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La femme algerienne a beaucoup changée quand-meme.


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Selon nos traditions, la femme sort deux fois dans sa vie: la première, de la maison de son Père à la maison de son mari. La seconde fois, de la maison de son mari, à la tombe, la maison de l’au-delà. Une femme qui ne «sort» jamais était vue comme une femme vertueuse et celle qui sort sans l’autorisation de son mari, était bonne pour la répudiation. Les temps ont changé. La femme sort, conduit sa voiture, paye ses factures, va dans des restaurants seule ou accompagnée, s’offre des vacances et peut faire les vitrines. C’est que la femme n’est plus une femme mais aussi un médecin, ingénieur et même une wali.

 

Il ne reste que le souvenir de ces temps durs où la femme était appelée «la maison» parce qu’en était le meuble principal. Entre la maison de son Père et celle de son mari, il y a désormais l’école, l’université, le café mixte, ses amies, le shopping ou la coiffeuse. Et entre la maison de son mari et la maison de l’au-delà, il y a les vacances, l'étranger, les mariages, les plages, l’esthéticienne, la manucure, le bureau, la carrière et le permis de conduire et l’avion à prendre. Cela n’est pas toujours aussi vrai entre Oran, Alger et ailleurs dans le pays profond, mais le changement est perçu par tous et toutes et il est parfois nommé la liberté, d’autre fois, il est nommé «trop de liberté».

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Guest lina

Pourquoi la femme algérienne ?

 

J'aurais appelé le topic, la femme tout court, puisque cette évolution est constatée dans toutes les sociétés.

 

En effet, Les femmes occidentales n'ont pas toujours connu la liberté et l'indépendance, qu'elles connaissent aujourd'hui.

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Pourquoi la femme algérienne ?

 

J'aurais appelé le topic, la femme tout court, puisque cette évolution est constatée dans toutes les sociétés.

 

En effet, Les femmes occidentales n'ont pas toujours connu la liberté et l'indépendance, qu'elles connaissent aujourd'hui.

 

Effectivement, il faut rappeler qu'il y a tout juste 30 ans les femmes françaises n'avaient même pas le droit d'ouvrir un compte bancaire en leurs noms sans l'autorisation de leurs maris.

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Selon nos traditions, la femme sort deux fois dans sa vie: la première, de la maison de son Père à la maison de son mari. La seconde fois, de la maison de son mari, à la tombe, la maison de l’au-delà. Une femme qui ne «sort» jamais était vue comme une femme vertueuse et celle qui sort sans l’autorisation de son mari, était bonne pour la répudiation. Les temps ont changé. La femme sort, conduit sa voiture, paye ses factures, va dans des restaurants seule ou accompagnée, s’offre des vacances et peut faire les vitrines. C’est que la femme n’est plus une femme mais aussi un médecin, ingénieur et même une wali.

 

Il ne reste que le souvenir de ces temps durs où la femme était appelée «la maison» parce qu’en était le meuble principal. Entre la maison de son Père et celle de son mari, il y a désormais l’école, l’université, le café mixte, ses amies, le shopping ou la coiffeuse. Et entre la maison de son mari et la maison de l’au-delà, il y a les vacances, l'étranger, les mariages, les plages, l’esthéticienne, la manucure, le bureau, la carrière et le permis de conduire et l’avion à prendre. Cela n’est pas toujours aussi vrai entre Oran, Alger et ailleurs dans le pays profond, mais le changement est perçu par tous et toutes et il est parfois nommé la liberté, d’autre fois, il est nommé «trop de liberté».

 

Et ?

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Guest Sally
Vive l'époque de grand-père et grand-mère!:lol:

 

:rolleyes:Il suffit de reprendre le modèle, arrête d'étudier, de sortir, etc. Il parait qu'il y a beaucoup d'hommes nostalgiques de cette époque. Tu verras, tu vas adorer:mdr:.

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Selon nos traditions, la femme sort deux fois dans sa vie: la première, de la maison de son Père à la maison de son mari. La seconde fois, de la maison de son mari, à la tombe, la maison de l’au-delà. Une femme qui ne «sort» jamais était vue comme une femme vertueuse et celle qui sort sans l’autorisation de son mari, était bonne pour la répudiation. Les temps ont changé. La femme sort, conduit sa voiture, paye ses factures, va dans des restaurants seule ou accompagnée, s’offre des vacances et peut faire les vitrines. C’est que la femme n’est plus une femme mais aussi un médecin, ingénieur et même une wali.

 

Il ne reste que le souvenir de ces temps durs où la femme était appelée «la maison» parce qu’en était le meuble principal. Entre la maison de son Père et celle de son mari, il y a désormais l’école, l’université, le café mixte, ses amies, le shopping ou la coiffeuse. Et entre la maison de son mari et la maison de l’au-delà, il y a les vacances, l'étranger, les mariages, les plages, l’esthéticienne, la manucure, le bureau, la carrière et le permis de conduire et l’avion à prendre. Cela n’est pas toujours aussi vrai entre Oran, Alger et ailleurs dans le pays profond, mais le changement est perçu par tous et toutes et il est parfois nommé la liberté, d’autre fois, il est nommé «trop de liberté».

 

bonjour gkader

 

vrais et beau sujet

 

mais il en est question contre l'homme aussi

l'homme ne doit pas aller trainer

tout comme la femme

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:rolleyes:Il suffit de reprendre le modèle, arrête d'étudier, de sortir, etc. Il parait qu'il y a beaucoup d'hommes nostalgiques de cette époque. Tu verras, tu vas adorer:mdr:.

 

Et je porterai les jebates ; et mettre le foulard à la maison et m'occuper qu'à la bouffe et avoir dix enfants!:lol:

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Et je porterai les jebates ; et mettre le foulard à la maison et m'occuper qu'à la bouffe et avoir dix enfants!:lol:

 

 

bonjour Zazou

celà est de la simplification de certains

 

car les enfants sont a qui?

 

il suffit d'armoniser

 

et elle sera belle la vie

que faisait sherazade?

pendant mille jours

 

au meme endroit

 

pour l'acquerir pour toujour

 

belle morale non?

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Guest Sally
Et je porterai les jebates ; et mettre le foulard à la maison et m'occuper qu'à la bouffe et avoir dix enfants!:lol:

 

Une vraie femme notre Zazounette. Je viendrai te rendre visite de temps en temps, histoire de te raconter ce qui se passe l'extérieur et te donner un coup de main avec les marmots;).

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bonjour Zazou

celà est de la simplification de certains

 

car les enfants sont a qui?

 

il suffit d'armoniser

 

et elle sera belle la vie

que faisait sherazade?

pendant mille jours

 

au meme endroit

 

pour l'acquerir pour toujour

 

belle morale non?

 

 

Bonjour Pmat!

 

Les enfants sont à leur maman dans l'ancienne époque , car c'est qui faisait tout , et les punitions étaient pour le père!

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Une vraie femme notre Zazounette. Je viendrai te rendre visite de temps en temps, histoire de te raconter ce qui se passe l'extérieur et te donner un coup de main avec les marmots;).

 

Oui..:lol: et n'oublie pas de me rapporter une tablette de chocolat à chaque visite!:p

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Guest salli
et pk pas, et attendre ton mari bien gentiment avec un grand sourir :04:

 

je pense que tu peux tjrs revé:D

vive le 21eme siecle!

 

salut zazou sally et pmat et les autes biensur :)

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ok zazou, dans ce cas, je te renderai visite avec sally, et ça te fera 2 boites de chocolats;)

 

Parfait!:p

 

Je serai le première à transformer mes habitudes de vie..De la modernité à la tradition!

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Selon nos traditions, la femme sort deux fois dans sa vie: la première, de la maison de son Père à la maison de son mari. La seconde fois, de la maison de son mari, à la tombe, la maison de l’au-delà. Une femme qui ne «sort» jamais était vue comme une femme vertueuse et celle qui sort sans l’autorisation de son mari, était bonne pour la répudiation. Les temps ont changé. La femme sort, conduit sa voiture, paye ses factures, va dans des restaurants seule ou accompagnée, s’offre des vacances et peut faire les vitrines. C’est que la femme n’est plus une femme mais aussi un médecin, ingénieur et même une wali.

 

Il ne reste que le souvenir de ces temps durs où la femme était appelée «la maison» parce qu’en était le meuble principal. Entre la maison de son Père et celle de son mari, il y a désormais l’école, l’université, le café mixte, ses amies, le shopping ou la coiffeuse. Et entre la maison de son mari et la maison de l’au-delà, il y a les vacances, l'étranger, les mariages, les plages, l’esthéticienne, la manucure, le bureau, la carrière et le permis de conduire et l’avion à prendre. Cela n’est pas toujours aussi vrai entre Oran, Alger et ailleurs dans le pays profond, mais le changement est perçu par tous et toutes et il est parfois nommé la liberté, d’autre fois, il est nommé «trop de liberté».

 

les hommes aussi ont changés, ce n'est plus ce qu'ils étaient , ya même ceux qu'on confond avec les femmes, on dirait qu'il concurrencent les nanas par leurs gestes, habits et même boucle d'oreille......... autres temps autres. Les hommes ont tendance à se féminisés. j'assume l'étiquette de macho elle me vas bien :eek:

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La femme algerienne a beaucoup changée quand-meme.,,

 

L'algérienne change 250 km à l'heure...:mdr:

le matin une version ,et le soir une autre....

le proverbe : une femme en cache une autre...

lui va bien......:mdr:

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