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Création d'une Histoire fantastique


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Guest salli
je vois ke DR n'ecrit plus j'espere qu'il va bien :(

 

patience edite, il faut lui laisser le tps de respirer et de se reposer, moi j'ai un peu perdu le fil, je viendrai en tps et en heure ;)

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Guest Sally
Imaginez que je lui avais donné une gifle magistrale à cette brute. Je ne savais que j'avais un tel toupet.

Prendre son courage à deux mains et frapper un homme, ça, c'était du cran, surtout lorsqu'il vous prenait pour pelote en laine. Et le bruit qu'elle avait fait, avait résonné beaucoup dans mes oreilles que dans les siennes. J'étais si furieuse contre lui, que j'étais capable de lui rajouter mon coup de pied; là où lui ferait beaucoup du mal, mais j'étais empêchée par ses maudits nains qui m'avait tenus en respect en brandissant dangereusement leurs fléchettes aiguisées.

 

maman, j'ai sommeilllllllllllllllllllllllllllllllll...........

 

Ils me menaçaient et j'avais l'impression que c'était les dernières minutes de ma vie. Je me suis souvenue que ce matin même, j'avais frotté la baignoire. C'est donc de cette dernière tâche domestique accomplie, banale et triste à souhait qui me vient à l'esprit au moment où je risque de perdre la vie.

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Guest Didine RAYAN

Le bandit poisseux, ce khattaf el arayes de malheur s’attendait peut-être à tout, sauf à une claque en pleine figure. Il ramena sa main sur sa joue, me fixa droit dans les yeux et laissa échapper de sa bouche un rire sardonique.

 

Il a suffit d’un instant pour que je lui en rajoutais un autre si ce n’etait l’intervention de ses diables de nains aux gueules hideuses qui m’agrippèrent de partout, lorsque l’ordre fut donné.

 

Je fus ligotée puis emmenée par la suite vers un enclos où étaient parqués des porcs aussi ventrus et sales que leur maître.

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Guest Didine RAYAN

Le bouvier qui nous attendait, était un vieillard borgne tout en haillons. Il donnait l’impression d’un sadique sorti des ténèbres. Il avait une longue tignasse et une barbe hirsute aussi sale que la mêlasse des ses porcs. Seul son œil cruel et menaçant, brillait comme celui d’une hyène enragée.

 

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Guest Didine RAYAN

Il m’ouvrit l’accès et me poussa brutalement à l’intérieur puis referma l’issue à l’aide d’une longue liane.

 

Ce charognard de bouvier durcit un peu plus son regard pour me dire que demain ce sera ma fête, puis me tourna le dos et alla s’asseoir sur un gros rocher à quelques mètres de l’enclos.

 

J’avais réalisé que le bouvier, ne s’occupait pas seulement des porcs de son maître, mais il faisait aussi les sales offices de bourreau…

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Guest Didine RAYAN

Pour vous dire, j'étais si convaincue que dés les premières lueurs du soleil, allait se pointer Khattaf el Arrayes avec son armée de nains pour une danse satanique.

 

J'allais être un jouet aux mains d'un diable. Peut-être bien une obole pour son Dieu ou tout simplement un festin pour le bouvier qui m'épiait toujours du coin de l'oeil.

 

Mais où est donc mon Prince Charmant...Oh, mon Dieu...

 

Et c'était comme ça que j'ai commencé à pleurer de plus fort que mes gissements semblaient se dissiper aux quatre coins de l'univers.

 

Ah, mon prince charmant que je t'aime....

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merci

 

je suis juste une fille comme les autres j'aime lire ce que tu ecrit j'adore tes histoires j'ai lu ton roman il m'a beaucoup plu je trouve que vraiment tu doit continuer ce que tu fait car moi aussi j'aime ecrire mais malheureusement j'ai pas le temps mais toi tu ecrit tout le temps j'aimerais devenir comme toi et avoir un jour ton talent d'ecrivain merci beaucoup pour ces petits plaisirs que tu m'offre:o

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Guest Didine RAYAN

C’était si étrange cette nuit. Il régnait un calme absolu et les bêtes qui faisaient le bruit horrible tout à l’heure, ont subitement disparu de l’enclos. Je me trouvais donc seule enfermée comme une esclave en face de cet abruti de borgne qui m'épiait comme un fou.

 

J’avais envie de sauter par dessus la haie, foncer droit sur lui et lui crever l’œil qui lui restait. Comme ça, il ne pourra plus jamais faire de mal à personne

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Guest Didine RAYAN

Je n’avais plus peur. Je regardais émue les alentours figés dans ce silence de la nuit et je prenais autant de plaisir à admirer les oliviers qui ceinturaient tout autour ma prison. Pas un seul arbre qui bougeait.

 

Je pouvais, à travers de leurs branches, entrevoir déjà, les premières lueurs de la pleine lune qui commençait à s’élever dans le ciel si bien dégagé parsemé joliment d’étoiles.

 

La lune et les étoiles m’avaient toujours inspirées une certaine serinité. Je m’étais toujours dite qu’après ma mort, mon âme allait sûrement survoler le ciel pour rejoindre quelques part, l'agora des élus en quête d'une vie éternelle

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Guest Didine RAYAN

Pendant que je rêvais, je sentais s’alourdir mes paupières, puis je sombrais dans le sommeil.

 

Dans mon rêve, je revoyais Khattaf el Arayess entouré de ses sbires de nains. Je voyais encore ce servile vieillard au sourire trompeur et enfin le bouvier à la sa face hideuse qui, tous, festoyaient allégrement autour du grand feu de bois. C’était digne d’une messe stannique préliminaire à une orgie diabolique ou plutôt avant goût pour un sacrifice humain.

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Guest Didine RAYAN

Au moment où les nains menaient leur bal diabolique, à l’écart, je voyais trois solides mats dressés bien verticalement l’un à coté de l’autre, contre lesquels étaient ligotées trois jeunes femmes qui, dans leur ultime cri de détresse, criaient et suppliaient lamentablement leurs bourreaux.

 

A les entendre crier ainsi, j’ avais la chaire de poule, car je percevais au fond de moi, toute la peur du monde. Elle se lisait dans leurs yeux grands ouverts. Je me sentais concernée, car je croyais que je faisais partie de ce trio de malheureuses captives qui attendaient un sort inconnu, sinon, rien de moin qu' une fin atroces.

 

Elles débattaient et dans leurs mouvements inespérés de se détacher, elles se tortillaient de douleur.

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Guest Didine RAYAN

Les demies portions humaines telles de loques, dansaient frénétiquement l’un derrière l’autre en un mouvement circulaire en tapant des pieds le sol poussiéreux. Au rythme des tam-tams, ils chantaient en brandissant, tantôt vers le haut, tantôt vers le bas, leurs machettes aiguisées.

 

A les voir et les entendre vociférer ainsi, je m’étais dite que c’était un décor d’un monde aussi horrible que la fiction ordinaire qui défilait en direct sous mes yeux. C'était horrible, trés horrible...

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Guest Didine RAYAN

C’était alors qu’un nain, autrement habillé que paires, s’était détaché du groupe, machette en l’air et s’était rué à toute vitesse en ma direction. Je pouvais discerner toute la rage d’un animal furieux tellement ses yeux rougis brillaient dans le noir.

 

Avant d’arriver, il s’était jeté sur moi pour m’étrangler. Tétanisée, j’essayais viveement à me débattre et de crier de toutes mes forces, mais une main m’empêchait fermement d’émettre le moindre son.

 

--- Fais pas de bruit Zora, c’est moi…c’est moi!!

 

Mais, je ne voulais rien entendre, je continuais à me débattre…Mais la voix rassurante reprit de plus belle :

 

--- S’il te plait Zora c’est moi, Amir, je suis là chérie…Arrêtes s’il te plait…

 

Pour vous dire, je ne m’étais rendue compte que lorsqu’il posa sur ma joue son doux baiser. J’avais du sentir son odeur et ouvert les yeux.

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Guest Didine RAYAN

Il était là mon sauveur !

 

Je m’étais tout simplement évanouie quelques instants, entre ses bras. J’avais aimé rester ainsi une nuit et un jour, toute ma vie s’il le fallait et pourquoi pas une éternité, tellement que j’étais bien…

 

---Oh mon amour, quittons au plus vite cet endroit.…

 

---Non, pas avant avoir régler le compte à ce brigand…

 

Il me prit par la main et nous avions couru, arc-boutés vers la clairière.

 

---Amir ! Le borgne !

 

---Tais-toi Zora, il est dans les vaps…

 

A la clairière de la forêt, nous étions à l’abri de toute menace. J’étais tellement heureuse que j’avais du lâcher spontanément une de mes stupidités :

 

---Amir chérie

 

---Oui, Zora…?

 

---Je peux t’embrasser

 

---Tu n’es pas obligée mon a…

 

Pour vous dire, je ne lui avais pas laissé le temps de terminer sa phrase ni même la chance de me repousser que je lui avais déjà collé mes lèvres sur les siennes.

 

Qu’il était encore doux ce baiser ….

 

.

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Guest salli

il fallait que je fasse quelque chose! je me suis dit que si je me trouvais ici ce n'etait pour les regardé se debatre mais pour les aider, mais a mon grand regret je me suis reveillé de mon profond someil, et je suis resté des heures a penser et repenser a cet etrange reve, et puis j'ai compris, en fait la personne qu'il fallait sauver c'etait plutot moi, il fallait sortir de ce trou au plus vite, se prendre en main et pas sombrer...

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Guest salli
Il était là mon sauveur !

 

Je m’étais tout simplement évanouie quelques instants, entre ses bras. J’avais aimé rester ainsi une nuit et un jour, toute ma vie s’il le fallait et pourquoi pas une éternité, tellement que j’étais bien…

 

---Oh mon amour, quittons au plus vite cet endroit.…

 

---Non, pas avant avoir régler le compte à ce brigand…

 

Il me prit par la main et nous avions couru, arc-boutés vers la clairière.

 

---Amir ! Le borgne !

 

---Tais-toi Zora, il est dans les vaps…

 

A la clairière de la forêt, nous étions à l’abri de toute menace. J’étais tellement heureuse que j’avais du lâché spontanément une de mes stupidités :

 

---Amir chérie

 

---Oui, Zora…?

 

---Je peux t’embrasser

 

---Tu n’es pas obligée mon a…

 

Pour vous dire, je ne lui avais pas laissé le temps de terminer sa phrase ni même la chance de me repousser que je lui avais déjà collé mes lèvres sur les siennes.

 

Qu’il était doux ce baiser ….

 

.

 

oups j'ai un peu changé la suite, je crois qu'on a posté au meme tps:confused:

 

bonsoir DR:)

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