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de gaulle a fait de mm avec la resistance française !

et jean moulin en fut assassiné mysterieusemnt dés l'arrivée de degaulle en france de londres

comme nos vaillants colonels de l'ALN

AMIROUCHE SI HAOUES krim et abane

 

MORALITE : les loups se reconnaissent entres eux .

La je suis d'accord

... avec toi

... mon grand-pere m'a affirme

... qu'ils avaient recu l'ordre

... emanant de De Gaulle

... du tuer le colonel Si Salah

... parce que boumediene

... lui avait signifie qu'il s'opposait

... a des negiciations entre

... la France et les combattants de l'interieur

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Merci à tous pour ce magnifique topic. Même si on n'est pas d'accord sur tout, vous venez de montrez ce que peut être une discussion de haut niveau, si cela se generaliser à tous les autres topics, à toutes les franges de la société alors leurs heures (nos pseuds dirigeants) seraient comptées.

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Merci à tous pour ce magnifique topic. Même si on n'est pas d'accord sur tout, vous venez de montrez ce que peut être une discussion de haut niveau, si cela se generaliser à tous les autres topics, à toutes les franges de la société alors leurs heures (nos pseuds dirigeants) seraient comptées.

merci khiringo !

c'est grace à tes sages et justes conseils que le debat est serein !

merci de nous lire aussi !

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La je suis d'accord

... avec toi

... mon grand-pere m'a affirme

... qu'ils avaient recu l'ordre

... emanant de De Gaulle

... du tuer le colonel Si Salah

... parce que boumediene

... lui avait signifie qu'il s'opposait

... a des negiciations entre

... la France et les combattants de l'interieur

 

bonsoir zombretto !

je ne dis pas !

saha ftourek

car je sais que

t'koussa normal

car tjr ivre comme le kilo borratcho !

notre belaid de boudjima !

qui un jour m'a dit :

ana machi jarana bach nachroub el maa

:mdr::mdr:

 

 

si_salah_mystere_et_verites001_1_t.jpg

 

De Gaulle « oublie »

Si Salah

Une graine de héros...

 

 

 

Si Salah ! Une trahison ? Un assassinat !

 

Tout commence le 17 mars 1960 , lorsque trois émissaires de la wilaya 4 (Algérois) se présentent au domicile du cadi de Médéa pour lui demander de prendre contact avec les plus hautes autorités françaises afin de leur transmettre des propositions concrètes concernant la « paix des braves » dont a naguère parlé De Gaulle. Ces émissaires sont Lakhdar responsable politique, Halim , liaisons et renseignements, et Abdellatif , chef de la zone 1. Ils affirment parler au nom de Si Salah , le chef de la wilaya, en poste depuis le mois de juillet de l'année précédente.

 

Le cadi alerte le sous-préfet, puis, de proche en proche, la proposition atterrit chez Michel Debré trois jours plus tard, le 20 mars. « On ne peut éconduire des hommes qui parlent de paix », déclare De Gaulle. C'est un feu vert.

Une nouvelle rencontre a lieu le 28 mars,

à la sous-préfecture de Médéa :

outre les trois hommes du premier contact,

Si Salah est présent,

face à Bernard Tricot , représentant l'Elysée,

et au colonel Mathon , du cabinet du Premier ministre.

 

Si Salah confirme les termes de sa proposition initiale.

Trois jours plus tard, nouveau rendez-vous.

La négociation progresse et l'on s'accorde sur les modalités d'application de ce cessez-le-feu :

les hommes quitteront le djebel, remettront leurs armes dans les gendarmeries et se démobiliseront s'ils le désirent.

 

D'autres rencontres vont se produire encore ici ou là, toutes couvertes par le secret. Si Salah affirme qu'il peut entraîner l'adhésion

de la wilaya 3 (Kabylie)

et de la wilaya 6 (Sahara),

ainsi que celle d'une grande partie de la wilaya 5 (Oran).

 

 

Le 9 juin, à bord d'un SO-Bretagne du GLAM,

trois émissaires quittent Blida pour Paris,

où De Gaulle a accepté de les recevoir.

Outre Si Salah et Lakhdar, Si Mohammed (Bounaama Djillali),

l'adjoint militaire de la wilaya, fait partie de la délégation.

 

De Gaulle les reçoit, écoute leurs propositions de paix et les reconduit, sans leur tendre la main.

« Je parlerai dans quatre jours, déclare le général au moment de quitter ses visiteurs, ce sera ma réponse... »

 

En réalité, le discours du 14 juin sera, de la part du chef de l'Etat, un nouvel appel, plus pressant, à la négociation avec le GPRA.

De la « paix des braves », plus un mot.

A cette époque le FLN était complètement décimé

 

 

Déçus, amers, les Algériens s'en retournent vers leur djebel.

Ils y trouvent Ben Chérif, le chef du 2ème Bureau de Krim Belkacern .

Averti (les tractations en cours par le canal d'Edmond Michelet, il vient d'arriver de Tunis, via... Paris et Alger.

 

Ben Chérif n'est pas un tendre, et la purge qui s'abat

sur la wilaya 4 est terrible.

Halim, Abdellatif et Lakhdar , sont exécutés,

Si Mohammed tourne casaque et, à son tour, épure à tour de bras.

Sommé d'aller « s'expliquer » à Tunis,

Si Salah qui s'est réfugié dans un premier temps chez son vieil ami.

 

Si Salah a cru à la « paix des braves » offerte par De Gaulle.

Il en est mort.

L'affaire Si Salah est close

 

à suivre !

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suite !

Du reste, au procès du général Challe, un « accord » sera passé entre ses défenseurs et l'Elysée :

 

« Vous ne parlez pas de "l'affaire" et nous ne requerrons pas la peine de mort... »

 

 

 

L'un des derniers témoins, Si Mohammed , sera abattu, au mois d'août 1961, par un commando du 11ème Choc mené par ausssaresses qui menait une opération de radio-détection.

Ce même 11ème Choc, qui avait mené, pendant plus de sept années, une guerre « en marge », ne survivra pas à la guerre d'Algérie : il sera dissous à la fin de 1963.

 

En haut lieu, on ne se souviendra pas des services rendus, on redoutera, jusqu'au bout, leur redoutable efficacité.

La page est tournée sur l'affaire algérienne.

Place aux traitres... Et muets

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VERSION OFFICIELLE ALGERIENNE:

 

(ah, cette sacré Raison d'Etat qui a si bon dos pour cacher toutes les turpitudes),

 

A A la suite de l’affaire de l’Elysée, Si Mohamed succède à Si Salah, qui doit se rendre en Tunisie pour s’expliquer sur l’affaire de l’Elysée.

Il est tué dans un accrochage en cours de route.

suite de l’affaire de l’Elysée, Si Mohamed succède à Si Salah, qui doit se rendre en Tunisie pour s’expliquer sur l’affaire de l’Elysée.

Il est tué dans un accrochage en cours de route.

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Réhabilitation du colonel Si Salah à Saharidj

 

Longtemps oublié par le système politique algérien,

le colonel Si Salah,

de son vrai nom Zamoum Mohamed,

l’un des chefs les plus actifs et les plus engagés de la Révolution au niveau de la Wilaya IV historique,

vient d’être réhabilité par l’Organisation des moudjahidine.

 

Le 20 juillet 1961, au lieu dit Assif imezdurar, sur les hauteurs du Djurdjura, près de la source Tala Rana, dans la commune de Saharidj, daïra de M’chedallah, tombait dans un guet-apens tendu par le capitaine Gaston,

 

le colonel Mohamed Zamoum dit Si Salah, en compagnie de son escorte. Dans des témoignages livrés par le capitaine Gaston en personne, celui-ci relatait la mort de ce valeureux chahid, blessé la veille lors d’un accrochage et achevé le lendemain par un harki.

Il avait une arme à la m a i n …

 

Ce lundi, à l’occasion de la commémoration de la mort de Si Salah,

les P/APC et les élus des communes de Saharidj et M’chedallah,

le wali et le P/APW,

le président de l’ONM, Saïd Abadou,

ainsi que le colonel Youcef Khatib, ou Si Hacène, un ami de ma famille .

président de la fondation de la Wilaya IV historique, étaient sur les lieux pour la réhabilitation de l’un des chefs historiques de la Wilaya IV.

 

Etaient également présents, la famille du défunt,

dont le fils du colonel Si Salah, Rabah, auteur d’un livre sur son père,

intitulé

Si Salah, mystère et vérités

 

ainsi que des dizaines de moudjahidine encore en vie de la région mais aussi des autres régions de la wilaya et enfin les citoyens de la daïra de M’chedallah pour rendre un vibrant hommage à celui qui avait vécu par et pour la Révolution.

 

Ainsi donc, pour rendre hommage à Si Salah Zamoum, digne fils de Ighil Imoula et le réhabiliter, le colonel Si Hacène, chef de la Wilaya IV historique, a fait le déplacement spécialement pour témoigner sur les valeurs patriotiques de ce vaillant combattant, cet intellectuel qui s’est impliqué dans l’action patriotique dès son jeune âge en rejoignant le PPAMTLD puis l’OS, avant de participer activement au déclenchement de la lutte armée le 1er Novembre 1954.

 

Le colonel Si Hacène a donné un aperçu sur la vie de Si Salah. Sa naissance en 1928 à Aïn Taya, ses études à Ighil Imoula puis son militantisme au sein du PPA-MTLD, ses hauts faits d’armes pendant le déclenchement de la Révolution et sa participation active au 1er novembre 1954, au congrès de la Soummam, etc.

 

Néanmoins, il s’est longuement attardé sur l’avènement du général Charles de Gaulle à la tête de l’Etat français, le 13 mai 1958 et sa fameuse proposition de la paix des braves. Il évoquera également la désignation du général Challe à la tête des armées en Algérie par de Gaulle. Celui-ci entreprit la pacification avec plusieurs opérations effectuées entre mars 1959 et juin 1960. Le colonel Si Hacène relatera les différentes péripéties et les souffrances endurées à cette période par les moudjahidine à l’intérieur, le départ de Si Salah vers le Maroc puis la Tunisie pour demander des armes et des munitions sans qu’il ne réussisse à les avoir.

 

C’est dans ce contexte qu’est venue la fameuse rencontre des trois responsables de la Wilaya IV, conduits par Si Salah avec le général De Gaulle, le 9 juin 1960. Cette rencontre n’avait pas eu l’aval du GPRA. Trois chefs historiques qui avaient activement participé à ces pourparlers, à savoir Si Lakhdar, responsable politique, Halim, liaisons et renseignements, et Abdellatif, chef de la zone 1, seront jugés alors que Si Salah devait se rendre en Tunis pour s’expliquer devant le GPRA. En cours de route, il tombera dans une embuscade près de Bouira, à Saharidj où il mourra les armes à la main.

 

Ainsi, le colonel Si Hacène insistera sur le fait que le colonel Si Salah n’avait jamais entrepris cette rencontre avec De Gaulle dans le but de nuire à la Révolution. Et la preuve, selon lui, est que la question a été réglée au sein de Wilaya IV historique et n’a jamais eu d’incidences sur les autres wilayas historiques ni sur le cours de la Révolution.

 

Le colonel Si Hacène se contentera de ces généralités pour rappeler le contexte dans lequel la rencontre avec De Gaulle a eu lieu. Cependant, le fils de Si Salah, Rabah Zamoum, qui était quelque peu en colère contre les organisateurs qui l’avaient presque oublié, rappellera au colonel Si Hacène certaines vérités qu’il lui avait dites en 1984, à savoir les clivages ou «la trahison» qui avait régné en 1959 entre le FLN et l’ALN, la vie de palace que les responsables du FLN se permettaient à l’extérieur pendant que leurs frères de l’intérieur soufflaient et manquaient de tout surtout avec l’étau qui se resserrait sur eux avec les différentes opérations enclenchées par le général Challe.

 

Le fils de Si Salah rappelait les opportunités offertes à son défunt père pour rester en Tunisie ou au Maroc qu’il a refusées en choisissant le retour parmi les siens dans le maquis avec son célèbre poème qu’il avait intitulé La joie du retour ; il évoquera les morts suspectes des deux colonels Amirouche et Si El-Houès près de Boussaâda alors qu’ils se dirigeaient vers Tunis pour justement régler la question de armes qui tardaient à entrer au pays, ainsi que leur décision de faire entrer au pays tous les djounouds stationnés aux frontières afin de combattre aux côtés de leurs frères à l’intérieur.

 

Concernant son père, il fera remarquer que ce dernier et son groupe furent presque livrés à l’ennemi, puisque l’itinéraire qu’ils avaient pris serait différent de celui prévu. En outre, il rappelait les correspondances envoyées au GPRA concernant cette rencontre avec De Gaule et qui n’ont jamais connu de suite. Bref, l’intervention de Rabah Zamoum était plus éloquente mais ce qui était dommage lors de cette cérémonie, c’est l’intervention qui n’a été faite que tard, puisque le fils a été oublié par les organisateurs.

 

Au début, il y eut le responsable de l’ONM au niveau de Bouira, Abdi Salah qui prit la parole pour relater le passage par Hammam Fraksen du colonel Si Salah avec son escorte, Saïd Abadou qui versera dans la démagogie en appelant les jeunes à être les dignes successeurs de leurs aînés, puis Youcef Khatib qui fera dans le résumé en évitant tous les points sensibles de l’affaire Si Salah, se contentant d’inviter les gens à comprendre le contexte de l'époque et le geste des trois responsables qui avaient voulu sonder les intentions du président De Gaulle.

 

Deux autres moudjahidine de la région sont intervenus ainsi que le P/APC, mais sans rien apporter de nouveau. En somme, la seule intervention percutante était celle de Rabah Zamoum mais le brouhaha avait gagné la salle des conférences de la maison du arch Amcheddal où était organisée la cérémonie, et Rabah a eu du mal à faire passer son message. Un message invitant les responsables de l’ONM à élucider tous les assassinats durant la Révolution… y compris celui de son père.

 

Rappelons qu’une stèle a été inaugurée au village Ath Hammad près de la RN30 où furent acheminées dans la journée du 21 juillet 1961, les dépouilles mortelles du colonel Si Salah et de ses compagnons.

Par Le Soir
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L’AFFAIRE SI SALAH,

vécue par le commandant Lakhdar Bourèga

Né en 1933 au douar Ouled Turki, près de Champlain dans la région

de Médéa, Lakhdar Bourèga a été formé dans les écoles coraniques de

l’Atlas blidéen (Ouled Turki, Sidi al Mahdi, Zérouala...). Sa politisation

précoce a été favorisée par les troubles qui firent, selon lui, plus d’une

douzaine de morts dans la région au moment des élections des délégués de

l’Assemblée algérienne en avril 1948. Il a pu approcher des militants du

MTLD et des membres de l’OS comme Didouche Mourad, Ben M’hal,

Lakhdar Rebbah et Si Tayeb Djoghlali qui s’étaient réfugiés dans sa famille

en 1952. Appelé au service militaire, il a fait son instruction à Mostaganem.

Là il a rencontré deux camarades qui venaient du centre d’instruction de

Hussein Dey et qui feront parler d’eux par la suite : Ali Khodja, qui donnera

son nom au célèbre commando zonal de la wilaya IV, et Sadia Djemaï,

alias Mostéfa Lakhal, qui fera partie des contestataires des résolutions du

congrès de la Soummam d’août 1956 avant d’être exécuté pour avoir

trempé dans le complot de 1959 du colonel Lamouri contre le GPRA.

Lakhdar Bourèga nous apprend au passage qu’à l’annonce de l’exécution

de Mustapha Lekhal, un de ses anciens compagnons d’armes, Lounissi, qui

faisait partie du commando Ali Khodja, a décidé, sous le choc, de quitter

définitivement et l’ALN et l’Algérie pour s’établir définitivement en

Allemagne

 

 

Lakhdar Bourèga, l’ancien chef de la katiba (compagnie) Zoubiria, a

vécu à l’intérieur de la wilaya IV l’affaire Si Salah, en tant qu’adjoint militaire

du capitaine Abdelatif, le chef de la mintaka 42.

Dans ses Mémoires,

parues en arabe sous le titre

Témoin de l’assassinat de la Révolution

(Dar alHikma, Alger),

il fait des révélations sur cet épisode de la guerre d’Algérie.

Sadek Sellam résume dans cet article la relation par L. Bourèga

de cette « ténébreuse affaire ».

Si Lakhdar Bourèga a lu les épreuves de cet article qu’il a trouvé conforme à ses mémoires.

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L’AFFAIRE SI SALAH,

vécue par le commandant Lakhdar Bourèga

 

 

 

Lakhdar Bourèga, l’ancien chef de la katiba (compagnie) Zoubiria, a

vécu à l’intérieur de la wilaya IV l’affaire Si Salah, en tant qu’adjoint militaire

du capitaine Abdelatif, le chef de la mintaka 42.

Dans ses Mémoires,

parues en arabe sous le titre

Témoin de l’assassinat de la Révolution

(Dar alHikma, Alger),

il fait des révélations sur cet épisode de la guerre d’Algérie.

Sadek Sellam résume dans cet article la relation par L. Bourèga

de cette « ténébreuse affaire ».

Si Lakhdar Bourèga a lu les épreuves de cet article qu’il a trouvé conforme à ses mémoires.

 

Bref

... tout ca pour dire

... que l'Emir Abd El Kader

... ne merite pas qu'on colle

... a ses cotes une zoubiya

... comme celle de boumediene

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LAKHDAR Bourèga

a été ensuite dans les Chasseurs alpins à Briançon avant

d’être envoyé à Safi au Maroc d’où il s’est évadé en mars 1956 avec un

groupe d’appelés algériens. Avec les autres déserteurs, il a pris contact avec

l’ALN dans la région de Tlemcen. Mais les responsables locaux de celle-ci se

sont contentés de les dépouiller de leurs armes et les ont laissés repartir vers

Alger. C’est à Chebli qu’il a été enrôlé dans l’ALN. Blessé près de Boufarik,

il a quitté la Mitidja pour mettre à profit sa formation de chasseur alpin et

acquérir une grande connaissance de la zone montagneuse allant du djebel

Bouzegza jusqu’aux monts de l’Ouarsenis. Promu sous-lieutenant, il est

devenu commandant de la célèbre katiba Zoubiria à laquelle faisait appel le

colonel Si M’hamed pour l’escorter dans ses longs déplacements7. Lorsqu’il

s’est trouvé confronté, début mars 1960, à la grave crise de conscience provoquée

par les contre-ordres des commandants Lakhdar et Halim, approuvés

par le capitaine Abdelatif, le lieutenant zonal était pris entre, d’un côté,

l’admiration, voire la révérence, qu’il vouait à des chefs charismatiques qui

s’étaient distingués depuis le début de la guerre dans les meilleures unités

d’élite de toute l’ALN, et, de l’autre, le désir d’en savoir plus sur ce qu’on lui

cachait.

Les deux commandants l’ont chargé d’aller contacter Baba Ali Bachir, le chef de la zone 5 (Boghari-Aumale) en lui indiquant un trajet

autre que celui qu’il avait l’habitude de prendre.

Il a été d’autant plus intrigué

que ses supérieurs l’appréciaient pour sa bonne connaissance des itinéraires

à prendre.

Le choix par eux d’itinéraires inhabituels ajouté aux nombreux

autres contacts secrets que ses trois supérieurs multipliaient à partir

du refuge d’El Bouakiria contrariait le sens habituel de la discipline chez le

lieutenant Lakhdar.

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Promu commandant, L. Bourèga est devenu membre du nouveau

conseil de la wilaya chargé des questions militaires.

Ce qui lui a permis de jouer un rôle de premier plan dans la crise de l’été 1962 qui a opposé la

wilaya IV à l’armée des frontières.

Celui qui avait su relativiser ses griefs

contre celle-ci pour mettre en échec la paix réparée de 1960 et rester solidaire de la direction extérieure du FLN, a dû participer aux tentatives de la wilaya IV de barrer la route d’Alger aux troupes de Boumédienne.

O

n sait que Si Salah est mort le 20 juillet 1961 près de Bouira après un accrochage avec une

unité de Chasseurs alpins. Si Mohamed est mort le 8 août 1961 encerclé par le 11e Choc dans une maison de Blida.

 

« En se rendant à Blida en août 1961, il a pris une initiative contraire à l’habitude

selon laquelle un chef de wilaya ne se rend jamais en ville.

Il voulait sans doute mourir au moment où les négociations venaient de progresser à Lugrin

 

. Il ne voulait pas survivre alors que tous ses compagnons

de l’ “affaire de l’Élysée” avaient tous disparu »,

m’a dit le commandant Lakhdar Bourèga récemment

 

(P. Montegnon).

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Bref

... tout ca pour dire

... que l'Emir Abd El Kader

... ne merite pas qu'on colle

... a ses cotes une zoubiya

... comme celle de boumediene

et aussi pour repondre à notre ami wahrani de merouanna !

pourquoi l'ALN (ctd la wilaya 1 et 3 )fut ecrasées lors de la conquete d'alger par le clan d'oujda par son bras armé LE BOUKHAROUBA fils du maltais D'HELIOPOLIS

et

le DAF en puissance fils du caid mabrouk de djelfa

en l'occurence

le colonil "monsieur l'autoroute et chaamps de pistaches"

ahmed bencherif .

 

bencherif_boumedien.JPG

allah yarham echouhadas

et morts aux chwadas qui nous dirigent !

dsl khringo !

je ne peux me retenir !

allez bonsoir à tt le monde !!!

assez de serieux !

allons faire un tour chez les roses bonbons

et tout va bien chez ?

madame la marquise !

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GHRIS ET MOUASKAR n'ont jamais changé de nom !

 

 

Merouana en (chaoui: Tamerwant) anciennement Corneille, est une ville d'Algérie dans la wilaya de Batna, située dans les Aurès, surnommée la perle de Belezma.

 

La distance entre Merouana et le siège de la wilaya est de 40 km, le chaoui et l'arabe sont les langues de la plupart de la population et sont chaouis . Mérouana est l'une des plus anciennes ville au niveau national et elle est la capitale de Belezma.

 

Le fondation de la ville remonte à l'époque romaine en 127. La ville avait le nom de (Lamasba) et a été une forteresse militaire, mais a été saccagée par les vandales. Reconstruite par les Byzantins et devient une zone militaire pour les retraités de l'armée byzantine.

 

La ville a été détruite par les Ottomans par la suite. Ces derniers collectaient de l'impôt des habitants des Aurès.

 

Ensuite, elle fut fondée en 1909 par les Européens et a été une base militaire. La ville était appelée "Corneille". Plusieurs révoltes ont été signalées dans la région par les tribus voisines commanditées par Ali Moussa en 1916, selon la tradition orale. Lors de la Guerre d'Algérie en 1954 et à la veille du 1er novembre, plusieurs attentats ont été perpétrés dans la région des Aurès y compris à Merouana(30 opérations).

 

Merouana - wikipedia

 

;)

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LA PLAINE DE MASCARA

DE LA PREHISTOIRE A 1956

 

Limitée au Nord par les monts des Beni Chougrane, sculptée de gorges profondes, au Sud par les hauteurs tabulaires, trapues et fragmentées des monts de Saîda, la plaine s'étale uniforme sur prés de 800 kilomètres.

 

Cette vaste dépression alluviale s'appelle la plaine "d'EGHRIS" d'après la traduction traditionnelle "la plaine de l'ombre".

 

Nous lui préférons le toponyme "d'ER TIGHRES, c'est à dire"la très fertile"plus justifié.

De bonne heure, elle a été occupée par les hommes de la Préhistoire.

 

Dans sa partie orientale à Ternifine (Palikao) dans une sablière et un lac,on a découvert de nombreux outils, des poteries, des ossements d’éléphants, hippopotames ,rhinocéros ,chevaux ect…. , et surtout une mâchoire humaine bien conservée d’Atlanthrope, vivant il y a 350 millénaires.

 

Les romains y installèrent des postes militaires, devenus bientôt des bourgs, grâce à l'apport des populations berbères autochtones, bientôt romanisées.

 

Les occupants construisirent également, au IIIième siècle, une voie stratégique, pour protéger le pays contre les incursions des nomades pillards des steppes du Sud

"les Gétules"

Peuple qui occupe les hautes vallées de l’Atlas et une partie des plaines voisines dans l’Empire du Maroc ,l’Algérie et l’Etat de Tunis, est partagé en une famille de tribus dont beaucoup vivent indépendantes..

 

.Ce sont les vrais indigènes de la région atlantique .

Le nom de Barbarie semble n’être qu’une altération du leur.

 

On distingue plusieurs rameaux dans les familles berbères :

les Kabyles dans l’Algérie et l’Etat de Tunis.. les Amazigs et les Chellouks dans la Maroc.. les Tibbous et les Touaregs dans le Sahara.

Les Berbères ont en général des habitations fixes surtout ceux de l’Atlas. Ils sont très belliqueux

 

Jusqu'au Xi siècle, la plaine est parcourue uniquement par des "Berbères",notamment les Beni Rached dont les descendants seront chassés plus tard de Djebel amour, dans l'Atlas saharien.

 

Ils ont construit la Kaala (le bourg fortifié) des Beni Rached dans les montagnes du Nord et en 949,la ville d'Ifkan(Fekan) dans la plaine, au confluent des oueds Fékan, Hounet ou se trouve les terres de mes aieux et Melghrir notre fief .

La deuxième invasion arabe du XIè siècle s'est introduite au milieu des tribus berbères et en particulier la tribu arabe des Hachem, à la fin du XViéme.

 

Ceux-ci en partie nomades, cultivaient des céréales pour eux et leurs troupeaux, dans des clairières mal défrichées et quelques légumes dans des jardins enclos de figuiers de barbarie.

 

Au XVIII ième siècle, les nouveaux conquérants "Turcs" transportent à Mascara le siége du Beylick de l'ouest auparavant à Mazouna. Mascara demeure la résidence des Beys jusqu'en 1791 époque où ils remplacèrent les Espagnols à Oran. Ils appuient leur autorité sur une fraction des Hacem devenue un "maghzem" de gendarmes auxiliaires et de percepteurs d'impôts, aux dépens des autres tribus.

 

En 1835, la région de Mascara. est décrite en ces termes:

 

“ Les grands ravins séparent les croupes couvertes de verge, figuiers, amandiers, oliviers vignes le tout entouré de haies de figuiers de Barbarie.

Sur la route d'El Kaala, à un kilomètre de la cité, les jardins du Bey offrent leurs orangers irrigués, leurs vignes en treilles.

Plus bas, dans la plaine, s'égrènent quelques beaux jardins d'arbres fruitiers et de légumes.

 

Dans la plaine elle même, des douars de nomades se déplacent avec leurs tentes ,suivant le rythme des saisons

Ils vivent de l'élevage et de quelques cultures sporadiques. ”

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  • 4 months later...
Le vrai coup d'etat

... a eu lieu des 1962

... contre l'executif provisoire

... issu des accords d'Evian

... et De Gaulle a ete complice

... de cette forfaiture

 

Je crois plutôt que De Gaulle s'en foutait complètement de savoir qui allait diriger l'Algérie ou non dès lors qu'il s'était débarassé du problème algérien.

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Je crois plutôt que De Gaulle s'en foutait complètement de savoir qui allait diriger l'Algérie ou non dès lors qu'il s'était débarassé du problème algérien.

parfaitement d'ac avec vous !

ce probleme lui a servi pour avoir une seconde virginité politique !

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Je crois plutôt que De Gaulle s'en foutait complètement de savoir qui allait diriger l'Algérie ou non dès lors qu'il s'était débarassé du problème algérien.

Il s'est

... peut etre debarasse

... du probleme algerien

... mais il a plonge dans le desespoir

... des millions de personnes

... s'il existait des Francais dignes

... de ce nom, ils auraient fait passer ce traitre

... devant une cour martiale

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eh oui les revolutions ont tjs été violentes

et la guerre pour le pouvoir est l'élément principal

alors ici ou laba

c kif kif

 

 

1789 ça vous dis qqes choses

la guerre de succession

bestiale ça vous dit qqes choses

la "revolution" bolchevique ça vous dit qqes choses

alors lisez l'histoire mondiale

 

c du kif kif

 

si c pas mohammed en 1962

c ahmed

 

la balance a été du coté des malinsdes calculateurs

c tout

 

 

MAIS ON DOIT RECONNAITRE UN PASSE HISTORIQUE UNE LEGITIMITE A TOUS

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eh oui les revolutions ont tjs été violentes

et la guerre pour le pouvoir est l'élément principal

alors ici ou laba

c kif kif

 

tt à fait !

mais le hic chez nous !mon ami

çà perdure dangereusement

non sans seulement ils ont le coup et régné pendant plus de 50 ans

ils ne s'arrêtent pas de s'empiffrer

le dernier casse en date :

fut la SONATRACH (notre seule vache laitière ).

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  • 9 months later...

une petite correction a propos de lakehal mustapha

 

je precise que LAKEHAL mustapha de son vrai nom SAIDI djamel bachelier 1ere partie du bac originaire de AIN BEIDA (actuel wilaya de OUM EL BOUAGHI) issu d'une famille aisee n'a pas passé son service militaire ni à mostaganem ni a l'hussein dey mais il l'a passé a Belfort (Alsace en 1954) en compagnie de mon pere LAKEHAL Abdelkader puis ils ont eté affectés à Port Gueydon (l'actuel Azeffoun dans la wilaya de Tizi ouzou) ou ils ont collaboré avec le FLN en particulier avec un certain Ahmed ZEMMOURI qui detenait un hammam à Azeffoun.Apres avoir ete vendu,mon pere a passé ses deux derniers mois de service en prison alors que LAKEHAL mustapha s'est evadé lors de son tansfert ou il a rejoint PALESTRO a la wilaya IV.

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