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Peut on dire : l'algerie a deserté l'histoire pour se raconter comme tout les peuples


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Bonjour

 

Peut on dire : l'algerie a déserté l'histoire pour se raconter comme tout les peuples

qu'elle s'est laisser bercé par ceux qui racontaient

 

Peut on dire : l'algerie a déserté l'histoire pour se raconter

 

si bien qu'il est raconte par les autres

 

peut on aussi dire qu'il a été absent pour dire des vérités si bien qu'on en a inventer

 

dans quelle logique se trouve l'algerie

 

est elle nature

 

ou est elle prête a s'associer avec n'importe qui et n importe quoi

 

chose qu'elle fait déjà

 

en disant cela on touche qui comme Algérien?

 

somme nous tous pour la même chose ?

 

qu'est ce qu'être aujourd'hui Algérien

 

on a l'israélien de France et d'Israël qui se dit être Algérien

 

on a le colonisateur qui se dit être Algérien

 

mais est ce que , quand moi je dit aux français en général quand il disent mais qui nous sommes ? je leur dit vous êtes Algériens!

 

et le monde entiers est Algériens

 

alors ils me disent tu crois tu en es sur ? je leur affirme que ou

 

et on éclatent de rire

 

Eh l'algérien réveille toi raconte toi et fait toi connaitre d'autre l'on fait mais toi pas encore

il y eut des prêtre déjà ils avaient déjà écrit l'algerie et des colonisés aussi a leurs manière particulière

allez il est temps et enfin c'est a ton tour l'Algerien

 

car qui te raconte aujourd'hui?

 

et comment il te raconte?

 

 

on a dit et fait voter une loi en date du 23 février 2005 pour dire que:

la colonisation était un bien fait

 

ou est celui qui a eut faim celui qui eut soif

celui qui avait besoin de soins ert qui n'avait pas trouvé et avait pas de moyens

 

celui a qui on assassiner son père sa mère es frères et sœur sa famille toutes entière

 

celui qu'on a amener son père dans les camps e concentration oui des camps de concentration en Algérie comme les allemand les avait fait pour les français en 40

 

ou celui qui est aujourd'hui orphelin de sa famille par la guerre

ou celui qu'on a pris pour cible son père et ses frères comme çà pour le plaisir

 

pourtant ils étaient des civiles

 

ou celui qui a vécu comme un étranger dans son propre pays

ou celui qui a vécu sans droit dans son propre pays

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le grand zorro le beau zorro.

 

Désolée , qui raconte l'algérie je ne sait pas certainement les historiens les journalistes le peuple algérien .

 

Je ne sait pas je n'est pas assez de culture d'experience de savoir .

 

Mais j'aimerais connaitre la réponse .

 

Bonjour Pmat .

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le grand zorro le beau zorro.

 

Désolée , qui raconte l'algérie je ne sait pas certainement les historiens les journalistes le peuple algérien .

 

Je ne sait pas je n'est pas assez de culture d'experience de savoir .

 

Mais j'aimerais connaitre la réponse .

 

Bonjour Pmat .

 

BONJOUR ANDROMAQUE

PAR TA BONTE TU AS SU DIRE MIEUX QUE MOI ET BIEN PLUS QUE MOI

 

oui mon cris est si petit devant ton message

c'est très beau ce que tu vie de dire

 

attendons justement alors les reponses

 

bonjour a toi également

 

ce fut un honneur pour moi de te lire

 

ton message va me faire passer une tres bonne journée

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non, non!!

oh!! que non

l'ALGERIEN N'EST PAS MORT

il est comme le phénix

il renait de ses cendres

tout à fait d'accord pmat, l'Algérien et l'Agérienne ont toujours garder la tête haute malgrés les problèmes qu'ils rencontrent

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tout à fait d'accord pmat, l'Algérien et l'Agérienne ont toujours garder la tête haute malgrés les problèmes qu'ils rencontrent

 

bonjour inas

plus en tous qu'un Algérien tu meurs

comme a tout les extrêmes

AMOUR

DIGNITÉ

FRATERNITÉ

ENTRAIDE

CHARITABLE

mais comme tous les chemins mènent a ROME

tout ces qualités mènent aussi a la tromperie a la duperie

ET donc il devient AUSSI

HAINEUX

hargneux

intrépide

accusateur

et dénonciateur

 

souvent allant jusqu'au je-m'en-foutiste complet

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oui c'est un pays a reformes

oui c'est un pays enormes

en structure et en normes

 

oui c'est un prix

oui c'est par çà qu'est pris l'esprit

 

il faut reagir et construire

 

tout, tout de A a Z

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Pas mal pour l'emigration

 

Pas mal pour l'emigration

 

 

 

L'événement

Ouverture, hier, de l’Université d’été de la Communauté nationale à l’étranger : Ils ont dis

Des ministres ont souligné, hier à Alger, à l'occasion de l'université d'été de la communauté nationale à l'étranger, l'importance de l'apport des compétences algériennes établies à l'étranger, aux efforts du développement engagés par l'Etat algérien. Lire...

 

EL MOUDJAHID

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tu as detroné zombretto papy, yatik essaha:mdr:

 

bonjour chere yanate

 

detroner Zombretto?

pas facile

il a toujour ses petits phrases

 

ou comme une guirlande et chevauchant

 

comment va tu?

 

au fait tu as lu ce que l'historien finalement s'addone

 

sa amuse la galerie au lieu de raconter

 

“Ce passé glorieux ne relève pas de la chimère”

Taille du texte: Voilà un espace de temps, une éclipse par trop passagère, un silence timide, et comme si ascète, que nous n’avons rencontré votre personne. Tels ces lions qui se cachent dans leurs tanières, vous avez préféré scruter le mouvement impétueux d’une société au sortir d’une période malheureuse qui a secoué les fondements de notre pays, mais dont les immenses vagues déferlantes d’une “mer déchaînée” sont venues se briser sur une détermination et une foi insoupçonnable qui animent des hommes dont l’amour pour leur patrie n’a point d’égal.

Votre contribution sur les colonnes d’“El Watan” et d’El Moudjahid dans laquelle vous évoquez “un homme d’exception” est venue à point nommé pour apporter un souffle régénérateur pour parler de la grandeur de cet Homme et de son parcours intimement lié à l’Algérie. Et de “l’exception” nous parvenons au fil de notre lecture à un “summum”, car “l’homme de génie a plus appris que l’homme du peuple, et là est toute la différence”. Pour ceux atteints d’agnosie, il s’avère difficile pour eux, voire impossible de déceler les symboles que renferme votre texte qui “n’est nullement un assemblage de mots, aride, désuet, limité parfois par la langue française”. Certes il évoque dans un désordre la marche de cet Homme, mais ne dit-on pas qu’ “Un beau désordre est toujours un effet de l’art !”

Dans votre ouvrage, sous le titre De l’utilité dans le choix des chefs, vous dressez un tableau qui détermine avec précision et minutie les qualités et aptitudes qui font de tel homme ou tel autre homme, un chef capable de commander, de guider son groupe vers l’objectif qui lui est assigné. Vous avez parlé de Bouteflika, sans aucune flagornerie, ni recouru au “spoofing” ou exécuté des “ballabiles’’, car Bouteflika “gardera cette rare fortune d’être entré vivant dans l’histoire et de voir son nom composer un patrimoine de vertus que les mémoires les plus illustres pourront, à bon droit, lui envier. (...) Cette conscience inlassable, à exercer son rôle de conducteur de peuple. (Sa) charge, sur les multiples problèmes que pèse chaque jour, la vie complexe d’un Etat (...) Ses résolutions sont “immédiates”, héroïques et sûres, dictées par sa force d’âme, son sentiment de l’honneur, son esprit politique.

Monsieur, vous avez abordé un sujet d’une grande réflexion, que notre jeunesse doit s’en imprégner. Vous qui aviez participé aux côtés des autres frères d’armes à la lutte armée de libération nationale. Vous qui aviez par la suite étudié le “métier de soldat” puis enseigné dans les grandes écoles militaires de l’ANP, vous avez traité le thème en question afin d’“élargir les horizons” et “donner fierté, confiance et désir” notre jeunesse, car “notre époque en effet est agitée par un souffle puissant d’indépendance.

La jeunesse aspire dans sa passion de justice et d’égalité, à un avenir meilleur, à une plus grande élévation des esprits et des cœurs (...)”

Mais ne voilà-t-il pas qu’un tollé est soulevé et sans raison gardée “abreuve la jeunesse de discours délirants frisant la parodie”, pour se transposer aisément de l’art de la critique, aux imprécations, au dénigrement aux persiflages, à la calomnie. A quelle campagne électorale assistons-nous ?

Monsieur, vous n’avez point abordé le sujet portant sur cet “homme d’exception”, sans sagesse, sans aller puiser dans une somme de références, surtout que “le sage n’affirme rien qui ne prouve”. Vous avez consacré un demi-siècle au service de la Patrie, dans les rangs de l’ALN et ensuite au sein de l’ANP.

Permettez-moi de rapporter à titre de témoignage cette reconnaissance de la part d’un officier général de l’armée française, le général Eric de La Maisonneuve qui écrit dans son ouvrage Le métier de soldat (...) “Le sous-lieutenant que j’étais alors (...) reçut ainsi pour mission le 30 juin 1962 de conduire un convoi de vingt camions et de quatre cents “libérables” du secteur d’Aïn Sefra dans le sud-oranais jusqu’au port d’Oran (...) Nous parvinrent aux abords d’Oran à 2 heures du matin ce fameux 1er juillet. Nous nous sommes trouvés soudainement plongés dans l’effervescence d’une ville survoltée, pris dans ce tourbillon, le convoi a été aussitôt éclaté, morcelé, égaré, totalement incapable de rejoindre sa destination, une base de transit pourtant peu éloignée.

“(...) Pour ma part, totalement incapable de mener ma mission à son terme j’avais surtout la rage au cœur : après des mois de course incessante dans les djebels à la recherche de fellaghas, je me trouvais brutalement environné de centaines d’entre eux sillonnant la ville (...) A bout de moyens, j’ai dû demander à ces hommes de m’aider à reconstituer mon convoi et de le conduire à son but.

“C’est ainsi que l’ALN suppléa mon armée défaillante pour me permettre de remplir cette ultime mission sur le territoire algérien”.

Monsieur, vous avez parcouru au lendemain de l’indépendance cette région de Mechria, d’Aïn Sefra, vous avez effectué un long séjour à Djienne Bourezgh, où vous avez rencontré hadj Bousmaha, le chahid qui survécut à la mort.

Vous avez longtemps sillonné le Hoggar et retracé l’itinéraire emprunté par l’état-major de la Wilaya VI, sous le commandement de Si Abdelkader El-Mali. Dans votre livre sur “Maqam Echahid” vous rapportez le martyr vécu par le moudjahed Bousmaha ainsi que les noms des valeureux guerriers de la Révolution de Novembre 54. Faut-il ajouter la grande bataille d’El-Djorf, dans la wilaya de Tébessa, que le musée central de l’ANP, a reconstitué sur une maquette, sous votre direction à la tête de la communication, de l’information et de l’orientation, au niveau du ministère de la Défense nationale.

Monsieur, vous avez abordé dans votre sujet, la Wilaya VI de l’ALN et par voie de conséquence, la région du Hoggar, tout particulièrement. Cet espace que vous avez bien consigné dans votre livre El Hoggar : Amdjad wa Andjad, ne vous est pas inconnu, puisque vous y aviez effectué un long séjour. Alors faut-il parler de Tin-Zaouatine, de Timiaouine, d’In Guezzam, du Tanezrouft, d’Ighalian, de Tadjmount, d’In-Ghar, d’In-Salah, sans oublier Amguid et bien sûr Tamanrasset ?

Monsieur, votre contribution désintéressée, se résume aussi, dans votre participation à la présente campagne de sensibilisation et de rencontres que vous ont mené à travers le territoire national, dans le cadre du soutien à notre candidat indépendant, Abdelaziz Bouteflika.

A Tébessa, les 10 et 11 mars 2009, vous avez pris part aux travaux de “la première conférence internationale sur les crimes perpétrés en Algérie par la colonisation française”. Votre intervention a consacré un important chapitre, aux élections présidentielles, en faisant remarquer que le vote en tant que tel, n’est ni un droit ni un devoir, mais bien plus, il représente un acte de souveraineté, une profession de foi, une conviction intime. C’est là, un témoignage et un respect envers soi-même, d’un côté et d’un autre, une considération et une profonde communion avec les candidats présents à cette consultation nationale.

A l’université de Sétif, devant un important parterre d’étudiants et de professeurs vous avez longuement abordé le thème en question. A Ouled Djellal, Doucen et Chaïba, à Djelfa, à Laghouat, vous avez traité du bien-fondé de la participation de tout un chacun de nous à ces élections, et mis en garde contre l’abstention et les sirènes du boycott, dont le dessein est de leur permettre de continuer à se débattre en eaux troubles.

Pourquoi se désister ? Pourquoi faire acte d’allégeance avec de tels comportements vindicatifs et acariâtres ? Alors que nous savons très bien que certains “politiques” tentent de renverser la pyramide. Ces bons apôtres de l’opposition veulent — Sisyphe — noircir l’ivoire et blanchir l'ébène.

Monsieur, vous avez, également, axé votre discours sur la portée de ces élections, quant à l’option du candidat appelé à diriger le pays, au lendemain du 9 avril 2009. Il s’agit de choisir le candidat le plus apte à assumer cette mission. Je retiens cette référence qui cite un hadith de notre Prophète Mohamed, que le Salut et la Grâce soient sur lui. Il proclame : “Nul ne pourra humer la fragrance du Paradis, s’il vient à désigner un tout autre que celui plus apte et plus à même d’assurer cette tâche.”

 

Par Hamoudi El-Bachir

Professeur d’histoire à la retraite.

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Avant de me detroner

... encore faudrait il

... que je sois trone

... et pour le moment

... je ne suis qu'un

... plombier a ton service

... pour te reparer ta baignoire

 

d'ou il y a des fuites

 

et du trop plein

 

mais mais voici une ligne de conduite a suivre

 

Logement : Un élément clé de l’expression de la solidarité nationale

 

La bataille du logement restera pour le quinquennat qui s’ouvre une bataille à mener avec la rigueur qui sied pour rattraper les énormes retards pris

Lire...

 

EL MOUDJAHID

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Algerie d’hier a aujourd’hui par mon 1 novembre 1954

 

Pour tous les acteurs qui se sont associé pour hissé enfin notre soleil

Pour que l’algerie puissent être à la lumière !

Qui peut contester l’un d’eux ?

Se sera ingrats venant de qui que se soit

Qui peut être aujourd’hui autan ?

Notre chance était de les avoir

Tombé autour d’eux 1,5 millions de chouhadas

Devant et par mis nous aujourd’hui ceux qui ont échappé

A ce massacre, aux arrestations et aux tortures et même a aux mitraillages.

Atteint à cause du risque, blessés et toujours responsable le verbe était de continué

Un courage dépassant la force de l’homme normale a cela ils étaient disciplinés

Leur mémoire est en nous, non on ne peut l’oublier

Nous qui étions les contacts mobiles, on était fier a leur vue et eux étaient encouragé de note patriotisme.

Grâce à ces deux immenses statues des villes et des campagnes qui étaient el-moudjahidine et de l’autre la population

Oui la population on lui doit des honneurs car tout serait pas arrivé sans elle

L’une de ses statues mortes défunte pour qui on rend hommages l’autre des vivants blessés malades à cause d’avoir subit par la guerre mais fière d’avoir vu de ses yeux enfin la lumière sur le sol de son pays, son drapeau flotté et les reines du pays entre les mains des algériens

Aujourd’hui chaque région raconte sa version des faits mais l’essentielle c’est qu’on a étaient tous acteurs de cet événement cher aux algériens

Fière,heureux de joie, et toujours majestueux le jour anniversaire du 1 Novembre qui nous rassemble en amoureux.

Liberté tu es ma vie, liberté tu m’avais séduit

Liberté tu es mon algerie

Toit uses en aujourd’hui mais souvient toi en bien ce qu’elle a coûté

Quand on là, il faut la garder !

Car ils, sont mort pour une algerie, qui soit aujourd’hui a ton goût

A toi aujourd’hui d’y intègre plus de solidarité, de droit, de justice, de fraternité, de concorde, et de générosité

A cause de la douleur et de la pauvreté on passe a coté de ses valeurs

Vaut mieux tard que jamais se dire

Que les discours passe, planter un arbre et faire des œuvres elles restent !

Remontons nos manches et faisons honneur a nos pères

Comme l’algerie est resté attelé pour un soleil pour tous universellement et c’est entendu dans le monde ! Sache que son toi moi je ne suis rien comme cet écrit si tu n’es pas là pour l’entendre ou le lire, il ne servirait à rien, pour au moins se faire une idée, un état seule ne peut rien comme pour notre révolution tous ensembles,

Pou construire notre pays dans la modernité,comme on dit une partie propose et l’autre doit disposé c’est ça l’entente

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  • 3 weeks later...

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