huit six 10 Posted April 21, 2009 Partager Posted April 21, 2009 Co-signataires d'un appel publié dans l'hebdomadaire Marianne, réclamant une «vigilance républicaine» contre une «dérive» du pouvoir présidentiel, Dom et Ségo partagaient, à nos yeux, une détestation cordiale du locataire de l'Elysée. Mais ce n'est pas la seule opposition à Nicolas Sarkozy qui unit nos deux protagonistes. Issus de la même promotion Voltaire à l'ENA, Ségolène Royal et Dominique de Villepin se sont rapprochés à l'aube des années 80' et ont partagé plus que les exposés et les études de cas... Nos élites en herbe ont roucoulé sur les bancs de l'école de la gouvernance. C'est un Dominique de Villepin visiblement fier et décomplexé qui l'a révélé hier dans le confessionnal de Canal. Venu évoqué sur le plateau de Michel Denisot, le «risque révolutionnaire», la «colère sociale» et le «désespoir», le preux Villepin a laissé ses chevaux de bataille à l'entrée de la Boîte à Questions. À l'aise dans son fauteuil, notre athlète d'1m93 a lâché les armes pour révéler son côté sentimental. À ce jeu de la vérité et de la spontanéité où des requêtes parfois indiscrètes sont posées par les téléspectateurs, notre politicien au regard acier a fait sauter l'armure. Plutôt que de «buzzer» ou de botter en touche, notre romantique s'est laissé aller à la confidence. Celui à qui l'on déjà prêté une relation avec Ingrid Betancourt, son élève à Sciences-Po, a avoué une autre conquête très peopolitique. A la question: «Le film de Canal + sur L'ENA suggère que vous avez eu une petite amourette avec Ségolène Royal. C'est vrai?», le ministre de Chirac, la toison immaculée et le sourire ultra bright a acquiescé: «Elle le mérite, elle était belle et elle le reste...» gala Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.