Jump to content

Rires et délires


Recommended Posts

Guest Didine RAYAN

« Tu pleures Faty….

 

-- Non ce n’est rien, ça va passer.

 

« Je crois qu’on a toujours de bons moments à partager ensemble.

 

--Non, je te voudrai pour l’éternité, pas pour six mois seulement. Je ne pourrai jamais vivre sans toi.

 

« Nul n’est pas maître de son destin. La vie est un enchaînement de circonstances et seul Dieu prédispose du sort et du destin de ses sujets.

 

--Je le sais, mais il y a toujours un espoir, non ?

 

« Je ne sais pas, mais toutes les personnes touchées ont laissé leur vie.

 

--Tu souffres énormément, je présume ? Pourquoi tu ne me l’as jamais dit ?

 

« Je ne le savais pas. J’avais une de cette douleur récurrente depuis mon séjour en prison, je croyais…

 

--Quoi ? En prison … ?

 

« Oui, je n’t’avais pas terminé mon histoire. J’ai effectivement fais la taule.

 

--Alors, je suis avec un taulard, un repris de justice ? C’était pourquoi on t’avait emprisonné ?

 

« Pour homicide volontaire avec préméditation.

 

Faty eut le sang glacé. Elle ne crut que difficilement ce qu’elle entendit. Mais qu’est ce que cette journée de malheur, se disait elle.

 

--T’as fait combien d’années ?

 

« Quatre ans et deux mois, jour pour jour.

 

--Pourrai-je savoir ce que tu fais actuellement ? Enfin, je veux dire qu’est ce que tu fais comme métier.

 

« Je suis flic.

 

--Pardon?

 

« Je suis po.li.cier.

 

--Je croyais que la Police ne recrutait jamais les repris de justice.

 

« Mais je ne suis pas un repris de justice !

 

-- Ecoute Samy tu délires, tu es en train de te payer ma tête.

 

-- Je voudrai savoir…enfin la relation avec ta voisine d’en face, enchaîna-t-elle…

 

« Laquelle Mony ?

 

-- Elle s’appelle Mony ?

 

« Oui. C’est ma muse.

 

-- Mais ça ne vas pas dans la tête, râla Faty. Et moi qu’est ce que je suis alors.

« Tu es Faty…..

 

-- S.a.l.o.p, espèce de cinglé, maintenant je suis prête pour l’euthanasie. Je vais te faire passer la vie à trépas...

-

 

extrait

Link to post
Share on other sites
  • Réponses 156
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Guest Didine RAYAN

Oui, un bel homme qu’on ne voyait que rarement sur terre.

 

...Sur son cheval blanc, il se tenait bien droit avec un sourire angélique et dans l’une de ses mains, une belle rose rouge et bien épanouie.

 

Je me disais au fond de moi-même, qu’il ne s’agissait peut-être pas d’un être humain, mais plus tôt d’un ange venu d’ailleurs, d’une autre planète venu spécialement pour m’offrir cette rose à moi et pas à une autre.

 

Ce qui m’avait captivé en lui, eh ben, je dirai tout..tout... Il ne lui manquait rien: Un corps félin modelé à la perfection par le Créateur. Et puis, je dirai sa longue chevlure blonde et ses yeux que je n’avais jamais vus auparavant. Ils dégageaient, à eux seuls, toute l’expression de l’amour et la tendresse. Ils étaient d’un bleu étincelant qui semblaient m’inviter ou plus tôt m’attirer en lui comme un aimant. Bref, il avait ravi mon cœur au premier regard et au premier sourire. Je ne pouvais rester insensible face à cette beauté divine. Je sentais que mon cœur battait plus fort que d’habitude et qu'il allait bientôt s'arrêter

 

Instinctivement, je m’étais redressée un tout petit peu du tronc de l’arbre, ébahie par sa présence inattendue, ne sachant que quoi faire. Avec l’aisance du cavalier, il descendit de sa monture pour faire les quelques pas qui nous séparaient et, arrivé à ma hauteur, il me tendit sa gracieuse main et m’attira doucement à lui.

 

Pour vous dire, je m’étais redressée comme une plume, tellement que je me sentais si légère. Et c’était comme ça, qu’il m’avait offert cette rose d’un parfum singulier que j’avais pris soin de la saisir de mes deux doigts.

 

Nous étions là debout tous les deux à nous regarder sans rien dire. Mais j’étais certaine que nos esprits avaient fusionné dans une sorte communion et d'harmonie invraisemblables que je ne pouvais jamais vous les décrire.

 

J’avais baissé les yeux pour egarder la rose puis j’ai versé, sans le vouloir une larme, puis une autre et encore une autre. Je venais d’avoir I8 ans. Je n’avais jamais reçu de rose

 

 

Extrait 'histoire fantastique'

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

LE BEST DES BEST

 

 

Si tu voudrais être bien aimé par ta femme

 

Mais voici en rouge ses réactions, inspiré du topic de Yes We Can

 

Un mari bien attentionné

Zaoudja Wa3ra

 

 

 

1)Demandez-lui de danser

 

---- Amuses-toi seul, tu m’as brisé les hanches

 

2) Les jours de vent, caressez ses cheveux et dégagez son front.

 

---- Et si tu enlèves ta main, tu me décoiffes3)

 

Lorsqu’elle marche dans la rue et que vous l’apercevez, dirigez-vous vers elle et évitez lui les éventuels obstacles qu’elle pourrait rencontrer

 

---- Je suis pas aveugle, tête de lard

 

4) Embrassez-la entre les omoplates quand elle se tourne avant de s’endormir.

 

---- Grattes mois le dos andouille

 

5) Poser votre bras autour d’elle lorsque vous la présentez à des amis.

 

---- N’aies pas peur crétin, ce ne sont que des amis

 

6) Saisissez ses mains délicatement lorsqu’elle croise une femme magnifique.

 

---- Rassures-toi, je le sais c onnard

 

7) Appelez la quand vous vous sentez triste.

 

---- Izzidlek ghbina 3ala Ghbina

 

8 ) Embrassez ses paupières.

 

---- Tiens, en voilà des manières !

 

9) Demandez à voir des photos d’elle enfant.

 

---- Tu peux les mettre là où je pense !

 

10) Lavez lui les cheveux et le bas du dos lorsque vous partagez la douche.

 

---- Hchemt, je voudrai être toute seule, t’as pas honte, imbécile ?

 

11) Approchez vous immédiatement d’elle si elle pleure au téléphone.

 

---- Djatek 3ala guelbek, c’est ça ?

 

12) Asseyez-vous nu sur une chaise et regardez ses cuisses avec envie.

 

---- Vicieux ! J’appelle ton médecin

 

13) Appelez la de temps en temps par son deuxième prénom.

 

---- Hadi jdida, ouach bik, t’as encore bu ?

 

14) Trouvez le disque qu’elle préfère en vinyl et offrez lui !

 

---- Espèce de ringard, yakhi habess

 

15) Au restaurant commandez son café en ayant soin de le demander comme elle l’aime. Avec ou sans sucre, avec ou sans nuage de lait, etc.

 

---- Mais ça suffit, crétin !!

 

16) Lorsqu’elle s’endort en voiture portez là jusqu’au lit et deshabillez la doucement.

 

---- Mais, c’est un viol ! je suis ta femme non ?

 

17) Faites allusion à l’anniversaire de votre rencontre avant même qu’elle n’y pense.

 

---- Tu crois que j’ai oublié. Où est ce qu’il mon cadeau

 

18) Envoyez lui un mail tendre de temps en temps.

 

---- Le prochain Email, je balancerai ton pc

 

19) Lorsque vous la sentez en insécurité regardez la droit dans les yeux en lui disant : "personne au monde ne peut te protéger mieux que je ne le fais".

 

---- Ya 3ayni !

 

20) Appelez-la juste avant de prendre l’avion.

 

---- Trig essed, teddi ma drod

 

21) Ramassez ses vêtements qui traînent sur le sol.

 

---- Tu sais ce qu’il te reste à faire !

 

22) Faites tout pour l’amuser quand elle se sent triste.

 

---- Tu fais encore l’imbécile ?

 

23) Emmenez là voir une compétition de son sport favori. Pendant l’épreuve admirez là plutôt que de vous intéresser à la partie.

 

---- C’est quoi ça, hein ?

 

24) Touchez son bras lorsque vous vous levez de table. Retouchez le lorsque vous revenez à table.

 

---- Je suis encore dodue ? Hada haoua el Kmach

 

25) Rasez-vous juste avant de la voir. Elle s’en rendra compte !

 

---- Elle t’attends comme toujours

 

26) Serrez la très fort dans vos bras lorsqu’elle se montre jalouse.

 

---- Eloignes toi, tu m’étouffes, ouffff

 

27) Prenez soin de ses seins.

 

---- Regardes ailleurs

 

28) Offrez lui des bijoux.

 

---- Encore du toc, i3azik!

 

29) Tendez lui des serviettes lorsqu’elle sort de la douche (la seconde est pour ses cheveux).

 

---- Personne ne t’a demandé service

 

30 Posez-lui des questions techniques sur son travail.

 

---- Tu m’espionnes !!!

 

31) Achetez-lui ses céréales favorites.

 

---- Du maïs ? Mais où est l’avoine ? Grrr

 

32) Interrompez votre conversation en plein débat pour lui dire que vous l’aimez.

 

---- Fermes ton bec, impoli !

 

33) Envoyez lui des fleurs très chères lorsque vous êtes débordé par le travail.

 

---- Tu t’es trompé d’adresse ?

 

34) Emmenez-la dans un lieu avec une cheminée et faites du feu.

 

---- Tu veux m’enfumer ?

 

35) Murmurez son prénom lorsqu’elle prend soin de vous.

 

---- Je ne suis pas sourde, tu peux le faire du balcon !

 

36) Lisez-lui une histoire lorsqu’elle conduit et que la route est longue.

 

---- Silence, je conduits crétin

 

37) Lorsque vous voyez quelque chose de cassé dans son appartement, proposez-lui de le réparer.

 

---- Chaque fois que tu fais une bêtise, tu demande mon avis

 

38) Chaque fois qu’elle porte quelque chose de neuf, remarquez-le et dites le lui.

 

---- Jaloux, hasssaaad !!!

 

39) Faites-lui l’amour debout, elle adossée à un mur.

 

---- Ya ? Wach bih, erradjel hbel

 

40) Faites-lui des baise-mains comme si vous étiez un étudiant enamouré.

 

---- Tu abîmes mes mains

 

41) Si elle est trop stressée pour des câlins

 

---- Que tu es chiant, mais Khlass, éloignes-toi….ouf

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

Il s’était dit que si le romain craignait le temps, le temps, par contre, craignait sa roche, sa sculpture et sa structure qui, en dépit des pluies et des vents, qui, en dépit des grandes chaleurs et du froid, les vestiges se trouvaient toujours là, immuables, imposantes et imperturbables, pour nous rappeler les conquêtes incessantes de l’homme, son intérêt et sa convoitise, mais aussi son amour pour cette merveilleuse rive tout en couleurs, captivante beaucoup plus par sa générosité et que sa douce chaleur.

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

Samy n’avait fermé l’œil que vers l’aube tellement qu’il était surexcité et inquiet. Il s’attendait à tout, sauf à cette mission délicate et périlleuse, lui qui n’avait aucune expérience de jouer à l’indicateur au profit de la police, mais il le faisait quand même. Mais cette fois ci, ce n'était pas une mission d'indic seulement. Sa mission consistait à infiltrer une des ramifications d’une organisation criminelle des plus dangereuses fraîchement d’établie et qui projetait, sans nul doute, à passer à l’action

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

C’était une urgence signalée par les services des Renseignements Généraux qui avaient, pour la circonstance, sollicité le concours de toutes les forces vives pour venir à bout de cette hydre féroce aux longs tentacules. Krim, faisait partie du lot des compétences requises et triées sur le volet, en raison de son sérieux, puis des prouesses qu’il avait brillamment réalisées tout au long de sa carrière professionnelle. Les missions d’infiltration connaissaient le plus souvent une fin tragique et finissaient, dans la plupart des cas, dans un bain de sang si çà foirait un jour.

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

« Mony ? Tu ne travailles pas aujourd’hui ? Interrogea Samy depuis la salle à manger

 

-- Mais non…Je suis en congé depuis plus de plus de deux semaines. Tu ne l’as pas remarqué ?

 

« Que je suis bête ? Excuses moi Mony.

 

-- Mais voyons, ce n’est rien. Tu voulais savoir ce que je fais comme métier non ?

 

« Non, ce n’est pas ça exactement. Peu m’importe ce que tu fais. Tu m’as rendu un grand service en…

 

-- Arrêtes s’il te plait lui coupa-t-elle. C’était la moindre des choses. On ne va pas laisser un voisin tel que toi souffrir dans la solitude dans un lit d’hôpital.

 

« Il me semble que tu es médecin ou quelque chose de ce genre, n’est-ce pas ?

 

-- Non, je ne suis ni médecin, ni autre chose de ce genre.

 

« En toute sincérité, je t’ai toujours cru une doctoresse. Mais comment on t’a laissé faire le garde malade ?

 

« Je leur avais dit que je suis ta fiancée !

 

-- Pardon ?

 

« Je crois que tu as bien entendu ce que j’ai dit. Veux tu que je fasse entendre les voisins pour que tu m’entendes à ton tour ?

 

-- Alors tu n’es pas médecin ?

 

-- C’est ça. Je suis criminologue.

 

« Pardon ?

 

-- Ce n’est pas possible !! Tu dois retourner à l’hôpital Samy.

 

« Mais je me sens bien, de plus, j’ai horreur de ce lieu. Et puis j’ai beaucoup à faire dehors que sur un lit d’hôpital. En tout cas, je ne te remercierai jamais assez d’avoir pris tout ce soin pour moi. Je te revaudrai cela un jour.

 

Mony prit le plateau entre ses mains et en s’apprêtant de vider les lieux, lui lança un sourire ensorceleur puis un clin d’œil :

 

-- Au revoir Samy et à plus tard j’espère. Et elle disparaît.

 

Epoustouflé, il resta muet. Il s’attendait à tout sauf à ce clin d'oeil et tout s'évanouit devant vous.

 

Il referma la porta, enfila son plus beau costume et sorti en trombe droit vers le pari mutuel urbain.

 

--Toujours les mêmes numéros fétiches et au diable les tocards, se disait-il à lui-même.

 

--------------------------------------------------------------------------------

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

Les missions d’infiltration connaissaient le plus souvent une fin tragique et finissaient, dans la plupart des cas, dans un bain de sang si çà foirait un jour. Il le savait et ce n’était un secret pour personne que les criminels, quelque soient leur acabit, ne laisseront jamais la vie sauve à leur victime. Le dernier cadeau qu’il feront, ce serait tout simplement un pruneau au beau milieu de yeux si ce n’est quelque chose d’autre de plus atroce et de plus horrible comme les sévisses corporelles avant la vie à trépas, une façon de verser la haine et signifier le prix de la trahison

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN
non lol suis pas enseignante ! suis auxiliaire de puériculture :)

 

Excuses mon retard

il faut ête un peu psy pour faire ce travail?

C génial d'être entouré de bambins

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

LA DAME BLANCHE, UN REVENANT VENU D'AILLEURS

 

 

Les feux des ses lanternes allaient droit vers le corps frêle de la jolie demoiselle. Elle était sublime avec sa belle chevelure blonde qui lui tombait sur les épaules. Sa robe d'un blanc sale lui collait complètement sur sa peau et trahissait de loin sa féminité.

 

Il n'avait jamais vu pareille créature, m'avait-il dit. Elle était toute trempée et son regard traduisait la peur et une profonde tristesse.

 

Fallait-il laisser cette fille seule dans la nuit ou presser la pédale et s'enfuir à vive allure droit sur la ville?

 

Il s'était résolu au dernier moment. Il freina aussi sec que la voiture alla se traîner à plusieurs mètres avant de s'arrêter. Il engagea sa marche arrière et stoppa à sa hauteur.

 

Elle était raide, complètement raide. Elle était également blême qu'elle ne fit aucun effort pour monter à bord de la voiture. C'était lui qui s'était penché pour lui ouvrir la portière. Elle osa alors de prendre place et pris une attitude d'un maccabé.

 

Elle regardait droit devant elle et son regard semblait fixer quelque chose à travers le pare brise….

 

EXTRAIT..

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

....../...........

 

 

 

Si à l’intérieur de la voiture il faisait une chaleur suffocante. Dehors, par contre, la nuit était étrangement enveloppée d’un froid peu ordinaire. La pluie battait son plein et venait s’écraser férocement sur le pare brise, ce qui rendait la visibilité moins bonne malgré la danse frénétique des essuies glace qui tournaient à plein régime.

 

De loin, c'était le premier pâtée de maisons formant un des faubourgs mal éclairés de la capitale. Il fallait ralentir à cause de l'état de la chaussée dégradée. On y trouvait tantôt des excavations, tantôt des nids de poule béants et moins visibles.

 

C'était lorsqu'il s'engagea à la première ruelle que la demoiselle lui cria subitement :

 

---" Arrêeeete!!!

 

C’était un cri féroce et inhumain qui déchira le silence de la nuit et lui glaça le sang dans les veines. Il freina sec et resta quelques instants, immobile, les mains solidement rivées sur son volant, ne sachant ce qu’il devait faire.

 

Instinctivement, il prit son courage à deux mains, sorti précipitamment et lui ouvrit la portière. Elle s’extirpa et se dirigea presque en flottant, vers une de ces maisons vétustes, à coté de laquelle se trouvait le seul réverbère qui éclairait faiblement les environs. La lourde porte en bois s’ouvrit lentement avec un grincement étrange qui amplifia l’horreur. Elle s’y engouffra, puis c’était le silence…

 

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

..../...

 

 

Lorsque le mal s’estompa, Samy d’une main, la regarda puis la tira doucement à lui. Elle se laissa entraîner dans ses bras.

 

« Faut pas pleurer, on a toujours de beaux moments à nous faire partager, murmura Samy.

 

-- T’es sûr qu’il s’agit bien d’un…

 

« Oui, c’est ce qui m’a été confirmé. J’ai reçu les résultas de la biopsie. Un de mes poumons est sérieusement atteint. C’était pour cette raison que les chances de survivre plus de six mois sont nulles.

 

-- T’as peur de mourir ?

 

« Non. Tu me manqueras…

 

-- Arrêtes, c’est débile cette discussion…A présent que tu te sens bien, je vais te préparer une bonne tisane, tu en veux ?

 

« Non, restes tout prés de moi, je t’en pris, je n’ai envie de rien. Ta présence me suffit.

 

-- A tes ordres monsieur le flic.

 

« Arrêtes, c’est un gros mot Faty.

 

-- Ah bon ? Pardon, je ne le savais pas. Et tu fais quoi exactement dans la flicaille…Eh pardon, je veux dire dans la police.

 

« Je ne te le dirai pas pour ne pas t'annoncer des mensonges ou des idioties.

 

-- Tiens, tu ne me fais plus confiance ?

 

« Ce n’est pas ça. Veux-tu changer de discussion, je n’aime pas m’étaler sur ce sujet.

 

--Tu es croyant Samy ? Je veux dire est ce que tu crois en Dieu ?

 

« Oui, j'en suis convaincu, intimement convaincu. Pourquoi tu me demandes cela ?

 

-- Bof, c’est une question c’est tout. Ecoutes Samy, ça te dirait d’aller jeter un coup d’œil sur cette falaise ? J’ai envie d’y aller demain humer un peu l’air marin.

 

« Oh non. Tu peux y aller toute seule.

 

-- Tu m’aimes vraiment Samy ?

 

« Et comment Faty ! Doutes-tu de mon amour?

 

-- Accompagnes moi demain alors…

 

« D’accord ? A une condition bien sûr ! Je voudrai que tu fiches le camp, ta fille t’attend toujours. Alors, fais moi plaisir, s’il te plait.

 

-- C'est tout ce que tu souhaites vraiment? Tu n'as rien à me dire?

 

" Je vais te le dire: si cette saloperie de maladie n'est pas une fin en soi, je suis comdamné à te faire souffrir et si l'amour est un crime, je suis coupable d'aimer. Veux-tu m'embrasser avant de partir....

 

extrait

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

Samy, de ses mains, lui entoura délicatement la tête et durent rester un long moment, face colée l’une contre l’autre dans un silence idyllique qui avait suscité l’admiration de plusieurs couples voisins qui assistaient timidement à cette dévotion à l’amour qui se faisaient sous leurs yeux. Samy et Faty ne se seront séparés que lorsque les pleurs envahirent leurs corps.

 

Ils se regardèrent, larmoyant, pleurant et ne dussent, se résoudre de ce qui leur arrivait

Tantôt deux sanglots tantôt un rire qui se faisaient entendre.

 

Cette scène émouvante et sensationnelle exprimée spontanément allait faire naître l’exaltation chez les femmes et les hommes qui se levèrent pour les acclamer chaleureusement, une ovation à l'unission qui ne semblait pas se terminer et enchaînée, subtilement, par le maitre des lieux, d'une une musique slow qui emplit et vibra les cœurs.

 

Samy et Faty avaient compris. D’une main tremblante, Samy tint celle de Faty, se levèrent et corps contre corps, menèrent une de ces danses des plus raffinées et des plus douces. Ils étaient sublimes et sensationnels.

 

Faty chuchota juste à l’oreille de Samy : Tiens moi bon Samy, je chavire, je risque de ne plus cordonner mes pas.

--Serres moi la main et tout ira bien, je t'aime mon amour,lui souffla Samy

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

Elle réveilla deux heures plus tard et découvrit Samy, toujours endormi sur le ventre, torse nu et s’émerveilla de la splendeur de son corps svelte et bien sculpté. Elle s’accouda, caressa de ses doigts les zébrures et esquissa un sourire. Emmerveillée, elle posa délicatement la tête sur son dos et huma l’odeur féline qui embaumait sa peau.

 

Samy se retourna fébrilement et, instinctivement, pris Faty dans ses bras en poussant un léger gémissement.

 

Le contact charnel allait donner suite à d’autres ébats amoureux, plus tendres et plus féroces à la fois, qui allaient les élever au plus haut point de l’extase puis à de la béatitude. Faty ne se réveilla que lorsqu’il lui présenta le petit déjeuner qu’elle dégusta sur le lit en se couvrant partiellement son buste, laissant entrevoir volontairement ses jolis seins.

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

.../...

 

….Pendant qu’elle savoura la tiédeur de l’eau, Faty découvrit avec stupéfaction un horrible suçon tellement rond qu’il ressemblait à une auréole. Le s.a.l.o.p ! Se disait-elle, il m’avait marqué sans que je m’en aperçoive. Enfin, c’était un duel, murmura-t-elle, la loi du talion étant mise ; dent pour dent, œil pour œil, zébrures contre suçon. Je vois qu’il ne m’avait que peu marqué. Cette estampille finira par disparaître dans une semaine, se consola t-elle....

 

 

En fait, Faty ne remarqua les autres traces des douces violences que lorsqu’elle se regarda dans la glace et poussa un cri d’horreur.

 

--« Samy !! S.a.l.o.p !

 

Elle se regarda le dos une nouvelle fois et ne revint pas en constatant que son dos ressemblait à un réseau routier. Elle se drapa d’une longue serviette et sorti en trombe, mains serrées en direction de la chambre à coucher, se dirigea vers la cuisine puis le salon, déterminée à lui coller les griffures les plus abjectes au visage.

 

Mais Samy qui avait flairé sa réaction, avait pris le large en lui laissant un bout de papier sur la table qu’elle saisit d’une main tremblante :

 

extrait

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN

.../...

 

 

Pendant qu’elle se lamentait, elle entendit un bruit à la porte. Elle bondit de son siège, serra ses poings puis sortit ses griffes et ouvrit violemment la porte. Elle tomba nez à nez avec une belle demoiselle aux yeux et à la chevelure d’un roux singulier dignes de ceux de ces belles muses qui inspiraient à la fois la possession et le délire divin.

 

C’était miss Univers, une Ourania des temps modernes

Link to post
Share on other sites
Guest Didine RAYAN
un petit coucou a toi :)

 

oui c'est souvent rigolo mais aussi tres fatigant ! mais hamdoulah :)

 

bon courage frero du net :)

 

Tu es là

pourquoi tu t'es donnée un tel pseudo?

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...