Jump to content

L'ex president de l'APN aurait détourné 3000 milliards de centimes


Recommended Posts

 

Je pense que Son Excellence a mis terme a cette affaire .

Monsieur le President de la Republique .

 

((votre excellence , a qaund une loi pour proteger les corrompus et les mafieux qui affament les peuples, ces gens ont detourné beaucoup d'argent de citoyens, et il est temps d'adopter une loi pour les proteger eux et leurs butins! )). --)Juste pour rire

 

" c "

 

S'IL T'ENTENDS TU RIRAS JAUNE !

mais c'est le chef protecteur de la coRruption voir posts sur ces frasques

liquidation de la cour des comptes qui l'a epinglé .

 

entete_0.jpg

Link to post
Share on other sites
  • Réponses 153
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

saidani..et bensalah

 

l'ex chanteur d'EL OUED ami de abdellah mennai vit a HYDRA ,pour une nouvelle c'est une nouvelle
.

j'ajoute en effet que saidani adore danser dans les fêtes à el oued.et savez vous qu'il mangeait beaucoup de crevette quand il était président.et ça ne m'étonnera pas que demain il redevienne ministre.la justice algérienne est capable de tout surtout quand elle travaille la nuit......au fait vous avez tous oublier bensalah ex ex ex p.apn.il est intouchable...laissez moi rêver qu'un jour nôtre justice travaillera de jour et lèvera l'immunité de tous et même cas pour le président.(pauvre mme aslaoui).

Link to post
Share on other sites
president_saadani_g.jpg

 

 

Selon El-Khabar El Ousbouii, l'ex président de l'APN, Amar Saidani, un proche de Bouteflika, aurait détourné plus de 3000 milliards de centime, soit 300 millions d'euros, du programme de soutien a l'agriculture.

 

D'après le journal, il aurait acheté des biens en Espagne, à Paris ainsi qu'à Londres, en plus de la villa à 25 milliards de centime sis a Hydra (Alger).

 

Toujours selon ce journal, Amar Saidani, n'aurait pas été inquiété, ni poursuivi en justice, sa seule sanction est de se voir écarter de la vie politique, voila qui expliquerait sa disparition soudaine de la vie politique algérienne.

 

http://www.elkhabar-hebdo.com/site/pdf/546.pdf

 

pourquoi il n'ya que celui la ,tous c'est des voleurs on est gouvernè par une bande de voyoux tous ils ont les mains sales nakrahome tous sans exeption.

comme dit le chanteur d'elghaada"ah ya loujouh lagdima ya oujouhe aljarima".

Link to post
Share on other sites
tant qu'il n' y a pas de justice qui suit ces voleurs du 1°, qui se trouvent un peu partout dans les instances de l'état. ils vont être nombreux et poussent comme des champignons.

 

ILS sonT déja NOMBREUX

MAIS DIEU ET LES JUSTES SONT LA !

et parmi eux pour faire rempart un certain mouloud hamrouche

voiçi sa biographie !

Biographie de Mouloud Hamrouche

 

01_56866.jpg

 

Mouloud Hamrouche

chef du Gouvernement des réformateurs de septembre 1989 à juin 1999

candidat à la présidentielle de 1999 sous le slogan du changement,

est l'homme qui a ouvert le plus d'espaces de libertés dans l'Algérie indépendante.

 

Rien ne prédestinait cet enfant timide, natif de Constantine en 1943, à symboliser la liberté dans l'Algérie de la tourmente. Mais l'enfant grandit vite, trop vite.

 

Toute sa famille est impliquée dans la guerre de libération, déclenchée alors qu'il a à peine onze ans. Ses frères sont au maquis ou dans les structures FLN à Tunis, sa mère est militante, une de sœurs fera de la prison alors qu'elle est enceinte, son père est tué par l'armée française devant ses yeux.

 

Malgré son jeune âge, Mouloud Hamrouche est rapidement intégré dans les réseaux FLN. Il accomplit de multiples petites missions de liaison et de contact, dévolues aux jeunes de son âge, et effectue le grand saut à quinze ans, lorsqu'il mène son premier attentat : il fait exploser une grenade rue de France, à Constantine.

 

Il rejoint rapidement un maquis de la Wilaya II, dirigé par Messaoud Boudjeriou. Il connaît alors la grandeur et la précarité de la vie des moudjahidine. Mais en raison de son jeune âge, il est évacué vers la Tunisie. Ils sont plusieurs dizaines à entreprendre ce périlleux voyage. Ils seront treize à arriver en territoire tunisien, après trois mois d'errance.

 

En Tunisie, il est intégré pendant une courte période dans les services de l'éducation de l'ALN. Il donne des cours à des moudjahidine en formation, en transit ou blessés. Il est ensuite envoyé en Irak où il subit une formation militaire. Il obtient le grade de sous-lieutenant, qui sera le sien à l'indépendance en 1962.

 

De retour en Algérie, Mouloud Hamrouche est officier instructeur. Il est notamment muté à Boghar, au sud de Médéa, dans un célèbre centre d'instruction situé dans cette ville au climat rugueux: froid et neige en hiver, chaleur extrême en été.

 

De là, Houari Boumediene, qu'il avait rencontré aux frontières pendant la guerre de libération, le fait muter à la présidence de la République, au service du protocole.

 

Mouloud Hamrouche en profite pour reprendre ses études, décroche un magister en droit et sciences politiques, avec une thèse sur le « phénomène militaire en Afrique » : son expérience avec l'armée ne fait que commencer.

Il obtient une bourse pour une formation de deux ans en Angleterre.

 

 

 

entete_0.jpg

Link to post
Share on other sites

Les "tayabat al hammam" donnent des leçons de morale!

 

.

j'ajoute en effet que saidani adore danser dans les fêtes à el oued.et savez vous qu'il mangeait beaucoup de crevette quand il était président.et ça ne m'étonnera pas que demain il redevienne ministre.la justice algérienne est capable de tout surtout quand elle travaille la nuit......au fait vous avez tous oublier bensalah ex ex ex p.apn.il est intouchable...laissez moi rêver qu'un jour nôtre justice travaillera de jour et lèvera l'immunité de tous et même cas pour le président.(pauvre mme aslaoui).

 

La justice s'est saisie de l'affaire.Selon le correspondant d'El-Watan à Djelfa.

 

"Les deux précités, qui jouissent pour l’instant de la qualité de témoins selon le code de procédure pénale, risquent fort de voir se délivrer à leur encontre des mandats d’arrêt à l’issue d’un délai discrétionnaire du juge".

 

N'est-ce pas l'état de droit en exercice démocratique ?

 

Ce qui est incompréhensible, c'est les conclusions hâtives des gens qui systématiquement implique Bouteflika dans ces affaires alors que lui même est victime de la trahison de ces collègues en qui il a placé sa confiance !

Boudiaf, Allah Yrahmou, disait avoir fouillé l'Algérie d'Est en Ouest, et n'avoir pas trouvé 5 (cinq) Algériens intègres sur qui il pouvait compter !

Comment voulez-vous que Bouteflika fasse mieux ?

Les années de "socialisme spécifique" n'ont pas fini de sévir par les générations d'hypocrites et de voleurs que ce système a enfantées.

Arrêtez vos procès d'intention, Bouteflika est au dessus de ces manigances, qui sont l'œuvre d'algériens qui sillonnent notre propre entourage.Les gens qui prêchent l'état de droit, sont les premiers à défoncer ses structures lorsque ces curés ont la chance de le faire.

-Benchicou en est un exemple ! Fraudeur la nuit, et défenseur de la liberté le jour !!

-Omar Belhouchet ne faisait pas fait la fine bouche, sa voix s'est éteinte car

il avait une liasse de billets à travers la gorge,avec toutes les "primes" qu'on lui a versées généreusement.

-De qui

-La banque Khalifa.Elle l'a pris en charge pour ses envolées à "Paris by night" pour en faire un associé à Khalifa TV, le média de propagande de BenFlis cet autre traitre de Bouteflika !

"Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !" HaHahaHa....

Link to post
Share on other sites
La justice s'est saisie de l'affaire.Selon le correspondant d'El-Watan à Djelfa.

 

ca ca fait rire...

quelle justice? celle qu'on a convoqué à minuit pour

invalider le huitième congres du fln

pour uniquement briser benflis?

 

Boudiaf, Allah Yrahmou, disait avoir fouillé l'Algérie d'Est en Ouest, et n'avoir pas trouvé 5 (cinq) Algériens intègres sur qui il pouvait compter !

Comment voulez-vous que Bouteflika fasse mieux ?

.

 

boudiaf allah irahmou est un nom que tu devrait

éviter de prononcer tellement tu ne le porte pas dans ton coeur.

 

ce que tu viens de citer fait mal au cœur.

il est vrai qu'il avait parlé de cinquante hommes integres.

mais lui n'avait que quelques jours devant lui.

tandis que d'autre sont à la tête du pays depuis11longues années.

et ca c'est un aveu d'échec et quand il y'a échec faudrait avoir un peu de pudeur et céder la place et ne pas s'accrocher

désespérément à une parois lisse.....:)

Link to post
Share on other sites
  • 1 month later...
ILS sonT déja NOMBREUX

MAIS DIEU ET LES JUSTES SONT LA !

et parmi eux pour faire rempart un certain mouloud hamrouche

voiçi sa biographie !

Biographie de Mouloud Hamrouche

 

01_56866.jpg

 

Mouloud Hamrouche

chef du Gouvernement des réformateurs de septembre 1989 à juin 1999

candidat à la présidentielle de 1999 sous le slogan du changement,

est l'homme qui a ouvert le plus d'espaces de libertés dans l'Algérie indépendante.

 

Rien ne prédestinait cet enfant timide, natif de Constantine en 1943, à symboliser la liberté dans l'Algérie de la tourmente. Mais l'enfant grandit vite, trop vite.

 

Toute sa famille est impliquée dans la guerre de libération, déclenchée alors qu'il a à peine onze ans. Ses frères sont au maquis ou dans les structures FLN à Tunis, sa mère est militante, une de sœurs fera de la prison alors qu'elle est enceinte, son père est tué par l'armée française devant ses yeux.

 

Malgré son jeune âge, Mouloud Hamrouche est rapidement intégré dans les réseaux FLN. Il accomplit de multiples petites missions de liaison et de contact, dévolues aux jeunes de son âge, et effectue le grand saut à quinze ans, lorsqu'il mène son premier attentat : il fait exploser une grenade rue de France, à Constantine.

 

Il rejoint rapidement un maquis de la Wilaya II, dirigé par Messaoud Boudjeriou. Il connaît alors la grandeur et la précarité de la vie des moudjahidine. Mais en raison de son jeune âge, il est évacué vers la Tunisie. Ils sont plusieurs dizaines à entreprendre ce périlleux voyage. Ils seront treize à arriver en territoire tunisien, après trois mois d'errance.

 

En Tunisie, il est intégré pendant une courte période dans les services de l'éducation de l'ALN. Il donne des cours à des moudjahidine en formation, en transit ou blessés. Il est ensuite envoyé en Irak où il subit une formation militaire. Il obtient le grade de sous-lieutenant, qui sera le sien à l'indépendance en 1962.

 

De retour en Algérie, Mouloud Hamrouche est officier instructeur. Il est notamment muté à Boghar, au sud de Médéa, dans un célèbre centre d'instruction situé dans cette ville au climat rugueux: froid et neige en hiver, chaleur extrême en été.

 

De là, Houari Boumediene, qu'il avait rencontré aux frontières pendant la guerre de libération, le fait muter à la présidence de la République, au service du protocole.

 

Mouloud Hamrouche en profite pour reprendre ses études, décroche un magister en droit et sciences politiques, avec une thèse sur le « phénomène militaire en Afrique » : son expérience avec l'armée ne fait que commencer.

Il obtient une bourse pour une formation de deux ans en Angleterre.

 

 

 

entete_0.jpg

 

 

C'est pas un saint celui-là?? :crazy:

Non mais ...........

Link to post
Share on other sites
C'est pas un saint celui-là?? :crazy:

Non mais ...........

hé un moment!

que reproche tu à Mouloud ????

personne n'a dit que c'en est un saint !

mais glorieux moudjahid et fils d'héroïque chahid

oui !!!!

Mouloud Hamrouche Est un enfant d'Algérie libre et combattante et ce n'est pas le cas de beaucoup de planqués dans la présidence actuelle .

 

Tout sa carriere fut au service de sa patrie et je dis çà non pas que je l'ai appris à travers les medias ou la politique mais pour l'avoir eu comme frère de combat , instructeur et responsable direct .

pardon de sortir du sujet !

je ne fais que répondre à une allusion que j'espère sera précisée par son auteur !

c'est la venue du nabot léon qui a permis ces dilapidations gigantesques à coup de mille milliards par n'importe quel intrus

car c'est dans les mœurs importés par lui du makhzen et un peu plus tard des limaces du moyen orient.

Link to post
Share on other sites

Mouloud Hamrouche

 

entretion à lire de mouloud hamrouche !

 

Le 23 avril 2004 au Matin

 

Entretien réalisé par Nissa H

 

Le Matin :

Inévitablement, nous allons revenir à ce 8 avril. Vous comptez parmi les rares personnes qui ne se sont pas fait d'illusions sur le scrutin présidentiel. Pourtant au début et pendant un bref moment, vous avez cru qu'il pouvait engendrer un changement

 

Mouloud Hamrouche :

 

C'est faux de dire que j'y ai cru au début pour la simple raison que j'ai été le premier homme politique qui a décrit concrètement la situation. Il suffit pour cela de relire ma déclaration du 17 décembre 2003. J'y ai abordé la pseudo-crise du FLN, les conditions dans lesquelles il faut organiser l'élection présidentielle et, en même temps, j'ai porté un jugement sur l'achèvement de la mandature en cours. Je crois que cette déclaration était tellement à contre-courant à l'époque qu'elle n'a pas eu d'impact. En la relisant aujourd'hui, je suis sûr que les gens vont comprendre que, à partir de cette date-là, ma candidature n'était pas du tout envisagée.

 

Votre présence dans le groupe des dix faisait apparaître votre intérêt pour cette élection. C'est peut-être pour cette raison que la presse n'excluait pas votre candidature ?

Oui, la presse en a parlé et évidemment au sein des mes comités de soutien, il y a eu un débat. Dans le courant réformateur, les gens s'interrogeaient. Ils voulaient s'assurer, vérifier le bon déroulement du scrutin. Maintenant, le groupe des dix a d'emblée affiché ses objectifs. D'abord, en annonçant les conditions nécessaires pour une vraie élection. Ensuite, en s'assurant que les intentions affichées seraient concrétisées sur le terrain.

 

Vous avez parlé à plusieurs reprises d'élection fermée. Cela signifie quoi exactement ? C'est l'exemple auquel nous venons d'assister ?

Une élection fermée signifie qu'elle ne comporte pas de compétition entre des programmes. Une élection fermée suppose qu'elle est vidée de tout enjeu. Cela veut dire qu'elle est préparée ou encadrée en amont par un dispositif de tromperie politique. Les conditions de préparation matérielle laissent beaucoup de place à la manipulation et éventuellement à la fraude. Enfin, les résultats sont prédéterminés par les organisateurs du scrutin.

 

Vous attendiez-vous au score de M. Bouteflika ?

Honnêtement, je m'attendais à sa réélection. Je m'attendais à un vote, à peu près d'un tiers des inscrits. Ce tiers est constitué, selon moi, d'hommes et de femmes qui gravitent autour du système ou de réseaux d'allégeance du système politique dans notre pays. Mais je ne m'attendais pas du tout à l'implication des deux autres tiers dans ce scrutin. C'est ce qui s'est passé en apparence. Il était clair, il y a déjà quelques mois, que le tiers des inscrits allait voter dans sa majorité écrasante pour le candidat du pouvoir, pour celui qui représente le mieux le système. Les deux autres tiers considèrent que le vote est un geste qui n'a pas de signification politique, encore moins d'impact sur les résultats et sur les choix politiques menés dans le pays.

 

C'est par inconscience ?

Au contraire, c'est une conscience aiguë, parce que ces deux tiers pensent qu'ils n'ont pas le droit de voter, mais qu'ils sont invités à adhérer à une politique. Leur acte de voter n'a d'autre signification que d'adhérer à un choix préétabli et une adhésion au statu quo. C'est tout. C'est pourquoi ils ne votent pas. La population avait conscience que l'élection était arrangée et que son vote ne changera rien. En revanche, l'autre tiers avait tout à fait conscience de voter pour le maintien du statu quo et pour l'ordre établi. Cette élection présidentielle ne diffère pas des autres scrutins organisés par le pays. Nous sommes toujours dans le même système et, par conséquent, dans le même type d'élection.

 

Partant de ce constat, pourquoi, à votre avis, les concurrents du président réélu ont parlé durant la campagne électorale de scrutin libre et de chance à saisir ?

Je suis gêné de répondre à cette question. Je ne sais pas pour quelle raison ils l'ont fait. Je sais simplement que le premier communiqué du groupe des dix était clair. Tout le monde était d'accord sur le caractère fermé de cette élection.

 

Pensez-vous que l'armée a été réellement neutre durant le scrutin présidentiel ?

La neutralité de l'armée ne signifie rien du tout, dans une société non structurée, quand les partis politiques ne sont pas ancrés socialement et géographiquement. Cette neutralité ne veut pas dire grand-chose dans un climat politique et social aussi confus. D'autant que les citoyens n'ont pas été convaincus par des actes que le vote citoyen peut modifier les rapports de force.

 

A travers le témoignage notamment du général à la retraite Khaled Nezzar, on a appris qu'en 1999, M. Bouteflika a été choisi par les militaires. Aujourd'hui, pour ce second mandat, qu'en est-il ?

Il est clair, pour moi, que la candidature du président sortant ne pouvait pas s'envisager contre la volonté de l'armée. Mais je suis incapable de dire dans quelles conditions cette candidature a été décidée. Je sais que votre journal a, à maintes reprises, évoqué un conflit, entre guillemets, entre le président de la République et l'institution militaire. En réalité, le problème est que nous n'avons pas encore réussi à établir un rapport institutionnel entre l'armée et la présidence de la République.

Car quels que soient les hommes au commandement de l'armée et la personne à la tête de la présidence, aujourd'hui et demain, tant qu'on n'aura pas réglé ce problème, les liens passionnels demeurent. Alors qu'il est souhaitable que les rapports passionnels laissent place à des rapports institutionnels.

 

Justement force est de constater qu'au lieu d'avoir des rapports institutionnels avec l'armée, M. Bouteflika a plutôt cherché lors du premier mandat à avoir un ascendant sur elle, ou précisément sur certains de ses chefs

J'ai déclaré à un journal national, il y a trois mois, qu'il y a un problème culturel dans notre pays.

L'ancienne génération conçoit le pouvoir comme un ascendant sur les autres hommes et non comme un pouvoir institutionnel limité. Je crois qu'à ce niveau là, nous avons un déficit culturel. Nous n'avons pas encore intégré qu'un chef de gouvernement, qu'un président de la République exerce un certain pouvoir. Certains pensent qu'un chef doit disposer de tous les pouvoirs.

 

En affirmant que l'affaire des moines de Tibhirine n'a pas révélé tous ses secrets, n'y a-t-il pas de la part du chef de l'Etat une volonté de relancer la question de « qui tue qui ? »

Je crois qu'il y a quelques observations à faire à ce niveau là. Premièrement, cette crise que nous vivons depuis 12 ans est encore méconnue par ses causes et ses effets. Cette crise malheureusement n'a pas été saisie dans toutes ses dimensions pour être analysée et rationalisée. Seul moyen pour pouvoir la résoudre. Ce déficit, en termes de fonctionnement institutionnel, fait qu'un homme quelle que soit sa position, quand il s'exprime au niveau de l'Etat, de l'institution ou d'un parti politique, se laisse parfois entraîner par les ouï-dire, influencer par des analystes ici et là

 

Il voulait peut-être donner un avertissement aux militaires au cas où ils s'opposeraient à sa candidature ?

Oui, si on prend ce qui a été dit sous cet angle. Cela signifie que nous sommes encore dans ce rapport non institutionnel entre les hommes qui exercent le pouvoir. Or, un chef a un pouvoir à exercer, mais n'a pas tous les pouvoirs. Il y a une expression chez les juristes qui dit « qui peut le plus, peut le moins ». En termes d'exercice de pouvoir institutionnel, cette expression est fausse. Car on fait le plus, mais on n'a pas toujours le droit de faire le moins. Nous avons malheureusement une culture de l'absolu.

 

A SUIVRE

Link to post
Share on other sites

suite de l'entretien de mouloud hamrouche :

 

Vous avez déclaré récemment qu'il n'y aura pas de changement en dehors de l'armée, seule habilitée à réformer le pouvoir.

Est-ce que vous maintenez cette analyse au moment où on constate que ce scrutin n'a apporté aucune mutation ?

Je maintiens cette déclaration et la réaffirme encore : il n'y n'aura pas de changement sans l'implication de l'armée pour deux raisons. La première raison est caractéristique de la structure du pouvoir. L'ordre établi est composé de gens qui refusent le changement.

Ils activent, travaillent ou exercent le pouvoir pour maintenir le statu quo. Ils ne font rien pour changer l'ordre établi. La seconde est qu'il n'y a qu'un tiers qui vote pour justement désigner les candidats du statu quo. Les deux autres tiers de la population ne sont pas encadrés, ne sont pas dans un cadre institutionnel, intégrés dans des mouvements politiques. Ils sont en dehors et ceux-là souhaitent le changement. Mais ils n'arrivent pas à porter leur voix. Ils ne disposent pas de moyens pour le faire. Ils sont conscients que le vote réel n'existe pas.

 

Avec M. Bouteflika, c'est plutôt la continuité ?

 

Seule l'armée peut apporter un changement.

Dans une société où les organisations politiques enracinées en termes social et géographique n'existent pas, tant qu'une force politique soutenue par une partie de la société n'apparaît pas, la seule institution organisée qui reste est l'armée. Elle est à la fois une institution à caractère militaire et national. Efficace par la formation et les cadres qu'elle recèle, elle seule est capable de conduire le changement et d'imposer la démocratisation.

 

Pourquoi ce rendez-vous a-t-il été raté cette-fois-ci ?

 

Il faut croire que l'institution militaire n'a pas décidé d'aller instaurer une vraie démocratie dans le pays et d'opérer de véritables changements.

 

Pourquoi ?

 

Il doit y avoir plusieurs raisons. D'abord, il y a un problème de choix. Je pense que l'armée continue à croire que le pays a fait déjà un choix et qu'elle est là pour le préserver. Elle ne veut pas de remise en cause. Ce qui fait qu'elle protège le pouvoir et les politiques en place.

Comment une armée dans n'importe quel pays du monde bascule-t-elle d'une force qui préserve le statu quo à une force de changement ?

Ce n'est pas simple. Nous ne sommes pas dans un raisonnement purement rationnel. Nous sommes dans un

raisonnement politique et sociologique, le plus souvent subjectif.

 

Comment appréhendez-vous ce nouveau quinquennat ?

 

C'est difficile à dire parce que quelles que soient la volonté et les intentions à la fois du président et de son équipe, il y a des permanences. Ces permanences qui sont les nôtres, c'est quoi exactement ? C'est le manque et l'insuffisance des expertises. Et aussi les capacités de nos appareils économiques et administratifs à opérer et fonctionner autrement. Nous avons un comportement bureaucratique dominant, que nous soyons dans le secteur économique, administratif ou politique. Nous le percevons, y compris dans le fonctionnement d'un parti politique. C'est un comportement bureaucratique accompagné d'une faiblesse de l'administration.

En parlant de quinquennat, on ne peut qu'aborder la question de la réconciliation nationale sur laquelle le chef de l'Etat base tout son programme. Elle consiste en quoi, selon vous ?

 

Jusqu'à maintenant, le président n'a pas donné les contours de ce concept. Réconciliation nationale signifie quoi ? Pour ne pas faire dans le procès d'intention, laissons-lui le temps de l'expliquer. Par contre, je me hasarderai un peu en faisant de la projection, à partir de faits, de ce qu'on sait de notre comportement et de notre culture et des discours passés du chef de l'Etat. Force est de constater qu'il veut réconcilier les Algériens avec un système politique unique et autoritaire et en même temps centraliser la décision à la fois politique économique et sociale. A partir de ces observations, il y a lieu de penser que cette réconciliation nationale ne se résume qu'à réconcilier le courant islamique avec l'ordre établi en maintenant le système dans son fonctionnement actuel.

Je profite de l'occasion pour attirer l'attention sur un fait majeur : on tente de réconcilier les Algériens avec un système qui est à l'origine de la crise et des évènements graves qu'a connus le pays. Alors qu'il est urgent de concilier l'Etat, le pouvoir avec un système démocratique, un système où il y a plus de liberté, plus d'ouverture, plus de justice.

 

A l'ombre de cette réconciliation nationale, telle que conçue par le chef de l'Etat, est-ce qu'il y a un risque d'aggravation de la situation sécuritaire si ce dernier n'honore pas ses engagements vis-à-vis du courant intégriste ?

 

Pour moi, il y a deux visions de la vie, du monde et de la politique. Celle qui invite les Algériens à aller relever les défis, à exercer leurs droits, à être libres et donc responsables et celle qui considère que le système inventé par les Algériens pour gouverner les autres Algériens est l'idéal. Cette dernière fait croire que si naît une contestation à un moment ou un autre, si se déclenche une violence quelque part, ou si on constate des dérives et des perversions, de la corruption, c'est dû uniquement au comportement des hommes, disculpant ainsi le système en soi. Finalement, il ne s'agit pas d'expliquer ce que va faire le président ou pas. S'il va honorer ses engagements. Cela si engagements il y a. En tout état de cause, si le président s'engage vers l'ouverture et permet à la société de disposer de contre-pouvoir, il a des chances de réussir. Dans une telle démarche même les islamistes trouvent une place, à condition qu'ils acceptent la notion d'une société libre. Si, au contraire, le président compte uniquement réconcilier le peuple avec un système fermé, clanique qui a engendré la crise, la corruption et la mort, alors que ce système a affaibli le pays sur le plan international, brisé l'élan économique, culturel, il fait fausse route. Aujourd'hui, l'Algérie n'est plus ce qu'elle était il y a dix ans. Je dirai même que nous étions en meilleure position. Le pays régresse sur tous les plans. Au moment où les droits de l'homme et les libertés sont à l'ordre du jour au niveau mondial, même sur ce chapitre-là, nous sommes en régression.

 

Quelle pourrait être la configuration du paysage politique dans les années à venir ?

Je vais encore une fois être à contre-courant. Nous ne pouvons pas configurer un champ politique qui n'existe pas. Configurer un champ politique se fait par la base, par les citoyens, non par des décisions venues d'en haut.

La configuration actuelle est artificielle. Nous ne pouvons pas configurer une scène politique par décret. Les tenants de l'ordre établi ne s'accommodent pas d'un vrai champ politique, des organisations politiques, syndicales et professionnelles fortes. Avec ce qui s'est passé au FLN, j'ai l'impression qu'on ne veut pas de structuration politique dans le pays. La preuve, le parti qui était apte à participer à cette dynamique a été déjà laminé.

Les partis eux-mêmes n'ont-ils pas un peu participé à leur affaiblissement en s'éloignant des aspirations de la base, en versant dans les contradictions et en se lançant parfois dans des liaisons dangereuses ?

Un laps de temps très court a permis d'instituer et de rendre disponible un certain nombre d'outils et d'instruments politiques pour l'exercice des libertés après les évènements d'octobre 1988 et l'ouverture démocratique de 1999. Quand on observe cette période, depuis 1992 à nos jours, nous constatons une réduction d'année en année de l'espace des libertés, un affaiblissement, pour ne pas dire une implosion des partis politiques. Le discours politique est devenu désincarné. Il suffit d'examiner la campagne électorale qui vient de s'achever pour découvrir l'inexistence de discours politique.

 

.

Entretien réalisé par Nissa H

Link to post
Share on other sites

suite et fin de l'entretien de mouloud hamrouche !

 

La démission du secrétaire général du FLN va être suivie par un congrès réunificateur organisé par le mouvement de redressement. M. Hamrouche se situe où ?

 

Nous sommes en face de militants, d'hommes et de femmes, qui ne cessent de dériver, décrochés de leur identification. Ce n'est pas propre à la direction du FLN, l'ensemble des partis politiques sont dans la même situation. Sans ancrage. Les militants de la base n'ont pas le droit d'élire leurs représentants, de se prononcer sur la ligne politique, de critiquer ou de remplacer leur direction.

S'il n'y a pas de fonctionnement démocratique dans les partis, peut-on prétendre à un pouvoir démocratique ?

Alors qu'il faut revendiquer un fonctionnement démocratique à la fois de la société et du pouvoir ?

La démarche du mouvement de redressement est-elle légale ?

Que ce soit les redresseurs qui prennent les rênes du parti ou bien ce que la presse a appelé « les légitimistes » n'est pas important.

C'est un faux clivage, la question fondamentale est : est-ce que le FLN a encore une base sociale ?

Est-ce cette base a la latitude de choisir les politiques ? Est-ce que c'est elle qui désigne les responsables ? Ou est-ce que tout cela est condamné à demeurer le fruit de complots politiques et scientifiques ?

 

Le coordinateur du mouvement de redressement, Abdelaziz Belkhadem, a déclaré au journal Liberté qu'il comptait vous associer, vous et Abdelhamid Mehri, au congrès réunificateur. Quelle sera votre réponse ?

Tout cela offre l'aspect d'une nébuleuse. Que les personnes invitées répondent ou pas ne changera rien de fondamental !

 

Le FLN, c'est un parti fini ?

La question ne se pose pas de cette manière. C'est plus grave. Il s'agit de savoir si dans le pays il y a une place pour les formations politiques en général. Le FLN est un parti important. S'il ne se démocratise pas, il sera un rempart à la démocratisation de l'Algérie. Si au contraire il consent à le faire, il peut contribuer énormément à la démocratisation du pays.

 

Enfin on ne peut pas terminer cet entretien en faisant l'impasse sur la Kabylie. Si ce dossier est mal géré encore, qu'est-ce qui risque de se passer ?

Le crise de la Kabylie nous révèle tous les problèmes non résolus de la société. Elle nous montre comment l'ordre établi et les tenants du pouvoir les traitent et pourquoi des mouvements aussi profonds n'aboutissent pas.

Nous sommes dans une société bloquée par un régime autoritaire. C'est un grand tort de croire qu'à l'instar des autres problèmes du pays, la crise de la Kabylie sera absorbée par le temps

 

Entretien réalisé par Nissa H

Link to post
Share on other sites

Amicalement Votre < € _ « ESP » _ € >

 

"Les groupes haineux distribuent une littérature haineuse où sont étalés symboles et slogans intolérants. La littérature haineuse constitue une propagande qui avilit l'objet de haine et attribue au groupe dont il fait partie la responsabilité du futur sombre du groupe haineux. Elle peut se manifester sous plusieurs formes dont :

 

dépliants au contenu haineux

graffitis haineux

messages téléphoniques enregistrés incitant à la haine contre un groupe

affiches dépeignant des images dénaturées d'un groupe

discours publics promouvant la haine contre un individu ou un groupe

messages haineux sur Internet"

 

Mr L'ARBE , Bonjour Azul .Merci pour ce commentaire tu es un vrai philosophe j'aime ta philosophie mon Ami mon semblable mon Frère .

Aucune philosophie n'a jamais pu mettre fin à la philosophie et pourtant c'est là le voeu secret de toute philosophie.

Hâtons-nous de rendre la philosophie populaire. Si nous voulons que le Peuple et les philosophes marchent en avant pour soutenir notre Pays et Son President , approchons le peuple du point où en sont les philosophes , car exprimer une idée est une activité difficile à laquelle il faut s'exercer ; la télé supprime cet exercice ; nous risquons de devenir un peuple de muets, frustrés de leur parole, et qui se défouleront par la violence.

< SANS RANCUNE > -- < rassem054@yahoo.fr >

Link to post
Share on other sites

tout le contraire de cette diarrhée !

qui est de la vraie pollution !!

juste 3 minutes aprés ma contribution de ce topic déja oublié et ressucité par ladoz !

 

 

HADJ - MESSAR

Senior Member

Thumbs up Amicalement Votre < € _ « ESP » _ € >

 

 

Citation:

Envoyé par L'ARABE Voir le message

"Les groupes haineux distribuent une littérature haineuse où sont étalés symboles et slogans intolérants. La littérature haineuse constitue une propagande qui avilit l'objet de haine et attribue au groupe dont il fait partie la responsabilité du futur sombre du groupe haineux. Elle peut se manifester sous plusieurs formes dont :

 

dépliants au contenu haineux

graffitis haineux

messages téléphoniques enregistrés incitant à la haine contre un groupe

affiches dépeignant des images dénaturées d'un groupe

discours publics promouvant la haine contre un individu ou un groupe

messages haineux sur Internet"

Mr L'ARBE , Bonjour Azul .Merci pour ce commentaire tu es un vrai philosophe j'aime ta philosophie mon Ami mon semblable mon Frère .

Aucune philosophie n'a jamais pu mettre fin à la philosophie et pourtant c'est là le voeu secret de toute philosophie.

Hâtons-nous de rendre la philosophie populaire. Si nous voulons que le Peuple et les philosophes marchent en avant pour soutenir notre Pays et Son President , approchons le peuple du point où en sont les philosophes , car exprimer une idée est une activité difficile à laquelle il faut s'exercer ; la télé supprime cet exercice ; nous risquons de devenir un peuple de muets, frustrés de leur parole, et qui se défouleront par la violence.

< SANS RANCUNE > -- < rassem054@yahoo.fr >

priere y mettre fin .

ps/ PRIERE remarquer en red

le tract de propaganda nazie de la securitate

brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr j'ai froid dans le dos

çà me rappelle certaines périodes .

Link to post
Share on other sites
hé un moment!

que reproche tu à Mouloud ????

personne n'a dit que c'en est un saint !

mais glorieux moudjahid et fils d'héroïque chahid

oui !!!!

Mouloud Hamrouche Est un enfant d'Algérie libre et combattante et ce n'est pas le cas de beaucoup de planqués dans la présidence actuelle .

 

Tout sa carriere fut au service de sa patrie et je dis çà non pas que je l'ai appris à travers les medias ou la politique mais pour l'avoir eu comme frère de combat , instructeur et responsable direct .

pardon de sortir du sujet !

je ne fais que répondre à une allusion que j'espère sera précisée par son auteur !

c'est la venue du nabot léon qui a permis ces dilapidations gigantesques à coup de mille milliards par n'importe quel intrus

car c'est dans les mœurs importés par lui du makhzen et un peu plus tard des limaces du moyen orient.

 

 

Il n'est ni meilleur ni pire que les autres , rassure toi :mdr:

Link to post
Share on other sites

Amicalement Votre < € _ « ESP » _ € >

 

tout le contraire de cette diarrhée !

qui est de la vraie pollution !!

juste 3 minutes aprés ma contribution de ce topic déja oublié et ressucité par ladoz !

 

 

 

priere y mettre fin .

ps/ PRIERE remarquer en red

le tract de propaganda nazie de la securitate

brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr j'ai froid dans le dos

çà me rappelle certaines périodes .

 

 

>>>Moi et L'Arabe , notre vérité est comme l'eau froide qui fait mal aux dents malades des Opposants .

Une chose facile à avoir en Janvier , c'est avoir du sang-froid.

Pourquoi tu nous accuses de Nazis de la securitate ? Nous ne sommes que des simples internautes comme les autres .

Le fer se rouille, faute de s'en servir, l'eau stagnante perd de sa pureté et se glace par le froid. De même, l'inaction sape ta vigueur de ton ésprit.

< SANS RANCUNE > ( rassem054@yahoo.fr )

Link to post
Share on other sites
hé un moment!

que reproche tu à Mouloud ????

personne n'a dit que c'en est un saint !

mais glorieux moudjahid et fils d'héroïque chahid

oui !!!!

Mouloud Hamrouche Est un enfant d'Algérie libre et combattante et ce n'est pas le cas de beaucoup de planqués dans la présidence actuelle .

 

Tout sa carriere fut au service de sa patrie et je dis çà non pas que je l'ai appris à travers les medias ou la politique mais pour l'avoir eu comme frère de combat , instructeur et responsable direct .

pardon de sortir du sujet !

je ne fais que répondre à une allusion que j'espère sera précisée par son auteur !

c'est la venue du nabot léon qui a permis ces dilapidations gigantesques à coup de mille milliards par n'importe quel intrus

car c'est dans les mœurs importés par lui du makhzen et un peu plus tard des limaces du moyen orient.

 

 

Mouloud Hamrouche comme responsable direct ?? instructeur ?? vous aviez quel âge durant la guerre de libération ??

Link to post
Share on other sites
president_saadani_g.jpg

 

 

Selon El-Khabar El Ousbouii, l'ex président de l'APN, Amar Saidani, un proche de Bouteflika, aurait détourné plus de 3000 milliards de centime, soit 300 millions d'euros, du programme de soutien a l'agriculture.

 

D'après le journal, il aurait acheté des biens en Espagne, à Paris ainsi qu'à Londres, en plus de la villa à 25 milliards de centime sis a Hydra (Alger).

 

Toujours selon ce journal, Amar Saidani, n'aurait pas été inquiété, ni poursuivi en justice, sa seule sanction est de se voir écarter de la vie politique, voila qui expliquerait sa disparition soudaine de la vie politique algérienne.

 

http://www.elkhabar-hebdo.com/site/pdf/546.pdf

 

honnetement, qu'est ce qu'il faut esperer d'un mec pareil?:mdr:

Link to post
Share on other sites
Mouloud Hamrouche comme responsable direct ?? instructeur ?? vous aviez quel âge durant la guerre de libération ??

MERCI DE ME LIRE

mes 20 000 ou plus posts depuis 2003 sont publiés içi et ailleurs tjr dans les fa algeriens sous juste qq pseudos : jilla daoud et lyes temoin et arroubi pour raison de bannissement

car tjr rebelle et hors cadre ambiant : chercher dedAnS !

vous saurez si ma petite personne vous interrese tant ! .

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...