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La sœur d’Ali la Pointe dévoile “ses” vérités !


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La sœur d’Ali la Pointe dévoile “ses” vérités!

 

Près de 52 ans après l’assassinat du héros de “la Bataille d’Alger” :

La sœur d’Ali la Pointe dévoile “ses” vérités

 

 

El-hadja Aïcha a tenu à “libérer sa conscience” en dévoilant des pans de la vie du héros de La Bataille d’Alger.

De sa tendre enfance à son assassinat, en passant par sa rébellion à coups de larcins contre les Américains, elle dira tout.

Ou presque. Témoignages.

D’emblée elle s’est voulue claire et sans ambiguïté.

“Je ne veux rien d’autre que faire éclater la vérité et éclaircir les zones d’ombre qui existent depuis plus d’un demi-siècle.”

Elle c’est Aït Amer Aïcha, 80 ans, et sœur de lait d’Ali la Pointe.

 

Nous l’avons rencontrée sur les hauteurs d’Alger, non loin de son domicile actuel qui se trouve du côté de Bouzaréah.

“Son père est le frère de ma mère. Nous étions très liés Ali et moi et j’ai suivi sa vie de très près jusqu’à son assassinat par les Français.”

Une année sépare el-hadja et Ali (elle est née en 1929 et lui en 1930).

 

“Je n’ai rien voulu dire jusqu’à maintenant parce que j’ai toujours eu peur d’être manipulée ou que l’on déforme mes propos.

Je ne peux plus me taire ; je suis arrivée à un âge avancé et je veux dire à tous les Algériens des vérités qu’on a omis, volontairement, de dire sur Ali, mon frère.”

 

“Moudjahid dès 1944 et il n’a jamais été un truand”

 

Sur son image de “petit malfrat multirécidiviste” d’avant la guerre de Libération, el- hadja nous répétait à plusieurs reprises que son frère “n’a jamais été un bandit ou un truand, comme beaucoup l’ont dit depuis des années et des années”.

 

Même le film La Bataille d’Alger “est à moitié faux. Ali a combattu pour la libération bien avant le début de la Révolution”. Elle nous relatera ses “débuts” dans sa ville natale, Miliana (à 119 km au sud-ouest d’Alger).

 

“Le point de départ de son combat c’était en pleine Seconde Guerre mondiale, alors qu’il n’avait que 14 ans. Il faisait ses coups en prenant des armes aux convois américains qui passaient à Miliana. Une fois les Américains l’ont poursuivi, lui et trois autres copains qu’ils n’ont pas hésité à tuer.

 

Ali, a dû ainsi s’enfuir et les Américains sont rentrés à la maison avec leurs mitraillettes et nous ont fait beaucoup peur.

 

Recherché, Ali se faisait de plus en plus rare.” Un “état d’éveil” qu’el-hadja explique par un fait qui aurait transformé la vie du jeune Ali. “Le grand-père à son père s’appelait Abdelkader Ammar.

Il a été déporté par la France à l’île de Cayenne où il est enterré. Il faut savoir que les Français n’ont pu entrer à Miliana qu’après 15 ans de l’envahissement du pays.

 

Ali voulait tout savoir sur ce qui s’était passé pour son grand-père et il demandait, chaque nuit, à ma mère de lui raconter les aventures de ce combattant et ce qu’il avait fait contre les Français lorsqu’ils sont venus dans la ville.” Toujours à propos de l’enfance du héros de La Bataille d’Alger elle dira qu’“il avait la haine des colons très jeune.

 

Quand il était à l’école, il ne ratait aucune occasion d’en découdre avec les enfants des colons et c’est la raison pour laquelle il a été exclu de l’école.” Selon Nana Aïcha, c’est grâce à la bravoure et au courage qu’il avait montrés avec les Américains que les nationalistes l’ont recruté.

 

“Il ne s’était pas marié”

 

Le premier point qu’elle a voulu “rectifier” touche à la vie privée d’Ali la Pointe. “Avant tout, je tiens à dire et à crier même que Ali ne s’était jamais marié. Tout a été fait après l’Indépendance dans des conditions très bizarres et à l’insu de toute la famille. Du jour au lendemain, on a entendu parler d’une Fatiha, de chouhoud (témoins, ndlr).”

 

Pour elle, la meilleure preuve, en plus de celle des témoignages des autres membres de leur famille, reste une certaine “Fatiha”, chez qui il se cachait dans La Casbah.

 

“Elle-même m’avait dit que Ali ne pouvait pas être marié sans qu’elle ne le sache et elle m’a répété qu’elle était prête à le dire à qui voulait le savoir. D’ailleurs elle est encore vivante pour confirmer mes dires”.

“Chacun sera jugé sur ce qu’il a fait”

 

 

Revenant sur les conditions dans lesquelles a été assassiné Ali la Pointe, elle nous donnera des détails qu’elle affirme “très sûres et qu’aucune personne sensée et honnête ne peut les nier”.

 

L’histoire nous “dit” que les paras ont fait exploser le 8 octobre 1957 la cachette dans laquelle se trouvaient, en plus d’Ali la Pointe, Hassiba Ben Bouali, Yacef Omar (appelé petit Omar et qui était le neveu de Yacef Saâdi) et de Mahmoud Bouhamidi.

 

Le quatuor était à la fameuse adresse du 5, rue des Abderames, dans La Casbah. “Ce n’était que la seconde cachette d’Ali et les autres membres de son groupe”, indique el-hadja en soulignant que “tout avait changé avec l’arrestation de Yacef Saâdi.

 

Fatiha, qui hébergeait Ali et les autres, m’a tout raconté. Une femme, dont j’ai oublié le nom, est venue voir Ali et l’informer que Yacef Saâdi a été arrêté. Ali lui avait alors répondu qu’il n’avait pas à craindre d’une quelconque trahison et qu’il faisait une confiance aveugle à Saâdi.

 

Tout ce qu’il a décidé sur le coup, c’était de changer de lieu et de rejoindre l’autre cache du groupe”. Comme relaté après par Yacef Saâdi lui-même, ce dernier a été arrêté lors de la prise d’assaut des parachutistes du 3, rue Caton à La Casbah.

 

Il s’est avéré, d’ailleurs, que la première cache d’Ali la Pointe et de Hassiba Ben Bouali se trouvait juste en face, au 4, rue Caton. Néanmoins, nous avons remarqué qu’el-hadja s’était montrée subitement mal à l’aise dès qu’on lui a demandé si elle pensait qu’Ali la Pointe avait été trahi.

 

Elle s’était contentée.

 

“Je ne suis sûr de rien mais tout ce que je peux vous dire c’est que chacun va assumer et que sera jugé sur ce qu’il a fait.”

 

“Son frère est abandonné à Miliana”

 

Tout au long de notre entretien avec el- hadja Aïcha, elle ne cessait de revenir sur le cas du jeune frère d’Ali, Mohamed.

“Il est totalement abandonné à Miliana et personne ne se penche sur son cas. Pourtant il est très malade”.

 

Elle nous parlera aussi d’autres membres de la famille “a qui il faut rendre hommage”. Elle évoquera ainsi le cas de la sœur du héros de La Bataille d’Alger, Yamina. “Elle est morte il y a quatre ans dans le plus grand anonymat. Déjà lors de la Révolution, elle a été emprisonnée par les Français parce qu’elle ne voulait rien dire sur son frère”. Elle citera également le cas du cousin, Omar Ammar, “qui a été noyé par les Français dans une piscine alors qu’il n’avait que 18 ans”.

Nous n’avons pas pu nous empêcher de noter qu’elle a tout fait avec nous pour éviter de se prononcer, ou d’évoquer même à demi-mot, le “statut” de proxénète d’Ali la Pointe qui avait défrayé l’actualité en 2000 après les déclarations tapageuses du journaliste tunisien Tewfik Ben Brick.

Avant de nous quitter el-hadja Aïcha nous a encore rappelé le “but” de son témoignage. “Je n’aspire qu’à libérer ma conscience et rien d’autre” avant de lâcher, après un long soupir, une phrase valant mille discours.

“La vérité n’est pas ailleurs, mais juste en face de nous ; c’est comme si personne ne veut la connaître.”

 

Bataille d’AlgerÉvoquer Ali la Pointe, c’est avoir à l’esprit les images du film devenu mythique qu’est “La Bataille d’Alger” et qu’el-hadja Aïcha nous présenta comme une œuvre “qui n’a montré que la moitié de la vérité”.

Réalisé par Gillo Pontecorvo en 1965 (et coproduit par Yacef Saâdi), il a eu un parcours des plus atypiques.

Si la référence essentielle reste ses distinctions (Lion d’Or à Venise en 1966, primé à Cannes en 1966, à Moscou en 1967 et nominé aux Oscars pour la catégorie “Meilleur film étranger”, il y a également une “autre” facette.

 

En France, il a été interdit par la censure lors de sa sortie en 1965. Il n’a obtenu son visa d’exploitation qu’en 1970 avant d’être retiré de l’affiche après les agressions contre les salles où il était programmé.

Tatouages

Recherché dans les années 1950, Ali la Pointe était présenté sur les affiches avec des indications qui, vraisemblablement, beaucoup n’ont pas attaché d’importance.

Il s’agit des tatouages qu’il avait sur le corps.

 

On pouvait ainsi lire que pour le “reconnaître” Ali la Pointe avait les tatouages suivants. Sur la main gauche, il y serait inscrit : “Zoubida-Cheda-Felah” ; sur le téton gauche : “Marche ou crève” et sur le dessous de son pied droit : “Tais-toi”.

 

Par : Salim Koudil, Liberté, 23 août 2009

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salam

alikoum

pourquoi on passe pas à d'autre chose utile que les blabla de laguerre de la revolution,on afait quoi avec l'independance depuis 1962 notre vie est plus chiante que l'epoque coloniale

khalouna tranquille

no comment ?

revisiter l'histoire est preferable à la tchatche inutile !

hein ! jahid .

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“Il ne s’était pas marié”

 

Le premier point qu’elle a voulu “rectifier” touche à la vie privée d’Ali la Pointe. “Avant tout, je tiens à dire et à crier même que Ali ne s’était jamais marié. Tout a été fait après l’Indépendance dans des conditions très bizarres et à l’insu de toute la famille. Du jour au lendemain, on a entendu parler d’une Fatiha, de chouhoud (témoins, ndlr).”

 

Pour elle, la meilleure preuve, en plus de celle des témoignages des autres membres de leur famille, reste une certaine “Fatiha”, chez qui il se cachait dans La Casbah.

 

“Elle-même m’avait dit que Ali ne pouvait pas être marié sans qu’elle ne le sache et elle m’a répété qu’elle était prête à le dire à qui voulait le savoir. D’ailleurs elle est encore vivante pour confirmer mes dires”.

“Chacun sera jugé sur ce qu’il a fait”

 

Toutes ces révélations exonèrent la crédibilité, et l'aura de certaines scènes du film. Mais rien au courage, ni à la ténacité de Ali à vouloir narguer l'adversaire. J'avais lu qu'à l'époque, en temps de guerre, la presse voulait coute que coute l'affubler du combattant qui refusait de se rendre, plutôt que du martyr qu'il est.

Ce qui choque dans ces révélations, c'est la volteface, les démentis du film, qui ne peuvent être l'objet d'une simple supposition à cause d'une lacune, ou du manque d'un morceau au Puzzle, comme il se passe dans n'importe quel film véridique, puisque là dans la bataille d'Alger, Yasef Saâdi le coproducteur est le plus à même de rapporter l'enchaînement des évènements dans leur entière exactitude, puisqu'il les a vécu en temps réel avec Ali, le petit Omar, Hassiba..ect ! Quel intérêt avait-il d'usurper les faits tel que le mariage qui a été contesté par la première concernée !

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Toutes ces révélations exonèrent la crédibilité.....puisque là dans la bataille d'Alger, Yasef Saâdi le coproducteur est le plus à même de rapporter l'enchaînement des évènements dans leur entière exactitude, puisqu'il les a vécu en temps réel avec Ali, le petit Omar, Hassiba..ect ! Quel intérêt avait-il d'usurper les faits tel que le mariage qui a été contesté par la première concernée !

salem et bonsoir chere Oryza !

justement la soeur d'ali emis sans les dire ouvertement des doutes que j'ai moi aussi sur la sincerité yacef saadi !

n'oublions pas que yacef fut tombé entre les mains de l'ennemi et sa livraison fut conditionné

wa allah houa el allem !!!

à voir !

 

PS: faire l'apologie d'un homme de valeur et abondonner les siens dans la misere n'honore pas le yacef qui vis mm mtn dans le respect du pouvoir et l'opulence de la rente .

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salem et bonsoir chere Oryza !

justement la soeur d'ali emis sans les dire ouvertement des doutes que j'ai moi aussi sur la sincerité yacef saadi !

n'oublions pas que yacef fut tombé entre les mains de l'ennemi et sa livraison fut conditionné

wa allah houa el allem !!!

à voir !

 

PS: faire l'apologie d'un homme de valeur et abondonner les siens dans la misere n'honore pas le yacef qui vis mm mtn dans le respect du pouvoir et l'opulence de la rente .

 

J'avais beaucoup de respect pour Yacef Saadi , que j'ai eu le plaisir de rencontrer dans sa villa de Telemly en 1990 .

 

Je l'ai détesté le jour ou je l'ai vu à la télé , embrasser la main de Bouteflika .

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J'avais beaucoup de respect pour Yacef Saadi , que j'ai eu le plaisir de rencontrer dans sa villa de Telemly en 1990 .

 

Je l'ai détesté le jour ou je l'ai vu à la télé ,embrasser la main de Bouteflika .

 

certains gestes anodins trahissent le fond de notre personalité !

mais là n'est pas le bp !

c'est les aveux d'aussaresse qui choquent !

d'aprés lui c'est un vendu " bayoue ""!

moi je l'ai tjr detesté et mis certaines fois par ma fonction dans les années 70 à sa place quand j'ai exercé à bab djedid !!!!!!

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QQ ameres verités !!

 

Yacef Saadi a trahi Ali la pointe

Les faussaires : Indices sur le chemin de la vérité

Faux-Moudjahidines, Yacef Saâdi, Aussaresses, Germaine Tillon et Mme Massu

 

Même l’histoire a été manipulée au gré des intérêts des uns et des autres offrant aux algériens de faux héros et cachant la vérité de peur que leur « légitimité

 

révolutionnaire », fonds de commerce du régime, ne fonde comme neige au soleil…

 

Dans ce sens, lorsque le général tortionnaire Aussaresses révéla dans son livre-scandale « Services spéciaux-Algérie 1955-1957 » que Yacef Saâdi, l’ex-chef de la zone autonome , s’était mis à table sans être torturé et qu’il avait donné Ali-la-Pointe sans difficulté aucune, il n’a fait, en vérité, que confirmer ce que les anciens de la Casbah savaient.

 

Quand, en 1986, éclatèrent les événements de la Casbah, le pouvoir avait demandé à Yacef Saâdi d’aller sur place pour calmer la population qui était sortie crier sa colère contre la hogra. Il a été accueilli par des jets de pierres et des insultes. « Traitre ! », criait-on de partout.

 

Lorsque, au début du règne Bouteflika, éclata la fameuse polémique entre Ben-Brik, gauchisant tunisien, opposant à Ben Ali, et le pouvoir algérien à propos de Ali-la-Pointe, Yacef Saâdi critiqua violemment Ben Brik parce que ce dernier avait déclaré, que

« Ali-la-Pointe était un ancien voyou devenu un grand patriote ! ».

 

Saâdi voulait faire croire à l’opinion qu’il avait réagit pour défendre l’honneur de son ex-compagnon d’armes qui, cela dit en passant, n’a à aucun moment été égratigné par Ben-Brick !

 

Mais tout le monde avait compris à l’époque que, par son intervention démagogique, Saâdi avait rendu service à Ben-Ali, le président tunisien ainsi qu’à Bouteflika.

 

Le demi-frère de Ali-La-Pointe déclara à la presse quelques jours plus tard qu’il n’avait rien contre Ben-Brik et que ce dernier n’avait pas porté atteinte à l’honneur de son frère.

 

L’opposant tunisien avait même prénommé son fils « Ali », en hommage à Ali-La-Pointe !

 

Le demi-frère de Ali-La-Pointe dénonça publiquement l’hypocrisie du pouvoir algérien du fait que les autorités n’ont même pas pris en charge la propre mère de Ali-La-Pointe après l’indépendance. Cette dernière est morte dans le dénuement total.

 

Et le frère de Ali de conclure par la description des conditions de vie lamentables dans lesquelles il s’est toujours débattu.

 

Pourquoi Yacef Saâdi n’a pas levé le petit doigt pour aider la mère de son ex-compagnon d’armes, lui le richissime homme d’affaires, l’ami de Ben Bella, de Boumédienne et de tous les présidents algériens successifs ?

 

Dans son livre, « La bataille d’Alger », Yacef Saâdi, évoque les contacts et les rencontres avec Germaine Tillon à la Casbah, en 1957 , en pleine bataille d’Alger.

 

Elle voulait négocier avec lui l’arrêt des attentats à la bombe. Beaucoup d’observateurs avertis ont toujours pris avec suspicion la version alambiquée que Saâdi développe dans son bouquin.

Des contacts et des rencontres qui n’aboutirent à rien, selon ses dires

 

publié le : 26/09/2003 *

Adresse Email : nordine@caramail.com

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Guest Didine RAYAN

n'oublions pas que Yacef Saadi est un homme qui a tenu tete aux colons et sa soldatesque au péril de sa vie, pendant que certains se la coulaient en douce ou bien d'autres qui sont devenus agents serviles des bourreaux qui martyrisaient la population algerienne pendant 132 ans.

 

Lui, il merite l'opulence, un harki, non jamais.

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je me demande où est cette verit dans l'article

à moins ke g pas bien lu

 

 

et comme çà !

tu vois ??

 

Dans ce sens, lorsque le général tortionnaire Aussaresses révéla dans son livre-scandale « Services spéciaux-Algérie 1955-1957 » que Yacef Saâdi, l’ex-chef de la zone autonome , s’était mis à table sans être torturé et qu’il avait donné Ali-la-Pointe sans difficulté aucune, il n’a fait, en vérité, que confirmer ce que les anciens de la Casbah savaient.

sinon change de lunettes!

car t'es completement myope doctor !

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Salam !

Saha ftorkoum !

Encore un sujet passionnant grâce à toi Hadj.

 

Le général Aussaresses n'est pas un exemple de vertu. Pourquoi donner autant de crédit à sa parole ? Hadja A¨cha quant à elle ne s'est pas affirmé catégoriquement sur la question.

Peut-être que Saadi a vendu son frère sous les coups de la torture, dans ce cas-là qui peut lui jeter la pierre ? et ce serait alors compréhensible qu'il garde cela pour lui...

Si par contre tout ceci n'est que pure vérité, alors il y a injustice encore une fois dans ce bas-monde, mais on sait tous qu'elle ne durera pas.

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J'avais beaucoup de respect pour Yacef Saadi , que j'ai eu le plaisir de rencontrer dans sa villa de Telemly en 1990 .

 

Je l'ai détesté le jour ou je l'ai vu à la télé , embrasser la main de Bouteflika .

Je me suis toujours

... demande comment se fait il

... que Zohra Drief et lui

... sont toujours la

... et jamais tortures

... par la Xeme D.P.

... et un jour on m'a explique

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Je me suis toujours

... demande comment se fait il

... que Zohra Drief et lui

... sont toujours la

... et jamais tortures

... par la Xeme D.P.

... et un jour on m'a explique

c'est une QUELCONQUE anonyme qui ne fut connue et mise en avant par les feux de la rampe que grace au charisme et combat revolutionnaire de feu bitat .

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oui g vu ça

 

mais c facile d'accuser les otres mais avec des preuves voyons !!

et yacef saadi di non je n'ai jaais dis ça

et alors ça avance pas :confused:

ah ! t'as vu !

alors tais toi !

car une delation c'est tjr en catimini !alors pour les preuves tu demande la queue du diable !!

en tt les cas !

c'est les circonstances de l'assassinat de ali amar et le petit omar et hassiba qui en font le lien de la trahison !

car c'est juste aprés l'arrestation de yacef saadi que tout degringola à la casbah !!

le fida algerois en a lourdement souffert.

 

Yacef Saâdi

 

Il commença sa vie professionnelle comme apprenti boulanger Chiatt bi zit .

 

Il rallie alors le FLN, au début de la guerre d'Algérie, en 1955 .

 

En juin 1955, il est envoyé en Suisse pour une mission de liaison avec Ben Bella .

 

Expulsé par les autorités helvétiques, il est arrêté à Orly par la police française, transféré à Alger, emprisonné, puis libéré en septembre contre la promesse d'informer la DST sur les activités du FLN à Alger .

 

Il parvient à se défaire de ce double jeu risqué en plongeant dans la clandestinité, devenant le bras droit de Larbi Ben M'Hidi, chef du FLN pour la zone militaire d'Alger .

 

 

En mai 1956, il était le chef militaire FLN de la Zone Autonome d'Alger ZAA

 

Le 24 décembre 1956, Amédée Froger, un ultra, président de l'Association des maires de l'Algérois est assassiné.

 

Selon Saâdi, cet assassinat fut commandé par les ultras de l'armée française pour déstabiliser le pouvoir civil et provoquer la prise du pouvoir des militaires (Saâdi, La Bataille d'Alger, 1997),

 

mais Marie-Monique Robin affirme que

 

« ce point n'est toutefois pas du tout établi » .

 

Il remplace Ben M'Hidi après sa mort, en mars 1957, assassiné par le général Aussaresses .

 

Juillet 1957, il entretient en parallèle des relations clandestines avec l’ethnologue Germaine Tillon la juive

(membre en 1955 du cabinet de Jacques Soustelle, gouverneur de l’Algérie )

, pour tenter de mettre fin à la spirale des exécutions capitales et des attentats aveugles.

 

Mardi 24 septembre 1957, à 2h30, Saadi cerné dans sa cache, 3 rue Caton, dans la Casbah d'Alger avec Zohra Drif sa véritable collaboratrice, il a sans doute compris qu'il avait été trahi,

 

 

il négocie sa sortie avec le colonel Godard et le capitaine Allaire,

 

il veut avoir le statut de prisonnier de guerre, à 5h30 du matin, il se rend à un détachement du 1er REP et fait des aveux détaillés plus de cent pages, condamné à mort.

 

Le général Paul Aussaresses a prétendu [réf. nécessaire]

que, pendant sa détention,

 

il fournit aux forces françaises l'endroit où se cachait son adjoint, Ali la Pointe, un jeune fidaii chargé de faire appliquer les consignes révolutionnaires

(interdiction de boire de l'alcool ou de fumer) .

 

Il vit sa peine de mort commuée, après le retour de Charles de Gaulle au pouvoir, en 1958.

 

Libéré après les accords d'Évian du 18 mars 1962, et proche de Ben Bella, il fonde alors Casbah Films, une société de production cinématographique financée par des capitaux algériens et yougoslaves .

En parallèle, il crée une affaire d’import-export.

 

En juillet 1963, il est nommé par Ahmed Ben Bella président du C.N.A.P.

(Centre National d’Amitié avec les Peuples, destiné à faire connaître internationalement les réalisations du socialisme algérien).

 

Le 6 janvier 2001, il est nommé sénateur par le président Bouteflika sur le contingent de 29 nominations qui lui est réservé.

 

 

ET toi le y ;

tu ve la preuve par x pour continuer

voiçi une autre lecture !

 

pendant que les brave sont criblés de balles ;

les zazou font dans la galerie et l'expo avec un regard narquois dans les pseudos tribunaux !

 

YouTube - Algerie:Colonel Amirouche(alah yarhmou)

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c'est une QUELCONQUE anonyme qui ne fut connue et mise en avant par les feux de la rampe que grace au charisme et combat revolutionnaire de feu bitat .

Alors explique moi

... pourquoi

... Bitat qui avait le meme

... niveau de responsabilite

... au sein du CRUA que Ben Mhidi

... qui a ete arrete, a 15 jours pres,

... en meme temps que ce dernier

... explique moi pourquoi Ben Mhidi a ete

... execute alors que Bitat a fini

... la guerre dans un chateau.

... ca pue tout ca

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Alors explique moi

... pourquoi

... Bitat qui avait le meme

... niveau de responsabilite

... au sein du CRUA que Ben Mhidi

... qui a ete arrete, a 15 jours pres,

... en meme temps que ce dernier

... explique moi pourquoi Ben Mhidi a ete

... execute alors que Bitat a fini

... la guerre dans un chateau.

... ca pue tout ca

 

he oui !

zombretto le pied noir d'oran ?

SI tt la patte blacke puis red a negocié sans mepris avec les agricoles !

çà ne pueras pas autant !!!

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encore une brouve !

 

Le 25 septembre 1957,

le général d’armée Raoul Salan , commandant supérieur interarmées en Algérie,

reçoit un télégramme du président du conseil

Maurice Bourgès-Maunoury

qui lui prescrit de se rendre

auprès de Yacef Saadi et de Zorah Drif

afin de s’assurer qu’ils ne sont pas maltraités.

 

Le colonel Godard

chef d’état-major du Groupe Parachutiste d’Intervention (G.P.I.) commandé par le général Massu

 

l’introduit dans la pièce où se trouve Yacef Saadi qui rédige sa confession.

 

Il lui demande s’il a quelque chose à dire :

 

« Je ne suis pas maltraité. »,

 

lui répond-il,

 

« Vos médecins m’ont même guéri d’un commencement de grippe. ».

 

ouvrons içi mm une parenthese !

(par contre on assassine bien et sans pitié les vrais algeriens

comme si amirouche !)

mort%20Amirouche.jpg

 

Ce sera la seule entrevue entre Raoul Salan, qui, condamné en 1962 à la peine de détention criminelle à vie, passera six années dans les prisons françaises,

 

et Yacef Saadi, qui, condamné à mort par la justice militaire le 25 juin 1958, sera libéré en mars 1962

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  • 1 year later...

Khayenn ,t'etais,khayenn ,tu le resteras!!!

 

J'avais beaucoup de respect pour Yacef Saadi , que j'ai eu le plaisir de rencontrer dans sa villa de Telemly en 1990 .

 

Je l'ai détesté le jour ou je l'ai vu à la télé , embrasser la main de Bouteflika .

Ana ganitt taarefni non?Djeddi...chlaghmou kbar non?:cool:
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