Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 ---c'était vraiment pour moi cette rose? --« Oui, c’est pour toi Ferriel. » -- Elle est magnifique. Puis-je savoir où tu m’emmènes s’enquit Faty. Samy resta pensif et lui dit à la fin: -- A mon salon de thé préféré. C’est un endroit idyllique. Il est situé à quelques encablures du centre ville et à un jet de pierre du musée national. Tu dois le connaître non ? -- Ah oui, je vois, c’est celui qui se trouve sur le front de mer, dit Faty en pointant la rose en direction de la mer. -- Oui, c’est ça. C’est un des endroits où je me sens à l’aise et puis on y prépare du thé sur la braise et on le sert toujours dans des ustensiles traditionnels rappliqua Samy. Samy lança une belle musique douce pendant que la voiture longeait, à petite allure, la route sinueuse qui bordait la mer. En voyant la fameuse falaise, Samy avait eu un rictus qui n’avait pas échappé au regard de Faty. Il se souvint de ce jour fatidique qui avait changé le cour de sa vie. Et Faty qui s’inquieta. -- Tout va bien Samy ? -- Eh… j’ai eu un petit malaise, t’en fais pas c’est déjà passé répondit Samy qui ne cessait pas de fixer des yeux la fameuse falaise qui reluisait sous l’effet du soleil couchant Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Ils restèrent ainsi serrés sans rien dire et c’était digne d’une de ces « cuddles parties » où des personnes qui ne se connaissent pas se blottissent l’une contre l’autre pour un plaisir autre que celui des bas instincts. Faty, dans le silence de la nuit, pleurait en regardant la falaise surgir tel un fantôme des abysses de la mer. Elle était persuadée que ce rocher était damné et dissimulait une des histoires la plus dramatique, la plus étrange et la plus fantastique qu'elle tenait, coûte que coûte, à connaître. Samy fut réveillé par le bruit assourdissant du moteur d’un palangrier qui s’apprêtait à quitter difficilement la rade. Il s’aperçut que Faty, qui avait rabattu son siège, dormait comme un enfant. Ses longs cheveux noirs tombaient superbement du part et d’autre du repose-tête. Elle était sublime, belle très belle, elle ressemblait à un ange. Il la regarda intensément, porta sa main à hauteur de son visage pour la toucher puis se résigna au dernier moment pour ne pas perturber son sommeil Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 --"Qu'est ce que tu voudrai savoir, je.......... --" Dis moi tout ce que tu as envie de dire, répondit Faty d'une voix mielleuse qui plut beaucoup à Samy. Samy s'accouda, tira une brindille, la brisa en deux et lui dit: --" Tu vois cette falaise, elle.............. Faty l'arrêta sèchement en lui mettant sa douce main sur la bouche. --" Je t'en pris, laisses cette histoire pour plus tard. Dis moi comment t'avais-je plu au forum? C'est dingue cette histoire du forum, n'est-ce pas? --" Oui, je n'ai jamais imaginé que nous pourrions un jour arriver là, là où nous sommes cette nuit. C'est invraisemblable, mais tu sais, dans la vie, rien n'est impossible. --" Tu n'a répondu que partiellement à ma question, insista Faty. --" Comment tu m'avais plus? Interrogea Samy en feignant éviter son regard. Je ne sais pas. C'était peut être l'intuition qui m'avait guidée spécialement vers toi et pas vers une autre. Peut-être parce que je trouvais tes interventions pertinentes ou alors, c'était un destin tout tracé. Je ne sais rien. -- Et moi, comment t'avais-je plu Ferriel, enchaîna Samy. --" Je ne m'appelle pas Ferriel, je m'appelle Faty. Ferriel était mon pseudo, rectifia t-elle. --" Tiens, tu ne l'avais jamais dit, s'étonna Samy. --" J'ai préféré te l'annoncer à vive voix lança Faty. Tu pourras toujours m'appeler Ferriel. -- C’est à toi de décider poursuit-il, je voudrai t’appeler par ton vrai non, un pseudonyme résonne souvent mal, tu le sais bien Faty ! Faty s’approcha un peu plus et l'embrassa tendrement sur la joue….. "extrait de mon "Roman d'Amour" Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 oupsssssssssss Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Ce contact charnel avait éveillé chez Samy quelque chose qu’il croyait égarée à jamais depuis qu’il avait perdu les êtres les plus chers, lesquels avaient représentés pour lui la seule source d’amour et d’affection. Il porta instinctivement sa main sur la joue et regarda intensément Faty qui le fixait de ses yeux vifs et d'un sourire malicieux du coin des lèvres, et, doucement, très doucement, s’approcha de nouveau et colla sa bouche sur la sienne. Il a fallu un moment pour qu’il réagisse. Il la serra dans ses bras et lui chuchota dans l’oreille : -- Je t’aime Faty, je t'aime...! Faty remarqua que son corps raide s’était tout à coup ramolli. Elle s’affala fiévreusement en entourant tendrement de ses bras le corps de Samy et l’entraîna sur le sien. Elle senti toute la virilité masculine qui se faisait dégager de cette étreinte voluptueuse. Faty venait, elle aussi, de recouvrir le plaisir des sens qu’elle avait prétendu oublier. Samy qui se voulait circonspect et prudent, avait perdu de sa pondération et de sa sobriété et, dans son fol élan de délire, porta ses baisers un peu plus bas, sur les seins fermes auréolés. Faty s’offrit volontiers corps et âme et se laissa aller éperdument dans ce duel charnel de corps à corps. Elle espérait que ces ébats amoureux allaient demeurer toute la nuit, elle qui ne cessait pourtant de geindre…. de bonheur. Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 --« Faty n’en revenait pas. Elle était là étendue par terre dans la nuit, en pleine nature, entre les bras d’un individu qu'elle venait à peine de connaitre. Que c’est fou, se disait-elle. Que c’est invraisemblable cette passion qui s’enchaîne de folie en folie. Elle ferma les yeux et se serra encore plus contre Samy, lequel, fébrilement lui caresser les cheveux d’une main et de l’autre, lui tapotait tout doucement le dos. Quelque peu excédée, Faty lui lança dans l’oreille : --« Qui est là? --« C’est moi, répondit Samy ironiquement. --« Connais pas ! --« C’est moi, Samy ! -- Ah oui ! Le boulanger ? --« Non ! Le menuisier ! -- Le menuisier…. ? --« Oui, le menuisier ! Tu vas m’ouvrir oui ou non ?dit Samy en portant un nouveau coup dans le dos Faty. --« Hé, doucement, tu vas faire sauter la porte ! --« Je vais le faire si tu insistes à me refuser l’accès. J’ai froid, non de Dieu ! --« Et alors… ? --« Tu ne vas me laisser planter là toute la nuit non ? --« Tu me prends pour une dingue ? --« Non, loin de là. Ecoutes, je te préviens… je vais forcer la porte ! --« Cà t’est déjà arrivé d’entrer chez les gens par effraction ? --« Non !...Ah si, si… --« Et puis-je savoir les victimes de tes intrusions. --« Une seule, y a pas trente six mille, voyons. Ecoutes, on va réveiller du monde ! --« Tu t’es pris comment pour entrer ? --« En lui fracturant le cœur, ça va ? Faty s’éclata de rire suivi de Samy. Des éclats de rire qui faisaient du bruit à un kilomètre la ronde. De loin, le phare clignotant du port semblait se donnait un malin plaisir d'entendre cette histoire que se livraent deux dingues extravagants,en pleine nuit, sans retenue aucune et dans l'indiscrétion la plus totale Citer Link to post Share on other sites
edite 10 Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 t'a tjr des idées genial:o:p Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 t'a tjr des idées genial:o:p bjour édite Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 …./…. --Par le commencement, je voudrai connaître ta vie insista t-elle. Samy bu une gorgée et lui tint la main en lui disant : « Au commencent, Dieu créa la femme…. « Tu me prends pour une gourde !? Cria furieusement Faty. Dieu créa le diable que tu es, enchaîna t-elle. --Fais pas de bruit, je t'en prie, regardes autour toi, tous les regards son braqués sur cette table. Tu ne vas me faire une scène de ménage en plein salon de thé. « Je suis désolée, murmura Faty. --Je peux t’embrasser ? « Quoi ? --Je veux t’em. bra. sser. « T’as pris un joint ? --Non, un sapin ! « Et tu veux le faire devant tout le monde ? -- Et alors ? « Et ben non ! -- Chérie… « Pas avant avoir entendu ton histoire. -- Je te le promets, mais une fois sur le rivage, je te dirai tout. « Tout, tout ? --Oui… Faty s’approcha sa tête et ferma les yeux. Samy s’approcha et colla ses lèvres tendrement aux siennes devant les regards médusés des clients. Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Cette dernière incommodée par la posture de tête en bas, tenta de se débattre : --« Mais qu’est ce que tu fais, gémit-elle, -- C’est un rapt, chuchota Samy. -- Je vais porter plainte ! -- Je ne te laisserai pas cette chance. -- S.a.l.o.p Samy lui colla une claque sur fesses et lui lança : -- Tu veux une autre ? -- S.a.l.o.p! -- En voilà une autre et une troisième si tu en redemandes, menaça Samy -- Arrêtes, tu me fais mal. -- Tu l’as voulu Faty !...Veux-tu que je te dépose ? -- Non, ne fais pas ça, je ne peux plus marcher. -- Voilà que tu deviennes un ange ! -- Mais vas-y molo, j’ai mal au ventre. --Ecoutes, si tu continues de râler, tu vas ameuter tous les voisins. Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Elle ouvrit son sac, sorti son paquet et tira une cigarette qu’elle planta entre ses lèvres. Jiji, en galant homme, se leva un tout petit peu et la lui alluma. -- Tu sais, elles sont toutes les mêmes. Blondes ou brunes, elles ont le même effet et le même poison, c’est une question de goût et d’habitude. Moi je préfère les brunes aux blondes. Tu le savais déjà. « Et tu allais où avec cette valise, monsieur le flic ? -- Je m’apprêtais à rejoindre l’hôtel de police. « On n’offre pas de logement décent même pour le chef de la flicaille ? -- Mais si Faty. On est en train de rafraîchir la peinture. « Et tu comptes faire venir ta petite famille, je présume ? -- Eh ben non. « Pourquoi alors, tu comptes ….. -- Non, coupa Jiji, j’ai toujours aimé vivre en célibataire et puis avec une femme à ses côtés, ça devient forcément un jour ou l’autre, un objet tout a fait encombrant difficile à s’en débarrasser par la suite. « Drôle de philosophie ! Tu parles sérieusement ? -- Non, tu me connais Faty, je plaisante bien sur. Je garde toujours mon sens de l’humour. En fait, j’ai évité subtilement les coups de foudres….. ................ Seulement, Faty n’était plus cette Bonnie grincheuse d’hier et Jiji d’aujourd’hui, sûrement pas ce fou de Clyde à la gâchette facile, qui, tout deux, avaient marqué de leurs empreintes, l’une des histoires les plus sordides des temps passés, mais deux paisibles citoyens, honnêtes et sincères qui, chacun de son coté, cherchait à vivre le présent et mourir d’amour et de passion dans le respect et dans l’anonymat Citer Link to post Share on other sites
Guest thesoulshudders Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Bonsoir DR, tu vas bien ? Je suis tres malheureuse aujourd'hui à pleurer ! Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Bonsoir DR, tu vas bien ? Je suis tres malheureuse aujourd'hui à pleurer ! pourquoi thesoul? Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 J'ai une de ces connexions roollaallaa Citer Link to post Share on other sites
Guest thesoulshudders Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 pourquoi thesoul? Je ne sais pas je suis toute seule en plein noir en face de mon laptop avec ces petites larmes qui coulent ....Peut etre que je suis fatiguèe, je me sens oppressèe et besoin de ressentir une certaine libertè !! Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Je ne sais pas je suis toute seule en plein noir en face de mon laptop avec ces petites larmes qui coulent ....Peut etre que je suis fatiguèe, je me sens oppressèe et besoin de ressentir une certaine libertè !! alors dis moi comment voler à ton secours thesoul tu peux toujours chanter une chanson ou écouter une bonne musique, ça adoucit les moeurs. Citer Link to post Share on other sites
Guest thesoulshudders Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 alors dis moi comment voler à ton secours thesoul tu peux toujours chanter une chanson ou écouter une bonne musique, ça adoucit les moeurs. Juste le fait de ne pas me sentir seule, j'ai l'impression que tout le monde veut ma peau...on me laisse jamais tranquille j'ecoute de la musique mais aussi triste que moi, je veux lire tes folies? Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Juste le fait de ne pas me sentir seule, j'ai l'impression que tout le monde veut ma peau...on me laisse jamais tranquille j'ecoute de la musique mais aussi triste que moi, je veux lire tes folies? mais je t'en prie thesoul, qu'est ce qui t'en empeche? Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 « Ce n’est pas vrai lança-t-il, subjugué par le décors fascinant qui s’offrait à lui…Je n’ai plus faim…Je voudrai visiter... -- Non pas maintenant s’il te plait coupa-t-elle. Fais moi manger d’abord et je te servirai de guide par la suite Ok ? Je te montrerai les choses de la belle époque. Je te ferai voir le forum, le capitole, la curie et la basilique et nous allons visité par la suite les thermes, le temple, le nymphée, théâtre, l’amphithéâtre, je te ferai admirer les maisons, les remparts, la chapelle d’Alexandre, le crypte des évêques, l’enclos des martyrs et pour terminer l’église et la nécropole de la Sainte Salsa. Citer Link to post Share on other sites
Guest thesoulshudders Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 mais je t'en prie thesoul, qu'est ce qui t'en empeche? rien, je vais en lire t'as pas d'inspiration today ? Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 rien, je vais en lire t'as pas d'inspiration today ? aucuuuune tu en as une thesoul? Citer Link to post Share on other sites
Zazou 10 Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 aucuuuune tu en as une thesoul? Bonsoir Didine!:40: Je peux écrire avec toi une folie sur une fille amoureuse?! Citer Link to post Share on other sites
Guest thesoulshudders Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 aucuuuune tu en as une thesoul? Non plus, bonne nuit à vous et merci DR Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Non plus, bonne nuit à vous et merci DR Bonne nuit thesoul t'en fais, tu auras ta part un de ces quat' ce sera dans mes prochaines folies, c promis thesoul Citer Link to post Share on other sites
Guest Didine RAYAN Posted June 13, 2009 Partager Posted June 13, 2009 Samy trouvait Mony très séduisante, très belle et assez intelligente, sans doute beaucoup plus que lui. Elle avait quelque chose de singulier qui le chiffonnait sérieusement. C’était cette aptitude à lire ses pensées et la façon déconcertante avec laquelle elle les lui traduisait, le plus souvent avec un sourire moqueur. Et s’il se trouvait ravi de sa présence, il était incommodé par la conversation qu’elle engageait, qu’il lui arrivait à lui éviter, subtilement, son regard en faisant semblant de regarder quelque chose autre que ses beaux yeux sublimes et ensorcelants. Il s’était souvent dit qu’il n’était pas taillé à lui tenir tête et que sa culture générale durement acquise n’était, en comparaison à la sienne, que de petites histoires d’enfants. Pourtant, elle n’avait que 25 ans. Et si elle était malicieuse, elle était moins curieuse et s’en fichait éperdument de ce qu’il faisait. Elle ne s'interessait pas, non plus à sa vie privée . Elle savait comment couper court à ses discussions qu’elle jugeait inutiles à chaque fois qu'il tentait de faire étalage de son intimité, sans pour autant arriver à le froisser sérieusement Samy, par contre, aimait son coté obscur. Cette dernière arrivait à changer instantanément les traits de son visage que par un simple regard, un regard unique qui traduisait à lui seul toute l’expression de la tristesse dans sa forme la moins perceptible que Samy avait apprise à appréhender lorsque le silence se faisait ressentir et le regard de Mony se perdait dans le vide. Samy compatissait en sentant cette forme étrange de douleur intérieure et se disait qu’un être tel que celui-ci, etait insensible aux émotions négatives. Il était, dés le début, convaincu que Mony était une créature particulière qu’une entité avait mise sur son chemin. Il la considérait tout comme une déesse bien inspirée qui lui prodiguait un traitement; un traitement en mesure de le sauver du mal dont il ne faisait plus attention depuis qu’elle se trouvait à ses côtés. ________________________________________ Citer Link to post Share on other sites
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