hadj jilali 10 Posted August 26, 2009 Partager Posted August 26, 2009 Pourquoi Mohammed Boudiaf a-t-il été assassiné? PAR Mahfoud Bennoune Assasiné à Annaba le 29 juin 1992, alors qu'il prononçait un discours, Mohammed Boudiaf n'acheva pas de délivrer son message. Les Commanditaires du crime ont ainsi empêché ce vétéran d'accomplir sa dernière mission, dont l'objectif était l'élimination des "maffias", la neutralisation des intégristes, la démocratisation du "système" et la sauvegarde de l'Algérie. Bien que la commission d'enquête officielle ait conclu que "le président Boudiaf fut victime d'un complot politique. le tribunal optera pour "l'acte isolé". A qui aura profité l'assassinat? Boudiaf, ce vétéran du nationalisme algérien, nommé président du Haut Comité d'Etat le 14 janvier 1992, a eu à accomplir quatre grandes missions durant les quatre moments décisifs de l'histoire de l'Algérie contemporaine. De 1947 à 1950, il a recruté les membres de l'Organisation spéciale qui seront les fondateurs du FLN/ALN et implanté ses cellules dans le Constantinois. De 1953 à 1954, devant l'impasse du mouvement national, il fit appel aux hommes qu'il avait lui-même forgés pour déclencher la révolution qui arrachera l'indépendance en 1962. Forcé à l'exil après s'être,en vain, opposé à l'établissement du "système", Boudiaf viendra encore une fois au secours de la patrie en danger après les élections législatives de décembre 1991. Mais au moment où il renouait avec le peuple, l'homme du 1er novembre fut liquidé physiquement. Ce crime ignoble a rendu le drame que nous vivons inéluctable. L'ancien coordinateur national du déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954 regagna Alger le 16 janvier 1992, comme président de l'Etat, après 28 ans d'exil au Maroc. Son retour enthousiasma ceux qui l'avaient connu, intrigua les médias nationaux et étrangers, contraria ses adversaires politiques internes et les représentants des grandes puissances occidentales favorables au colonel-président Chadli Bendjedid, laissa indifférents la majorité des Algériens nés après l'indépendance, provoqua la rage des gourous du FIS, inquiéta les notables du FLN et frustra Aït Ahmed et ses partisans. Appelé par les chefs de l'ANP, sous les pressions de leurs subordonnés et d'innombrables partis, associations et personnalités politiques, intellectuelles ou syndicales, Boudiaf n'avait cependant accepté d'assurer sa quatrième et dernière mission qu'après avoir consulté, lors d'un voyage clandestin en Algérie, plusieurs responsables de la "société civile", notamment Abdelhak Benhamouda, le secrétaire général de l'UGTA. Ils l'ont persuadé que le FIS avait réellement truqué les élections législatives et que son refus de venir au secours de son pays allait entraîner "une véritable guerre civile". En effet, le contrôle des Assemblées populaires communales (APC) et des Assemblées populaires des wilayas (APW) depuis le 12 juin 1990, a permis aux responsables du FIS non seulement de les transformer illégalement en "municipalités islamiques", mais aussi d'organiser une fraude électorale massive à l'occasion des législatives. En outre, les membres influents de cette nébuleuse intégriste, qui étaient décidés à établir un "Etat islamique" par les urnes ou par les armes, ont tiré profit de leur gestion des assemblées locales et départementales pour mettre en place les réseaux des groupes armés du FIS. Le 27 novembre 1991, l'un de ses commandos massacra une douzaine de soldats de l'ANP à Guemmar dans la région d'El-Oued. La plupart des membres du commando étaient d'anciens volontaires algériens en Afghanistan, dont l'envoi avait été financé par l'Arabie Saoudite et l'entraînement assuré par la CIA et les services secrets pakistanais entre 1983 et 1992 Boudiaf avait déclaré, quelque temps avant son retour, qu'il ne rentrerait que s'il pouvait être utile au pays. "Mais si c'est pour faire des histoires, non... (car ) l'Algérie a besoin d'hommes capables de se sacrifier pour elle, la servir et non se servir". Dès son premier, discours à la nation, il exprima sa volonté de rassembler tous les Algériens: "A tous sans exception, je tends la main avec confiance et espoir et renouvelle mon appel à la réconciliation. L'entraide et la coopération pour l'édification de l'Algérie dont avaient rêvé nos martyrs et dont rêvent nos jeunes aujourd'hui, une Algérie où régneront la paix, la clémence, la tolérance, l'unité et le travail créateur." Ce message franc a été bien reçu par la jeunesse et surtout par les femmes. Cependant, pour la plupart, l'organisateur principal du déclenchement de la révolution était un inconnu! à suivre ! Citer Link to post Share on other sites
belle étoile 10 Posted August 26, 2009 Partager Posted August 26, 2009 merci bcpp d'ailleurs berbere tv a invité son fils (diputé de tizi ouzou il a tout expliqué) on la tué SON P2RE et on a caché son squelette mais la question reste tjt posé qui est prk on l'a tué??????????????? Citer Link to post Share on other sites
hadj jilali 10 Posted August 26, 2009 Author Partager Posted August 26, 2009 merci bcpp d'ailleurs berbere tv a invité son fils (diputé de tizi ouzou il a tout expliqué) on la tué SON P2RE et on a caché son squelette mais la question reste tjt posé qui est prk on l'a tué??????????????? Pourquoi Boudiaf a-t-il été empêché d'accomplir sa dernière mission? ________________________________________________________ Sa visite à la Foire de la production nationale d'Alger lui permit de connaître les potentialités économiques de l'Algérie et de rencontrer les cadres des entreprises publiques et privées. Il déclara alors que le pays était en mesure d'enrayer son déclin grâce à ses ressources humaines, naturelles et industrielles. Son voyage en Oranie lui apporta la preuve que son message était passé auprès du peuple et que ce dernier commençait déjà à croire en lui. Ces deux découvertes l'enchantèrent… Il décida au cours de ce voyage, dont le but était la constitution du RPN, d'entamer une campagne pour répandre son message d'espoir et préparer les conditions requises pour relancer le processus démocratique susceptible de le faire légitimer par les urnes et lui permettre de réaliser ses objectifs stratégiques. Avant d'entamer son voyage à l'est du pays, qui devait le mener à Annaba, au complexe sidérurgique d'El-Hadjar et au complexe industriel de Skikda, il prépara avec ses conseillers le discours qu'il devait prononcer à la maison de la culture d'Annaba. Dans ce texte, il voulait souligner la nécessité de : rassembler les forces vives de la nation pour contourner ou neutraliser les forces nocives générées par le "système" proposer une vision saine et juste de l'islam, créer les conditions nécessaires à un retour à une démocratie véritable. Traîtreusement abattu alors qu'il prononçait son discours, il n'acheva pas de délivrer son message. Les commanditaires du crime ont ainsi empêché de vétéran d'accomplir sa dernière mission dont l'objectif : était l'élimination des maffias, la neutralisation des intégristes, la démocratisation du système et la sauvegarde de l'Algérie. Bien que la commission d'enquête officielle ait conclu que "le président Boudiaf a été victime d'un complot politique" le tribunal optera pour "un acte isolé". A qui aura profité l'assassinat? En premier lieu au FIS qui a osé condamner "Boudiaf à mort et affiché son nom sur les murs des mosquées" et en deuxième lieu à "des clans d'un système de pouvoir, qui progressivement, s'est installé à la tête du pays comme un carcan". "Lesféodalités" politico-financières, conclut le rapport de cette commission, qui ont amassé des fortunes en réduisant l'Algérie à la mendicitéinternationale, ne pouvaient se résigner à renoncer au pouvoir, encore moins à devoir rendre compte de leur gestion." Une fois Boudiaf éliminé, sa stratégie sera abandonnée par ses successeurs. Ils lui substitueront une politique de louvoiement entre les forces socio-politiques sécrétées par le système. Les conséquences sont connues: plus de 400 000 morts, deux milliards de dollars de dégâts matériels (selon l'UGTA), une économie ruinée, d'abord par le pillage et la mauvaise gestion, ensuite par l'impact destructeur du Plan d'ajustement structurel, d'innombrables unités industrielles fermées et leurs travailleurs licenciés. Ainsi, l'expérience tragique de l'homme du 1er novembre indique que l'essence putschiste du "système" l'a rendu irréformable et indémocratisable. Par conséquent, le drame que vit l'Algérie ne peut être enrayé sans le démantèlement du "système", l'élimination et la neutralisation des forces nocives qu'il a générées: les "maffias", les intégristes, les technobureaucrates opportunistes, utilisés comme "fusibles" par les potentats militaro-politiques. Certes, la tâche peut paraître immense et difficile mais elle n'est pas impossible, car l'Algérie possède des ressources humaines et matérielles inestimables. Elle sera l'oeuvre d'hommes et de femmes qui croient profondément en leur peuple et qui seront prêts à faire front, de manière solidaire, désintéressée et déterminée, contre les forces du mal. aminnnnnn par le Professeur à la retraite, Mahfoud Bennoune authropologue et historien. Il est également ancien membre de I 'ALN de l'intérieur 1955/62 et a été membre du Conseil consultatif national de Boudiaf en 1992/1993. Il est I 'auteur de plusieurs ouvrages notamment The Making of Contemporary Algeria (1830 1987), publié par Cambridge University press en 1988, Esquisse d'une anthropologie de l'Algérie politique Marinoor, Alger 1998 et La tragédie algérienne: causes et conséquences, El Adib, sous presse. Citer Link to post Share on other sites
khringo 10 Posted August 27, 2009 Partager Posted August 27, 2009 Excellent article, bien que au vu du titre je m'attendais à des réponses, il est plus question de sa biographie (Allah yerahmou) et d'un constat connu de tous. Aujourd'hui, il faut des actions et pas juste des rappels. Pourquoi Boudiaf a-t-il été empêché d'accomplir sa dernière mission? ________________________________________________________ A qui aura profité l'assassinat? En premier lieu au FIS qui a osé condamner "Boudiaf à mort et affiché son nom sur les murs des mosquées" et en deuxième lieu à "des clans d'un système de pouvoir, qui progressivement, s'est installé à la tête du pays comme un carcan". "Lesféodalités" politico-financières, conclut le rapport de cette commission, qui ont amassé des fortunes en réduisant l'Algérie à la mendicitéinternationale, ne pouvaient se résigner à renoncer au pouvoir, encore moins à devoir rendre compte de leur gestion." SIZE] Je reverrais juste l'ordre, car tout le monde sait que le premier est une invention du second, la preuve le premier n'existe plus (car sa mission est achevé), il ne reste que le plus fort, celui qu'il faut abattre si on veut retrouver une Algérie prospére. Citer Link to post Share on other sites
hadj jilali 10 Posted August 27, 2009 Author Partager Posted August 27, 2009 Excellent article, bien que au vu du titre je m'attendais à des réponses. Aujourd'hui, il faut des actions et pas juste des rappels. BONJOUR ! quelle est la tienne ??? J'ai posé la question avec bio à l'appui pour tt le monde mm pour les plus initiés comme toi ! Citer Link to post Share on other sites
khringo 10 Posted August 28, 2009 Partager Posted August 28, 2009 BONJOUR ! quelle est la tienne ??? J'ai posé la question avec bio à l'appui pour tt le monde mm pour les plus initiés comme toi ! Je n'ai pas la prétention d'avoir des réponses, ni celle d'être un leader, bien au contraire! Par contre, je suis partant pour toute idée qui remettrait de l'ordre dans notre Algérie. Salutations Citer Link to post Share on other sites
moqbil 10 Posted September 20, 2009 Partager Posted September 20, 2009 salam. cette histoire a fait couler beaucoup d'encre et par la suite tous les algeriens ont tombé d'accord sur l'assassin de boudiaf si c'est pas larbi belkheir par sa propre main,il a donné l'ordre: à toi boumarafi d'exécuter. Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted September 20, 2009 Partager Posted September 20, 2009 salam. cette histoire a fait couler beaucoup d'encre et par la suite tous les algeriens ont tombé d'accord sur l'assassin de boudiaf si c'est pas larbi belkheir par sa propre main,il a donné l'ordre: à toi boumarafi d'exécuter. Et pourquoi ... pas Nezzar ou encore ... Betchine ? Citer Link to post Share on other sites
moqbil 10 Posted September 20, 2009 Partager Posted September 20, 2009 Et pourquoi ... pas Nezzar ou encore ... Betchine ? tu veux dire le clan de larbi belkheir.là je suis tout à fait d'accord avec toi. Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted September 20, 2009 Partager Posted September 20, 2009 tu veux dire le clan de larbi belkheir.là je suis tout à fait d'accord avec toi. Si Belkheir l'a fait ... c'est parce que surement ... qu'il voulait mettre un terme ... a l'hegemonie des gens de l'Est ... et aujourd'hui il a reussi ... pour les autres je ne sais pas pourquoi Citer Link to post Share on other sites
moqbil 10 Posted September 20, 2009 Partager Posted September 20, 2009 non,c'est pas tout à fait ça,mais c'est une vieille et longue histoire entre les 2 hommes depuis x temps. Citer Link to post Share on other sites
Guest elmaknine Posted September 20, 2009 Partager Posted September 20, 2009 Pourquoi Mohammed Boudiaf a-t-il été assassiné? PAR Mahfoud Bennoune Boudiaf, ce vétéran du nationalisme algérien, nommé président du Haut Comité d'Etat le 14 janvier 1992, a eu à accomplir quatre grandes missions durant les quatre moments décisifs de l'histoire de l'Algérie contemporaine. De 1947 à 1950, il a recruté les membres de l'Organisation spéciale qui seront les fondateurs du FLN/ALN et implanté ses cellules dans le Constantinois. De 1953 à 1954, devant l'impasse du mouvement national, il fit appel aux hommes qu'il avait lui-même forgés pour déclencher la révolution qui arrachera l'indépendance en 1962. Forcé à l'exil après s'être,en vain, opposé à l'établissement du "système", Boudiaf viendra encore une fois au secours de la patrie en danger après les élections législatives de décembre 1991. Mais au moment où il renouait avec le peuple, l'homme du 1er novembre fut liquidé physiquement. Ce crime ignoble a rendu le drame que nous vivons inéluctable. L'ancien coordinateur national du déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954 regagna Alger le 16 janvier 1992, comme président de l'Etat, après 28 ans d'exil au Maroc. Son retour enthousiasma ceux qui l'avaient connu, intrigua les médias nationaux et étrangers, contraria ses adversaires politiques internes et les représentants des grandes puissances occidentales favorables au colonel-président Chadli Bendjedid, laissa indifférents la majorité des Algériens nés après l'indépendance, provoqua la rage des gourous du FIS, inquiéta les notables du FLN et frustra Aït Ahmed et ses partisans. Appelé par les chefs de l'ANP, sous les pressions de leurs subordonnés et d'innombrables partis, associations et personnalités politiques, intellectuelles ou syndicales, Boudiaf n'avait cependant accepté d'assurer sa quatrième et dernière mission qu'après avoir consulté, lors d'un voyage clandestin en Algérie, plusieurs responsables de la "société civile", notamment Abdelhak Benhamouda, le secrétaire général de l'UGTA. Ils l'ont persuadé que le FIS avait réellement truqué les élections législatives et que son refus de venir au secours de son pays allait entraîner "une véritable guerre civile". En effet, le contrôle des Assemblées populaires communales (APC) et des Assemblées populaires des wilayas (APW) depuis le 12 juin 1990, a permis aux responsables du FIS non seulement de les transformer illégalement en "municipalités islamiques", mais aussi d'organiser une fraude électorale massive à l'occasion des législatives. En outre, les membres influents de cette nébuleuse intégriste, qui étaient décidés à établir un "Etat islamique" par les urnes ou par les armes, ont tiré profit de leur gestion des assemblées locales et départementales pour mettre en place les réseaux des groupes armés du FIS. Le 27 novembre 1991, l'un de ses commandos massacra une douzaine de soldats de l'ANP à Guemmar dans la région d'El-Oued. La plupart des membres du commando étaient d'anciens volontaires algériens en Afghanistan, dont l'envoi avait été financé par l'Arabie Saoudite et l'entraînement assuré par la CIA et les services secrets pakistanais entre 1983 et 1992 Boudiaf avait déclaré, quelque temps avant son retour, qu'il ne rentrerait que s'il pouvait être utile au pays. Dès son premier, discours à la nation, il exprima sa volonté de rassembler tous les Algériens: Ce message franc a été bien reçu par la jeunesse et surtout par les femmes. Cependant, pour la plupart, l'organisateur principal du déclenchement de la révolution était un inconnu! à suivre ! SALAM 1-il fut nommé president contrairement a la constitution,donc il n'avait aucune legetimité. complice d'usurpation de pouvoir.... 2-je ne vois pas pourquoi tu dit "il' declencha la revolution qui arracha l'independance en 1962,alors qu'il etaient sept.et bien avant 1954,krim belkacen etait deja dans le maquit avec 1500 hommes.zirout youcef et d'autres heros que tu ne cite pas planifier aussi... 3-les camps de concentration dans le sahara c'est son invention si je ne m'abuse ou des dizaines d'innocents moururent sous la chaleur. enfin pour terminer,un president qui dit : JE suis pret a saceifier 10000 algeriens pour sauver l'algerie,c'est sans commentaire. conclusion.tous pareil...vive l'algerie.murFrape Citer Link to post Share on other sites
docteurigrec(y) 10 Posted September 21, 2009 Partager Posted September 21, 2009 Pourquoi Mohammed Boudiaf a-t-il été assassiné? il avait dans la tete ou c'est lui ou bien c'est eux il voulait les débaraser alors la conséquence fatrou bih avant que yat3acha bihoum Citer Link to post Share on other sites
moqbil 10 Posted September 21, 2009 Partager Posted September 21, 2009 Pourquoi Mohammed Boudiaf a-t-il été assassiné? il avait dans la tete ou c'est lui ou bien c'est eux il voulait les débaraser alors la conséquence fatrou bih avant que yat3acha bihoum salam. et voilà la pure vérité résumée jusqu'au dernier degré docteur,je suis à ton avis. Citer Link to post Share on other sites
docteurigrec(y) 10 Posted September 21, 2009 Partager Posted September 21, 2009 salam. et voilà la pure vérité résumée jusqu'au dernier degré docteur,je suis à ton avis. ravis ke y'a quelques'uns ki partagent le meme avis ke moi:cool: Citer Link to post Share on other sites
moqbil 10 Posted September 22, 2009 Partager Posted September 22, 2009 ravis ke y'a quelques'uns ki partagent le meme avis ke moi:cool: salam. et pourtant c'est la vérité et tu sais docteur que la vérité reste cachée longtemps mais par la suite elle apparaitra et boum !!!!!beaucoup d'encre coulera. Citer Link to post Share on other sites
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