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Cris De Colère !!


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La violence est souvent un mal que l,on apporte à l'âge adulte via son enfance.

Il faut donc briser cette chaine de la violence.

 

Comment? d'abord par l'éducation et en même temps par la dénonciation. Tant qu'on tolère qu'un enfant se fasse maltraiter dans notre famille, dans notre entourage, on devient complice de la violence.

 

Les femmes victimes de violence doivent dénoncer. Sinon , leurs enfants apprendront aussi que l'on peut faire mal aux autres sans être sanctionné. Que la violence est normale. C'est aux parents de protéger leurs enfants de la violence et quand un parent choisit le contraire, on doit soustraire les enfants de sa présence.

 

La femme doit apprendre à se faire respecter. Et l'homme à se controler.

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Un enfant est victime de violence, pourquoi ?

Selon les sociologues, un enfant violenté par ses parents l’est généralement en raison d’une enfance difficile de ces mêmes parents, dont la propre enfance a été confisquée.

 

Tout enfant qui n’est pas sérieusement pris en charge, une fois son traumatisme connu, risque de refouler la terreur vécue pour la reproduire plus tard.

A travers une thérapie spécifique, l’enfant peut être reconstruit, lui redonner des espérances et la joie de vivre une vie dans la sérénité.

La tâche n’est pas facile mais il est nécessaire de l’accomplir en ce sens que c’est de la cellule familiale, première organisation sociale que dépend toute la société.

 

Tout en sachant que les familles ne dénoncent pas toujours les actes de violence subis par leurs enfants, les voisins, les amis, sont témoins d’actes suspects mais qui se montrent passifs. Par indifférence ou par lâcheté, pourvu que ça ne soit pas chez eux !

Quant à l’enfant, il cache son mal lorsqu’il s’agit notamment de violences sexuelles.

 

Merci Hurlevent :)

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20 000 enfants dans la rue

Le nombre d’enfants qui sont dans les rues donne la chair de poule.

Selon une étude réalisée en 2006 par la Fondation nationale de promotion de la santé et du développement de la recherche (Forem), ils sont 20 000 à vagabonder à travers les rues de différentes villes du pays.

Au nord surtout. Leur âge varie entre 5 et 16 ans.

Ils se retrouvent dans la rue pour diverses raisons, dont les conflits familiaux et les agressions, souvent sexuelles.

Une enquête nationale sur les enfants de la rue réalisée la même année par l’Observatoire des droits de l’enfant (ODE) révèle que 61% de ces jeunes vivent de mendicité, 15% de vols, 2% de prostitution.

La même enquête affirme qu’un enfant sur deux présente des dermatoses et des infections respiratoires et consomme des psychotropes (diluants, colles).

Les résultats de cette enquête montrent que 33% des enfants n’ont jamais fréquenté l’école, 54% ont le niveau primaire et 13% ont un niveau moyen. Aussi, trois quarts d’entre eux ont toujours leurs parents et 41% ont plus de cinq frères et sœurs. Près de la moitié d’entre eux ont rompu totalement le contact avec leur famille. Quelque 60% de ces enfants passent la nuit dans la rue ou dans les jardins publics, 29% sous des tentes ou dans des baraques de fortune et 6% squattent les gares routières, est-il indiqué dans la même enquête.

Toutefois, 63% des enfants disent regretter les foyers familiaux et 57% veulent aller dans un foyer de substitution.

Quant à leurs aspirations, 10% veulent devenir médecins, 14% veulent émigrer alors que 5% rêvent d’être un jour ingénieur, 4% enseignant, 2% policier, 4% chanteur...

Bien que datant de trois ans, ces résultats révèlent l’ampleur de ce phénomène.

 

Article paru sur le journal El Watan du 04.08.2009

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C'est malheureux certes, mais il faut une autorité légale autre que les ''parents defaillants et criminels'' pour soustraire ces enfants malheureux de cet enfer.

 

Le problème, c'est que ces parents (gros mots) se permettent de faire ce qu'ils veulent avec leurs enfants qui ''leur appariennent''.

 

Non M'sieur, la loi doit proteger ces enfants et les soustraire de ces pseudo parents.

 

Idem pour les femmes battues, un ''homme'' qui frappe sa femme ne l'est plus à partir de cet instant.

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Orchidia: ca ne t'énonne pas que si on parle de filles non -vierges , il y a 308 réponses pour 8759 consultations.

On parle de viloence faites aux enfants et il y a 92 consultations et 5 réponses dont 3 provenant de la personne ayant incrit le sujet?

 

Faudrait-il parler des petites filles de 3-6-10 dont l'hymen a été perforé par leur propre père ouun oncle protégé de la famille?

Faudrait-il parler de ces femmes violées soir après soir par leur mari qui n'accepte pas qu'une femme puisse dire non de temps à autre?

Comment régler le probleme de la violence sans passer par le sexe?

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Orchidia: ca ne t'énonne pas que si on parle de filles non -vierges , il y a 308 réponses pour 8759 consultations.

On parle de viloence faites aux enfants et il y a 92 consultations et 5 réponses dont 3 provenant de la personne ayant incrit le sujet?

 

Faudrait-il parler des petites filles de 3-6-10 dont l'hymen a été perforé par leur propre père ouun oncle protégé de la famille?

Faudrait-il parler de ces femmes violées soir après soir par leur mari qui n'accepte pas qu'une femme puisse dire non de temps à autre?

Comment régler le probleme de la violence sans passer par le sexe?

 

J’ai eu le même constat que toi ; les images n’étaient apparemment pas assez choquantes, ou les mots, ou même le sujet !

J’aurais dû mettre comme titre :

« Plaisirs sexuels pour tendance perverse »

ou

« Tendresse extrême : mode d’emploi ».

 

Mais non ! Ce sont des CRIS DE COLERE, de haine, de répugnance envers ces sadiques qui pullulent en toute impunité.

 

Peut être que la violence est banalisée ?

Ou peut être que ça fait trop mal d’en parler…

 

Et souvent, tant que ça ne nous atteigne pas, nous continuerons à nous cacher derrière de faux-semblants.

 

Quant à moi, je continuerai à poster des articles ; ceux qui veulent bien les lire ou faire un commentaire sont les bienvenus.

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De nombreux appels aboutissent au 3033, ce numéro vert mis en place par le réseau Nada pour signaler les cas de violence contre les enfants.

Beaucoup de correspondants recherchent un accompagnement juridique et psychologique et 50% du travail des opérateurs de ce centre sont consacrés à l’écoute…

Le président du réseau Nada a rendu publique, …, à l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance, une déclaration dans laquelle il regrette que cet événement soit accueilli cette année avec de nouveaux défis : « enlèvements, séquestrations, assassinats, viols et violences physiques et morales ». « Le cas de Yasser retrouvé mort après avoir été violé, de Farid retrouvé mort au fond d’un puit, de Chahinez, Walid, Ameur, Sahar et d’un nombre élevé d’enfants kidnappés en 2007 témoignent douloureusement de ces actes criminels prémédités exécutés par des adultes... ».

Le réseau a rappelé « à toute personne consciente et soucieuse de l’avenir des enfants » l’existence du numéro vert qui, selon lui, offre la possibilité de lever le voile sur toutes les formes de maltraitance que subissent les enfants, « parce que leur bonheur ne peut être compromis par la loi de l’omerta ».

 

Article du net.

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Les multiples actes de violence terroristes, commis par des groupes islamistes durant cette décennie noire en Algérie, n’ont pas du tout épargné les femmes dont certaines ont été tuées, violées alors que d’autres y ont perdu leur mari ou des parents proches.

Une autre forme de violence vient s’ajouter au chapitre des malheurs qui s’abattent sur ces êtres qui cherchent fébrilement leurs marques dans une société en pleine mutation : la violence conjugale. Durant les six premiers mois de l’année en cours, 4500 femmes ont fait état de violence conjugale à travers tout le pays.

 

Ces statistiques données par la police et relayées par les médias locaux ajoutent que « 2 675 femmes ont été victimes de violences physiques, 1 359 ont été maltraitées, 144 ont subi une violence sexuelle, 107 ont été harcelées et 4 ont été éliminées physiquement ». Les mêmes statistiques précisent que 15 % des agresseurs sont les conjoints, plus de 4 % sont des amants ou fiancés, plus de 3 % sont des frères, plus de 3% des ascendants. Les plus touchées sont les femmes de moins de trente ans.

 

Difficile de briser la loi du silence

Les violences sont plus nombreuses en milieu urbain.

Alger, avec ses 6 millions d’habitants occupe le haut de la hiérarchie des brutalités faites aux femmes ; elles ont atteint 850 cas.

Oran, à l’ouest du pays, en enregistre 342 et Annaba 289.

Tous ces chiffres, bien sûr, ne font pas état des cas qui n’ont pas été révélés aux autorités.

 

Pourtant, l’amendement adopté en octobre 2004 par l’Assemblée populaire nationale dans l’article 341 du Code pénal algérien - et qui condamne toute personne qui se rend coupable de harcèlement sexuel à des peines de prison - est considéré déjà comme un progrès dans la société algérienne fortement marquée par les tabous de l’islam.

Mais rien ne semble dissuader les bourreaux qui voient dans les femmes des objets de jouissance et de servitude continuellement exposés aux châtiments les plus cruels.

 

Article du net.

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Guest MARCEL
La violence est souvent un mal que l,on apporte à l'âge adulte via son enfance.

Il faut donc briser cette chaine de la violence.

 

Comment? d'abord par l'éducation et en même temps par la dénonciation. Tant qu'on tolère qu'un enfant se fasse maltraiter dans notre famille, dans notre entourage, on devient complice de la violence.

 

Les femmes victimes de violence doivent dénoncer. Sinon , leurs enfants apprendront aussi que l'on peut faire mal aux autres sans être sanctionné. Que la violence est normale. C'est aux parents de protéger leurs enfants de la violence et quand un parent choisit le contraire, on doit soustraire les enfants de sa présence.

 

La femme doit apprendre à se faire respecter. Et l'homme à se controler.

 

C'est un mal qui touche ts ls pays du monde.

Toutes lois n'y font rien.C'est un monde malade

et en décrépitude avancée.C'est la remise en cause

de l'éxistence même de l'être humain.

Ni les religions ni les Dieux ne sont parvenus

à solutionner ce problème de société.

Cette planète est sur le point de refaire son cycle.

 

 

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c'est en effet un probleme qui touche toutes les societes...mais qd meme, certaines plus que d'autres Marcel.

Certains parents en voulant 'eduquer' leurs enfants les torturent ! et ce n'est pas une image de style que je donne, j'en ai vu et connu des gens comme ca.

C'est bien plus un probleme culturel qu'autre chose, je connais par exemple un des meilleurs neuro-scientifiques d'algerie..et il utilise le fil du telephone ou ce qui lui passe par la main pour 'eduquer' ses enfants !

C'est banal pour lui..parceque son pere faisait bien pire que ca, et si vous demander l'avis des enfants ils trouveront ca totalement normal..

 

c'est affreux !

 

Les gens n'osent pas intervenir parce que dans notre culture les enfants "appartiennent" aux parents tout comme la femme "appartient" a son mari.

Il faut que ces categories sociales aient une existence propre pour commencer.

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C'est un monde malade

et en décrépitude avancée.C'est la remise en cause

de l'éxistence même de l'être humain.

Ni les religions ni les Dieux ne sont parvenus

à solutionner ce problème de société.

Cette planète est sur le point de refaire son cycle.

Kali yuga ?

je ne serai pas aussi pessimiste que ca.. je crois en l'esprit divin qui est en nous, humains.

 

Il faut de toutes les facons agir..avant de philosopher. je pense.

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Guest MARCEL
c'est en effet un probleme qui touche toutes les societes...mais qd meme, certaines plus que d'autres Marcel.

Certains parents en voulant 'eduquer' leurs enfants les torturent ! et ce n'est pas une image de style que je donne, j'en ai vu et connu des gens comme ca.

C'est bien plus un probleme culturel qu'autre chose, je connais par exemple un des meilleurs neuro-scientifiques d'algerie..et il utilise le fil du telephone ou ce qui lui passe par la main pour 'eduquer' ses enfants !

C'est banal pour lui..parceque son pere faisait bien pire que ca, et si vous demander l'avis des enfants ils trouveront ca totalement normal..

 

c'est affreux !

 

Les gens n'osent pas intervenir parce que dans notre culture les enfants "appartiennent" aux parents tout comme la femme "appartient" a son mari.

Il faut que ces categories sociales aient une existence propre pour commencer.

 

C'est vrai Prof.

Je n'osais pas le dire

par peur des sensibilités.

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Guest MARCEL
Kali yuga ?

je ne serai pas aussi pessimiste que ca.. je crois en l'esprit divin qui est en nous, humains.

 

Il faut de toutes les facons agir..avant de philosopher. je pense.[/quote

 

J'ai horreur de la philo.

j'ai fais sciences exactes.

Techniquement parlant

c'est fichu,toute est fichu.

A moins de trouver asile

sur une autre planète

mon cher Prof.Tournesol....

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  • 2 months later...

Enfance Maltraitée - Oran

 

Maltraitance et abus sexuels : 60 enfants victimes

La maltraitance dont sont victimes les enfants constitue un problème social majeur à Oran, compte tenu des chiffres enregistrés durant le premier semestre 2009.

 

Les rares mères de famille qui osent dénoncer leur conjoint sont elles aussi exposées aux foudres des siens.

 

Ainsi, plus de 20 enfants dont l’âge varie entre 2 et 16 ont été maltraités par leurs parents. Leurs frêles corps ne supportant pas les sévices corporels, plusieurs d’entre eux ont été hospitalisés pour des blessures graves.

 

Des enfants sont carrément privés de nourriture ou ligotés pendant plusieurs heures.

 

Les abus sexuels dont sont victimes les enfants prennent également des proportions dangereuses. Nous apprenons de source confirmée que près de 40 enfants mineurs ont subi des violences sexuelles commises par leurs parents.

 

Source El Watan du 06/10/2009

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Femmes battues - Guelma

 

femmesbattuesw.jpg

 

Violences conjugales à Guelma : Femmes battues, un phénomène en nette recrudescence

Les cas de violences conjugales à travers la wilaya de Guelma sont en nette augmentation. Le phénomène n’est plus tabou car les femmes en parlent et certaines même consultent le médecin légiste.

 

Durant le 1er semestre 2009, le service de médecine légale de l’EPH Ibn Zohr de Guelma a enregistré 125 cas de violences conjugales contre 70 pour la même période de l’année 2008 soit une soit une augmentation de 78 %.

 

Qui sont ces couples qui se tapent dessus sans ménagement ? Quel est le profil du « tabasseur » ? Ce sont les questions auxquelles le Dr Ridha Noura, médecin légiste chef du service de médecine légale de L’EPH Ibn Zohr de Guelma, a bien voulu répondre. A ce sujet, il nous déclare : « Ce que je peux vous dire c’est que le phénomène, dans la wilaya de Guelma, prend des proportions alarmantes. Toutes les franges de la société sont touchées : du couple illettré au diplômé des grandes écoles et universités. Généralement, ce sont des histoires d’argent, d’incompatibilité d’humeur, de maturité chez les jeunes couples, qui surgissent. »

Et d’ajouter : « Un certificat médical d’incapacité de moins de 15 jours est délivré aux victimes, après orientation, pour faire valoir leur droit auprès des tribunaux, généralement pour prouver une maltraitance afin de demander le divorce ; concernant les lésions, le visage et plus précisément le nez sont les plus touchés lors des disputes. »…

 

Source El Watan Aout 2009

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Guest Didine RAYAN

Oui, c'est triste

mon conseil, celui des autres également est le suivant:

 

Toucher pas à l'innocence, un acte, un geste et une parole pourrait la marquer pour tout le restant de sa vie

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s'abattre sur un petit etre sans deffense certains disent qu'ils corrigent son enfant je me demande si eux mème n'ont pas besoin de correction car avec de telles acts barbare ils sont depourvu de leurs humanitè, comment cet enfant va comprendre avec une telle violence qu'il doit bien se tenir ou qu'il doit etre un gentil gamin, je me demande comment ces adultes que ça soit parents ou proches ou enseignents al'ecole ou vousins comment ils peuvent faire du mal ades enfants et prettendre qu'ils fassent du bien

il ya des lois qui punissent de telles acts mais malheureusement ces acts sont rarement dennoncer car notre societè trouve très normal et legitime qu'un adulte corrige un enfant et que ça fait parti de son education et surtout pour les parents et les enseignents al'ecole ils se permettent ataper les enfants des autres avec une audace ecoeurante et devant le silence mortel , combien de victimes et combien d'enfant ont payè cela vers l'age adulte car une telle violence va etre trainè bien très loin des complexe des troubles de la personnalitè des maladie psychique ,c'est un prolème très grave qui menace la societè heureusement que dernièrement on constate quelque voix qui s'elevent pour d'ennoncer et aider : des associations et des organismes pour la plupart non etatif on trouve mème des numero vert facil a retenir et qui peuvent etre utiliser en cas de violence envers l'enfant ou la femme

Ensemble pour la non-violence - Algérie: Châtiments corporels

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  • 2 weeks later...

et oui malheureusement c'est un fléau qui s'est propagé dans le monde entier,que ça soit dans les payés dévelopé ou du tiére monde.

éxample:

1-Il existe un fait peu connu généralement du "grand public", c'est qu'aux USA, il est encore permis de battre les enfants dans certains états à l'école, et d'une manière très violenteles-usa-et-la-violence-contre-les.html

2-Il y a quelques semaines, sa photo a fait le tour de la presse indienne. Rameshwari, 10 ans, fixe l'objectif de ses grands yeux tuméfiés et rougis, après avoir été torturée par sa patronne, Urvashi Dharnokhar, une actrice de télévision, à Bombay. Ce sont les voisins qui ont donné l'alerte après avoir vu la fillette sortir de l'appartement, couverte de blessures.photo.asp?IdArticle=4055

3-"Ce sont des passants qui, inquiets de voir cet adolescent faire les poubelles près du Champion, nous ont appelés" nous dit un gendarme ce mercredi.

 

 

 

C'est dans cet immeuble HLM de Banyuls-sur-Mer que vit cette famille.

 

 

"Le père de cette famille, qui vivait en autarcie et en vase clos, a le discours d'un illuminé mystique. Il veut purifier ses enfants qui en ont besoin, selon lui" nous dit le procureur de la république de Perpignan.

 

Vendredi dernier, des passants ont en effet découvert à Banyuls-sur-Mer, dans les Pyrénées-Orientales, un adolescent de 16 ans, rachitique et le visage ensanglanté, en train de fouiller des poubelles.

 

"Vu son état plus qu'inquiétant, dès qu'on est arrivés sur place, on a appelé les pompiers" nous dit le même gendarme.

 

Le jeune garçon ne pesait que 32 kg pour 1,65 m.

 

"Il s'exprimait de manière confuse" poursuit le gendarme sur Le Post, "et n'a pu être entendu qu'après avoir été hospitalisé."

 

Après avoir secouru l’ado, les militaires ont enquêté sur ses parents.

 

"Dès qu'on l'a entendu, on a cherché à en savoir plus sur cette famille" dit aussi le gendarme.

 

Les parents, âgés d’une cinquantaine d’années, ont immédiatement été incarcérés pour "pour maltraitance et privation d'aliments et de soins".

 

Les enquêteurs ont qualifié le père «d’individu au comportement identique à un fonctionnement sectaire au sein de sa propre famille.»

 

C’est ainsi que ce commerçant ambulant avait pris l’habitude d’infliger des châtiments corporels violents à ses huit enfants, selon Europe 1.

 

Les voisins de cette famille qui vit dans un immeuble HLM ont été étonnés d’apprendre cette situation.

 

Un des voisins de la famille témoigne dans le Midi Libre:

 

«La famille vivait repliée sur elle-même, les petites filles portaient le voile et les enfants ne se mélangeaient pas aux autres.»

 

Sur les huit enfants âgés de 7 à 17 ans, trois ont été hospitalisés, souffrant de malnutrition grave. Les autres frères et sœurs ont été placés en foyer

 

 

 

En lisant tout ces article soit publier sur le net ou dans les journaux,on remarque que les auteurs des ces crimes contres les enfants sont des gens qu'ils connaissent et ont quel il devront avoir confiance:parents,enseignants,enployeurs.

et c'est tlm triste de voir toute cette vilolence inflligé a ces petits anges;mais cherchons la cause qui pousserai un pére ,une maman de faire de telle chose a leurs enfants:

-étre lui méme été maltraité dans son enfance;et oui on peut pas donner ce qu'on n'on a pas.alors par manque de tendresse ,il fera subir a ses enfants ce qui la subit lui méme.

-probléme économique:ne pas pouvoir subvenir aux besoins des enfants, ce qui rend ce pére ou mére violent(e) ;a cause du sentiment d'impuissance et incompétance.

-ne pas accépter sa résponabilité entan que pére ou mére

et méme la société n'arrange pas les choses.:mad:.

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je suis pas de nature balance mais si je vois un enfant maltraité je vais direct le dénoncer. frapper un enfant, une femme, faire du mal, c'est l'arme des lâches. et les lâches doivent croupir en prison.

là où j'écris, à cet instant, dans le monde, des enfants sont en train d'etre battus, des femmes violées... et on ne peut rien faire.

 

les états doivent faire des campagnes de publicité sur la maltraitrance, les assistantes sociales doivent bien suivre les enfants, les voisins bien regardaient si le petit n'a pas de kokard... faut etre vigilants.

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Elle a été violée dans une mosquée à Ouargla.

Une gamine de quatre ans survit à ses blessures.

 

L’auteur du viol perpétré sur une petite fille de 4 ans, en fin de semaine, a été présenté hier devant le parquet de Ouargla et placé en détention préventive.

 

Il s’agit, selon Ammar Sekki, procureur général près la cour de Ouargla, d’un jeune homme de 17 ans, qui a été arrêté par la police deux jours après son forfait et auditionné par le juge d’instruction près le tribunal de Ouargla avant d’être mis en examen et écroué.

Le parquet de Ouargla, qui a ouvert une information judiciaire, a demandé une expertise médicale dont les résultats seront connus dans les jours qui suivent.

Les faits remontent au 28 octobre lorsque le garçon a profité de la période entre les prières du maghreb et el icha pour attirer la gamine, fille de l’imam, dans la salle d’eau de la mosquée où il l’a violée et laissée à terre agonisante.

La petite fille, qui a perdu beaucoup de sang, est restée évanouie jusqu’à ce que des prieurs la découvrent et la transfèrent en urgence à l’hôpital Mohamed Boudiaf.

Selon des sources médicales, la victime a été admise aux urgences et réanimée par une équipe médicale avant de subir une lourde opération sur la zone ano-rectale et vulvo-vaginale totalement délabrée.

Un geste réparateur pour des lésions lourdes qui font encore souffrir la victime actuellement hospitalisée au service de chirurgie pédiatrique.

La famille fait face avec courage à ce drame qui a mis en émoi Ouargla tant l’horreur du viol perpétré sur cette fillette touche tout un chacun et soulève toute la question de la sécurité des enfants même à proximité d’une mosquée.

 

El Watan du 04 novembre 2009

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