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Racontez-nous une histoire extraordinaire


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Guest Didine RAYAN
Les deux :D

 

tu te trompes alors

je ne suis qu'un ange déchu

 

bon, pour te faire plaisir, voici une tranche d'histoire de diable.....

 

 

Trois ans plus tôt, quelque part à Ksar Chellala, un restaurant se trouvant isolé sur la rocade sud, à mi chemin entre Hassi Fdoul et Sidi Laadjel. Un lieu où les commerçants empruntant ce trajet aiment bien remplir la panse, se rafraîchir et se reposer sous le bel ombrage des arbres qui faisaient de cet endroit, une oasis semi désertique. On faisait du bon repas et l’eau du puits est bien saumâtre contrairement à celle qui ruisselait des tuyaux galvanisés Le propriétaire en riche bédouin, avait eu l’idée de bâtir un restaurant sur les grandes surfaces que le lui avaient laissés ses aïeux.

 

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Guest Didine RAYAN
tu te trompes alors

je ne suis qu'un ange déchu

 

 

Je n'en doute pas.

 

tu me flates:confused:

 

je continue....

 

C’est un homme d’un certain âge, enturbanné et emmitouflé dans son bel bernous blanc. Il faisait penser au père noël, tout fier d' offrir ses bons et loyaux services.

 

Bref, un jour, il reçoit deux jeunes algérois. Ces derniers s’attablerent et commanderent un repas bien copieux. Après tant d’éloges qu’ils lui firent, ils lui laisserent un pourboire de 2OO da, chose qu’il n’avait jamais vue auparavant...

 

Mais avant de monter à bord de leur véhicule de luxe, ils lui firent part qu’ils sont à la recherche d’un chacal dont une partie de la chaire pourrait guérir leur père du mal qui le rongeait depuis quelques mois et sans celà, leur pere pourrait mourir d'un jour à l'autre.

 

Ils se disent disposer à le payer au prix fort pouvant aller jusqu’à cent mille dinars.

 

Aprés lui avoir laissé un numéro de télphone sur un bout de papier, ils le saluerent et s'éclipserent en trombe vers l'ouest.....

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tu me flates:confused:

 

je continue....

 

C’est un homme d’un certain âge, enturbanné et emmitouflé dans son bel bernous blanc. Il faisait penser au père noël, tout fier d' offrir ses bons et loyaux services.

 

Bref, un jour, il reçoit deux jeunes algérois. Ces derniers s’attablerent et commanderent un repas bien copieux. Après tant d’éloges qu’ils lui firent, ils lui laissent un pourboire de 2OO da, chose qu’il n’avait jamais vue auparavant...

 

Mais avant de monter à bord de leur véhicule de luxe, ils lui firent part qu’ils sont à la recherche d’un chacal dont une partie de la chaire pourrait guérir leur père du mal qui le rongeait depuis quelques mois et sans celà, leur pere pourrait mourir d'un jour à l'autre.

 

Ils se disent disposer à le payer au prix fort pouvant aller jusqu’à cent mille dinars.

 

Aprés lui avoir laissé un numéro de télphone sur un bout de papier, ils le saluerent et s'éclipserent en trombe vers l'ouest.....

 

Cela fait longtemps qu'on ne m'a pas raconté une histoire avant de dormir :rolleyes:

Mais je parie que le diable n'est pas loin....

 

Ensuite ??

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Guest Didine RAYAN
nonnnnnnnnn

 

tu es un petit diable alors :04:

 

je laisse le lecteur sur sa faim

que celui qui connait la suite, la raconte. Elle est trés surprenante.

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Guest Didine RAYAN
"Tu es le maitre de ton histoire

Je n'ai plus qu'à te dire bonsoir."

 

Ca rime bien, hein ?? :mdr:

 

Je meurs d’ennuis, c’est tout.

Je préfère lire que d’écrire jusqu’à ce que le sommeil s’annonce

Bonne nuit, fleur du paradis et à demain peut-être…

Fais de beaux rêves aussi

N'y penses pas à cette histoire...

Quand les diables s'en mêlent, la fin est un toujours triste....

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El ghoula dans l'histoire s'appelle tzeriel.

 

Encore des souvenirs ce soir.

Le grain magique de Taos Amrouche.

Mais celui la, je l'ai lu.

Et certaines histoires relues.

 

Malheureusement, je n'ai pu gardé ces détails-là ! :(

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Tant pis pour toi :D

 

Il se vend dans les librairies. Il faut juste le chercher.

 

Ce qui me replonge dans l'histoire, ce n'est pas tant le contenu... peut-être, cette douce et berceuse voix, qui sans jamais se lasser, me la réitéré chaque fois.

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voila mon histoire

Un jour , j’étais parti en mission à biskra, en voiture et tout seul, je démarre vers les coups de 8h d’alger, vers midi je me suis arrété à boussaada pour le déjeuner, en sortant du restaurant un vieux m’a interpelé, et m’a dit « adani nagta3 trig » aide moi pour couper la route, ok je lui tient la main, c’est une route nationale , jusque là tout est normal, il m’a dit « babak 3ya ya wlidi » je vais me reposer, et il a commencé d3aoui lah yahafdhak etc….

Je continu la route sans arrêt jusqu’à l’arrivée à biskra vers 15h , destination le café, je me suis un peu rafraîchi et juste à la sortie je trouve le même vieux de boussaada, il s’est directement précipité sur moi et me dit, « hak , hadha lik , eddih ou skout » (tiens, prends le sachet il est à toi) d’un air un peu agressif, je prends le sachet et avec la foule qui était au café , il a disparu carrément

Je n’ai rien compris, j’avoue que j’avait eu peur, je vient de le voir à boussaada , serieux , c’est du paranormal

 

et tu as trouvé quoi au sachet

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Guest Didine RAYAN

Mais voilà, quelques jours plus tard, arriva à midi, un jeune homme d’une trentaine d’années.

Il s’attabla dans le restaurant et commanda deux plats de steak frite, chose qui avait intrigué le propriétaire qui ne comprenait pas pourquoi, il avait commandé deux plats, alors qu’il se trouvait tout seul.

 

Le jeune homme lui révèle que le second plat était en fait destiné à un animal qui se trouvait dans la male dans sa voiture. Le bédouin avait cru tout de suite qu’il s’agissait d’un chien de compagnie, mais il fut vite surpris d’apprendre qu’il s’agissait d’un chacal blessé, percuté par un chauffeur indélicat.

 

Alors le bédouin, se souvenant des algérois et de leur quête désespérée d’acquérir, coûte que coûte, cette espèce d’animal pour sauver leur père d’une mort annoncée, lui fit une proposition alléchante.

 

Au bout de quelques instants, l’affaire fut conclue. Le client empoche 60.000 da, remis l’animal et quitte les lieux aussi discrètement qu’il s’était apparu.

 

Heureux d’avoir accompli une bonne affaire, le bédouin gava l’animal des mets délicats, étancha sa soif et l’attacha dans un endroit sûr et proche qui lui permettait de bien le surveiller, puis se mit, rapidement en contact avec ses anciens clients pour leur dire qu’il venait d’acquérir le précieux animal et qu’il serait désormais inutile de poursuivre leur quête.

 

C’était alors qu’une voix féminine lui répondit au bout du téléphone. Le bédouin, quelque peu surpris, croyant que c’était leur sœur, lui dit en substance : Dites à vos frères qu’il ne se donnent plus la peine de rechercher davantage, j’ai le précieux chacal et je l’offre à titre gracieux

pourvu que ton père s'en sortirait.

 

Ce n’est que bien plus tard, que notre cher ami s’en était-il rendu compte qu’il venait d’être victime d’une supercherie diabolique de trois spécimens de la nature qui usaient de subterfuges pour abuser de la crédulité et de la bonté de braves gens à des fins mesquines

 

c'est dire que le diable n’aurait jamais pensé rouler des honnetes gens par un procédé aussi vil que celui-ci.

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Mais voilà, quelques jours plus tard, arriva à midi, un jeune homme d’une trentaine d’années.

Il s’attabla dans le restaurant et commanda deux plats de steak frite, chose qui avait intrigué le propriétaire qui ne comprenait pas pourquoi, il avait commandé deux plats, alors qu’il se trouvait tout seul.

 

Le jeune homme lui révèle que le second plat était en fait destiné à un animal qui se trouvait dans la male dans sa voiture. Le bédouin avait cru tout de suite qu’il s’agissait d’un chien de compagnie, mais il fut vite surpris d’apprendre qu’il s’agissait d’un chacal blessé, percuté par un chauffeur indélicat.

 

Alors le bédouin, se souvenant des algérois et de leur quête désespérée d’acquérir, coûte que coûte, cette espèce d’animal pour sauver leur père d’une mort annoncée, lui fit une proposition alléchante.

 

Au bout de quelques instants, l’affaire fut conclue. Le client empoche 60.000 da, remis l’animal et quitte les lieux aussi discrètement qu’il s’était apparu.

 

Heureux d’avoir accompli une bonne affaire, le bédouin gava l’animal des mets délicats, étancha sa soif et l’attacha dans un endroit sûr et proche qui lui permettait de bien le surveiller, puis se mit, rapidement en contact avec ses anciens clients pour leur dire qu’il venait d’acquérir le précieux animal et qu’il serait désormais inutile de poursuivre leur quête.

 

C’était alors qu’une voix féminine lui répondit au bout du téléphone. Le bédouin, quelque peu surpris, croyant que c’était leur sœur, lui dit en substance : Dites à vos frères qu’il ne se donnent plus la peine de rechercher davantage, j’ai le précieux chacal et je l’offre à titre gracieux

pourvu que ton père s'en sortirait.

 

Ce n’est que bien plus tard, que notre cher ami s’en était-il rendu compte qu’il venait d’être victime d’une supercherie diabolique de trois spécimens de la nature qui usaient de subterfuges pour abuser de la crédulité et de la bonté de braves gens à des fins mesquines

 

c'est dire que le diable n’aurait jamais pensé rouler des honnetes gens par un procédé aussi vil que celui-ci.

 

Dommage ! tu as raté ce que j'ai écrit.

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