Yasser Arafat où une mort programmée

[Guest Didine RAYAN]

Depuis quelques jours, les membres du bureau d’Al Jazeera ont été priés de plier bagages et de vider les territoires occupés - illico presto

 

Al Jazeera n’émet plus à partir de ces territoires et ce, après avoir tendu son micro à un membre fondateur du FATAH, Farouk Kaddoumi qui a accusé nommément Abou Mazen (Mahmoud Abbas) et Mohamed Dahlene, d’avoir contribué avec l’Etat sioniste, pour éliminer physiquement le chef charismatique YASER Arafat par le recours à empoisonnement

 

Farouk Kaddoumi, qui ne s’entendait plus avec le chef de l’autorité palestinienne depuis plusieurs années, pointe du doigt les deux hauts responsables en présentant aux journalistes, preuve à l’appui, des documents compromettants, écrits à la main, lors d’une réunion tenue secrètement, pouvant constituer, ce qu’on appelle en jargon judiciaire, un commecement d’exécution.

 

Farouk Kaddoumi soutient mordicus que Yasser Arafat n’était pas de mort naturelle, mais assassiné. Il déclare que ce sont les médecins de ce dernier (palestiniens, égyptiens et tunisiens) qui lui ont confirmé que les symptômes relevés sur son visage et son corps, sont ceux d’un empoisonnement.

 

DR

[EURIKA 10]

Depuis quelques jours, les membres du bureau d’Al Jazeera ont été priés de plier bagages et de vider les territoires occupés - illico presto

 

Al Jazeera n’émet plus à partir de ces territoires et ce, après avoir tendu son micro à un membre fondateur du FATAH, Farouk Kaddoumi qui a accusé nommément Abou Mazen (Mahmoud Abbas) et Mohamed Dahlene, d’avoir contribué avec l’Etat sioniste, pour éliminer physiquement le chef charismatique YASER Arafat par le recours à empoisonnement

 

Farouk Kaddoumi, qui ne s’entendait plus avec le chef de l’autorité palestinienne depuis plusieurs années, pointe du doigt les deux hauts responsables en présentant aux journalistes, preuve à l’appui, des documents compromettants, écrits à la main, lors d’une réunion tenue secrètement, pouvant constituer, ce qu’on appelle en jargon judiciaire, un commecement d’exécution.

 

Farouk Kaddoumi soutient mordicus que Yasser Arafat n’était pas de mort naturelle, mais assassiné. Il déclare que ce sont les médecins de ce dernier (palestiniens, égyptiens et tunisiens) qui lui ont confirmé que les symptômes relevés sur son visage et son corps, sont ceux d’un empoisonnement.

 

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salam didine:

rien ne me choque..tout est possible, jusqu'a preuve du contraire!!!