Motoko 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Comme beaucoup de personnes ont eu la flemme de chercher ce qu'est cette théorie et ce qu'en dit la science, j'ai mis quelques liens vers Wikipédia, maintenant, avant de poster un sujet ou un message sur cette théorie assurez vous au moins que vous avez les connaissances suivantes: Darwinisme - Wikipédia Évolution (biologie) - Wikipédia Théorie synthétique de l'évolution - Wikipédia Critique du darwinisme - Wikipédia Cela évitera d'avoir un débat redondant, et permettra un dialogue constructif. Cordialement. Citer Link to post Share on other sites
hadhoud doudou 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Dans le coran , Dieu n'a pas dit qu'on descendait du singe . Donc si nous musulmans ayons été aveugles pendant plusieurs années où les gens approuvaient la théorie de Darwin , samahni 3ad , c'est idi...ot . A propos, cette théorie a été démentie en 2006 ou 2007 , pourquoi tu veux discuter de ce sujet ? Citer Link to post Share on other sites
chbikto5zor 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Dans le coran , Dieu n'a pas dit qu'on descendait du singe . Donc si nous musulmans ayons été aveugles pendant plusieurs années où les gens approuvaient la théorie de Darwin , samahni 3ad , c'est idi...ot . A propos, cette théorie a été démentie en 2006 ou 2007 , pourquoi tu veux discuter de ce sujet ? :mdr: démentie? Bon, au même temps si les sources scientifiques de nous autres musulmans sont des Cheiks et des Marabou, je ne sais plus qui c'est l'idi...ot.. Dire aussi que le monde ait été aveuglé par la théorie de Darwin, ma foi.. Bien au contraire, ce sont les créationnistes qui ont eu le plus de succès, jusqu'à récemment du moins. Mais AUJOURD'HUI, tous tremblotent, la génétique, et les autres savoirs qui avancent à grands pas, ferons enfin tomber, définitivement le rideau, sur la supercherie des Hommes de religion. Et je commence à voir les prémices de la tempête qui avance : un Karadaoui qui dit du bout des lèvres : "Ce n'est pas la théorie de Darwin sur l'évolution des créatures qui m'ennuie, car rien dans le coran ne dit clairement la façon exacte avec laquelle dieu a crée la création (non pas l univers), mais le réel danger est l'évolutionnisme de l'éthique que beaucoup aujourd'hui prônent, comme étant une extension du Darwinisme sur d'autres aspects non pas scientifiques, mais sociaux". Les Catho se sont résignés eux, ils ont tiré les enseignement depuis Galilé, mais je ne sais pas pourquoi des ignorants veulent tenir dans ce piège de s'opposer à la science, pour une mauvaise cause en plus!!! Citer Link to post Share on other sites
belkarem 228 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Dans le coran , Dieu n'a pas dit qu'on descendait du singe . Donc si nous musulmans ayons été aveugles pendant plusieurs années où les gens approuvaient la théorie de Darwin , samahni 3ad , c'est idi...ot . A propos, cette théorie a été démentie en 2006 ou 2007 , pourquoi tu veux discuter de ce sujet ? voila le genre de declaration peremptoire qui ne demontre qu'une seule chose : l'gnorance crasse et totale de son auteur .. c'est a douter du genre humain : voila une theorie scientifique qui tient la route depuis quelmques siecles ..confirmé par toutes les sciences( genetique ..biologie....et j'en passe ..) etudiée dans la totalité des facultes et université du monde ..dans tout les cours de lycée.....et ne voi-il pas qu'il y est unpetit morveux ..qui vient nous afirmer : cette theorie a ete dementie en 2006 ou 2007 ....faut-il en rire ou faut-il pleurer ...je n'ai pas le temps de le dire .... Modération: Veuillez rester courtois dans vos débats et éviter ce genre d'invitation. Citer Link to post Share on other sites
tuco 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Dans le coran , Dieu n'a pas dit qu'on descendait du singe . Donc si nous musulmans ayons été aveugles pendant plusieurs années où les gens approuvaient la théorie de Darwin , samahni 3ad , c'est idi...ot . A propos, cette théorie a été démentie en 2006 ou 2007 , pourquoi tu veux discuter de ce sujet ? la théorie selon la quelle , Adam serait le 1er singe high-tech d,une langue ligné de singe plus au moins évolué me séduit et me parait plus logique raisonnable et imaginable que celle qui dit qu'il a était crée par un tour de magie divin ....et je panse que croire en dieu et être un bon musulman n'est pas contraire a cette théorie Citer Link to post Share on other sites
Tempus 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Comme beaucoup de personnes ont eu la flemme de chercher ce qu'est cette théorie et ce qu'en dit la science, j'ai mis quelques liens vers Wikipédia, maintenant, avant de poster un sujet ou un message sur cette théorie assurez vous au moins que vous avez les connaissances suivantes: Darwinisme - Wikipédia Évolution (biologie) - Wikipédia Théorie synthétique de l'évolution - Wikipédia Critique du darwinisme - Wikipédia Cela évitera d'avoir un débat redondant, et permettra un dialogue constructif. Cordialement. Bah pour qu'il y ait débats, il faut qu'il y ait opposition et là en l'occurrence je ne vois que B10DZ comme candidat :D Mais je suis sûr que même entre nous il y'a quelques opposition concernant les détails de cette théorie alors on peut creuser dedans si vous voulez :rolleyes: Citer Link to post Share on other sites
Guest kastor Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Comme beaucoup de personnes ont eu la flemme de chercher ce qu'est cette théorie et ce qu'en dit la science, j'ai mis quelques liens vers Wikipédia, maintenant, avant de poster un sujet ou un message sur cette théorie assurez vous au moins que vous avez les connaissances suivantes: Darwinisme - Wikipédia Évolution (biologie) - Wikipédia Théorie synthétique de l'évolution - Wikipédia Critique du darwinisme - Wikipédia Cela évitera d'avoir un débat redondant, et permettra un dialogue constructif. Cordialement. c est vrai qu il a mit en place la theorie de l evolution de l espece, mais la problematique c est qu il n etait pas biologiste , maintenant la science s interresse a la cellule , aux plus petits details que darwin ignorait, n empeche pas que le darwinisme social , c est trés bien, sans avoir recours au fonctionnement atomique, un ours blanc ne peut pas vivre au desert, dans un environnement -50° les especes qui ne s adaptes pas , meurent. dire que les creatures etait a l origine vegetales la logique ne le permet pas pourkoi? la simple raison, la cellule animale ne trouve pas son origine dans la cellule vegetale, leurs alimentations, leurs fonctionnement n est pas du tout le meme, si la theorie de darwin est juste (j enleve mon pontalon)il faudra peut etre trouvé des créatures intermediaires entre le vegetale et l animale , en plus on devra trouvé des reste de la photosynthese chez des animaux Citer Link to post Share on other sites
Tempus 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 c est vrai qu il a mit en place la theorie de l evolution de l espece, mais la problematique c est qu il n etait pas biologiste , maintenant la science s interresse a la cellule , aux plus petits details que darwin ignorait, n empeche pas que le darwinisme social , c est trés bien, sans avoir recours au fonctionnement atomique, un ours blanc ne peut pas vivre au desert, dans un environnement -50° les especes qui ne s adaptes pas , meurent. dire que les creatures etait a l origine vegetales la logique ne le permet pas pourkoi? la simple raison, la cellule animale ne trouve pas son origine dans la cellule vegetale, leurs alimentations, leurs fonctionnement n est pas du tout le meme, si la theorie de darwin est juste (j enleve mon pontalon)il faudra peut etre trouvé des créatures intermediaires entre le vegetale et l animale , en plus on devra trouvé des reste de la photosynthese chez des animaux Mais qui a dit ça ? Citer Link to post Share on other sites
Motoko 10 Posted May 31, 2009 Author Partager Posted May 31, 2009 c est vrai qu il a mit en place la theorie de l evolution de l espece, mais la problematique c est qu il n etait pas biologiste , maintenant la science s interresse a la cellule , aux plus petits details que darwin ignorait, n empeche pas que le darwinisme social , c est trés bien, sans avoir recours au fonctionnement atomique, un ours blanc ne peut pas vivre au desert, dans un environnement -50° les especes qui ne s adaptes pas , meurent. dire que les creatures etait a l origine vegetales la logique ne le permet pas pourkoi? la simple raison, la cellule animale ne trouve pas son origine dans la cellule vegetale, leurs alimentations, leurs fonctionnement n est pas du tout le meme, si la theorie de darwin est juste (j enleve mon pontalon)il faudra peut etre trouvé des créatures intermediaires entre le vegetale et l animale , en plus on devra trouvé des reste de la photosynthese chez des animaux Regarde l'arbre phylogénétique, tu comprendras pourquoi il est peu probable de trouver un bulbizar dans la nature. (tout est dans les liens, lisez un peu avant de poster svp) Citer Link to post Share on other sites
Tempus 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Regarde l'arbre phylogénétique, tu comprendras pourquoi il est peu probable de trouver un bulbizar dans la nature. (tout est dans les liens, lisez un peu avant de poster svp) ça me dit quelque chose...c'est un pokémon non ? :lol: Citer Link to post Share on other sites
Guest kastor Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 Mais qui a dit ça ? voici un extrait sur le site Evolutionnisme - Darwinisme - Charles Darwin - Théories - Hominidés La théorie La terre a été peu à peu colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui de mutations en mutations ont évoluées vers des êtres plus complexes : les animaux (dont l’homme). L’évolution se fait par sélection naturelle, ce sont les animaux les plus adaptés a leur milieu qui survivent. Ce sont donc eux qui auront le plus de chance de se reproduire, et donc de transmettre leurs gènes. Un animal qui aurait une anomalie génétique, par exemple plus de poil que ses congénères, aura plus de chance de survie dans un environnement plus froid. Il pourra donc transmettre cette « anomalie positive » à toute sa descendance. Cette mutation se diffusera rapidement à toute les nouvelles générations de cette espèce. Citer Link to post Share on other sites
Tempus 10 Posted May 31, 2009 Partager Posted May 31, 2009 voici un extrait sur le site Evolutionnisme - Darwinisme - Charles Darwin - Théories - Hominidés La théorie La terre a été peu à peu colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui de mutations en mutations ont évoluées vers des êtres plus complexes : les animaux (dont l’homme). L’évolution se fait par sélection naturelle, ce sont les animaux les plus adaptés a leur milieu qui survivent. Ce sont donc eux qui auront le plus de chance de se reproduire, et donc de transmettre leurs gènes. Un animal qui aurait une anomalie génétique, par exemple plus de poil que ses congénères, aura plus de chance de survie dans un environnement plus froid. Il pourra donc transmettre cette « anomalie positive » à toute sa descendance. Cette mutation se diffusera rapidement à toute les nouvelles générations de cette espèce. Ah tu voulais dire par plante organisme unicellulaires... Parce que j'avais compris autre chose moi :confused:, bah je suis assez d'accord avec eux alors ! Je vois pas où est le problème... Citer Link to post Share on other sites
Motoko 10 Posted June 1, 2009 Author Partager Posted June 1, 2009 La terre a été peu à peu colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui de mutations en mutations ont évoluées vers des êtres plus complexes : les animaux (dont l’homme). Ce qui est écrit là est faux, comme je te l'ai déjà dit, regarde l'arbre phylogénétique de la vie (Lis les articles que j'ai posté) . Citer Link to post Share on other sites
Guest kastor Posted June 1, 2009 Partager Posted June 1, 2009 Ce qui est écrit là est faux, comme je te l'ai déjà dit, regarde l'arbre phylogénétique de la vie (Lis les articles que j'ai posté) . comme ça c est toi qui decide si l article est faux ou juste ? pourkoi tu limite le champ d action et au moins essai de me prouver le contraire, Citer Link to post Share on other sites
Motoko 10 Posted June 1, 2009 Author Partager Posted June 1, 2009 Il est faux parce que ce qu'il dit ne concorde pas avec l'arbre phylogénétique de la vie qui montre clairement que les plantes n'étaient pas les premiers habitants de la terre. Et si tu suis le règne des eucaryotes tu trouveras qu'il y a eu une séparation plantes/animaux et donc ce n'est pas les plantes qui ont donné les animaux. Biologie moléculaire de la cellule - Google Recherche de Livres http://mediatheque.citedelamer.com/fr/dossiers-thematiques/abysses/bacteries-des-abysses/un-climat-extreme/images/1309_1_2138.jpg Biologie - Google Recherche de Livres Tu dis qu'il faudrait trouver une similitude entre les différents êtres vivants puisqu'ils ont un ancêtre commun, alors que ces similitudes existent, au niveau biochimique (Exemple: ADN et ARN), microscopique (organites cellulaires communes à tous les eucaryotes exemple noyau cellulaire), et au niveau macroscopique ( le cœur par exemple). Maintenant lis les articles si tu veux qu'on discute, sinon ça ne servira à rien. Citer Link to post Share on other sites
Tempus 10 Posted June 2, 2009 Partager Posted June 2, 2009 Il est faux parce que ce qu'il dit ne concorde pas avec l'arbre phylogénétique de la vie qui montre clairement que les plantes n'étaient pas les premiers habitants de la terre. Et si tu suis le règne des eucaryotes tu trouveras qu'il y a eu une séparation plantes/animaux et donc ce n'est pas les plantes qui ont donné les animaux. Biologie moléculaire de la cellule - Google Recherche de Livres http://mediatheque.citedelamer.com/fr/dossiers-thematiques/abysses/bacteries-des-abysses/un-climat-extreme/images/1309_1_2138.jpg Biologie - Google Recherche de Livres Tu dis qu'il faudrait trouver une similitude entre les différents êtres vivants puisqu'ils ont un ancêtre commun, alors que ces similitudes existent, au niveau biochimique (Exemple: ADN et ARN), microscopique (organites cellulaires communes à tous les eucaryotes exemple noyau cellulaire), et au niveau macroscopique ( le cœur par exemple). Maintenant lis les articles si tu veux qu'on discute, sinon ça ne servira à rien. Il veut dire par plante des organismes unicellulaire non des entités vivant de photo-synthèse. Donc ça explique tout ! Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 Salam 'alaycoum. Je remercie l'auteur de ce post pour avoir lancé ce débat. Je vais me lancer car c'est un sujet assez délicat et incompris, qui est au centre de l'actualité et des débats scientifiques, et qu'il fallait absolument éclaircir de nombreux points assez flous et réfuter certaines désinformations concernant le Darwinisme et le Créationnisme. Ces derniers temps, nous assistons à une lutte acharnée qui s'accentue de plus en plus. Cette lutte se dit être d'ordre "scientifique", mais en réalité, il s'agit tout simplement d'un combat idéologique. Cet affrontement se déroule principalement aux USA, et commence également à s'implanter en Europe. Il serait judicieux de mieux informer le public, qui souvent se retrouve perdu au milieu de toutes ses frictions, à défaut de rejoindre aveuglément l'un des deux camps. Cet article aura pour but d'analyser et d'étudier les enjeux idéologiques de ses 2 camps qui s'opposent assez violemment (intellectuellement et verbalement), ainsi que la base scientifique sur laquelle elles reposent. Nous allons commencer par les études scientifiques pour voir si oui ou non, la théorie de l'évolution est basée sur des faits scientifiques, et la même méthode d'analyse sera appliquée au mouvement "créationniste". Il faut préciser que Darwin n'était pas athée, bien qu'il avait effectivement perdu la foi dans le christianisme, ce n'est pas pour autant qu'il reniait l'existence de Dieu. D'ailleurs, à plusieurs reprises, il répondait à travers plusieurs lettres et conversations: En 1879 il reçut une lettre qui lui demandait s'il croyait en Dieu et si le théisme et l'évolution étaient compatibles. Il répondit qu'un homme «pouvait être théiste convaincu et évolutionniste», citant comme exemples Charles Kingsley et Asa Gray; pour sa part, il n'avait jamais «été athée au sens qu'il aurait nié l'existence de Dieu». Il ajoutait «je crois que d'une façon générale (et de plus en plus à mesure que je vieillis), mais pas toujours, le terme d'agnostique refléterait plus justement mon état d'esprit.» Ceux qui combattaient la religion prenaient souvent leur inspiration chez Darwin et s'attendaient à recevoir son soutien en faveur de leur cause, mais il refusait fermement ce rôle. En 1880 eut lieu une grande controverse quand l'athée militant Charles Bradlaugh fut élu comme député mais empêché prendre sa place à la Chambre des Communes. En réponse, le laïciste Edward Aveling fit une campagne de protestation à travers le pays. Quand il demanda par la suite la permission de consacrer un livre à Darwin et de lui dédier ses travaux, ce dernier déclina l'offre dans une lettre de quatre pages sur laquelle il avait marqué" PRIVÉ", ajoutant que «bien que je défende vigoureusement la liberté de pensée sur tous les sujets, il m'apparaît encore (à tort ou à raison) que c'est à peine si les argumentations directes contre le christianisme et le théisme ont un effet sur le public; ce qui sert le mieux la liberté de pensée ce sont les lumières qui pénètrent peu à peu les esprits d'hommes à mesure que la science avance. C'est pourquoi j'ai toujours pris soin d'éviter d'écrire sur la religion et me suis confiné à la science. Il se peut malgré tout que j'aie été trop influencé par la douleur qu'auraient certains membres de ma famille, si j'aidais de quelque façon des attaques directes contre la religion.» En 1876, concernant sa profession déclarée d'agnosticisme, Darwin écrivit: «Au début j'ai été amené... à la ferme conviction de l'existence de Dieu et de l'immortalité de l'âme. Dans mon Journal j'ai écrit, tandis que je me trouvais plongé dans la grandeur d'une forêt brésilienne, “il n'est pas possible d'exprimer toute l'intensité de l'émerveillement, de l'admiration et de la dévotion, qui remplissent et élèvent l'esprit.” Je me souviens bien comme j'étais convaincu qu'il y a dans l'homme plus que la simple respiration de son corps. Mais à présent les scènes les plus grandioses ne feraient plus surgir dans mon esprit aucune de ces convictions ni de ces sentiments" Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 En novembre 1878 George Romanes lui offrit son nouveau livre qui réfutait le théisme, Examen candide du Théisme par «Physicus», Darwin le lut avec un «très grand intérêt», mais sans être convaincu, en montrant que ses arguments n'excluaient pas un dieu qui aurait créé la matière et l'énergie au début de l'univers, en leur donnant une propension à évoluer. Si le théisme était vrai, «la raison ne pourrait pas être le seul instrument pour en vérifier la vérité». Comme nous pouvons le voir, "la théorie de l'évolution" ne s'oppose pas vraiment à la Présence de "Dieu", et le représentant le plus célèbre de la théorie de l'évolution, Darwin, ne s'opposait pas à l'existence de Dieu. Selon les écrits de Charles Darwin, il n'a jamais dit que ses découvertes sur l'évolution résolvaient le tout, de plus il ne nie pas l'origine divine (l'intelligence, la conscience, l'harmonie, etc.) de l'existence qui dépasse l'entendement de l'être humain. Au contraire l'intelligence de l'évolution fait partie de la nature divine des choses. Aussi, et beaucoup l'ignore, en biologie, le concept "d'évolution" est bien antérieure à Darwin (plusieurs siècles auparavant). Des savants grecs, puis des savants Musulmans (comme Nasîr ad-Dîn Tûsî ou Ibn Kaldhoun par exemple) avaient déjà développé plusieurs thèses plaçant l'évolution dans le développement de la vie. Cependant, leurs théories évolutionnistes n'étaient pas tout à fait similaire à la théorie de l'évolution tel que la concevait Darwin. Ce que beaucoup déplore, et pas seulement parmi les cercles scientifiques, c'est que les athées et les matérialistes tentent de s'approprier la théorie de l'évolution et de s'en servir pour s'attaquer sur le plan "religieux" ce qui relève du domaine idéologique et non plus, scientifique. D'ailleurs, la Science et la Religion se placent sur deux plans et niveaux bien distincts. La Religion s'occupe du "Pourquoi", et la Science du "Comment". Les 2 sont complémentaires, et les religieux Hindouïstes, Bouddhistes, Shintoïstes, Musulmans et Juifs l'avaient bien compris (et la Renaissance a pu avoir lieu, grâce à l'immense apport scientifique et philosophique de la civilisation islamique et des autres civilisations orientales, ainsi que du développement scientifique produits par de grands scientifiques juifs). C'est pour cela qu'à cette période, la Science a connu un tel essort, et a connu un épanouissement sans égal, et sans connaitre les dérives de la Science moderne actuelle (Une science sans conscience, dominée par l'idéologie matérialiste). Pour le Christianisme, la religion en elle-même ne rejettait aucunement la Science, mais c'est l'autorité "catholique" au pouvoir, qui, pour maintenir leur domination sur le peuple (qui au passage, est contraire aux enseignements bibliques), qui ont altéré volontairement certains passages des Evangiles, pour freiner la recherche philosophique et scientifique qui auraient pu contredire les dogmes non pas religieux, mais les dogmes établis par l'Eglise. C'est pour cela que les scientifiques chrétiens étaient rares sous le règne de l'Eglise Romaine d'Occident. Cependant, les Chrétiens vivants sous l'autorité islamique par exemple, ont aussi produit de brillantes recherches dans les disciplines scientifiques, technologiques, et médecinales. Suite à cela, de nombreux religieux ont décidé de contre-attaquer, et là est né le mouvement "créationniste", qui est tout aussi moderne que les "darwiniens". Vive le créationnisme! Point de vue d'un évolutionniste Le créationnisme fait peur. On l'accuse de tous les maux. Il menacerait autant la science que les sociétés démocratiques. D'où les réguliers appels à le combattre au nom de la rationalité et de la laïcité. N'est-il pas temps d'en finir une fois pour toutes avec cette doctrine religieuse d'un autre âge dissimulée sous des oripeaux scientifiques? Pas sûr, affirme Thomas Lepeltier. Dans ce texte iconoclaste, où il discute de la possible scientificité du créationnisme, il avance que ceux qui veulent sa disparition sous prétexte que ce ne serait pas une théorie scientifique mais uniquement une doctrine religieuse font, sans s'en rendre compte, la promotion d'une société où toute contestation des théories scientifiques dominantes aurait disparu. Si c'est cela que veulent les adversaires du créationnisme, l'esprit critique qu'ils prétendent défendre risque de mal se porter. Dans le domaine de la réflexion — comme en politique, si on est démocrate —, ne faut-il pas toujours se féliciter de l'existence de contradicteurs, quand bien même on estime que ceux-ci ont tort ? Bref, vu la tournure simpliste des débats actuels sur le créationnisme, voici un ouvrage à lire d'urgence. Thomas Lepeltier est historien et philosophe des sciences, journaliste et chargé de cours à l'Université d'Oxford. Il est l'auteur d'une histoire du créationnisme: Darwin hérétique. L'éternel retour du créationnisme (Le Seuil, 2007). Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 L'évolution ne va donc pas contre le dogme islamique, bien au contraire. Cependant, la théorie synthétique de l'évolution, ou neo-darwinisme, contient des incohérences, et certains partisans "sectaires" tentent de se servir de cette "théorie" pour imposer leur idéologie dans le milieu politique et mental/éducation (éducation obligatoire en Occident). Des scientifiques de renoms, se positionnant comme étant des évolutionnistes, sont pas moins sceptiques et même très critiques contre le dogme du néo-darwinisme. On pourrait encore ajouter que le tort du (neo)darwinisme repose déjà sur sa prétention d'établir une loi par une observation*. On sait combien la méthode inductive est loin de conférer l'exactitude aux sciences qui s'en réclament. Ici, c'est pour avoir observé certaines mutations internes à telles espèces (les papillons notamment) que celui-ci conclut par glissement à l'évolution d'une espèce vers une autre. Voilà peut-être pourquoi le chaînon manquant est si difficile à trouver**... Par ailleurs, si même demain nous constations l'ascendance simiesque d'un homme, cela ne prouverait rien, le général ne pouvant encore s'inférer du particulier. Il me semble en outre que la génétique actuelle a infirmé cela à sa façon, en affirmant que les évolutions ne pouvaient être relatives à l'environnement, car les ruptures structurelles observées surviennent de manière toute "spontanée". Bien sûr, tout cela ne saurait pour autant valider l'ineptie créationniste; cette "thèse", tout aussi moderne que la première, ne mérite même pas que l'on s'y arrête, si ce n'est pour la résumer comme "matérialisme transposé". La vérité se trouve donc, comme toujours, par delà les contradictions et, sans toutefois pouvoir la formuler, on pourrait d'ores et déjà faire remarquer qu'à la question "Qu'y avait-il avant la Création (ou "Big-Bang")?", Coomaraswamy répondait : "L'avant et l'après sont venus avec la Création...", signifiant par là que certaines questions sont insolubles par la raison. *: Ceci pour la méthode, le postulat ayant déjà été relevé en partie par Captain Z.. Observons que c'est toujours la même rengaine : une idéologie commence par postuler, puis elle récupère de quoi s'étayer en mettant tout le reste de côté... On ne cherche que dans la direction que l'on s'est (ou que l'on a) fixé. **: Je crois qu'un scientifique, dont le nom m'échappe, avait comparé le crâne de "Lucy" avec celui d'un chimpanzé et d'un autre singe pour prouver l'inanité de ces investigations. ----- Je pense que c'est surtout un symptôme de la confusion mentale de notre époque plutôt qu'une cause, elle découle de l'incapacité qu'on les hommes en moyenne aujourd'hui à pénétrer le sens réel des textes sacrés des divers Traditions du monde (qui constituent une unité au moins dans leur fond intellectuel qui se reflète dans un langage symbolique commun). Elle sert dans l'esprit de ceux qui y croient à occulter toute dimension verticale, toute notion de transcendance ; c'est en quelque sorte, comme le disait Schuon, la compensation en surface plane pour les dimensions manquantes. Mais pour qui à correctement compris le théorie des état multiples de l'être, les théories modernes évolutionnistes deviennent par là même parfaitement inutiles. (cf René Guénon - Les états multiples de l'être) «C'est une singulière illusion de, propre à l'« expérimentalisme » moderne, que de croire qu'une théorie peut être prouvée par des faits, alors que, en réalité, les même faits peuvent toujours s'expliquer également par plusieurs théories différentes, et que certains promoteurs de la méthode expérimentale, comme Claude Bernard, ont reconnu eux-mêmes qu'ils ne pouvaient les interpréter qu'à l'aide d'« idée préconçues », sans lesquelles ces faits demeureraient des faits « bruts », dépourvus de toute signification et de toute valeur scientifique.» René Guénon - La Crise du monde moderne Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 Que dit le Coran par rapport à la création de l'Homme? Au tout début, l'homme était quelque chose d'insignifiant: «Ne s'est-il pas écoulé pour l'homme un laps de temps pendant lequel il n'était pas quelque chose méritant d'être mentionné?» (Coran : 76, 1) Puis se déroulèrent les phases de la création: «Pourquoi n'attendez-vous pas de Dieu un comportement digne de Lui puisqu'Il vous a créés par phases successives ?» (Coran : 71, 14) «Oui, Nous vous avons créés et vous avons modelés ; puis Nous avons dit aux Anges : Prosternez-vous devant Adam. Ils se prosternèrent, sauf Iblîs.» (Coran : 7, 11) «Ton Seigneur dit aux Anges: Oui, je vais créer d'argile un être mortel. Lorsque je l'aurai harmonieusement façonné et que j'aurai insufflé en lui de mon Esprit, prosternez-vous devant lui. » (Coran : 38, 71-72) Il y eut donc diverses étapes: la création, le don d'une forme harmonieusement élaborée, l'insufflation de l'esprit... Cette succession, dans le Temps divin, recouvre des millions d'années. «Un seul jour, pour Dieu, est comme mille ans d'après votre façon de compter.» (Coran : 22, 47) Remarque, dans les versets suivants, la succession des étapes de la création: «(Dieu) a commencé la création de l'homme à partir de l'argile ; puis Il lui a suscité une descendance à partir d'une eau vile. Il a formé l'homme harmonieusement et Il a insufflé en lui de son Esprit. Il a créé pour vous l'ouïe, la vue, les viscères.» (Coran : 32, 7-9) De ses débuts insignifiants au moment où l'Esprit est insufflé en lui, l'homme passe par une série de phases progressives. L'apparition d'Adam est un terme, non un début absolu comme par un coup de baguette magique. «Dieu vous a fait croître de la terre comme les plantes.» (Coran : 71, 17) La croissance de l'homme est donc semblable à celle des plantes : d'un stade à l'autre, elle nécessite le facteur temps. Mais quelles furent ces phases et ces étapes L'énigme réside dans cette question. Tous les vivants ont-ils un même père? Du point de vue de leur synthèse chimique, sont-ils tous façonnés d'argile? À leur mort, retournent-ils tous en poussière, tels qu'ils étaient à l'origine? Oui, c'est vrai ! Mais par le mot "père", nous signifions quelque chose de plus. La question est la suivante: Y a-t-il eu, à l'origine, une cellule unique qui serait née de l'argile, se serait multipliée et aurait engendré toutes les espèces, toutes les familles de plantes et d'animaux, dont l'homme ferait lui aussi partie? Ou bien y a-t-il eu plusieurs points de départ, chacun évoluant différemment pour donner naissance, l'un aux plantes, un autre aux éponges, un autre aux poissons, un autre aux reptiles, un autre aux oiseaux, un autre aux mammifères, et un autre finalement à l'homme? Toutes les catégories d'êtres vivants ayant leur ancêtre propre, l'homme aurait, lui aussi, un ancêtre distinct... Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 La ressemblance anatomique entre les différentes branches, espèces et familles de vivants ne contredit pas le fait que chaque espèce ait pu avoir un point de départ propre. Elle prouve uniquement que tous les vivants ont un même Créateur, un même Auteur les ayant tous façonnés à partir d'un même matériau, selon un style et un plan uniques. La conclusion est inéluctable. Mais la ressemblance anatomique n'implique pas nécessairement que tous les vivants soient issus du même père. Automobile, train, tram, tous les moyens de transport ont des points communs. Ils sont été conçus et fabriqués conformément à une même technologie, prouvant ainsi qu'ils ont tous été inventés par l'esprit humain. Il n'empêche que chaque catégorie a sa propre origine et est née d'une technique à part. Il serait inexact d'affirmer que la charrette à bras, en vertu de lois internes et cachées, a évolué automatiquement en charrette à cheval, puis en voiture automobile, puis en train. La réalité est autre. En fait, chaque phase de l'évolution est due à un "bond mental", à un "saut créateur" dans l'esprit de l'inventeur ou de l'ingénieur. Aucune catégorie de ces moyens de transport n'est issue d'une autre catégorie, bien que la succession temporelle puisse faire penser le contraire. Chaque catégorie fait son apparition indépendamment des autres, grâce au "saut créateur" dont il vient d'être question. C'est ici que Darwin s'est trompé. La théorie qu'il a développée trahit les failles et les embûches qu'il n'a su éviter. Remémorons-nous ce qu'il a affirmé dans son livre Sur l'origine des espèces. La première vérité découverte par Darwin au cours de son périple à bord du Beagle est la structure identique qui unit toutes les espèces d'animaux. La charpente osseuse est la même chez la plupart des vertébrés. L'ossature des pattes antérieures du singe est la même que celles des ailes de l'oiseau ou de la chauve-souris. Chaque os a exactement son correspondant lorsque l'on passe de l'un de ces animaux à l'autre, avec toutefois de légères modifications pour répondre à la fonction. Les os des ailes de l'oiseau, par exemple, sont minces, légers et creux. Les ailes sont recouvertes de plumes. Le long cou de la girafe comprend sept vertèbres, exactement comme le cou de l'homme ou même celui, minuscule et quasi insignifiant, de l'oursin. Les cinq doigts de la main de l'homme ont leurs correspondants chez le singe, le lapin, la grenouille et le lézard. Pour la baleine, la guenon ou la femme, la durée de gestation est de neuf mois et la période de lactation dure deux ans. Les vertèbres de la queue du singe se retrouvent chez l'homme: soudées les unes aux autres, elles forment le coccyx. D'autre part, les muscles de la queue se sont transformés chez l'homme en un fond résistant sur lequel repose le sacrum. Chez le cheval, l'âne, le lapin, le pigeon et l'homme, le coeur comprend quatre cavités. Les artères et les veines se subdivisent de la même façon. On trouve ensuite la même disposition des organes dans l'appareil digestif (oesophage, estomac, duodénum, intestin grêle, gros intestin, anus), l'appareil génital (testicules, ovaires avec leurs canaux respectifs), l'appareil urinaire (reins, uretère, vessie) et l'appareil respiratoire (trachée, poumons). Les poumons des animaux amphibies correspondent aux vessies natatoires des poissons. Il était donc naturel que Darwin en soit venu à se représenter les animaux comme appartenant à une même famille, chaque classe se différenciant des autres par l'influence du milieu auquel elle a dû s'adapter. Dans les régions glaciales, par exemple, la baleine a revêtu un manteau de graisse et l'ours, une fourrure. Exposée au soleil des tropiques, la peau de l'homme de la jungle est devenue noire, servant ainsi de protection contre les rayons solaires. Le lézard des cavernes, ne trouvant aucune utilité à ses yeux, est devenu progressivement aveugle, contrairement au lézard vivant en terrain découvert. Les membres des animaux en contact avec l'eau se sont transformés en nageoires ; ceux des animaux cherchant à voler, en ailes ; ceux des rampants, en pattes. En outre, l'histoire de la formation du foetus humain n'est-elle pas éloquente? À l'une des étapes de cette évolution, le foetus respire par des branchies; puis celles-ci disparaissent pour laisser apparaître les poumons. À une autre étape, il possède une queue qui s'atrophie avant de disparaître complètement. À une autre étape encore, il est recouvert de poils qui disparaîtront eux aussi progressivement. Les couches géologiques et leurs excavations nous révèlent l'enchaînement des différentes périodes où alternent l'apparition, puis la disparition de toutes les espèces d'êtres vivants : animaux unicellulaires, animaux multicellulaires, mollusques, crustacés, poissons, amphibies, rampants, oiseaux, mammifères et, finalement, l'homme. Darwin a vu juste et a fait preuve de génie en prenant comme point de départ de sa réflexion le précieux constat de la ressemblance anatomique entre les animaux. Il a eu raison également de parler d'évolution. Mais lorsqu'il a tenté d'expliquer cette évolution ascendante en cherchant à imaginer quels en furent les étapes et les détails, il s'est trompé. Il expliquait cette évolution ascendante uniquement par des facteurs physiques innés : quand les animaux s'entre-tuent à coups de dents et de griffes dans la sanglante et effroyable lutte pour la vie, c'est toujours le faible qui disparaît et le plus fort qui reste. Ce combat au coeur de la nature fait émerger le bon et le fort. Elle l'encourage, épargne sa descendance et lui ouvre largement les sentiers de la vie. Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 Mais si cette théorie nous explique la survie du plus fort, elle ne dit rien sur celle du plus beau ! L'aile colorée ne se distingue de l'aile blanche par aucun avantage physique ou vital ; elle ne sert pas à mieux voler. Mais si nous affirmons que le mâle, pour choisir sa femelle, préfère l'aile colorée, nous pouvons alors nous demander pourquoi, puisqu'elle n'offre aucune utilité supplémentaire. S'il est vrai que la préférence pour le plus beau entre en ligne de compte, la théorie matérialiste s'effondre totalement. Elle demeure incapable d'expliquer pourquoi, de la famille des ânes, est sorti un animal comme le cheval. Pourquoi, de la famille des chamois, est sorti un animal aussi délicat et gracieux que la gazelle ? Bien qu'elle soit moins résistante et moins puissante, pourquoi l'aile de la huppe ? Pourquoi les plumes du paon ? Pourquoi cette variété de papillons aux couleurs merveilleuses et aux dessins stupéfiants ? Nous sommes en présence d'un Artiste à la main très habile, sachant créer avec une parfaite maîtrise de son art, et non pas d'une entreprise grossière comme le serait la lutte pour la vie ou un combat à coups de dents et de griffes. La deuxième erreur de l'Évolutionnisme apparut ensuite avec les défenseurs de la théorie du "saut qualitatif", à savoir des caractéristiques nouvelles qui apparaissent dans la descendance par suite de changements imprévus dans l'accouplement de la cellule femelle et de la cellule mâle ainsi que dans la rencontre des chromosomes pour la définition des traits héréditaires. Parfois, les caractéristiques nouvelles sont nuisibles. C'est ce qui se produit dans le cas des monstres et des êtres difformes. Par contre, ces sauts qualitatifs peuvent être utiles à l'animal dans son nouveau milieu. C'est le cas notamment des pattes palmées qui se développent chez les animaux en contact avec l'eau. Dans la mesure où elles sont utiles, car permettant la natation, elles seront favorisées et transmises par la nature aux générations futures en remplacement d'une ancienne caractéristique devenue obsolète. L'évolution des pattes ordinaires en pattes palmées représente un progrès qualitatif. La théorie de l'évolution s'est trompée lorsqu'elle a fait appel au hasard pour expliquer les erreurs et les sauts qualitatifs de la nature, passant outre toute intervention providentielle du Créateur. Il est impossible que les sauts qualitatifs soient à l'origine de la précision et de la perfection que nous observons partout autour de nous. Lorsque la femelle du moustique pond ses oeufs dans le marécage, chacun de ces oeufs est muni de deux pochettes d'air pour flotter. D'où aurait-elle appris le principe d'Archimède pour procéder de cette façon ? Les graines des arbres désertiques sont équipées d'ailes grâce auxquelles elles sont emportées par le vent sur de très longues distances et dispersées à perte de vue. D'où ces arbres auraient-ils appris les lois de l'aéronautique pour façonner à leurs graines des ailes leur permettant de voler à la recherche de terrains propices à la germination ? Et les plantes carnivores qui se fabriquent des pièges et des filets étonnamment trompeurs pour capturer les insectes avant de les avaler et de les digérer, comment peuvent-elles utiliser de telles ruses ? Nous avons à faire ici à une Intelligence universelle qui pense et invente pour ses créatures. Il est impossible de concevoir le déroulement de l'évolution ascendante de la nature sans l'intervention de cette Intelligence créatrice «qui a donné à chaque chose sa forme et qui l'a ensuite dirigée». (Coran : 20, 50) Le troisième écueil que présente la théorie darwinienne concerne la découverte qui a été faite de la table des chromosomes, ou table des gènes. Nous le savons désormais : chaque espèce animale possède une table des chromosomes qui lui est propre et en vertu de laquelle il est impossible qu'une espèce dérive d'une autre espèce. En résumé, disons que la théorie de Darwin s'est heurtée à des embûches, même si la ressemblance anatomique entre les animaux est une vérité que nous devons admettre. Si l'évolution doit être reconnue comme vraie, les phases et modalités de son déroulement demeurent une énigme. Y a-t-il eu des points de départ indépendants ? Ou bien certaines espèces animales ont-elles une origine commune ? Le Coran fait clairement mention des différentes étapes de l'évolution pour l'apparition de l'homme : création, don d'une forme harmonieusement élaborée, insufflation de l'esprit. Quant à la science, elle ne s'est pas encore déterminée sur la théorie à adopter en ce domaine. Revenant à la sourate de la Prosternation (Coran : 32, 7-9) que nous avons citée plus haut, nous remarquons qu'elle mentionne clairement le fait suivant : les premières formes élémentaires de l'être humain ne possédaient pas l'ouïe, ni la vue, ni les viscères. C'est de ces formes que proviennent Adam et, après lui, « la descendance à partir d'une eau vile ». Vue, ouïe, viscères sont apparues uniquement après l'insufflation de l'esprit, c'est-à-dire à la toute dernière étape de la création d'Adam. Les débuts de l'homme ressemblent donc à une vie animale extrêmement rudimentaire: «Ne s'est-il pas écoulé pour l'homme un laps de temps durant lequel il n'était pas quelque chose digne d'être mentionné?» (Coran : 76, 1) Je ne pense pas que cela contredise les affirmations de la science. Mais, somme toute, la vérité reste ici une énigme et personne ne peut prétendre qu'il l'a découverte. Il se peut très bien que ce qui est effectivement arrivé soit différent de ce que nous avons dit comme de tout ce qu'imaginent les savants. La question reste donc ouverte et la science ne peut qu'avancer des hypothèses. Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 Voici quelques ouvrages à se procurer à propos de cette théorie et des recherches scientifiques dans ce domaine - L'evolution a-t-elle un sens? de Denton Michael Idées clés, par Business Digest Les lois de l'Univers permettent la vie. L'ensemble du monde physique est parfaitement ajusté pour que la vie soit possible. Les éléments du tableau périodique ne pourraient pas être différents de ce qu'ils sont. Changer, même de manière infime, une parcelle du cosmos le rendrait stérile. La vie est le but de l'Univers. Si l'Univers permet la vie, s'il est biocentrique, c'est qu'il a été conçu comme tel. Notre environnement est en réalité un ensemble de particularités géniales et uniques qui rendent notre vie possible. Il est le produit d'un dessein, d'une intention. L'évolution porte elle aussi la marque d'un dessein. L'ensemble des organismes forme l'arbre du vivant. Cet arbre représente le passé et le présent de la biosphère. Nous qui en sommes l'étape ultime, nous pouvons l'examiner à la lumière de nos connaissances. Cet arbre a un but : l'homme. Nos capacités sont en accord subtil avec le monde et il est impensable que notre évolution ait été le seul fruit du hasard, de la contingence. Business Digest Constater «le parfait ajustement de l'ensemble du monde physique pour que la vie soit possible» témoigne d'un enthousiasme sympathique, mais interpréter cet ajustement tel que le fait Michaël Denton est au fil des pages une perpétuelle source d'étonnement. Il est toujours extrêmement gênant de suspecter de manque d'objectivité un auteur scientifique réputé. Or, à la lecture de ce livre, il est très difficile de se dégager de l'impression d'une lecture de l'évolution à l'envers, à partir de l'être humain fini tel qu'il est aujourd'hui, terme d'une évolution dont il incarne la magnificence. Ce «biocentrisme» délibéré, voire cet anthropocentrisme est pour Michaël Denton le résultat logique d'un grand dessein, mené nécessairement par une intelligence supérieure étant donnée l'extraordinaire complexité du produit fini. Au-delà de cette première impression, l'ouvrage de Michaël Denton est très riche dans la mesure où il aborde avec précision les connaissances biologiques et génétiques actuelles et où il tente de les mettre en perspective dans un cadre beaucoup plus large, allant de la théorie des particules et des forces d'interaction au sein de la matière, aux lois qui semblent présider au développement de l'Univers. L'auteur fait aussi preuve d'une grande audace car il va délibérément à contre-courant d'une certaine forme de terrorisme intellectuel ayant cours depuis le XVIIIe siècle (faisant suite lui-même à un finalisme tout aussi totalitaire) où la contingence semble être la seule référence explicative possible de tout phénomène évolutif. Or l'interprétation téléologique de l'évolution constitue le fondement même de la thèse de Michaël Denton. Il y a tout particulièrement deux points sur lesquels l'auteur insiste et qui sont utiles à nos yeux pour la réflexion que doit mener tout responsable d'entreprise. En effet, le débat sur l'évolution est tout à fait essentiel pour le manager car l'analogie, effectuée à juste titre entre l'entreprise et un organisme vivant, permet de réfléchir sur l'interaction de cette entreprise avec son environnement et sur le mode de management le plus adapté. Le fait de savoir que la complexité est une des données fondamentales avec laquelle chaque manager doit composer, nous conduit surtout à mieux percevoir ses conséquences. Le premier point consiste dans le fait que l'édification des organismes supérieurs au cours du développement est fondamentalement un processus non modulaire, le même gène pouvant jouer un rôle dans beaucoup d'aspects totalement différents du développement. Autrement dit tout élément causal d'un processus complexe, n'aura pas forcément qu'un seul effet. Cet aspect souligne une fois de plus, s'il en était besoin, la nature même de la complexité du vivant et que toute tentative de réductionnisme est vouée à l'échec. Le second point sur lequel l'auteur insiste et sur lequel sa critique de Darwin est bien étayée, est le principe de la redondance qui rend encore plus problématique l'explication selon laquelle les organismes peuvent être radicalement transformés à la suite d'une série de petits changements indépendants. Pour l'auteur «la redondance consiste donc à éliminer ou à minimiser l'effet des mutations aléatoires sur le fonctionnement de l'organisme». Il s'agit donc d'une sorte de système de sécurité dont le vivant nous donne l'exemple dans toutes les circonstances où la réalisation d'un objectif dépend de l'interaction d'un grand nombre de composantes. Au-delà du parti pris de Michaël Denton, très clairement exprimé au début de son livre et qui peut agacer au premier abord et renforcer aux yeux de certains la thèse de la prédétermination et d'une programmation quasi totale, sa réflexion est suffisamment nourrie pour constituer une source d'approfondissement pour tout manager face à une évolution de son environnement de moins en moins maîtrisable. -- Jean-Daniel Remond -- Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 - Le darwinisme, envers d'une théorie de Jean-François R. Moreel Présentation de l'éditeur Le darwinisme est omniprésent dans notre environnement quotidien. La " sélection du plus apte " est l'idéologie sur laquelle repose l'ensemble de notre système de société. Portée par certains comme un sacerdoce, reprise par d'autres comme une évidence, elle constitue aujourd'hui une opinion rendue inattaquable par l'usage commun et enseignée souvent dès l'école primaire. Cependant, malgré plus d'un siècle de règne sans partage sur les institutions, le darwinisme n'a toujours pas réussi à s'imposer comme une hypothèse recevable dans le monde scientifique. Contrairement à ce que laisse croire le pseudo-débat naturaliste accessible au grand public, aucune preuve de la sélection darwinienne n'a jamais été apportée par ses partisans. Dans de très nombreux domaines, les spécialistes s'accordent pour réfuter les modèles darwiniens. Mais leurs arguments sont systématiquement passés sous silence dans les grandes publications généralistes et les médias, sous prétexte d'inintelligibilité pour ce " lecteur moyen " que l'on veut aussi borné qu'ignorant. Alors que, depuis la paléontologie jusqu'à la biologie moléculaire, aucune spécialité des sciences du vivant ne s'accorde plus aux théories darwiniennes. " Le darwinisme : l'envers d'une théorie " nous montre une réalité des connaissances scientifiques très éloignée du mythe officiel. Une première partie nous dévoile l'histoire du darwinisme et corrige la légende. S'appuyant sur l'analyse des textes originaux et sur les ouvrages spécialisés d'histoire des sciences, c'est une véritable enquête qui nous fait découvrir la vérité sur les œuvres des pères de l'évolutionnisme biologique, mais aussi les travaux qui conduisirent à l'exclusion de la théorie darwinienne du champ des sciences, dès les années 1870. Dans une seconde partie, passant en revue l'ensemble des grands arguments mis en avant par les tenants du darwinisme, une étude strictement scientifique des données est opposée aux arguments finalistes des darwiniens. En définitive, c'est l'épistémè hypothético-déductive actuellement imposée aux scientifiques de toutes spécialités qui est mise en question. Ne pouvant plus tirer leurs hypothèses des réalités observées, les chercheurs sont contraints d'invoquer la théorie officielle pour présenter leurs travaux. Face à l'idéologie, l'auteur plaide pour une reconquête par les scientifiques de la liberté de penser. Biographie de l'auteur Docteur es Biochimie, J.-F. Moreel a débuté sa carrière par l'étude de la génétique du développement précoce des vertébrés. Il est donc spécialiste d'un domaine situé à l'intersection de deux branches non darwiniennes de la biologie, la Génétique Moléculaire et l'Embryologie. Après s'être réorienté vers la pédagogie, l'auteur découvre la pesanteur du dogme darwinien. Inquiet de voir ressurgir dans le discours politique les idées qui firent la gloire du nazisme, J-E Moreel dénonce ici la nature non scientifique de ces théories. - Dieu n'est pas mort: La science n'explique pas tout - De David Berlinski Présentation de l'éditeur L'athéisme militant est en plein essor. Richard Dawkins et Christopher Hitchens, qui dominent les listes de best-sellers, dénigrent ta croyance religieuse, présentée comme une dangereuse sottise. Derrière eux se dessine un mouvement bien plus vaste de la communauté scientifique. " L'attaque portée contre ta pensée religieuse traditionnelle, écrit David Berlinski, pose la science comme le seul système de croyance possible pour un esprit rationnel. " Un Juif athée prend la défense de la pensée religieuse. Auteur de plusieurs livres sur les sciences salués par la critique, David Berlinski retourne contre les scientifiques ce scepticisme qui leur est si cher, en posant plusieurs questions embarrassantes. La science a-t-elle jamais apporté la preuve de l'inexistence de Dieu ? Expliqué comment ou pourquoi l'univers est apparu, pourquoi il semble réglé pour permettre la vie ? Loin de là. Les sciences ou leurs philosophies ont-elles apporté un fondement moral au monde ? Pas vraiment. David Berlinski ne rejette pas les accomplissements de la science occidentale. Les grandes théories physiques, fait-il observer, comptent parmi les trésors de l'humanité. Mais elles ne répondent pas aux questions que pose la religion. Ce livre brillant, incisif et drôle explore les limites de la science et les prétentions de ceux qui la posent comme moyen ultime de comprendre notre monde et nous-mêmes. Biographie de l'auteur David Berlinski, philosophe et mathématicien, il est né à New York en 1942. Il a été professeur à Columbia, Stanford et Rutgers. Il vit aujourd'hui à Paris, où il se consacre exclusivement à t'écriture. Il est t'auteur de nombreux romans et essais, dont le best-seller " La Vie rêvée des maths ", éd. Saint-Simon, 2001, " Une brève histoire des maths ", éd. Saint-Simon, 2007, " Origines ", éd. Saint-Simon, 2008. - Le darwinisme ou la fin d'un mythe (de Rémy Chauvin) Quatrième de couverture Doit-on définitivement enterrer Darwin? Ce qui dans une théorie intéresse l'homme de science est qu’elle soit efficace, qu’elle inspire des expériences. Or, est-ce toujours le cas pour le darwinisme? Après avoir, c’est incontestable, présidé à la naissance de la biologie moderne, Darwin peut-il encore servir? Quelle est la place du darwinisme dans la biologie actuelle? Peut-il faire progresser la recherche? Certains défenseurs acharnés de ce courant voudraient nous faire croire que le darwinisme permet de tout expliquer ! Ainsi, ne débouche-t-on pas sur une tautologie si l’on affirme que l’évolution naturelle existe puisque les espèces présentes ont évolué ? Ces positions, pourtant âprement défendues par certains darwiniens, sont révélatrices des limites des théories évolutionnistes. Dans cet ouvrage polémique, le professeur Chauvin s’attaque à un mythe. Son essai a de plus le mérite d’ouvrir le débat ; un débat que de sages revues comme Science ou Nature se gardent bien de susciter. Rémy Chauvin, professeur honoraire à la Sorbonne, biologiste mondialement connu, est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages, dont le Traité de biologie de l’abeille et, aux éditions du Rocher, La Biologie de l’esprit, Le Monde des fourmis, 1994, et Le Monde des oIseaux, 1996. Citer Link to post Share on other sites
Badr-Muslim 10 Posted July 15, 2009 Partager Posted July 15, 2009 - L'Evolution est-elle l'oeuvre de Dieu?: Dialogue scientifique et philosophique - De Xavier Quentin Présentation de l'éditeur Deux personnages s'interrogent sur l'évolution des espèces. C'est l'occasion pour le vieux Giuseppe de présenter au jeune Luigi une vision très cohérente de cette évolution, qui ébranle la conception néo-darwinienne actuellement dominante. Il réfute notamment le rôle du hasard dans les mutations génétiques et propose une expérience pour le démontrer. Il remet ainsi totalement en question la vision matérialiste de l'évolution, fondée sur le hasard et la sélection naturelle. Loin de tout créationnisme naïf, ce dialogue scientifique et philosophique replace la question tabou d'un Dieu créateur au centre des débats. Son propos, qui va bien au-delà de la seule question de l'évolution, et qui s'interroge en particulier sur la liberté de l'homme, devrait faire date... Biographie de l'auteur Xavier Quentin est professeur de mathématiques, titulaire d'un DESS de modélisation mathématique. Il signe là son premier livre sur un sujet sensible qu'il sait traiter avec recul et intelligence. - La Raison malmenée: De l'origine des idées reçues en biologie moderne (Relié) de Gérard Nissim Amzallag (Auteur), André Pichot (Préface) Présentation de l'éditeur Entre histoire des sciences, épistémologie et biologie, cet ouvrage s'intéresse aux méthodes de recherche en biologie pour en dénoncer certains travers. En particulier, il y est montré comment l'approche réductionniste s'est progressivement imposée au cours du XXe siècle sur la base de critères idéologiques. En s'attachant aux aspects sociologiques de la recherche notamment à certaines fraudes scientifiques, l'auteur dénonce une biologie à la fois tributaire et victime de l'importation des postulats réductionnistes de la physique classique. Les arguments scientifiques non réductionnistes sont présentés et resitués dans leur contexte historique et expérimental. Par les observations qu'il apporte sur la dynamique de l'avancement des idées et des techniques dans le domaine des sciences du vivant, l'ouvrage permet, entre autres, d'alimenter sous un angle nouveau les débats autour des mécanismes de contrôle de l'hérédité et de leurs applications biotechnologiques. Quatrième de couverture La biologie envahit des domaines de la société chaque jour plus importants. En retour, les espoirs éveillés et les promesses d'application Impriment une direction très particulière au développement de notre connaissance du vivant. C'est cette étrange « symbiose » entre savoir et pouvoir qui est analysée dans le présent ouvrage. G. N. Amzallag montre en quoi les vérités les plus Inébranlables de la biologie moderne doivent souvent leur autorité à des considérations souvent fort peu scientifiques, qui, elles-mêmes, se voient agrémentées du prestigieux label d'objectivité. Plus encore, c'est la méthode même d'investigation qui se trouve affectée par une telle confusion, engendrant une pathologie chronique : la fraude scientifique. Ce n'est pas le simple méfait perpétré par un chercheur peu consciencieux qui est analysé Ici, mais bien une infidélité générale à la réalité, ouvertement affichée et pleinement légitimée par la méthode même. Outre l'esquisse d'une approche expérimentale alternative, l'ouvrage constitue une mise en garde contre les aberrations « scientifiques » et leurs conséquences pratiques générées par un arbre de la science croissant sur un terreau Idéologique. Je vais m'en arrêter là pour l'instant, bien qu'il y aurait encore des choses à dire. Bonne soirée tout le monde. Salam 'alaycoum. Citer Link to post Share on other sites
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