Rires et délires

[Guest Didine RAYAN]

LA DEMOCRATIE

 

 

 

Mais pourquoi non d’une pipe, ce chemin est-il long pour les algériens ? Pourtant, les bases pour assoir la démocratie et permettre au peuple de se saisir de sa destinée, ont été jetées dés le début des années 1990. Vingt longues années, presque déjà révolus, cela fait quand même une génération qui aurait pu germer et grandir dans un espace aure que celui de la dictature dans lequel, elle se voit aujourd’hui empêtrée. A qui reviendrait la faute alors ? La réponse parle d’elle-même. Si on bâillonne tout un peuple, si on le muselle en le privant de liberté, on pourrait le rabaisser, mais on n’en ferait jamais de lui un peuple docile pour assez longtemps. Il se rebiffera férocement contre l’ordre établi comme il l’a déjà fait auparavant. Le chemin sinueux de la liberté est marqué par le fer et le sang et le 5 Octobre en est une illustration. Il est aussi l’une des blessures de l’histoire qui ne se fermera que lorsque les dictateurs auront compris et laissé les rênes définitivement du pouvoir…La liberté ne se donne pas, elle s’arrache au prix des larmes et de sang.

[Guest Didine RAYAN]

 

Une magistrate du tribunal de Maghnia au milieu d’un scandale judiciaire

 

 

 

Un magistrat ne devrait jamais associer une passion personnelle, à son devoir, le cas échéant, il tomberait immanquablement, un jour ou l’autre, dans la dérision. C’est ce qui se serait produit, à son tiers dépendant, à cette dame qui s’attendait à tout, sauf à cette misérable surprise qui pourrait tout simplement, ruiné son radieux avenir. Mais au fait, que pourra-t-on lui reprocher exactement ? Divulgation de secrets professionnels ? Ca ne tiendrait pas la route du moment que 'l'indu détenteur des ces fameux documents’ y a un droit de regard ? Trafic d’influence ? Non plus. Atteinte à la déontologie, peut-être ; c’est ce qui est peu et beaucoup trop à la fois. Mais ça lui éviterait l’entrée en prison contre une petite sortie au raz des murs. Il semblerait que la juge n’était pas assez intelligente, sinon, elle aurait concocté une belle histoire à faire assommer le plus coriace des enquêteurs... Disons qu’il ne s’agirait, peut-être, que d’une novice éblouie par les charmes d’un truand de bas étages

[Guest Didine RAYAN]

Algérie : un dispositif de dernière génération pour surveiller Internet

 

 

 

Lorsque l’argent est bien placé, c’est tant mieux ; l’algérien sensé ne peut que se réjouir d’une louable initiative comme celle-ci. L’Internet est devenu, par la force des choses, un carrefour incontournable de la cybercriminalité comme partout dans le monde, avec un degré plus pour notre pays où la grande criminalité s’était développée, à la faveur des mutations, à un rythme assez inquiétant. Encore fallait-il engager tous les moyens légaux de lutte pour contrer ses étranges phénomènes de société, jadis méconnus, comme par exemple le terrorisme, le rapt, le trafic d’armes, de drogue et le blanchiment d’argent, pour ne citer que ces crimes qui minent incontestablement, depuis un certain temps déjà, le pays et risquent à la longue, de faire voler en éclat, le tissu social, déjà esquinté de toutes parts. Seulement, rien ne justifie de violer l’intimité de paisibles et d’honnêtes citoyens qui n’ont rien à avoir avec ces maux et rien ne motive le « muselage » en règle de ceux qui estiment donner une opinion qui ne sied pas avec la politique du moment, sous prétexte d’intérêt national. De tels dérapages nous renvoient incontestablement au passé, or, le passé, il n’est pas aussi reluisant pour en faire une référence.

[Guest Didine RAYAN]

Algérie-Egypte : l’imam de la Moquée al-Azhar va consacrer son prêche de vendredi au match

 

 

Et voilà que la religion s’implique de plein pied dans quelque chose qui ne la concerne nullement pas. Après les fetwas à la noix qui font reculer les musulmans des siècles en arrière, rebelote pour un décret originel, cette fois-ci pour le sport. C’est le seul domaine où El Azhar n’a, semble-t-il, pas imposer son avis. Et on aimerait savoir ce qu’il va pondre au monde arabe pour qu’il applique à la lettre les commandements divins contenus dans les hadiths secrets de Hassan Shahata. Peu importe ce qu’il va dire le vendredi du moment que les algériens sont sûrs d’une chose : A la place de leur emblème nationale, y aura de longues banderoles sur lesquelles on pourra lire « Ya rab, Enas’r, li Misr ». N’est-ce pas que Dieu a dit « Implorer-moi, je vous répond ». En tout cas c’est ce que pensent El Haramia, grand mufti en tête

[Guest Didine RAYAN]

forum .......???!!!!

 

?

[Guest Didine RAYAN]

t'as un message à faire passer?

je n'arrive pas de voir les gravures

[Guest lyz]

LA DEMOCRATIE

 

 

 

Mais pourquoi non d’une pipe, ce chemin est-il long pour les algériens ? Pourtant, les bases pour assoir la démocratie et permettre au peuple de se saisir de sa destinée, ont été jetées dés le début des années 1990. Vingt longues années, presque déjà révolus, cela fait quand même une génération qui aurait pu germer et grandir dans un espace aure que celui de la dictature dans lequel, elle se voit aujourd’hui empêtrée. A qui reviendrait la faute alors ? La réponse parle d’elle-même. Si on bâillonne tout un peuple, si on le muselle en le privant de liberté, on pourrait le rabaisser, mais on n’en ferait jamais de lui un peuple docile pour assez longtemps. Il se rebiffera férocement contre l’ordre établi comme il l’a déjà fait auparavant. Le chemin sinueux de la liberté est marqué par le fer et le sang et le 5 Octobre en est une illustration. Il est aussi l’une des blessures de l’histoire qui ne se fermera que lorsque les dictateurs auront compris et laissé les rênes définitivement du pouvoir…La liberté ne se donne pas, elle s’arrache au prix des larmes et de sang.

 

juste pour le "non d'une pipe" je sais ou tu te trouve didine.;)

[Guest Didine RAYAN]

click sur illustration

c tout

 

merci browneyes, j'avais aimé être dessinateur,

fort heureusement, les gravures ne sont pas apparues, sinon on t'aurait pour qq broutilles, de toute façon, je le connais, c'est le dilem bis:confused: