Guest Soizik Posted March 1, 2015 Partager Posted March 1, 2015 Là tu mérites des fleurs...:40::40::40::40::40: merci pour toutes ces fleurs Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted March 1, 2015 Partager Posted March 1, 2015 Evidamou que les musulmans ont de l'humour. Il y a des anecdotes sur certains sahabas très drôles. Citer Link to post Share on other sites
belkarem 228 Posted March 1, 2015 Author Partager Posted March 1, 2015 j'aurais dit les poules gloussent mais vous semez le doute...ou alors Philippe Bouvard...:D une poule ca peut glousser aussi mais en général elle caquette ou cretelle ...( merci google :D) Citer Link to post Share on other sites
belkarem 228 Posted March 1, 2015 Author Partager Posted March 1, 2015 Evidamou que les musulmans ont de l'humour. Il y a des anecdotes sur certains sahabas très drôles. fais nous rire avec les sahabas Citer Link to post Share on other sites
Guest Soizik Posted March 1, 2015 Partager Posted March 1, 2015 une poule ca peut glousser aussi mais en général elle caquette ou cretelle ...( merci google :D) :eek: je viens de trouver ça... glousser /glu.se/ intransitif 1er groupe (conjugaison) Faire son cri de communication avec ses congénères, en parlant de la poule. Les fermes elles-mêmes dorment profondément. Seuls, les chats rôdent et les poules gloussent alentour. — (Octave Mirbeau, Le Tripot aux champs, Le Journal, 27 septembre 1896) Ce second appel n’eut pour résultat que d’effaroucher les poules qui s’égaillèrent en gloussant et en battant de l’aile. — (Octave Mirbeau, Le Père Nicolas, dans Lettres de ma chaumière, 1885) (Par analogie) Crier en parlant de la perdrix, de la dinde ou de la gelinotte. (Figuré) (Péjoratif) Pousser de petits cris à la manière de rires étouffés, en parlant d’humains. L’autre, cette grosse fille qui se tapait sur les cuisses, qui gloussait comme une poule, dégageait autour d’elle une odeur de vie. — (Émile Zola, Nana, 1881) Des dames, dont l’illustre Pulcherie, romancière, qui ne cesse de glousser et de rire sur le mode aigu. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, 1930, p. 214) Citer Link to post Share on other sites
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