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les anti misssiles


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le programme de l instalation des anti missiles en europe orietale a ètè gèlè par le president amèrican obama une prècedente dans l histoire de la puissance n 1du militaire du monde. alors que la russie est prète a trouvè son equilibre militaire dans la region sus citèe plusieurs point d interrogation sur cette action de la part des amèricain :plane:

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le programme de l instalation des anti missiles en europe orietale a ètè gèlè par le president amèrican obama une prècedente dans l histoire de la puissance n 1du militaire du monde. alors que la russie est prète a trouvè son equilibre militaire dans la region sus citèe plusieurs point d interrogation sur cette action de la part des amèricain :plane:

 

Bonsoir Klinz

geler est un bon terme pour qu'Obama sauve la face

 

devant la folie americaine

et pour ne pas se mettre a dos les anti OBAMA dorenavent

 

car BUSH a faillit eclater une chose incalculable par sa connerie d'anti micile

 

et dieu merci que la russie a reagit

 

si non elle etait a genoux devant lemonde

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BRAVO OBAMA : Obama abandonne le bouclier antimissile

 

BONJOUR

 

Obama abandonne le bouclier antimissile

 

 

BRAVO OBAMA

UNE SUPERCHERIE AMERICAINE QUI AURAIS FAIT QU'EMBETER TOUT LE MONDE

 

International » Obama abandonne le bouclier antimissile

AgoraVox - ‎Il y a 50 minutes ‎

L'amélioration des relations entre les Etats-Unis et la Russie est une clef de la politique internationale du Président Obama. Si les échanges se sont multipliés depuis son arrivée au pouvoir, le projet de bouclier antimissile qui devait être déployé ...

Vidéo La réaction des américains au retrait du bouclier antimissile France 24

Les Etats-Unis renoncent au "bouclier antimissile" Le Monde

Le Figaro - L'Express - Libération - 20minutes.fr

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Après l'abandon du "bouclier antimissile" américain, l'OTAN souhaite relancer le dialogue avec la Russie

 

Après l'abandon du "bouclier antimissile" américain, l'OTAN souhaite relancer le dialogue avec la Russie

 

 

Bruxelles Correspondant

 

Anders Fogh Rasmussen veut réconcilier l'OTAN et la Russie. Vendredi 18 septembre, à Bruxelles, le secrétaire général de l'Alliance atlantique, invité de la Fondation Carnegie Europe, a proposé un nouveau partenariat à Moscou. Après deux ans de tensions, de polémiques sur le possible élargissement de l'OTAN et la guerre russo-géorgienne, il est temps, selon l'ex-premier ministre danois, d'en revenir à un " vrai partenariat stratégique" face aux "nouveaux défis sécuritaires".

 

 

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M. Rasmussen s'est exprimé au lendemain de l'annonce, par les Etats-Unis, de l'abandon du projet de "bouclier antimissile" en Europe centrale. Une décision de l'administration Obama saluée comme "courageuse" à Moscou. Le président Dmitri Medvedev a rappelé que Russes et Américains s'étaient mis d'accord, en juillet, sur une évaluation conjointe des nouveaux risques balistiques. Avant d'envisager un compromis sur la réduction des arsenaux nucléaires, la Russie demandait aussi l'abandon des projets de radar en République tchèque et d'intercepteurs de missiles à longue portée en Pologne.

 

Trois propositions

 

M. Rasmussen formule trois propositions concrètes à l'attention du régime russe. D'abord, il veut discuter avec lui d'un renforcement de la coopération dans des domaines comme la lutte contre le terrorisme, la prolifération nucléaire et la " stabilisation" de l'Afghanistan.

 

A propos de l'Iran, le secrétaire général invite Moscou à se joindre aux Occidentaux pour accroître les pressions diplomatiques et amener Téhéran à renoncer à ses ambitions nucléaires et balistiques. La Russie a, jusqu'ici, refusé l'idée de sanctions renforcées dans l'hypothèse où les négociations sur le gel de l'enrichissement de l'uranium par l'Iran n'aboutiraient pas.

 

La deuxième proposition consiste à "revitaliser" le Conseil OTAN-Russie, l'instance où les deux parties peuvent se consulter et négocier. Troisième offre, un examen en commun des défis futurs pour élaborer une nouvelle architecture de la sécurité européenne. Pour convaincre les Russes de renoncer à la théorie de "l'encerclement" de leur pays par l'OTAN, M. Rasmussen les invite à une réflexion : pourquoi ne pas songer à relier les systèmes de défense antimissile de la Russie, des Etats-Unis et des pays européens ? Une idée déjà évoquée au printemps 2008.

 

Moscou n'a pas réagi dans le détail. La Russie risque d'ailleurs de trouver moins positif le fait que M. Rasmussen maintienne, par ailleurs, le projet d'élargir l'OTAN à l'Ukraine et à la Géorgie. Les Russes notent aussi que les Etats-Unis suggèrent, en fait, de remplacer leur bouclier en Europe centrale par des missiles SM-3. Conçus pour détruire des missiles balistiques à courte et moyenne portée, ces derniers pourraient être déployés, en 2015, en Pologne et en République tchèque.

 

Il reste que l'ambassadeur russe auprès de l'OTAN, Dmitri Rogozine, a estimé "très positives" les propositions du secrétaire général. M. Rogozine avait lui-même évoqué récemment l'hypothèse d'un soutien russe à la nouvelle stratégie américaine en Afghanistan, voire la création, en Asie centrale, d'une "zone de sécurité commune" par l'OTAN, la Russie et les anciennes républiques soviétiques de la région.

 

Jean-Pierre Stroobants

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OUF!!! MAIS!!

 

que se passe t il?

 

bien ou....... ???

 

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