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Que pensez-vous des plages algériennes en particulieret du tourisme en général


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Salam à tous les algériens

 

Je vous poste cet article que j'ai lu ce matin sur l'un de nos quotidiens .

Prochainement, je vous posterai un billet sur nos plages , sur le comportement des gens et sur la mentalité de certains de nos estivants.

 

Squatteurs, sexisme et voyous

Le littoral algérois perd de son authenticité

 

Musarder le long du littoral algérien nous renseigne tant bien que mal sur l’état du peu d’infrastructures qui existe. Comparé à nos voisins marocains et tunisiens, l’Algérie enregistre un retard énorme en matière de tourisme, de gestion, d’accueil, de culture, de prestations, de services et d’infrastructures. Au niveau de la capitale, même constat, les plages algériennes non exploitées sont livrées aux mains d’énergumènes qui usent de leur diktat pour spolier le domaine public et le détourner en leur faveur. Première halte, la plage El-Kettani à Bab-El-Oued, un endroit très fréquenté par les baigneurs et les familles. Des familles venues parasols en mains n’ont guère le choix que d’aller deux longueurs plus loin planter leurs parasols et si par malheur elles ne s’exécutent pas, elles risquent d’être insultées ou prises à partie. Pourtant, une circulaire émanant du wali interdisant toute installation a été mise en service, néanmoins il semblerait que cette note ne soit pas du tout appliquée par les autorités locales. Ce qui est frappant aussi à première vue, c’est l’esprit étroit des gens qui imposent des lois vides de tout sens. Des témoignages nous ont fait part de certaines pratiques vis-à-vis de la gent féminine. “Ils ont reproché à certaines filles de s’habiller incorrectement”, c'est-à-dire pas de maillot de bain et surtout pas de bikini. “Ce n’est pas notre culture, nous dira un vendeur de cigarettes. Ici, il y a des familles et c’est intolérable de voir des filles se balader à moitié nues.” Nous quittons cet endroit en direction de la plage Le Phare, une plage et des criques d’une beauté à vous couper le souffle, néanmoins cet endroit a perdu de son charme et de son authenticité. Ici c’est la plage des interdits par excellence. Les femmes sont toutes voilées et les couples en tenue légère. Ici un seul mot d’ordre “pudeur”. L’endroit est assez réservé, et les voleurs rôdent autours des baigneurs tels des hyènes qui cherchent à piquer un bout de viande aux fauves. Les voyous aussi ont squatté les lieux pour vous gâcher la journée. La seule plage qui a gardé un peu de son charme est la Pérouse. Sur place on peut déguster des glaces sans subir les affres des voleurs ou des voyous. Néanmoins et comme partout ailleurs les plagistes piétinent sur le domaine public pour vendre et louer. L’endroit branché de la capitale durant l’été c’est Kiffan-Club où l’entrée se négocie autour de 800 DA. A l’intérieur, on vous offre transat et parasol au bord d’une grande piscine dotée de toboggans. On y trouve des comportements à l’occidental, une liberté qui fait défaut sur la majorité des plage algéroises, bikini et shorty sont de mise. L’ambiance est aux airs de musique du célébrissime DJ David Guetta. Les gens dansent, rient, chantent et nagent. Mais les aAlgérois face à cette situation préfèrent voir ailleurs, leurs destinations : Béjaïa ou Boumerdès. Les plus aisés préfèrent quitter carrément le pays pour se rendre pour la plupart chez notre voisin tunisien. A Alger, les infrastructures font énormément défaut, pas d’hôtels ni de complexes touristiques et les rares établissements pied dans l’eau offrent des prestations de piètre qualité à des prix très élevés en haute saison. Pour ceux qui n’ont pas les moyens de partir à l’étranger ou de quitter Alger, c’est très difficile de trouver un endroit qui corresponde à son attente sans rencontrer des soucis. C’est cela passer ses vacances dans l’Algérois. Alors avant de parler de tourisme balnéaire, il faut d’abord assurer à ces concitoyens des plages et des infrastructures dignes d’un pays qui possède 1 200 km de littoral, lui garantir une sécurité et faire des plages un endroit gai et enchanteur où on peu nager, écouter le bruit des vagues sans subir les affres des voyous, des voleurs ou d’énergumènes qui exploitent le domaine public en défiant les lois et vous font payer ce qui ne leur appartient pas.

 

 

 

Hacène Merbouti

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Salam à tous les algériens

 

Je vous poste cet article que j'ai lu ce matin sur l'un de nos quotidiens .

Prochainement, je vous posterai un billet sur nos plages , sur le comportement des gens et sur la mentalité de certains de nos estivants.

 

Squatteurs, sexisme et voyous

Le littoral algérois perd de son authenticité

 

Musarder le long du littoral algérien nous renseigne tant bien que mal sur l’état du peu d’infrastructures qui existe. Comparé à nos voisins marocains et tunisiens, l’Algérie enregistre un retard énorme en matière de tourisme, de gestion, d’accueil, de culture, de prestations, de services et d’infrastructures. Au niveau de la capitale, même constat, les plages algériennes non exploitées sont livrées aux mains d’énergumènes qui usent de leur diktat pour spolier le domaine public et le détourner en leur faveur. Première halte, la plage El-Kettani à Bab-El-Oued, un endroit très fréquenté par les baigneurs et les familles. Des familles venues parasols en mains n’ont guère le choix que d’aller deux longueurs plus loin planter leurs parasols et si par malheur elles ne s’exécutent pas, elles risquent d’être insultées ou prises à partie. Pourtant, une circulaire émanant du wali interdisant toute installation a été mise en service, néanmoins il semblerait que cette note ne soit pas du tout appliquée par les autorités locales. Ce qui est frappant aussi à première vue, c’est l’esprit étroit des gens qui imposent des lois vides de tout sens. Des témoignages nous ont fait part de certaines pratiques vis-à-vis de la gent féminine. “Ils ont reproché à certaines filles de s’habiller incorrectement”, c'est-à-dire pas de maillot de bain et surtout pas de bikini. “Ce n’est pas notre culture, nous dira un vendeur de cigarettes. Ici, il y a des familles et c’est intolérable de voir des filles se balader à moitié nues.” Nous quittons cet endroit en direction de la plage Le Phare, une plage et des criques d’une beauté à vous couper le souffle, néanmoins cet endroit a perdu de son charme et de son authenticité. Ici c’est la plage des interdits par excellence. Les femmes sont toutes voilées et les couples en tenue légère. Ici un seul mot d’ordre “pudeur”. L’endroit est assez réservé, et les voleurs rôdent autours des baigneurs tels des hyènes qui cherchent à piquer un bout de viande aux fauves. Les voyous aussi ont squatté les lieux pour vous gâcher la journée. La seule plage qui a gardé un peu de son charme est la Pérouse. Sur place on peut déguster des glaces sans subir les affres des voleurs ou des voyous. Néanmoins et comme partout ailleurs les plagistes piétinent sur le domaine public pour vendre et louer. L’endroit branché de la capitale durant l’été c’est Kiffan-Club où l’entrée se négocie autour de 800 DA. A l’intérieur, on vous offre transat et parasol au bord d’une grande piscine dotée de toboggans. On y trouve des comportements à l’occidental, une liberté qui fait défaut sur la majorité des plage algéroises, bikini et shorty sont de mise. L’ambiance est aux airs de musique du célébrissime DJ David Guetta. Les gens dansent, rient, chantent et nagent. Mais les aAlgérois face à cette situation préfèrent voir ailleurs, leurs destinations : Béjaïa ou Boumerdès. Les plus aisés préfèrent quitter carrément le pays pour se rendre pour la plupart chez notre voisin tunisien. A Alger, les infrastructures font énormément défaut, pas d’hôtels ni de complexes touristiques et les rares établissements pied dans l’eau offrent des prestations de piètre qualité à des prix très élevés en haute saison. Pour ceux qui n’ont pas les moyens de partir à l’étranger ou de quitter Alger, c’est très difficile de trouver un endroit qui corresponde à son attente sans rencontrer des soucis. C’est cela passer ses vacances dans l’Algérois. Alors avant de parler de tourisme balnéaire, il faut d’abord assurer à ces concitoyens des plages et des infrastructures dignes d’un pays qui possède 1 200 km de littoral, lui garantir une sécurité et faire des plages un endroit gai et enchanteur où on peu nager, écouter le bruit des vagues sans subir les affres des voyous, des voleurs ou d’énergumènes qui exploitent le domaine public en défiant les lois et vous font payer ce qui ne leur appartient pas.

 

 

 

Hacène Merbouti

 

bonjour nahbal

merci pour l'info

cet article on aurais pus l'écrire nous même

 

car cela meme qui est constater

 

que rencontrera le peuple Algérien et en tout sujet de notre societé

 

ou tout est vide de sens et de propos comme le sont nos structures

 

sans argumentation respectueuse de RÈGLES DES INFRASTRUCTURE

 

comme on a les routes sans règles

et sans lois

 

le citoyen local Algerien est déjà pas respectueux

en jouant le ce n'est pas moi c'est les autres

 

car on fait de l'interdit

et l'interdit attire

 

toi et ta famille vous prenez le frais et d'autre y viennent

 

bah y gasrooooo qu'ils disent

 

donc ou l'un ou l'autre n'est pas a sa place

 

la plage est pour des voyeurs

 

de plus l'émigré en Europe ne va pas a la plage en générale

 

c'est tout nouveau ces choses

 

la piscine et la plage

 

de plus c'est un sujet malsain

et indebattable entre nous Algeriens

 

L'ÉMIGRÉ EST UN ALGÉRIEN IL RENTRE CHEZ LUI

IL N'EST PAS RENTRE CHEZ LUI POUR ALLER SUR LES PLAGES ET POUR ALLER DANS LES RESTAURANTS

 

C'EST UNE MODE NOUVELLE que d'ailleurs le sujet est pour tout cela

 

si c'est pour çà

moi je préférerais aller ici sur les plages française on est moins heurté et même éviter

donc plus tranquille

 

c'est ma conception personnelle

 

mais je tien a dire que je n'impose rien

 

c'est personnelle et c'est me concernant moi même

 

 

CAR QUAND ON SAIT QUI ON EST

QUI PEUT REGARD EN FACE SON AUTRE MOI QUI EST DANS LA FAMILLE QUI EST INSTALLER LA SUR LA PLAGE

sans ressentir qu'on gène

 

alors que c'est le contraire qui est constater

car oui je en dois pas faire ou me comporter

ce que je n'aimerais pas qu'on me fasse ou qu'on se comporte envers moi

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Salam à tous les algériens

 

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Prochainement, je vous posterai un billet sur nos plages , sur le comportement des gens et sur la mentalité de certains de nos estivants.

 

Squatteurs, sexisme et voyous

Le littoral algérois perd de son authenticité

 

Musarder le long du littoral algérien nous renseigne tant bien que mal sur l’état du peu d’infrastructures qui existe. Comparé à nos voisins marocains et tunisiens, l’Algérie enregistre un retard énorme en matière de tourisme, de gestion, d’accueil, de culture, de prestations, de services et d’infrastructures. Au niveau de la capitale, même constat, les plages algériennes non exploitées sont livrées aux mains d’énergumènes qui usent de leur diktat pour spolier le domaine public et le détourner en leur faveur. Première halte, la plage El-Kettani à Bab-El-Oued, un endroit très fréquenté par les baigneurs et les familles. Des familles venues parasols en mains n’ont guère le choix que d’aller deux longueurs plus loin planter leurs parasols et si par malheur elles ne s’exécutent pas, elles risquent d’être insultées ou prises à partie. Pourtant, une circulaire émanant du wali interdisant toute installation a été mise en service, néanmoins il semblerait que cette note ne soit pas du tout appliquée par les autorités locales. Ce qui est frappant aussi à première vue, c’est l’esprit étroit des gens qui imposent des lois vides de tout sens. Des témoignages nous ont fait part de certaines pratiques vis-à-vis de la gent féminine. “Ils ont reproché à certaines filles de s’habiller incorrectement”, c'est-à-dire pas de maillot de bain et surtout pas de bikini. “Ce n’est pas notre culture, nous dira un vendeur de cigarettes. Ici, il y a des familles et c’est intolérable de voir des filles se balader à moitié nues.” Nous quittons cet endroit en direction de la plage Le Phare, une plage et des criques d’une beauté à vous couper le souffle, néanmoins cet endroit a perdu de son charme et de son authenticité. Ici c’est la plage des interdits par excellence. Les femmes sont toutes voilées et les couples en tenue légère. Ici un seul mot d’ordre “pudeur”. L’endroit est assez réservé, et les voleurs rôdent autours des baigneurs tels des hyènes qui cherchent à piquer un bout de viande aux fauves. Les voyous aussi ont squatté les lieux pour vous gâcher la journée. La seule plage qui a gardé un peu de son charme est la Pérouse. Sur place on peut déguster des glaces sans subir les affres des voleurs ou des voyous. Néanmoins et comme partout ailleurs les plagistes piétinent sur le domaine public pour vendre et louer. L’endroit branché de la capitale durant l’été c’est Kiffan-Club où l’entrée se négocie autour de 800 DA. A l’intérieur, on vous offre transat et parasol au bord d’une grande piscine dotée de toboggans. On y trouve des comportements à l’occidental, une liberté qui fait défaut sur la majorité des plage algéroises, bikini et shorty sont de mise. L’ambiance est aux airs de musique du célébrissime DJ David Guetta. Les gens dansent, rient, chantent et nagent. Mais les aAlgérois face à cette situation préfèrent voir ailleurs, leurs destinations : Béjaïa ou Boumerdès. Les plus aisés préfèrent quitter carrément le pays pour se rendre pour la plupart chez notre voisin tunisien. A Alger, les infrastructures font énormément défaut, pas d’hôtels ni de complexes touristiques et les rares établissements pied dans l’eau offrent des prestations de piètre qualité à des prix très élevés en haute saison. Pour ceux qui n’ont pas les moyens de partir à l’étranger ou de quitter Alger, c’est très difficile de trouver un endroit qui corresponde à son attente sans rencontrer des soucis. C’est cela passer ses vacances dans l’Algérois. Alors avant de parler de tourisme balnéaire, il faut d’abord assurer à ces concitoyens des plages et des infrastructures dignes d’un pays qui possède 1 200 km de littoral, lui garantir une sécurité et faire des plages un endroit gai et enchanteur où on peu nager, écouter le bruit des vagues sans subir les affres des voyous, des voleurs ou d’énergumènes qui exploitent le domaine public en défiant les lois et vous font payer ce qui ne leur appartient pas.

 

 

 

Hacène Merbouti

 

d'apres la comparaison entre l'année pac et cette année

des plages propres sont moins de plus en plus

ps : je prle de l'eau de la mer

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Guest kastor
d'apres la comparaison entre l'année pac et cette année

des plages propres sont moins de plus en plus

ps : je prle de l'eau de la mer

 

tu es sure que tu vas bien???

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