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Les sites qu'on utilise sont des mouchards.


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Myspace, Facebook, Bedo, Copains d'avant: Plébiscités par les jeunes, les sites de réseaux sociaux sont également devenus les alliés de la police. Véritables mouchards, ils constituent une nouvelle source d'informations «ouvertes» pour piéger les délinquants.

 

On les utilise aussi dans les en*quêtes les plus délicates : trafic d'armes, terrorisme, diffamation, trafic de stupefiants et surtout dans la lutte contre la pédophilie et la pédopornographie.

 

Pour de simples vérifications d'environnement, comme les fréquentations d'un suspect, les enquêteurs accèdent aux informations au même titre que n'im*porte quel surfeur puisqu'elles sont publiques.

 

Un internaute a récemment emprunté l'identité d'une femme pour raconter sa prétendue nuit d'amour avec son patron et le discréditer. Or, juridiquement, aucun recours n'est aujourd'hui possible. «Si le délit existe pour une imposture sur papier, rien n'est prévu version numérique.

 

Donc mes chers internautes faites attention, tout est localisé, nos faits et gestes sont suivis à la trace, gare aux faux pas. On peut avoir des surprises à tout moment.

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Myspace, Facebook, Bedo, Copains d'avant: Plébiscités par les jeunes, les sites de réseaux sociaux sont également devenus les alliés de la police. Véritables mouchards, ils constituent une nouvelle source d'informations «ouvertes» pour piéger les délinquants.

 

On les utilise aussi dans les en*quêtes les plus délicates : trafic d'armes, terrorisme, diffamation, trafic de stupefiants et surtout dans la lutte contre la pédophilie et la pédopornographie.

 

Pour de simples vérifications d'environnement, comme les fréquentations d'un suspect, les enquêteurs accèdent aux informations au même titre que n'im*porte quel surfeur puisqu'elles sont publiques.

 

Un internaute a récemment emprunté l'identité d'une femme pour raconter sa prétendue nuit d'amour avec son patron et le discréditer. Or, juridiquement, aucun recours n'est aujourd'hui possible. «Si le délit existe pour une imposture sur papier, rien n'est prévu version numérique.

 

Donc mes chers internautes faites attention, tout est localisé, nos faits et gestes sont suivis à la trace, gare aux faux pas. On peut avoir des surprises à tout moment.

 

 

t'es d'ou Gkader ..? de quelle ville ..? je veux dire ?

 

tu t'invite sur mon forum qui somme et que voulons nous si tu veux participer ...mais attention tu devra passer par le fitre ...:mdr:

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Myspace, Facebook, Bedo, Copains d'avant: Plébiscités par les jeunes, les sites de réseaux sociaux sont également devenus les alliés de la police. Véritables mouchards, ils constituent une nouvelle source d'informations «ouvertes» pour piéger les délinquants.

 

On les utilise aussi dans les en*quêtes les plus délicates : trafic d'armes, terrorisme, diffamation, trafic de stupefiants et surtout dans la lutte contre la pédophilie et la pédopornographie.

 

Pour de simples vérifications d'environnement, comme les fréquentations d'un suspect, les enquêteurs accèdent aux informations au même titre que n'im*porte quel surfeur puisqu'elles sont publiques.

 

Un internaute a récemment emprunté l'identité d'une femme pour raconter sa prétendue nuit d'amour avec son patron et le discréditer. Or, juridiquement, aucun recours n'est aujourd'hui possible. «Si le délit existe pour une imposture sur papier, rien n'est prévu version numérique.

 

Donc mes chers internautes faites attention, tout est localisé, nos faits et gestes sont suivis à la trace, gare aux faux pas. On peut avoir des surprises à tout moment.

 

Il faut etre vraiment inconsient pour laisser son nom, ses photos ou son mail sur internet.

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Guest Sally
Il faut etre vraiment inconsient pour laisser son nom, ses photos ou son mail sur internet.

 

Je dirais même plus, il faut être un peu zinzin pour faire ça:rudolph:.

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Myspace, Facebook, Bedo, Copains d'avant: Plébiscités par les jeunes, les sites de réseaux sociaux sont également devenus les alliés de la police. Véritables mouchards, ils constituent une nouvelle source d'informations «ouvertes» pour piéger les délinquants.

 

On les utilise aussi dans les en*quêtes les plus délicates : trafic d'armes, terrorisme, diffamation, trafic de stupefiants et surtout dans la lutte contre la pédophilie et la pédopornographie.

 

Pour de simples vérifications d'environnement, comme les fréquentations d'un suspect, les enquêteurs accèdent aux informations au même titre que n'im*porte quel surfeur puisqu'elles sont publiques.

 

Un internaute a récemment emprunté l'identité d'une femme pour raconter sa prétendue nuit d'amour avec son patron et le discréditer. Or, juridiquement, aucun recours n'est aujourd'hui possible. «Si le délit existe pour une imposture sur papier, rien n'est prévu version numérique.

 

Donc mes chers internautes faites attention, tout est localisé, nos faits et gestes sont suivis à la trace, gare aux faux pas. On peut avoir des surprises à tout moment.

bonjour gkader

moi je le sai mais je n'ai rien a me reprocher

je ne dis que la verité

mis jalais de depassement

 

donc je suis respectueux

 

aucun soucis d'eux

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Guest Paprickaa

j'en dis que t'en qu'on a rien à se reprocher pourquoi pas ?? ça permet de retrouver pleins d'anciens amis qu'on a perdue de vue, ça permis aussi à la famille du Bled de voir nos photos de vacances ou autre

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Bonjour gdaker

J'ai entendu dire que c'était l'armée Américaine qui voulais ces sources d'info en rachetant le site, mais ceux qui l'on non pas voulu leurs vendre

Mais sur le coup je me pose une question, vu qu'ils ont la technologie avant nous les particulier ils non pas besoins de racheter ce site pour le infos et leurs sources, en matière de piratage ils doivent être au top ou presque, de même si c'est la police qui veulent ces fichiers pour mieux nous ficher

Ne serait ce pas un gros coup de pub en plus pour facebook, afin de le revendre prochainement? Malgré que celui soit connu?

Peut être je suis parano:crazy:

Bonne soirée

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Réponse à mylene: tout ceci se passe en France qui à commencée tout récemment a utiliser ce type d'investigation pour élucider un certain nombre d'affaires liées à la cybercriminalité . L'Algerie est encore loin d'utiliser ce genre de technologie pour mener des enquêtes cybernétiques. Cela demande bien évidemment une potentialité énorme en ressource humaine (spécialistes en criminologie cybernétiques) et financière pour acquérir une armada de machines de surveillance et de détection. Quelques pays d'Europe de l'ouest ont commencé deja à travaillé dans ce domaine qui a donné des résultats hallucinants dans le dénouement de plusieurs affaires illicites telles que la pornographie enfantine, de trafic de traite des blanches, d'assassinats, d'incitation aux suicides, de sectes et de plusieurs délits. On est pas pour autant à l'abri sur la toile. L'oeil du cyclone est toujours à l'affut.

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