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En ce matin d'hiver

Le vent souffle sur la plaine

Emportant sur ses terres

Des odeurs malsaines

Au village il ne reste rien

Que le vent qui balaye

Ce bien triste destin

Survenu la veille

Tous ces crimes commis

Lors d'une nuit sans lune

Sur des innocentes avertie

Fauché une a une

Dans une violence inouie

Elle sucombe au blessure

Dessin de barbarie

Entaillé de morsure

Victime de leur aviditer

Violence inhumaine

Ces villageoises ont refuser

De vivre avec des chaines

Ces pauvres femmes flétrie

Recluse comme des chiennes

Vous leur oter la vie

Influence hitlerienne

Le vent discipe les nuages

Sur ce theatre profane

Emportant sur son sillage

Les pleures et les cris des femmes

Quelles etrange similitude

Dans ces regions lointaine

Qelle meme habitude

Pour detruire ceux qui genent

Il n'y a pas que les Marathes

Aux souffrances ancienne

Ou dans une marre écarlate

Refleter les empreintes de hyennes

Les hommes rentré au village

Découvrent l'atrocité

Qui fait naitre une rage

Contre ces traitres masqués

Egorgés dans leur sommeil

Tous ces petits enfants

Ont péri par centaines

Vidé de leur sang

Ils s'en sont allés

Dans le silence de la nuit

Leur visage crispé

Témoigne de leur agonnie

Hanté par les esprits

De leur chere disparus

Les hommes tel des zombies

Ce sentent dépourvus

Ils enterrent leur morts

Les yeux plein d'éffroi

Et attendent l'aurore

Pour partir au combat

La vengeance les envahient

Et plus personne ne pourra

Empéchés leur envie

De traqué ces chiens-là

Attisé par une haine vorace

Ils aiguisent leur lame

Pour partir sur les traces

De ces traitres imfames

Au mépris du danger

Et gagné par l'insomnie

Ils devront s'acharné

Sur leur pire ennemi

Ces porteurs de violences

Fasciné par le mal

Gouteront a la pénitence

Issue de leur loi martiale

Ils s'engouffreront en catimini

Dans leur citadelle doré

Comme le loup dans la bergerie

Pour les assiégers

Les abbatrent dans leur lit

En les privant de reveil

Ceux qui ont trahi

Aujourd'hui payent

Aucune échappatoire

Et aucune issue

Ont éffacent des mémoires

Ces traitres déchus

Rendre la dignité

A ces gens modeste

Qui ont étaient brisé

Par une réalité funeste

Des blessure du Darffour

Aux cicatrices Birmane

Apparait toujours

L'ombre de Gengis Khan

Place aux gens d'avenir

Et aux révolutionnaire affranchie

Adieu a cette empire

Baignant dans la tyrannie

Sur cette terre meurtrie

C'est pas demain la veille

Que ces femmes qu'ont oublie

Retrouveront l'instinct maternelle .

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Merci MIIA,j'ai écrit ce poéme au vue de ce qui ce passe de nos jours et laisse indifférent 2 humains sur 3,j'en posterai d'autre et je serai ravi d'avoir ton opinion,bonne journée et un grd Salam de Marseille,Saha ftourek.Nacer

 

coucou nacer :) j'en serai ravie de te lire merci et bonne inspiration ;)

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