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Création d'une Histoire fantastique


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Entracte

 

 

 

De toute cette histoire, j’ai aimé cette union sacrée entre un homme et une femme. L’un, sur une rive, l’autre, en rade, sur une autre barricade.

 

L’amour est une abstraction, parfois un don du ciel. Il s’abat là où il veut et quand il veut, parfois au gré des circonstances les plus inattendues.

 

Il est capable de réanimer avec une bouffée d’oxygène et de changer radicalement la vie pour un avenir en beauté et en gaité. Les rêves inseperés deviennent réalité. On pense alors vivre heureux pour l'éternité, sans les soucis du lendemain.

 

L’amour peut s’avérer malheureusement, une piètre malédiction lorsqu’il tourne son dos, lorsqu’il se fâche, lorsqu’il se cache.

 

Il peut changer radicalement la vie par petites doses de venin et son fardeau de chagrin.

 

Le sommeil se détache et le regard se fige et se perd dans le vide. Le sourire s’efface.

 

Alors, on devient malheureux.

 

Le désir de vivre devient une souffrance. L'espoir d' aimer est synonyme d'illusions

 

 

Dixit DR / Didine RAYAN

 

A Mystery, bon courage

tiens bon

 

coucou DR jspr que tu vas bien :)

j'ai adorée tn entracte surtt la partie de "le sommeil......d'illusions" je me retrouve un petit peu dedans !!

je vais essayer de tte mes forces de tenir bon ça c'est sur!! et merci c'est adorable :)

au plaisir nchallah de lire encore tes écrits :)

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Guest Didine RAYAN

Il y a des jours où le désespoir prend le dessus et me plonge dans la mélancolie. Je n’ai plus envie de parler, ni de rire, ni de manger.

 

 

Quelque chose s’empare de mon âme, s’installe et prend mon corps. Elle serre mon cœur, noue ma gorge et m’etouffe.

 

Un écran noir m’empêche de voir et je perds mes sensations. Je me désespère Je me calfeutre dans mon lit et je vis au ralenti.

 

Ces durs moments se déroulent tel un film qui se défile en noir et blanc

Je n’ai plus envie d’écrire, plus envie de parler et plus envie de vivre

 

 

.

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Il y a des jours où le désespoir prend le dessus et me plonge dans la mélancolie. Je n’ai plus envie de parler, ni de rire, ni de manger.

 

 

Quelque chose s’empare de mon âme, s’installe et prend mon corps. Elle serre mon cœur, noue ma gorge et m’etouffe.

 

Un écran noir m’empêche de voir et je perds mes sensations. Je me désespère Je me calfeutre dans mon lit et je vis au ralenti.

 

Ces durs moments se déroulent tel un film qui se défile en noir et blanc

Je n’ai plus envie d’écrire, plus envie de parler et plus envie de vivre

 

 

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des fois j'ai l'impression que tu me connais parce que ce que tu viens de dire résume mon état d'esprit depuis un certains moment ...

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Guest Didine RAYAN
des fois j'ai l'impression que tu me connais parce que ce que tu viens de dire résume mon état d'esprit depuis un certains moment ...

 

je ne suis pas sûr

c'est aussi mon état d'âme.

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Guest Didine RAYAN

Amir et Zora passèrent la nuit sous la bonne étoile. Ils étaient tout heureux que le hasard les avait réunis une nouvelle fois pour continuer l’aventure et sceller leur destin.

 

Au pied d’un arbre, les doux câlins avaient tout simplement remplacé toute locution et chacun y allait de sa main pour mettre au summum les belles expressions d’amour . Amir enfourchait de ses doigts sa belle chevelure, Zora, blottie entre ses bras, caressait les poils drus de son torse et humait l’odeur de son corps tout en pleurant.

 

Si quelques instants plus tôt, c’était le désespoir et le pressentiment de la mort; là revoilà maintenant revenue à la vie comme par enchantement.

 

Et c’était sublime, encore sublime, trop sublime que la nuit complice par sa douceur, enveloppait entièrement leurs corps et mettait à l’abri leurs ébats d’amoureux. Là haut dans le ciel, la lune veillait seule telle une déesse offrant gracieusement sa sûreté et sa protection.

 

Zora dormit telle une gamine. Amir, lui attendait avec impatience le grand jour pour délivrer sa sœur et assouvir sa belle revanche.

 

Le hideux borgne jonche le sol tel un tas de fumier, œil ouvert droit sur ciel comme pour indiquer sa dernière destination. Il ne pourra plus jamais paître ses bêtes et Khattaf el Arayess, confiant comme toujours, ne se doutait aucunement du triste destin qui l’attendait …

 

 

 

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Guest Didine RAYAN

Mais dans la douceur de la nuit, Amir, pourtant en vaillant guerrier, ne put résister au sommeil. Fallait-il dire que la brise et les senteurs de la forêt, toujours calme et silencieuse, avaient précipité le sommeil et jeté un autre dévolu.

 

Amir sentit son corps se ramollir et ses yeux se refermer. Il ne se rendit pas qu’il allait s’assoupir profondément tel un chérubin.

 

Zora ne s’y était même pas rendue compte de cela. Elle se croyait étendue, comme à ses habitudes, sur son lit douillet tellement qu’elle se sentait à l’aise dans les bras de son bien-aimé. Ce n’était qu’une fois les yeux ouverts qu’un cri horrible sorti de sa bouche, fit sursauter Amir. Il faisait déjà jour

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Guest Didine RAYAN

En face, le borgne avec son sourire de sadique se dressait à coté de son maître et une nuée de nains, tous armés, les encerclaient de toutes parts.

 

Khattaf el Arayess, les yeux étincelants et tout fier de sa nouvelle capture, se rapprocha de Amir, le tint par sa chevelure blonde, le secoua brutalement puis s’éclata d’un rire démoniaque.

 

Attachés l’un à l’autre, on conduisit nos deux tourtereaux de la clairière où ils étaient, vers ce maudit enclos des procs, puis on ferma l’accès.

 

Le borgne régnait en maître des lieux avec une nuée de nains qui montaient la garde. Amir avait regretté de n’avoir pas dépecé « n’a qu’un œil » et enfouir son cadavre sous le rocher. Il était sûr qu’il sera, lorsque l’ordre sera donné de faire passer sa vie à trèpas, le premier à sautiller de joie et à se réjouir de sa mort.

 

Ainsi, le borgne,habitué aux rituels sataniques de Khattaf el Arayess, déclara dédaigneusement à l’adresse des ses captifs :

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Guest Didine RAYAN

---« Cette nuit, ce sera la pleine lune, ironisa-t-il. On célébrera tous ensemble la fête annuelle de notre déesse adorée Akinati. Akinati est notre mère. Elle est aussi notre divinité qui a fait de nous, un peuple plus puissants que les géants d’autrefois. Nous sommes tous ses fils qui vont, dés le lendemain, régner en maîtres absolus sur toutes les contrées du soleil levant.

 

Il marqua un temps d'arrêt, puis il enchaîna sur le même ton de dédain:

 

---"A chaque sacrifice humain que nous présentions, notre peuple acquiert une nouvelle force; une nouvelle armée surgit des entrailles de la terre. Il ne nous manquait qu'une dernière une obole. Nous l'avions eu depuis peu. Nous sommes aujoud'hui capableS de s’étendre sur tout l’orient.

 

Notre chere offrande, ce sera cette fille de pur sang de la vallée des rois. Maintenant, elle est entre nos mains. Son sang servira, en sus du votre, de breuvage à notre sacrée divinité pour qu'elle reface sa beauté et replaire aux dieux des ténèbres pour une ultime procréation….

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Guest Didine RAYAN

---« Veux-tu te taire, espèce de sale gueux ! s'écria Amir. Ce que vous ne savez pas, c’est que l’occident pourrait vous fournir, non seulement la richesse, mais aussi l’immortalité ! Si vous parviendriez à vaincre le roi Eriaton, vous serez immensément riches et immortels, puis vous régneriez sur le tout le reste du monde et pas seulement sur l’orient et son peuple de misère. Aprés votre mort, vous allez finir aux enfers. Si vous vous vaincriez le roi Eriaton, les humains et tous les autres dieux du monde de la lumière seraient vos serviteurs. Alors, pensez-y, espèce de sale borgne!

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Guest Didine RAYAN

Le borgne resta sans broncher. Ce sale cupide, aussi crédule qu’il était, se dirigea tout droit vers son maître et le mit au parfum….

 

Zora ne crut pas que difficilement ce qu’elle venait d’entendre. Tout son corps ne cesser de tressaillir telle une feuille à l’idée qu’elle allait bientôt être dépecée et que son sang déversé, allait être recueilli pour servir d’élixir à cette satanée divinité d’Akinati pour pondre à profusion d’autres nains crasseux qui allaient polluer la terre

 

Amir fit un clin d'oeil furtif à Zora et la gratifia de son beau sourire.

 

Pour vous dire, elle n'avait rien pigé. Dans son fort interieur, elle

blamait prince charmant d'avoir, bêtement, donné de telles indications.

 

Amir lui écrasa le pièd et lui murmura à l'oreille:

 

---' Tu sais que je t'aime Zora... ? Je ne laisserai personne te toucher...

 

Et comme une stupidité en chasse une autre, elle lui demanda tout simplement le dernier baiser:mdr::mdr::mdr:

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Guest Didine RAYAN

oula, j'ai failli dormir sans cette citation de Amir

 

--- Est ce que toutes les femmes sont stupides?

 

Ben moi, l'auteur de cette petite histoire, j'hésite ....bon bref, je donnerai ma réponse plus tard.

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Guest Didine RAYAN
bonsoir cher DR je voudrais te demander ta biographie si tu veut bien sur et merci encore ça me fait toujours un plaisir de lire tes extrait merci beaucoup :o;):p

 

j'taime bien édite, mais je ne suis pas disposé à le faire actuellement.

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Guest Didine RAYAN

Khattaf el Arayess aussi crédule que son vil serviteur bondit de sa place, se releva sur ses jambes, essuya les quelques gouttes qui ruisselaient sur son large front et regarda, sans dire le moindre mot, le borgne. Il n’en revenait pas de ce qu’il venait d’entendre : immortalité et richesse ! Il devait, instantanément insinuer : pouvoir absolu et puissance suprême.

 

Il resta de longs moments les yeux dans les vagues en pensant déjà aux prouesses futures qu’il allait réalisées, au mal qu’il allait propager, puis à toutes ces femmes et ces trésors qu’il allait enfin réunir.

.

 

Il se frotta les mains, tout heureux comme un imbécile. Il coura, sans attendre, vers ses captifs suivi du borgne qui avait du mal à lui joindre le pas.

 

Zora fit de sa main un triste adieu, lorsque son prince charmant fut extrait, toujours mains liées, de l’enclos. Elle avait le pressentiment qu’elle ne le reverra peut-être jamais…plus jamais. Elle avait le cœur serré et les larmes aux yeux…..

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