeuvrer à la reconstruction de Gaza et de s'asseoir à la table des négociations avec Israël. Le chef de la diplomatie britannique, David Miliband, a prédit qu'il n'y aurait qu'une "reconstruction matérielle limitée sans une reconstruction politique, ajoutant que les Palestiniens doivent avoir "un seul gouvernement".

 

Hillary Clinton a de son côté lancé un appel à une action urgente en faveur du processus de paix israélo-arabe. Elle a aussi indiqué que l'administration Obama poursuivrait sur la voie -empruntée par la précédente administration- d'une solution à deux Etats et de la coexistence pacifique d'Israël et d'un Etat Palestinien. AP

 

Cinq milliards de dollars , ou l'art de l'occident de comment l'a faire a l'envers.Voila que les bourreaux , et complices jouent les honnêtes donateurs.

[huit six 10]

c'est toujours mieu que rien, .... les occidentaux soutiennent israel mais ils ne sont pas responsable des crimes des sionistes etils essayent d'aider le peuple palestinien quand c'est possible, pour rappel lUE fournit beaucoup de nourriture et d'argent meme quand il n'y a pas de crise.

les arabes sont plus responsables que les americain de ce qui arrivent aux palestiniens a mo avis car ils n'aident pas les palestinien autant, larabie saoudite na versé qu'un milliard et les ont donné a abbas, ils pourraient donner dix fois plus a leur "freres"....

a wdi si on comptait sur les arabes ca ferait longtemps que les palestiniens auraient disparu

[benzema13 10]

c'est toujours mieu que rien, .... les occidentaux soutiennent israel mais ils ne sont pas responsable des crimes des sionistes etils essayent d'aider le peuple palestinien quand c'est possible, pour rappel lUE fournit beaucoup de nourriture et d'argent meme quand il n'y a pas de crise.

les arabes sont plus responsables que les americain de ce qui arrivent aux palestiniens a mo avis car ils n'aident pas les palestinien autant, larabie saoudite na versé qu'un milliard et les ont donné a abbas, ils pourraient donner dix fois plus a leur "freres"....

a wdi si on comptait sur les arabes ca ferait longtemps que les palestiniens auraient disparu

 

toujours mieux que rien ? les occidentaux soutiennent Israel mais ils ne sont pas responsable des crimes des sionistes ? pour rappel l'UE fournit beaucoup de nourriture et d'argent ? Tu sais à mon humble avis , il faut savoir prendre parti et non pas jouer sur deux tableaux.L'occident laisse faire les USA et les sionistes car leurs interêts économiques seraient perturbés dans le cas contraire , et en contre partie ils gardent un bon visage en distribuant des sacs de blés aux palestiniens...Demande à un Palestinien s'il préfère vivre comme un homme libre et survivre comme un animal apprivoisé en cage ? Je pense que la réponse sera sans appel ! Au diable les régimes arabes auxquels tu fais allusion , ils sont tous soudoyés comme il faut par les americains.Cet après midi , j'ai été stupéfait du degré d'hypocrisie de l'occident , le TPI a lancé un mandat d'arrêt international à l'encontre du président Soudanais El bechir pour génocide et crime contre l'humanité , Tsibil ivni , netanyaou et ces autres chiens galeux n'ont pas droit a tant d'égard ? Quel systeme juste ! Je conclurai en réaffirmant que l'occident peut aller se faire voir , pas besoin de blé , ni de gestes humanitaire si ce n'est l'arrêt des massacres en Palestine !

[huit six 10]

Tu sais à mon humble avis , il faut savoir prendre parti et non pas jouer sur deux tableaux.L'occident laisse faire les USA et les sionistes car leurs interêts économiques seraient perturbés dans le cas contraire , et en contre partie ils gardent un bon visage en distribuant des sacs de blés aux palestiniens...Demande à un Palestinien s'il préfère vivre comme un homme libre et survivre comme un animal apprivoisé en cage ? Je pense que la réponse sera sans appel ! Au diable les régimes arabes auxquels tu fais allusion , ils sont tous soudoyés comme il faut par les americains.Cet après midi , j'ai été stupéfait du degré d'hypocrisie de l'occident , Tsibil ivni , netanyaou et ces autres chiens galeux n'ont pas droit a tant d'égard ? Quel systeme juste ! Je conclurai en réaffirmant que l'occident peut aller se faire voir , pas besoin de blé , ni de gestes humanitaire si ce n'est l'arrêt des massacres en Palestine !

2 poids de mesure mais lbachir n'est pas un homme saint, pour ne pas tomber dans le HS l'occident ne regarde que ces interet mais les peuples europeens ont montré de la solidarité avec les gens de gaza et ont condamné lagression israelienne, c'est juste pour dire qu'il faut nuancer .