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Ce que je n'ai jamais gobé , c'est que la wilaya 1 historique ait pu appuyer les usurpateurs .

 

Tessbah 3la khir et Saha S'hourek !

merci

demain je t'expliquerais la compromissions point par point

promis !!!

Tessbah 3la khir et Saha S'hourek

chawi taa chkoupi

hahahaha:mdr:

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T'avais quel âge ?

salem wahrani chawi !

 

c'etait en 1957 et 1958

mon age d'or et celui de l'ALN ! les djebels grossisaient par les effectifs des maquisards jeunes et par des armes venant de tunisie .

et aussi des années tristes !

(27 Décembre 1957 : Ramdane Abane est assassiné par les siens au Maroc en présence de Belkacem Krim dans des conditions obscures.)

ET çà C'EST UNE AUTRE HISTOIRE

que je te raconterais dans un autre topic de la compromission de la wilaya 1historique .

voiçi un avant gout !

 

Amirouche Aït Hamouda

Colonel de l'Armée de libération Nationale.

 

Né le 31 Octobre 1926 à Tassaft Ouguemoune (actuellement sur le territoire de la commune d'Iboudraren).

Fils posthume d'Amirouche Aït Hamouda et Fatima Aït Mendès.

 

A la création de l'O.S (Organisation Spéciale), groupe paramilitaire chargé de la préparation des combattants pour la lutte armée, il est l'adjoint de Ounès Benattia auquel il succède après l'arrestation de ce dernier.

 

En 1950, sur ordre de ses chefs, et dans le cadre de la crise profonde qui secoue alors le mouvement national, il quitte l'Algérie pour la France où son engagement dans les rangs des durs lui vaut un passage à tabac qui le laisse pour mort après un meeting houleux à la Mutualité à Paris.

Il y reste jusqu'en Septembre 1954 date à laquelle il revient en Algérie et participe à la préparation du déclenchement de la lutte armée aux environs de l'Arbâa des Ouacifs où il est initié au maniement des explosifs par Mokhtar Kaci-Abdallah.

Le premier Novembre 1954, il entre dans la clandestinité sous les ordres de Amar Aït Chikh et assiste en 1955, impuissant, au simulacre de procès, organisé, à l'instigation de Krim Belkacem, qui aboutit à l'assassinat de son cousin Amar Ould Hamouda (figure connue du mouvement national).

 

Dur au mal, infatigable, habile tacticien, il gravit rapidement les échelons de la hiérarchie jusqu'au grade de commandant.

C'est à ce titre, et en qualité de responsable de la zone de la Soummam en basse Kabylie, qu'il assure la sécurité du Congrès de la Soumman qui jettera les bases idéologiques du combat libérateur et assoiera le socle de l'Etat Algérien moderne.

Lors de la crise de la Wilaya 1,

après la mort de Mostefa Ben Boulaïd et la liquidation de chefs prestigieux tels Abbas Laghrour, Bachir Chihani et quelques autres, il est chargé par le CNRA (Conseil National de la Révolution Algérienne) de remettre de l'ordre dans les rangs des combattants.

 

Il s'acquitte avec brio de cette mission et redonne à la Wilaya 1 son unité perdue et récupère, en lui sauvant la vie, le futur colonel Haouès (Ahmed Ben Abderrazzak)

Lors du départ de Saïd Mohammedi vers l'extérieur, le conseil de Wilaya le désigne comme successeur, ce qu'il refuse pour ne pas violer la règle de l'ALN qui exige que le poste revienne à l'officier le plus ancien dans le grade, en l'occurence, Saïd Yazouren dit Vrirouche.

Ce dernier, envoyé à Tunis, y est maintenu pour permettre :

 

la désignation d'Amirouche au grade de colonel.

L'épisode douloureux du complot dit de "la bleuite" affecte profondément la wilaya 3 et donne lieu à des liquidations physiques massives au sein des unités combattantes.

Grâce à l'abnégation d'adjoints prestigieux, tels les commandants Ahcène Mahiouz, H'Mimi (Ahmed Feddal), Moh Ouali (Slimani Mohand Ouali), Ali Azzi, Lamara Hamel, il remet en route les unités combattantes.

Souffrant de l'absence totale d'approvisionnement en armes en provenance de l'extérieur.

Il décide alors, avec le colonel Haouès de se rendre à Tunis demander des comptes au GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) et envoie une mission d'approche vers la Wilaya 2 dont le chef, le colonel Ali Kafi avise Lakhdar Bentobbal de l'arrivée prochaine des colonels.

Ce dernier avise Belkacem Krim et Abdelhafid Boussouf et ils décident ensemble de laisser le temps au service français du chiffre de décoder les messages de l'ALN.

Suivi à la trace par les troupes françaises, le groupe des colonels, escortés par le commandant Amor Driss, tombe dans une embuscade mortelle au lieudit Djebel Thameur en date du 29 Mars 1959

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